1000 resultados para Trojanus, Roman emp.


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An article derived from the first chapter of the writer's doctoral thesis, “Paysage et Pouvoir. Les décors topographiques à Rome et dans le Latium au XVIe siècle.”

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Alors que la poésie, le théâtre, la musique ou la peinture se transmettent au premier chef par la continuité de leurs formes, le roman n’a aucune continuité formelle, sinon celle d’être une oeuvre en prose d’une certaine longueur, mettant en scène des personnages fictifs. Par quels repères et quels relais, dès lors, le roman construit-il sa propre histoire? Ce recueil pose la question de la mémoire non pas diffuse mais précise que l’on garde des romans et des mécanismes qui la sous-tendent : quelles scènes, quelles images, quels personnages, quels « résumés » les lecteurs, mais aussi les romanciers eux-mêmes dans leurs propres oeuvres, conservent-ils ou sont-ils amenés à conserver des romans qu’ils ont lus? Par des exemples qui vont du Moyen Âge à l’époque contemporaine, c’est à ces questions que répondent les auteurs réunis autour de l’équipe du TSAR (Travaux de recherche sur les arts du roman), qui envisage le roman non pas comme un genre littéraire parmi d’autres mais comme une forme singulière de pensée et d’imagination.

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La rumeur publique joue un rôle-clé dès les plus anciens textes français : elle motive les héros à la guerre et assure la renommée du saint auprès du bon peuple. Quand les auteurs vernaculaires délaissent les chansons de geste ou de saints (genres marqués par l’oralité) au profit d’une forme narrative bientôt appelée roman (genre défini d’abord par son rapport à l’écriture), la rumeur – qui fait et défait les héros – se voit concurrencée par l’écrit, auquel est attribuée une valeur de vérité supérieure. Le roman met ainsi en abyme sa propre quête de légitimité. Le statut ambigu de la narration médiévale, au carrefour de l’oralité et de l’écriture, se reflète dans la situation ambivalente de la rumeur, clairement associée au peuple et en position d’infériorité manifeste, mais demeurant néanmoins le véritable moteur de la narration. À ce titre, la rumeur, ou plus exactement la nouvelle « qui court et vole », devient un sujet autonome qui relance le récit, dans un apparent parallèle avec à la voix du narrateur. Au début du XIIIe siècle, l’opposition entre roman et chanson se double d’une séparation entre vers et prose. Le roman en vers prend ses distances avec la rumeur en adoptant des accents parodiques, mais la prose est le lieu où la rumeur est mise en cause de la manière la plus systématique. Le roman en prose élabore ainsi un système complexe où la lettre et la voix se répondent. Par exemple, le grand cycle du Lancelot-Graal se clôt avec un roman, La Mort du roi Arthur, où la vérité vient de la lettre (missives révélatrices, inscriptions funéraires), alors même que la rumeur se révèle mortifère, depuis la rumeur de la fausse mort, qui a poussé Lancelot et Guenièvre au bord du suicide, jusqu’à celle qui condamne injustement la reine du meurtre de Gaheris de Karaheu. Le roman oppose ainsi à la voix de Merlin, le prophète à l’origine de ce royaume déchu, la permanence de la lettre, seule capable d’assurer la pérennité du royaume dans la mémoire et dans les lettres. La rumeur qui traverse les premières entreprises romanesques porte avec elle la question fondamentale du roman : celle de la vérité et du statut de la fiction, dans un monde où la langue vulgaire quitte la sphère de l’oralité et cherche à s’imposer comme langue d’écriture.

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Cet article s’intéresse à la rupture du lien entre l’amour et le chant qui informait la poésie lyrique, en soulignant comment cette disjonction contribue simultanément à la reconfiguration de l’érotique des romanciers et à l’invention de la forme romanesque. Dès lors que la voix de l’amant-poète le cède à la voix narrative, la nouvelle forme « en roman » engage avec la musique un autre dialogue où l’amour change de forme et de sens. Les plus anciens textes traduits « en roman » ne sont pas seulement des témoins de ces transformations; ils expriment la tension qui existe entre les deux modes d’expression de l’amour qui se partagent alors la littérature vernaculaire : le chant et le récit. En devenant la voix désincarnée du conteur, voire du conte lui-même, le romancier prend le risque de la mimesis : c’est-à-dire celui de donner un corps aux voix du désir, de les soumettre aux rythmes du temps, et donc à la mort.

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Bon nombre d’ouvrages sur l’histoire littéraire de l’Afrique comportent un chapitre ou une section consacrés au passage de l’oral à l’écrit où l’on rappelle d’abord que les sociétés africaines se caractérisaient par l’expression orale avant l’arrivée des colonisateurs européens. Si les termes désignant ce « passage » sont ici intervertis, c’est pour mieux insister sur le fait que la critique littéraire, elle, a fait le cheminement inverse en supposant, dans un premier temps, que les romanciers avaient adopté les conventions de la « tradition écrite » européenne; elle s’est ensuite ravisée en affirmant que les écrivains s’inspirent en réalité depuis le début de la tradition orale africaine. [Introduction]

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L’oeuvre d’Ollivier présente plusieurs caractéristiques pouvant être qualifiées de « baroques ». Cette étude examine le rôle que jouent les personnages féminins dans la construction du baroque dans « Mère-Solitude » et « Les urnes scellées ». Par ailleurs, pour mieux évaluer l’évolution de l’esthétique du roman haïtien telle qu’elle se manifeste dans ce baroque chez Ollivier, cette lecture cherche à faire ressortir l’écart qui se manifeste par rapport à la représentation du personnage féminin dans l’esthétique du réalisme merveilleux. Ainsi apparaît-il que le féminin participe à l’élaboration d’un univers imaginaire déchiffrable, sensé et porteur d’espoir, dans le réalisme merveilleux, alors que le baroque crée des « urnes scellées » impénétrables à travers lesquelles s’exprime l’angoisse devant l’inconstance du monde, un monde insaisissable, insensé. Le baroque apparaît alors, chez Ollivier, comme une esthétique de l’incertain et du questionnement qui déconstruit les discours rassurants par une technique de fabrication d’images incongruës.

