585 resultados para FOLLICLE
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La régulation transcriptionnelle des gènes est un processus indispensable sans lequel la diversité phénotypique des cellules ainsi que l’adaptation à leur environnement serait inexistant. L’identification des éléments de régulation dans le génome est d’une importance capitale afin de comprendre les mécanismes gouvernant l’expression des gènes spécifiques à un type cellulaire donné. Ainsi, suite au pic de LH, le follicule ovarien entre dans un programme intensif de différentiation cellulaire, orchestré par des modifications majeures du profile transcriptionnel des cellules de granulosa, déclenchant ultimement l’ovulation et la lutéinisation, processus indispensables à la fertilité femelle. L’hypothèse supportée par cette étude stipule qu’une réorganisation de la structure chromatinienne survient aux régions régulatrices d’une panoplie de gènes dans les heures suivant le pic de LH et qu’en isolant et identifiant ces régions, il serait possible de retrouver des éléments essentiels aux processus d’ovulation et de lutéinisation. Ainsi, en utilisant un protocole standard de superovulation chez la souris, les éléments de régulation se modifiant 4h suivant l’administration de hCG ont été isolés et identifiés dans les cellules de granulosa en utilisant la méthode FAIRE (Formaldehyde-Assisted Isolation of Regulatory Elements) combinée à un séquençage haut débit. Cette étude a démontré que suite au stimulus ovulatoire, les cellules de granulosa subissent une reprogrammation majeure des éléments de régulation, qui est corrélée avec une modification drastique de leurs fonctions biologiques. De plus, cette étude a mis en évidence une association majoritaire des éléments de régulation à des régions intergéniques distales et à des introns, indiquant que ces régions ont une importance capitale dans la régulation transcriptionnelle dans les cellules de granulosa. Cette étude a également permis d’identifier une panoplie de régulateurs transcriptionnels reconnus pour être essentiels à la fonction ovarienne, ainsi que leur sites de liaison dans le génome, démontrant que la méthode FAIRE est une méthode assez puissante pour permettre la prédiction d’événements moléculaires précis ayant un sens physiologique réel.
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Le récepteur nucléaire Nr5a2, également connu sous le nom de liver receptor homolog-1 (Lrh-1), est exprimé au niveau de l’ovaire chez la souris, exclusivement dans les cellules lutéales et de la granulosa. La perturbation de Nr5a2, spécifique aux cellules de la granulosa chez la souris à partir des follicules primaires dans la trajectoire du développement folliculaire a démontré que Nr5a2 est un régulateur clé de l’ovulation et de la fertilité chez la femelle. Notre hypothèse veut que Nr5a2 régule les évènements péri- et post-ovulatoires dans une séquence temporelle lors de la folliculogénèse. Afin d'étudier l’implication de Nr5a2 lors de l’ovulation et de la lutéinisation à différents stades du développement folliculaire, nous avons généré deux modèles de souris knockout spécifiques aux cellules de la granulosa pour Nr5a2: 1) Nr5a2Amhr2-/-, avec une réduction de Nr5a2 à partir des follicules primaires et subséquents; 2) Nr5a2Cyp19-/-, avec une réduction de Nr5a2 débutant au stade antral de développement en progressant. L’absence de Nr5a2 à partir des follicules antraux a résulté en une infertilité chez les femelles Nr5a2Cyp19-/-, de même qu’en des structures non-fonctionnelles similaires aux structures lutéales au niveau des ovaires, en une réduction des niveaux de progestérone synthétisée ainsi qu’en un échec dans le support d’une pseudo-gestation. La synthèse de progestérone a été entravée suite à l’absence de Nr5a2 par l’entremise d’une régulation à la baisse des gènes reliés au transport du cholestérol, Scarb1, StAR et Ldlr, démontré par qPCR. Les complexes cumulus-oocytes des femelles