937 resultados para Cannabis.
Resumo:
Depuis quelques décennies, la consommation de cannabis et son usage thérapeutique sont le sujet de nombreux débats. Le cannabis est la drogue illicite la plus consommée au monde et cette consommation se trouve dix fois plus élevée chez les patients atteints de schizophrénie que dans la population générale. L’hypothèse d’une automédication initialement proposée afin d’expliquer la consommation élevée de cannabis chez les patients atteints de schizophrénie est maintenant remise en question. En effet, les rapports indiquant une aggravation des symptômes plutôt qu’une amélioration suite à une consommation à long terme sont de plus en plus nombreux. Sachant que le cannabis peut induire des effets soit plaisants soit aversifs, la question se pose à savoir si une prédominance de la valence motivationnelle positive ou une diminution de la valence négative du cannabis peut expliquer la consommation élevée parmi les individus ayant un diagnostic de schizophrénie? Bien qu’un grand nombre de recherches pré-cliniques aient été menées chez l’animal normal pour évaluer l’effet motivationnel du Δ9-tétrahydrocannabinol (THC) et autres cannabinoïdes synthétiques, aucune n’a abordé cette problématique dans un modèle animal de la schizophrénie. Cette lacune nous a donc amené à étudier la valence motivationnelle du THC et de l’agoniste cannabinoïde WIN55,212-2 (WIN) dans un modèle animal de la schizophrénie: la lésion néonatale de l’hippocampe ventral (NVHL). Dans le premier article, nous présentons les résultats de quatre expériences. Une première avait pour objectif de déterminer si la procédure expérimentale que nous avons utilisée permettait de reproduire des signes distinctifs du modèle animal de la schizophrénie. Par la suite, nous avons évalué i) l’effet d’une dose de WIN sur l’activité locomotrice spontanée et ii) la valence motivationnelle du THC (0.5 mg/kg, i.p) et du WIN (1 mg/kg, i.p) chez les rats adolescents (jour post-natal 28-40, PD28-40) et adultes (PD56) au moyen du paradigme de préférence de place conditionnée (PPC). Tel qu’attendu, la réponse locomotrice à l’amphétamine (0.75 et 1.5 mg/kg) chez les rats NVHL adultes était supérieure à celle des rats contrôles (test distinctif du modèle). Le THC a induit une tendance aversive chez les rats contrôles adultes. Enfin, le WIN a stimulé l’activité locomotrice et induit une aversion significative chez les rats adultes NVHL. Dans un deuxième article, nous avons évalué la valence motivationnelle du THC (0.5 mg/kg), du WIN (1 et 3 mg/kg) et l’effet de l’amphétamine au moyen du paradigme d’autostimulation électrique intracérébrale (ASI). Les résultats montrent que : i) l’effet amplificateur de l’amphétamine sur l’ASI était de plus courte durée chez les rats NVHL; ii) le THC produit une légère atténuation de la récompense chez les rats contrôles tandis que le WIN a produit une atténuation plus prononcée de la récompense chez les rats NVHL, un effet qui a été bloqué par l’antagoniste aux récepteurs CB1, le AM251 (3 mg/kg). Pour la première fois les résultats suggèrent une altération du système endocannabinoïde dans un modèle animal de la schizophrénie. Ils indiquent qu’une exposition aigüe conduit à une prédominance de la valence négative. Bien qu’en apparente contradiction avec les études cliniques, ces résultats soulignent l’importance du contexte socio-environnemental pour expliquer les effets du cannabis chez les patients. De plus ils encouragent les futures études à évaluer cette valence sur un modèle d’exposition chronique.
Resumo:
Rapport académique présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l’obtention du grade de M. Sc. en criminologie, option intervention
Resumo:
Ce projet de maitrise implique le développement et l’optimisation de deux méthodes utilisant la chromatographie liquide à haute performance couplée à la spectrométrie de masse en tandem (HPLC-MS/MS). L'objectif du premier projet était de séparer le plus rapidement possible, simultanément, 71 médicaments traitant la dysfonction érectile (ED) et 11 ingrédients naturels parfois retrouvés avec ces médicaments dans les échantillons suspectés d’être adultérés ou contrefaits. L'objectif du deuxième projet était de développer une méthode de dépistage permettant l'analyse rapide simultanée de 24 cannabinoïdes synthétiques et naturels pour une grande variété d'échantillons tels que les mélanges à base de plantes, des bâtons d'encens, de sérums et de cannabis. Dans les deux projets, la séparation a été réalisée en moins de 10 min et cela en utilisant une colonne C18 à noyau solide 100 x 2,1 mm avec des particules de 2,6 µm de diamètre couplée à un système MS avec trappe ionique orbitale fonctionnant en électronébulisation positive. En raison du nombre élevé de composés dans les deux méthodes et de l’émergence de nouveaux analogues sur le marché qui pourraient être présents dans les échantillons futurs, une méthode de dépistage LC-MS/MS ciblée/non-ciblée a été développée. Pour les deux projets, les limites de détection étaient sous les ng/mL et la variation de la précision et de l’exactitude étaient inférieures de 10,5%. Le taux de recouvrement à partir des échantillons réels variait entre 92 à 111%. L’innovation des méthodes LC-MS/MS développées au cours des projets est que le spectre de masse obtenu en mode balayage lors de l'acquisition, fournit une masse exacte pour tous les composés détectés et permet l'identification des composés initialement non-ciblés, comme des nouveaux analogues. Cette innovation amène une dimension supplémentaire aux méthodes traditionnellement utilisées, en permettant une analyse à haute résolution sur la masse de composés non-ciblés.
