962 resultados para Pharmacological treatment
Resumo:
Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014
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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014
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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014
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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.
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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06
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Ocular allergy is a common eye condition encountered in clinical practice. However, little is known how seasonal allergic conjunctivitis (SAC), the most common subtype, is managed in clinical practice. Further, dry eye, another common eye condition, may be misdiagnosed as SAC and vice-versa as they share similar signs and symptoms. In addition, despite the frequent recommendation of non-pharmacological treatments for SAC, evidenceto support their use has not been identified in the scientific literature. The aim of this thesis was therefore to determine the actual diagnosis and management of SAC and dry eye in clinical practice and investigate the efficacy of non-pharmacological treatments for these conditions. The diagnostic and management strategies for SAC and dry eye employed by pharmacy staff are found to be inconsistent with current guidelines and scientific evidence based upon a mystery shopper design. Cluster analysis of tear film metrics in normal and dry eye patients identified several clinically relevant groups of patients that may allow for targeted treatment recommendations. Using a novel environmental chamber model of SAC, the use of artificial tears and cold compresses, either alone or combined is an effective treatment modality for acute and symptomatic SAC, on a par with topical anti-allergic medication, and has been demonstrated for the first time. In addition, eyelid warming therapy with a simple, readily available, seed filled device is an effective method of treating meibomian gland dysfunction (MGD) related evaporative dry eye, perhaps the most common dry eye subtype. A greater focus on ophthalmology must be implemented as part of the formal education and training of pharmacy staff, while greater professional communication between community pharmacists, optometrists and the population they serve is required. Artificial tears and cold compresses may be considered as front line agents for acute SAC by pharmacy staff and optometrists, to whom pharmacological treatment options are limited.
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Background and Objective: Clozapine has been available since the early 1990s. Studies continue to demonstrate its superior efficacy in treatment-resistant schizophrenia. Despite this, numerous studies show under-utilisation, delayed access and reluctance by psychiatrists to prescribe clozapine. This retrospective cross-sectional study compared the prescribing of clozapine in two adult cohorts under the care of large public mental health services in Auckland (New Zealand) and Birmingham (United Kingdom) on 31 March 2007. Method: Time from first presentation to clozapine initiation, prior antipsychotics trialled and antipsychotic co-prescribing were compared. Data included demographics, psychiatric diagnosis, co-morbid conditions, year of first presentation, admissions and pharmacological treatment (clozapine dose, start date, prior antipsychotics, co-prescribed antipsychotic). Results: Overall, 664 people were prescribed clozapine (402 Auckland; 262 Birmingham); mean daily dose of 384 mg (Auckland) and 429 mg (Birmingham). 53 % presented after 1990 and the average duration of time before starting clozapine was significantly longer in the Birmingham cohort (6.5 vs. 5.3 years) but this reduced in both cohorts to a 1-year mean in those presenting within the last 3 years. The average number of antipsychotics trialled pre-clozapine for those presenting since 1990 was significantly higher in the Birmingham cohort (4.3 vs. 3.1) but in both cohorts this similarly reduced in those presenting within the last 3 years. Antipsychotic co-prescribing was significantly higher in the Birmingham cohort (22.9 vs. 10.7 %). Conclusions: There is evidence that access to clozapine has improved over time in both cohorts, with a reduction in the duration between presentation and initiation of clozapine and number of different antipsychotics trialled pre-clozapine. These are very positive findings in terms of optimising outcomes with clozapine and are possibly due to the impact of guideline recommendations, increasing clinician, consumer and carer knowledge, and experience with clozapine and funding changes. © 2014 Springer International Publishing.