Nr5a2Cyp19-/- immatures super-stimulées ont subi une expansion in vivo, mais l’ovulation a été perturbée, possiblement par une régulation à la baisse du gène du récepteur de la progestérone (Pgr). Un essai d’expansion du cumulus in vitro a démontré une expansion défectueuse du cumulus chez les Nr5a2Amhr2-/-, associée à un dérèglement de la protéine des jonctions communicantes (Gja1; Cx43). Cependant, l’expansion du cumulus chez les Nr5a2Cyp19-/- n’a pas été autant affectée. Des résultats obtenus par qPCR ont démontré une régulation à la baisse dans l’expression des gènes Areg, Ereg, Btc et Tnfaip6 chez les deux modèles de cellules ovariennes knockout à 2h et 4h post hCG. Nous avons observé que 85% des oocytes, chez les deux génotypes mutants, peuvent subir une rupture de la vésicule germinative, confirmant leur capacité de maturation in vivo. La technique d’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes a prouvé que les oocytes des deux génotypes mutants sont fertilisables et que 70% des embryons résultants ont poursuivi leur développement vers le stade de blastocyste, et ce, indépendamment du génotype. En conclusion, Nr5a2 régule la fertilité chez les femelles tout au long du processus du développement folliculaire. Il a été démontré que Nr5a2 est essentiel à la lutéinisation et que sa perturbation dans les cellules somatiques ovariennes ne compromet pas la capacité des oocytes à être fertilisés. En vue d’ensemble, nous avons fourni une investigation inédite et complète, utilisant de multiples modèles et techniques afin de déterminer les mécanismes par lesquels Nr5a2 régule les importants processus que sont l’expansion du cumulus, l’ovulation ainsi que la formation du corps jaune.
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Comprendre les événements paracriniens qui régulent la fertilité chez la vache est nécessaire non seulement en raison de l'importance agricole de cette espèce, mais aussi pour son utilisation potentielle comme modèle chez l’humain. L'oxyde nitrique (NO), un gaz de radicaux libres, a été impliqué dans la croissance folliculaire et l'ovulation chez les rongeurs et d'autres espèces, mais chez la vache c’est une énigme fascinante : le NO est produit par les cellules de la granulosa bovine et est régulé par la FSH, mais la présence et le profil d'expression des enzymes responsables de la synthèse de NO (NOS) dans les cellules de la granulosa tout au long de la croissance folliculaire ne sont pas claires. Les objectifs de cette thèse sont: (1) élucider le mécanisme de contrôle des NOS et les conséquences de la production d'oxyde nitrique pour le fonctionnement des cellules de la granulosa au cours du développement folliculaire chez la vache et (2) déterminer la régulation des NOS pendant la cascade ovulatoire induite par LH chez les cellules de la granulosa bovine et si l'activité des NOS pour l’expression des gènes critiques dans la cascade ovulatoire chez cette espèce. Les résultats sont séparés en 2 articles. Dans le premier article, la régulation de NOS2 dans les cellules de la granulosa bovine a été explorée. L'abondance des ARNm codant pour NOS2 a été stimulée par la FSH et l’IGF1 en augmentant l’estradiol, et un blocage de l'action de l’estradiol a conséquemment réduit les niveaux d'ARNm codant pour NOS2. De plus, l'inhibition de l'activité des NOS a augmenté l'apoptose dans les cellules de la granulosa in vitro. Dans le second article, il a été démontré que le pic de LH induit une activation des NOS dans les cellules de la granulosa, et que l'activité de NOS induit la production de NO, ce qui est essentiel pour l’expression des gènes critiques dans la cascade ovulatoire induite par LH comme EREG/AREG/PTGS2. Ensemble, les résultats présentés dans ces 2 articles suggèrent que les niveaux physiologiques d'activité des NOS peuvent contribuer à la croissance et la survie des cellules de la granulosa et indiquent également que NO peut être essentiel pour l'ovulation chez les bovins.