Resumo:
La réalité des marchés de la drogue, opérés par des adolescents sur les lieux mêmes de leur école secondaire, demeure méconnue. L’actuelle recherche fut entreprise avec l’objectif d’explorer cet univers particulier. Pour y parvenir, cette étude a donné la parole à douze jeunes vendeurs adolescents, ayant transigé sur leur lieu d’enseignement. Les quatre objectifs spécifiques, définis au préalable, ont été atteints. Premièrement, selon les propos recueillis de la part des jeunes vendeurs, un phénomène de normalisation de la consommation de cannabis et certaines autres drogues serait bien présent au sein de cette population. Toutefois, les jeunes expliquent que leur définition de « normal » fluctuerait selon leur étape de vie du moment. Deuxièmement, toujours selon la compréhension des adolescents rencontrés, leur implication au sein du trafic de drogue s’expliquerait par trois facteurs: financier, réseautage, prestige et pouvoir. Troisièmement, les jeunes trafiquants rencontrés ont émis leur opinion sur l’efficacité des moyens de répression et de prévention situationnelle instaurés dans les écoles, ainsi que sur leurs astuces pour les déjouer. Ils ont aussi relaté une réalité de violence qui serait présente au sein de ces réseaux. Finalement, les jeunes interviewés ont explicité leur compréhension de l’impact des interventions tentées par l’école secondaire, pour les détourner de leur trajectoire criminelle. La conclusion essentielle de ce mémoire demeure le besoin, exprimé par ces adolescents, d’être encadrés et limités par leur environnement scolaire, parental et autres adultes de leur entourage. Comme il leur serait difficile de se discipliner; ils demandent qu’on les protège d’eux-mêmes.
Resumo:
Background: An important challenge in conducting social research of specific relevance to harm reduction programs is locating hidden populations of consumers of substances like cannabis who typically report few adverse or unwanted consequences of their use. Much of the deviant, pathologized perception of drug users is historically derived from, and empirically supported, by a research emphasis on gaining ready access to users in drug treatment or in prison populations with higher incidence of problems of dependence and misuse. Because they are less visible, responsible recreational users of illicit drugs have been more difficult to study. Methods: This article investigates Respondent Driven Sampling (RDS) as a method of recruiting experienced marijuana users representative of users in the general population. Based on sampling conducted in a multi-city study (Halifax, Montreal, Toronto, and Vancouver), and compared to samples gathered using other research methods, we assess the strengths and weaknesses of RDS recruitment as a means of gaining access to illicit substance users who experience few harmful consequences of their use. Demographic characteristics of the sample in Toronto are compared with those of users in a recent household survey and a pilot study of Toronto where the latter utilized nonrandom self-selection of respondents. Results: A modified approach to RDS was necessary to attain the target sample size in all four cities (i.e., 40 'users' from each site). The final sample in Toronto was largely similar, however, to marijuana users in a random household survey that was carried out in the same city. Whereas well-educated, married, whites and females in the survey were all somewhat overrepresented, the two samples, overall, were more alike than different with respect to economic status and employment. Furthermore, comparison with a self-selected sample suggests that (even modified) RDS recruitment is a cost-effective way of gathering respondents who are more representative of users in the general population than nonrandom methods of recruitment ordinarily produce. Conclusions: Research on marijuana use, and other forms of drug use hidden in the general population of adults, is important for informing and extending harm reduction beyond its current emphasis on 'at-risk' populations. Expanding harm reduction in a normalizing context, through innovative research on users often overlooked, further challenges assumptions about reducing harm through prohibition of drug use and urges consideration of alternative policies such as decriminalization and legal regulation.
Resumo:
Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.