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Congenital nystagmus (CN) is an ocular-motor disorder that appears at birth or during the first few months of life; it is characterised by involuntary, conjugated, bilateral to and fro ocular oscillations. Pathogenesis of congenital nystagmus is still unknown. Eye movement recording allow to extract and analyse nystagmus main features such as shape, amplitude and frequency; depending on the morphology of the oscillations nystagmus can be classified in different categories (pendular, jerk, horizontal unidirectional, bidirectional). In general, CN patient show a considerable decrease of the visual acuity: image fixation on the retina is disturbed by nystagmus continuous oscillations; however, image stabilisation is still achieved during the short foveation periods in which eye velocity slows down while the target image is placed onto the fovea. Visual acuity was found to be mainly dependent on foveation periods duration, but cycle-to-cycle foveation repeatability and reduction of retinal image velocities also contribute in increasing visual acuity. This study concentrate on cycle-to-cycle image position variation onto fovea, trying to characterise the sequences of foveation positions. Eye-movement (infrared oculographic or electro oculographic) recordings, relative to different gaze positions and belonging to more than 30 CN patients, were analysed. Preliminary results suggest that sequences of foveations show a cyclic pattern with a dominant frequency (around 0.3 Hz on average) much lower than that of the nystagmus (about 3.3 Hz on average). Sequences of foveations reveals an horizontal ocular swing of more than 2 degree on average, which can explain the low visual acuity of the CN patient. Current CN therapies, pharmacological treatment or surgery of the ocular muscles, mainly aim to increase the patient's visual acuity. Hence, it is fundamental to have an objective parameter (expected visual acuity) for therapy planning. The information about sequences of foveations can improve estimation of patient visual acuity. © 2008 Springer-Verlag.
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Schizophrenia is a severe and persistent mental illness; diagnosis occurs mainly during adolescence. The pharmacological treatment is done with typical and atypical antipsychotics. Atypical have the advantage of reduced extrapyramidal effects, which make them promising for the treatment of schizophrenia, furthermore, they have shown significant metabolic and hormonal changes. The objective of this study was to evaluate the influence of atypical antipsychotics, olanzapine and risperidone on the quality of life and on their adverse effects in schizophrenic patients. For this we analyzed the quality of life of patients with implementation of EuroQol-5D-3L instrument and performing biochemical and hormonal tests, blood pressure measurement, and measurement of anthropometric indices, besides the application of Ugvalg scales for Kliniske Undersgelser (UKU) and Simpson-Angus, who evaluated the side effects caused by drugs. Data were analyzed using the Student t test and chi-square test, with 5% significance level. The results showed that the EuroQol the antipsychotic olanzapine causes significant losses associated with personal care (p <0.001). Comparing the two groups of antipsychotics, the average years of quality-adjusted life, known per QALY was favorable for the risperidone group (p <0.032). The results of olanzapine and risperidone groups were compared. In terms of socioeconomic, it was observed that men used, the prevalent form, olanzapine (p <0.008); this same group showed the following results significantly unfavorable, related to anthropometric variables: waist circumference (p <0.01), hip circumference (p <0.02), weight (p <0.02) and blood pressure (p <0.04). The biochemical and hormonal analyzes showed that olanzapine resulted in losses related to the following variables: triglycerides (p <0.04), HDL cholesterol in men (p < 0.02) and cortisol (p < 0.01). In risperidone users, the only negative value was prolactin (p < 0.04). Regarding the analysis of the Simpson-Angus scale, the group treated with olanzapine was handicapped because the average total scores for olanzapine was 0.38, while for risperidone was 0.11 (p < 0.02). In the UKU scale, the following results were obtained also unfavorable for the olanzapine group: fatigue (P <0.02), dystonia (p <0.01) and tremor (p <0.03). According to the UKU scale, the side effects present in the risperidone group included: gynecomastia (p <0.01), ejaculatory dysfunction (p <0.02) and erectile dysfunction (p <0.02). It was concluded that olanzapine users had the worst score of quality of life, higher metabolic risks associated with overweight and inadequate lipid profile and greater tendency to extrapyramidal manifestations. However, risperidone users were more likely to adverse reactions due to hormonal changes.