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Cet article tente de réévaluer le discours de la critique africaine pour esquisser ensuite une réflexion sur la question de l’écriture et de son rapport avec la dynamique des genres dans le roman africain. Il s’agit de déplacer le débat de l’africanité des textes vers celui de l’écriture romanesque afin d’élargir le cadre de réception des textes. En effet, si d’aucuns évoquent les références aux récits folkloriques qu’on rencontre dans certains textes africains pour dire que le roman africain est un simple prolongement de la littérature traditionnelle (critique afrocentriste), d’autres soutiennent que le roman africain est une pâle copie du roman européen (critique eurocentriste). Pourtant, la vie culturelle de ce début du IIIe millénaire, caractérisée par plusieurs modes et moyens de communication, fait se rencontrer diverses cultures, de telle sorte que ces éléments puisés ailleurs participent de l’esthétique romanesque elle-même, dont on sait, au moins depuis Bakhtine, qu’elle est polyphonique. Cette analyse tient compte du fait que le roman africain participe du paradoxe de la création esthétique voulant qu’une oeuvre ne puisse ni se passer de la référence aux genres et aux modèles canoniques ni les reproduire totalement.

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Se analiza el Practicum de Pedagog??a en la Facultad de Ciencias de la Educaci??n de la Universidad de Oviedo desde la perspectiva de sus protagonistas (alumnado, tutores y profesorado) con el objetivo de mejorar su calidad formativa, teniendo en cuenta las demandas realizadas por los agentes implicados y ajust??ndolo a los cambios del Sistema Educativo Superior en el contexto europeo. Metodol??gicamente, el trabajo se ha articulado en tres fases: a) exploratoria, donde se analizan los aspectos organizativos del Practicum y las l??neas de investigaci??n sobre el mismo, el proceso de construcci??n del Espacio Europeo de Educaci??n Superior (EEES) y el perfil profesional del pedagogo; b) descriptiva anal??tica, donde se realiza el estudio emp??rico; y c) fase evaluativa, donde se valoran los resultados obtenidos. Se ha optado por una metodolog??a mixta (cualitativa y cuantitativa) complement??ndose los datos cualitativos y cuantitativos obtenidos a trav??s de cuestionarios, documentos escritos, entrevistas en profundidad y grupos de discusi??n. Como conclusi??n general de la investigaci??n se constata que los agentes implicados en el Practicum se muestran conformes con la organizaci??n de esta asignatura, si bien existen aspectos funcionales que son susceptibles de mejora. Otras conclusiones destacables son las siguientes: Se observan bajos grados de reflexi??n y evaluaci??n cr??tica del Practicum por parte de los estudiantes. El ??mbito de intervenci??n pedag??gica en el que los estudiantes realizan sus pr??cticas es muy variado y ambiguo, lo que origina una pluralidad de centros e instituciones de pr??cticas, cada una de las cuales cuenta con caracter??sticas y demandas propias. En este contexto, el Practicum debe ser flexible y adaptarse, en la media de lo posible, a las caracter??sticas y demandas de estas instituciones a fin de que los estudiantes puedan desarrollar aquellas competencias propias de su profesi??n. En l??neas generales, los tutores de pr??cticas de ambas instituciones, Facultad y Centros, son bien valorados por el alumnado y est??n considerados como dos pilares de apoyo importantes en la orientaci??n y para el buen desarrollo de las pr??cticas. Sin embargo, parece que tanto el alumnado como los tutores de los Centros e Instituciones de pr??cticas reclaman la necesidad de una mejora de la interlocuci??n entre los dos agentes b??sicos del Practicum: profesor-tutor de la Facultad y tutor del Centro o Instituci??n. La Gu??a del Practicum, como instrumento de orientaci??n, se ve como una herramienta ??til, pero que admite distintas lecturas, lo que hace que se hayan perfilado diferentes modos de tutorizaci??n y, por tanto, de modelos del Practicum, con lo que ello lleva de desigualdad desde el punto de vista del trabajo del alumnado. Las funciones de los tutores en la evaluaci??n, as?? como los criterios utilizados en el momento de poner las calificaciones a los estudiantes, no son compartidos por la totalidad de los docentes universitarios. Es cierto que en la Gu??a del Practicum se especifican los criterios y funciones de cada uno de los agentes intervinientes en este proceso, pero tambi??n es verdad que cada uno hace su propia interpretaci??n de los mismos, siendo variable el peso que cada docente otorga a los diferentes fuentes de informaci??n en la evaluaci??n. Este hecho provoca cierto malestar entre algunos tutores siendo, adem??s, considerado como arbitrario por el alumnado. Por ??ltimo, se realizan una serie de propuestas metodol??gicas adaptadas al Grado de Pedagog??a para la mejora del Practicum y se plantean las l??neas de investigaci??n abiertas.

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Resumen tomado de la publicaci??n