Resumo:
Determinar en una muestra de estudiantes de Enseñanza Secundaria, la prevalencia en el uso de drogas, los factores asociados al uso de las mismas y la identificación de grupos de sujetos de alto riesgo. La encuesta se realizó a 2059 estudiantes de BUP, COU y Formación Profesional, de los cuales se eliminaron 139, por no superar el test de sinceridad por lo que la muestra quedó en 1.902. Los alumnos pertenecen a diferentes localidades de la región: Sama, Grado, Mieres, Avilés, Oviedo, etc.. Las variables de estudio se pueden agrupar en los siguientes bloques: las referidas a los datos de identificación: edad, sexo, estudios realizados, dedicación docente, etc. Consumo de drogas, tanto las institucionalizadas como las no institucionalizadas: tabáco, alcohol, cannabis, cocaína, anfetaminas, alucinógenos etc. Se estudia también la variable tiempo en que se han consumido las drogas: últimos 30 días, últimos 12 meses, edad de iniciación... Se controla también la variable de sinceridad y franqueza del encuestado. Cuestionario de la Organización Mundial de la Salud, elaborado por un grupo de trabajo de dicha organización, reunido en Ginebra en 1975 y cuyos resultados han sido analizados en otros países. Consta de 22 preguntas y es autoadministrable. Para medir el grado de sinceridad se utilizó el cuestionario de personalidad de Eysenck, que contienen una escala que permite detectar este factor. Con los datos obtenidos de las distintas variables se ha procedido a un análisis estadístico de los resultados respecto al consumo, relacionado éste con el sexo, la edad, el curso académico, y el tipo de droga utilizada. Para efectuar el análisis se han calculado los valores de las frecuencias, porcentajes, medias. Se calcula el valor del Chi cuadrado y de la probabilidad para ver los niveles de significación de las diferencias. El porcentaje de consumidores de drogas no institucionalizadas resulto ser del 28,6 por ciento. Se dan diferencias significativas en el consumo en razón del sexo. Hay un 38,2 por ciento de varones consumidores frente a un 21,1 por ciento de mujeres. La edad media de los consumidores fue de 16,8 años los varones y de 16,9 las mujeres. La droga de consumo más extendida fue el cannabis (20,7 por ciento). En segundo lugar estaban los tranquilizantes (10,9 por ciento). Se constata que el consumo aumenta a la vez que la edad y el curso académico. A lo largo del estudio practicado se aprecia claramente cómo las drogas no institucionalizadas han pasado a formar parte de los hábitos de la juventud, lo cual debe tenerse en cuenta de cara a la adopción de medidas preventivas. Este trabajo tiene como objetivo aportar datos que permitan un mejor conocimiento del problema en la región asturiana.
Resumo:
Estudiar los patrones de consumo de drogas en la población de estudiantes universitarios, comparación con otras poblaciones, ver las variaciones en la edad de consumo, en función de diferentes variables. Preferencias en el consumo en función de la edad y el sexo. Capacidad de las drogas de consumo legal para introducir a otros tipos de consumo. La muestra es representativa de la población de estudiantes universitarios del distrito de Oviedo, a un nivel de confianza del 95 por ciento, con un error admitido del 5 por ciento y con una probabilidad de p=0.05. Respecto a la personalidad se han estudiado los índices de sinceridad, extraversión y neuroticismo. En cuanto al consumo de drogas, además de las de identificación referentes a edad sexo, años de estudio, etc., se han estudiado: consumo o utilización de tabacos, bebidas alcohólicas, cannabis, cocaína, anfetaminas, sustancias volátiles, tranquilizantes, sedantes, opiáceos, heroína, morfina, etc. Tiempo desde que consumió por última vez un determinado tipo de droga, edad de iniciación en el consumo, etc.. Se ha utilizado una encuesta estandarizada por la Organización Mundial de la Salud en 1980. Se trata de un cuestionario autoadministrable. Para valorar el grado de sinceridad de las respuestas y la personalidad de los encuestados se ha administrado el Eysenck Personality Inventory. Aunque el inicio en el consumo de drogas es más precoz en los varones que en las mujeres, no se han encontrado diferencias significativas entre ambos sexos, en cuanto al consumo de tabaco y tranquilizantes. El tabaquismo conlleva un mayor riesgo de consumo de cannabis, estimulantes y tranquilizantes. La información sanitaria no protege contra el consumo de drogas, se ha encontrado una mayor utilización de tranquilizantes y estimulantes en los estudiantes de medicina que en el resto de la población universitaria encuestada. El mayor consumo encontrado entre estudiantes con información sanitaria, pone de manifiesto el interés especial que ofrece esta población y la necesidad de intervención con programas de educación sanitaria coherentes que tengan presente las diferencias de conocimientos e indiquen especialmente estas características específicas.