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L’oestradiol joue un rôle important dans la reproduction en général, particulièrement dans la croissance folliculaire chez la vache. La production de l’œstradiol nécessite l’expression du gène CYP19A1 suite à la stimulation des cellules de granulosa par l’hormone folliculostimulante (FSH) ou le facteur de croissance insulinique de type 1 (IGF-1). Chez la vache, il existe six promoteurs (1.1 ; 1.2 ; 1.3 ; 1.4 ; 1.5 et 2) qui dirigent la transcription du gène CYP19A1 dans les cellules de la granulosa. Le principal promoteur qui dirige la transcription au niveau de l’ovaire (cellules de granulosa) est le promoteur 2 (P2). Cependant, l’effet de la FSH et de l’IGF-1 sur l’activation de ces promoteurs d’aromatase demeure mal connu. De plus, la demi-vie du transcrit CYP19A1 est très courte avec une région 3’UTR relativement longue. L’analyse de la séquence 3’UTR montre la présence des motifs ARE (séquence riche en AU), des études antérieur montrent que ces séquences impliquent dans la régulation de la stabilité ou la dégradation de l’ARNm, ce qui est fort probable que la courte demi-vie de l’ARNm CYP19A1 est sous le contrôle post-transcriptionel. L’objectif de la thèse visait à étudier la régulation de l’expression du gène CYP19A1 chez la vache. Il y a deux thèmes soit étude de la régulation transcriptionnelle ciblant le promoteur et soit étude de la régulation post-transcriptionnelle impliquant la région 3’non traduite (3’UTR). Le premier objectif vise à étudier la régulation transcriptionnelle du gène CYP19A1. Nous avons étudié l'activité du promoteur ovarien bovin dans deux modèles de cellules de la granulosa, les cellules lutéinisées et nonlutéinisées in vitro, suite à une stimulation des cellules par la FSH ou IGF-1. Nous avons également évalué la voie de signalisation impliquée dans la régulation des différents promoteurs en utilisant un RT-PCR et un gène rapporteur (les différents promoteurs d’aromatase ont été insérés dans le vecteur pGL3promoter en amont du gène exprimant la luciférase). Les résultats de RT-PCR démontrent que la FSH et l’IGF-1 augmentent les concentrations d’ARNm provenant des deux promoteurs 2 et 1.1 dans les cellules de la granulosa non lutéinisées. Des expériences subséquentes ont montré que la FSH stimule le promoteur 2 via la voie PKA tandis que l'IGF-1 stimule le promoteur 2 via la voie PKC. La FSH et l’IGF-1 stimulent l’expression du promoteur 1.1 via la voie PI3K. L’analyse de l’activité luciférase démontre que dans les cellules de granulosa lutéinisées, la FSH stimule le promoteur 1.1 de façon dose dépendante et ne semble y avoir aucun effet significatif sur le promoteur 2. Nous avons donc comparé l’activité du promoteur PII/P2 humain, du rat, de la chèvre et de la vache dans les cellules de granulosa bovine lutéinisées. Le résultat le plus significatif est que le promoteur 2 bovine (et caprine) dépend de plusieurs facteurs de transcription (NR5A2, FOXL2) comparé au promoteur PII humain et celui du promoteur proximal du rat qui dépendent principalement de l'AMPc. En effet, nos résultats ont démontré une expression raisonnablement robuste du P2 bovine lorsque les cellules sont traitées à la forskoline, NR5A2 et FOXL2. Le facteur FOXL2 semble déterminer l'activité du promoteur 2 chez le ruminant. Le deuxième objectif vise à étudier la régulation post-transcriptionnelle du gène CYP19A1. Pour ce faire, nous avons déterminé la séquence minimale de l'ARNm CYP19A1 requise pour la régulation de sa demi-vie. Différents séquences de la région 3’UTR ont été insérés dans le vecteur pGL3promoter en aval du gène exprimant la luciférase ou soit dans le vecteur pGEMTeasy. Le vecteur pGL3promoter a été transfecté dans les cellules de granulosa lutéinisées pour évaluer l'impact de la séquence 3'UTR sur l'expression du gène rapporteur de la luciférase, alors que le vecteur pGEMTeasy a été utilisé pour la transcription in vitro afin de générer de l’ARNm. Ce dernier sera utilisé en réaction croisée au UV avec des extraits protéiques pour démontrer l’association du complexe ARNm/protéine. L’analyse de l’activité luciférase a permis d’identifier une séquence de 200 pb située entre 926 et 1134 pb de la région 3'UTR de l’ARNm CYP19A1 qui a réduit significativement l’activité de la luciférase. Selon les analyses de la réaction croisée au UV, une ou plusieurs protéines de 66 et 80 kDA se lient spécifiquement à la séquence de 200 pb qui réduit l’activité de luciférase. Cette protéine s'exprime dans les cellules de granulosa, mais n’a pas été détectée dans d'autres tissus comme le foie et le cœur. Par ailleurs, l’utilisation du gène rapporteur sensible à la FSH a suscité l’intérêt d'une compagnie pharmaceutique qui vend de l’equine chorionic gonadotropin (eCG) pour lui permettre de distinguer facilement l’eCG ayant une forte activité FSH et donc, avoir un produit commercial plus efficace et de meilleure qualité. Dans cette étude, nous avons développé un système de bioessai à la FSH basé sur la transfection des cellules avec un récepteur à la FSH et un gène rapporteur colorimètrique qui permet d’estimer l’activité de la FSH dans le sérum de la jument et qui pourrait être applicable au niveau de la ferme/industrie.