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Background: Compared to existing literature on childhood attention deficit hyperactivity disorder (ADHD), little published adult data are available, particularly outside of the United States. Using General Practitioner (GP) questionnaires from the United Kingdom, this study aimed to examine a number of issues related to ADHD in adults, across three cohorts of patients, adults who received ADHD drug treatment in childhood/adolescence but stopped prior to adulthood; adults who received ADHD drug treatment in childhood/adolescence and continued treatment into adulthood and adults who started ADHD drug treatment in adulthood.Methods: Patients with a diagnosis of ADHD and prescribed methylphenidate, dexamfetamine or atomoxetine were identified using data from The Health Improvement Network (THIN). Dates when these drugs started and stopped were used to classify patients into the three cohorts. From each cohort, 50 patients were randomly selected and questionnaires were sent via THIN to their GPs.GPs returned completed questionnaires to THIN who forwarded anonymised copies to the researchers. Datasets were analysed using descriptive statistics.Results: Overall response rate was 89% (133/150). GPs stated that in 19 cases, the patient did not meet the criteria of that group; the number of valid questionnaires returned was 114 (76%). The following broad trends were observed: 1) GPs were not aware of the reason for treatment cessation in 43% of cases, 2) patient choice was the most common reason for discontinuation (56%), 3) 7% of patients who stopped pharmacological treatment subsequently reported experiencing ADHD symptoms, 4) 58% of patients who started pharmacological treatment for ADHD in adulthood received pharmacological treatment for other mental health conditions prior to the ADHD being diagnosed.Conclusion: This study presents some key findings relating to ADHD; GPs were often not aware of the reason for patients stopping ADHD treatment in childhood or adolescence. Patient choice was identified as the most common reason for treatment cessation. For patients who started pharmacological treatment in adulthood, many patients received pharmacological treatment for comorbidities before a diagnosis of ADHD was made.
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OBJECTIFS: La libération de dopamine par les afférences à sérotonine (5-HT) du striatum constitue un déterminant pré-synaptique important des dyskinésies induites par la L-Dopa (DILs), un effet délétère du traitement pharmacologique de la maladie de Parkinson. En effet, les axones 5-HT seraient en mesure de libérer de façon non-physiologique de la dopamine lorsque la L-Dopa est administrée au patient, contribuant ainsi à l’expression des DILs. Certaines afférences striatales 5-HT contiennent un transporteur vésiculaire du glutamate (VGluT3) et nous croyons que sa présence puisse avoir un effet synergique sur la libération de dopamine. L’objectif général de ce mémoire est donc d’évaluer la quantité de VGluT3 présent au sein des axones 5-HT et de mesurer son implication dans l’expression des DILs. MÉTHODES : Dix-huit souris C57/Bl6 ont été séparées en trois groupes expérimentaux. Douze souris ont reçu une injection intracérébrale de 6- hydroxydopamine (6-OHDA) dans le faisceau prosencéphalique médian afin de léser les afférences dopaminergiques du striatum. Six souris lésées ont reçu des injections systémiques de L-Dopa (12 jours, 1 fois/jour). Six autres souris ont reçu une injection intracérébrale du véhicule afin de servir de contrôle. La sévérité des mouvements involontaires anormaux induits par la L-Dopa (équivalent des dyskinésies) a été quantifiée selon une échelle reconnue. Un double marquage en immunofluorescence pour le transporteur membranaire de la 5-HT (SERT) et le VGluT3 a permis d’évaluer la densité des varicosités SERT+ et SERT+/VGluT3+ dans le striatum dorsal et de comparer ces données entre les trois groupes expérimentaux. RÉSULTATS: Chez les trois groupes de souris, un faible pourcentage des varicosités axonales 5-HT sont également VGluT3+. Ces varicosités doublement marquées sont souvent retrouvées sur une même branche axonale. Aucune différence significative n’a été observée entre les trois groupes expérimentaux en ce qui a trait à la proportion de varicosités SERT+ qui contiennent le VGluT3+. CONCLUSION: Nos données expérimentales ne nous permettent pas de conclure que la densité des varicosités axonales SERT+ ou SERT+/VGluT3+ au sein du striatum dorsal varie en fonction de la sévérité des mouvements involontaires anormaux induits par l’administration de L-Dopa.
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This study explores whether a partial explanation for high antidepressant prescription rates is the failure of prescribers to recommend alternatives. 1,829 New Zealand adults were asked which of six non-pharmacological treatment approaches were recommended when prescribed anti-depressants. The majority (82%) received at least one recommendation and 32% received three or more, most commonly ‘Counsellor/Psychologist/Psychotherapist’ (74%) and Exercise Schedule (43%). It cannot, therefore, be concluded that failing to consider non-pharmacological treatments is a major cause of high prescribing rates. Being younger and more severely depressed were both positively related to number of recommendations. Psychiatrists made significantly more recommendations than GPs.