Resumo:
Realizar un estudio del consumo de drogas (tanto de las legales como de las ilegales), entre los estudiantes de Enseñanza Media y Enseñanza Universitaria técnica de una zona asturiana (Gijón). El trabajo se realiza con alumnos entre 14 y 24 años de los siguientes centros: Instituto Calderón de la Barca, Instituto Jovellanos, Instituto Doña Gimena, Colegio Padres Jesuitas, Instituto Politécnico Nacional, Escuela Universitaria de Ingenieria Técnica, Escuela Superior de la Marina Civil, todos ellos de Gijón. La muestra total fue de 831 sujetos y el trabajo de encuesta se realizó en 1981. Se estudian tres bloques de variables: las variables de identificación, edad, sexo, estudios, dedicación a los estudios, trabajo, etc. Consumo de diferentes tipos de drogas, tanto las de carácter legal como las ilegales: tabaco, alcohol, cannabis, cocaína, anfetaminas, alucinógenos, heroína, morfina, etc. Variables referidas al inicio en el consumo de drogas y a la periodicidad de la utilización de las mismas. Por último se controlan variables referidas a la sinceridad y franqueza del encuestado. Cuestionario diseñado por el comité de expertos de la Organización Mundial de la Salud para la investigación y epidemiología sobre la farmacodependencia en 1980 y cuestionario de personalidad de Eysenck. Se realiza un estudio comparativo entre los distintos centros, intentando ver las diferencias en función de variables como el sexo, la edad, el tipo de droga más utilizado, etc. La edad media de los consumidores fue de 18 años en los varones y 19 en las mujeres, encontrándose diferencias significativas entre ambos sexos en cuanto al consumo de droga. La droga que más se consume es el cannabis (24,9 por ciento). La media de edad del primer contacto fue a los 16 años. El número de consumidores es mayor en los estratos de edad más altos y en los cursos más avanzados, así resulta que los porcentajes más altos se dan en las Escuelas Universitarias de Ingeniería (35,2 por ciento) y en la Escuela de la Marina Civil (57,1 por ciento). Se encuentra un reducido número de consumidores de las llamadas drogas duras. Se ha dejado al margen del estudio el análisis del consumo de tabaco, pues constituiría materia de un estudio aparte. Este estudio pretende tener un carácter orientativo, en cuanto que aporta datos para un mejor conocimiento del tema, que pueden ayudar a su prevención.
Resumo:
Resumen tomado de la publicaci??n
Resumo:
Se analiza el patrón de consumo de cannabis en una muestra de 580 jóvenes universitarios (88.4% mujeres, edad media 21.4 años). Si bien se observa que proporcionalmente más hombres que mujeres consumen habitualmente cannabis, la magnitud de consumo de los que se reconocen usuarios es similar en ambos sexos. Se detecta que la dependencia percibida al cannabis se incrementa en función de la magnitud de consumo. Existe una relación positiva entre consumo de tabaco y de cannabis: el 90% de los jóvenes que no ha probado nunca el tabaco tampoco ha probado nunca el cannabis, mientras que menos del 15% de los fumadores habituales de tabaco se hallan en esa situación. Estos resultados sugieren la necesidad de abordajes conjuntos para la prevención del consumo de drogas, principalmente en lo que se refiere al tabaco y el cannabis
Resumo:
Resumen tomado de la publicaci??n
Resumo:
Resumen tomado de la publicaci??n
Resumo:
Resumen tomado de la publicaci??n
Resumo:
I look for classroom peer effects for psychoactive substance consumption among Colombian high school students and attempt to identify channels that rationalize for these effects. To do so, I use data for Colombian schools from 2011. I identify peer effects using household consumption behavior to instrument average classroom consumption. I find that an increase of 10% in the proportion of classroom users of alcohol, cannabis, and cocaine increases the probability of students to use alcohol, cannabis, and cocaine in 3.14%, 4.29%, and 2.38% respectively. I find no significant effect on cigarette smoking for the full sample but after exploring heterogeneous effects I find suggestive evidence that the effect is positive in some grades. I find some evidence that indicate that peer effects on alcohol, cannabis, and cocaine consumption operate through risk perception and easiness of access to psychoactive substances, meaning that the increase of likelihood of consumption could be explained because it is easier to access to drugs for students that interact with consumers or because a decrease in the risk students perceive of consuming these substances. Finally, through the use of a SUR and a 3SLS estimator I find strong correlations between smoking cigarettes and consuming cannabis (55 %), and cocaine (60 %).