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Au cours des dernières années, une sélection génétique importante a été faite pour améliorer la production de lait des bovins, ceci au détriment des performances reproductives. Cette diminution de performance n’a cependant pas été rapportée chez la génisse présentant un même potentiel génétique. Cette immense production de lait et les changements métaboliques qui l’accompagnent ont donc un impact négatif sur l’efficacité reproductive des vaches laitières qui subissent un stress métabolique supérieur à celui des génisses. Le but de l’étude était d’acquérir une meilleure connaissance des différences moléculaires et métaboliques entre ces deux groupes d’animaux pour amener à une meilleure compréhension de la pathogenèse de l’infertilité chez la vache laitière. Pour ce faire, les vagues folliculaires de vaches en lactation (30-50 jours en lait; N = 12) et de génisses (N = 10) ont été synchronisées par ablation écho guidée des follicules et par traitement hormonal avec injection de prostaglandine et insertion d’un implant de progestérone. L’aspiration du liquide folliculaire et des cellules de la granulosa du follicule dominant a été faite au jour 6. Les paramètres métaboliques mesurés chez les animaux à partir de prises de sang, faites au jour 6, confirment un plus grand stress métabolique chez la vache, les niveaux de BHBA, acides biliaires et cholestérol étant plus élevés et le niveau de glucose plus bas chez celles-ci. Un total de six échantillons a été utilisé pour le séquençage d’ARN et des analyses bio-informatiques ont été effectuées. Plusieurs gènes et voies de signalisation ont présenté des différences entre les deux groupes d’animaux incluant le cycle cellulaire et la production d’hormones. Une confirmation des résultats par PCR en temps réel a été faite, mais la grande variation intragroupe a nui à l’obtention de résultats significatifs. Conjointement, une culture primaire de cellules de la granulosa a été réalisée pour évaluer l’effet des acides biliaires sur la stéroïdogenèse suite à la détection d’une plus grande quantité de ceux-ci chez la vache laitière. La présence d’acide biliaire dans la culture cellulaire cause une diminution de l’accumulation d’estradiol ainsi que de l’expression des gènes CYP19A1 et CYP11A1. Les résultats présentés dans ce mémoire indiquent une différence potentielle au niveau métabolique et moléculaire des follicules dominants entre la vache laitière et la génisse pouvant avoir une responsabilité dans la diminution de l’efficacité reproductive observée chez la vache laitière.
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El vello facial no deseado es un problema común en las mujeres, los tratamientos láser han mostrado efectividad para su manejo. Objetivo: Evaluar los resultados de la depilación láser en cara de las pacientes tratadas a largo plazo (20 sesiones o más ) luego de un seguimiento de 6 meses durante los años 1997 y 2012. Metodología: 55 mujeres que con tipo de piel II a V recibieron 20 o más sesiones de láser con seguimiento mayor a 6 meses posterior al la última sesión. Resultados: la edad promedio fue (32 ± 9,3 años), el 18,2 % presentaban SOP o Hiperandrogenismo el número de sesiones en cara fue de (30,84 ± 12,132), un promedio de disparos de (6,330 ± 7,804), los Kilojulios acumulados tuvieron un promedio de (126,5 ± 161,4) la fluencia promedio fue (18,5 ± 3,2 Julios/cm2), el láser de Alexandrita fue utilizado en el 98% de las pacientes. Se encontró cambios significativos entre el conteo inicial y el final de vello facial (484,9 ± 568.9 (med=300) vs. 103,33± 138,63 (med=60), p<0.001, Test de Wilcoxon). El 32.7% mostraron reducción > 90% (5,5% reducción del 100%). Conclusión : El tratamiento con de depilación con láser mostro una reducción significativa del vello facial, en mujeres mayores de 14 años con un tratamiento a largo plazo (20 sesiones o más), con una tasa de reducción mayor del 90% en 32.7% de las pacientes y un promedio de reducción del grupo de 79,36 ±15,51 %, similar a lo reportado en los diferentes estudios (77%).