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O seio maxilar é o seio paranasal mais susceptível a invasões bacterianas, tanto pelo óstio nasal, como pela cavidade oral. As sinusites maxilares têm como causas mais frequentes, as infecções víricas, rinites alérgicas ou não alérgicas, variações anatómicas, diabetes mellitus, fumar, nadar, mergulhar, escalar a altas atitudes, e as infecções e tratamentos dentários. A pesquisa bibliográfica, foi realizada sem quaisquer limitações temporais, com restrição linguística a Português, Espanhol e Inglês, sendo excluídos os artigos de outros idiomas; em vários livros e revistas, assim como artigos científicos obtidos, entre Maio e Julho de 2015, nos motores de busca Pubmed, ScienceDirect, Scielo, Elsevier e B-on. A sinusite maxilar odontogénica é uma doença infecto-inflamatória, habitualmente associada à ruptura da membrana de Schneider e a processos infecciosos dentários crónicos. Causa hiperplasia e hipertrofia da mucosa, o que origina sinais e sintomas próprios, assim como mudanças radiográficas perceptíveis. Existem diferentes etiologias de causa odontogénica: cárie, doença periodontal, quistos odontogénicos e iatrogenia – tratamento endodôntico não cirúrgico, cirurgia endodôntica, comunicações oro-antrais, implantes dentários, elevação do seio maxilar, cirurgia pré-protética e cirurgia ortognática – sendo que a iatrogenia é a mais comum (cerca de 56%). Esta patologia afecta com mais frequência indivíduos dos 42,7 aos 51, 7 anos, e preferencialmente a região molar, seguida dos pré-molares e em alguns casos, caninos. Os organismos que dominam na fase aguda e crónica, são sensivelmente os mesmos, mas em número diferente, e existe uma conexão entre a flora comensal periapical e a flora patogénica em caso de sinusite maxilar odontogénica. O diagnóstico é essencialmente clínico, no entanto existem diferentes exames complementares para confirmarem ou formarem o diagnóstico. Pela grande acessibilidade ao método radiográfico, torna-se fundamental que o médico dentista saiba diferencial as diversas patologias que afectam o seio maxilar. O tratamento abrange a eliminação da causa dentária e o tratamento farmacológico, da infecção, essencialmente à base de antibióticos, e da dor se esta existir. E o tratamento cirúrgico, que contempla a punção-lavagem sinusal, antrostomia intranasal, técnica de Caldwell-Luc e cirurgia sinusal endoscópica. Concluindo, o médico dentista deve ter um amplo conhecimento sobre esta patologia para que a possa reconhecer, tratar ou preveni-la.
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Ao longo dos últimos tempos, a Mycobacterium tuberculosis tem sido alvo de estudos mais aprofundados, visto ser um dos agentes infeciosos que mais pessoas infeta em todo mundo, quer sob a forma ativa, quer sob a forma latente. Assim sendo, têm sido desenvolvidas várias estratégias para o seu controlo e tratamento, que se mostram bastante promissoras. Atualmente existe ainda uma preocupação especial relativamente ao aparecimento de resistências ao bacilo de Kock. Desta forma, são importantes algumas medidas que promovam a diminuição destes casos de resistência, nomeadamente o supervisionamento por um profissional de saúde, como garantia que o tratamento medicamentoso é feito de forma completa e correta. Apesar de tudo, os últimos desenvolvimentos no controlo e tratamento da tuberculose apresentam algumas falhas, desde a falta de eficácia até ao aparecimento de efeitos adversos indesejados, o que alarga ainda mais o período que leva até que um novo tratamento e/ou vacina possam ser inseridos no sistema de saúde. Este trabalho tem como objetivo a revisão do estado atual dos desenvolvimentos em torno do tratamento e controlo da tuberculose nomeadamente da forma resistente, assim como o seu atual impacto na sociedade.