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La prevalencia de la Pérdida de Cabello de Patrón Femenino (FPHL) aumenta con la edad y no ha sido documentada en la población latinoamericana. Este estudio describe la prevalencia y variables asociadas a la FPHL en una consulta Dermatológica. Métodos: Estudio descriptivo en 99 mujeres mayores de 18 años asistentes a consulta dermatológica con diagnóstico de FPHL. Se realizó una prueba piloto en 22 pacientes, y posteriormente se analizaron los datos de las 99 pacientes acorde a la clasificación de Ludwig, edad, comorbilidades y alteraciones del estado del ánimo. Resultados: La prevalencia estimada de FPHL fue de 20.84%. 43,4% de las pacientes estudiadas pertenecen a edades entre 31 a 49 años; el 50,5% fueron diagnosticadas con FPHL grado II. El 62,6% tienen algún antecedente médico de importancia. El 54,4% manifestaron alguna alteración del estado del ánimo. La totalidad de las pacientes con Grado III tuvieron algún antecedente médico de importancia (ORP= 1,14 IC95% (1; 1,26) (p < 0,05)). De las pacientes con Grado II, el 61,1% presentaron alguna alteración secundaria del estado del ánimo (ORP=2,58 IC95% (1,14; 5,84) (p<0,05)). Conclusiones: Debido al aumento de la FPHL en la población colombiana la cual conlleva a múltiples gastos del sistema salud, se hacen necesarios más estudios con el fin de caracterizar la enfermedad. Se recomienda un estudio con un mayor marco muestral con el fin de caracterizar la prevalencia y las variables relacionadas con la FPHL en toda la población Colombiana.
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La infertilidad afecta en la actualidad a aproximadamente 1 de cada 7 parejas a nivel mundial. La falla ovárica prematura (FOP) es una condición común en la población femenina, afectando al 1% de mujeres menores de 40 años. La etiología de la FOP es idiopática entre el 50% y el 80% de los casos, lo que sugiere causas genéticas, epigenéticas y ambientales aún desconocidas. A pesar de los avances en las técnicas de cartografía genética y de sistematización de la técnica de Sanger, pocos genes etiológicos de FOP fueron identificados en los últimos 20 años. Este fracaso relativo se asoció principalmente a que cientos de genes, que abarcan grandes regiones del genoma, son candidatos pero la técnica de secuenciación directa sólo permite el análisis de unas 700bp en cada reacción. En el presente trabajo se empleó la secuenciación de siguiente generación (NGS) para la búsqueda de mutaciones en 70 genes candidatos que potencialmente contribuyen con el desarrollo de la patología. Se identificaron mutaciones en 3 de 12 pacientes. La paciente POF-7 presentaba una mutación no sinónima en el gen ADAMTS19 (c.2828C>T, p.Thr943Ile). La proteína ADAMTS19 se clasifica dentro de la familia ADAMTS como huérfana ya que no se ha identificado su sustrato. Mediante el sistema de doble hibrido en levaduras se buscó identificar las potenciales proteínas que interactúan con ADAMTS19. Permitió identificar, a partir de las versiones murinas, la interacción de Adamts19 y Col6a2. Para comprobar la interacción entre las proteínas ADAMTS19 y COL6A2 humanas se empleó el sistema de doble hibrido en células eucariotas. Los hallazgos no permitieron replicar los resultados obtenidos previamente. En síntesis de identificó una mutación potencialmente causal de FOP en un gen nuevo y una muy probable interacción entre ADAMTS19 y COL6A2.
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The mechanisms whereby the high variation in numbers of morphologically healthy oocytes and follicles in ovaries (ovarian reserve) may have an impact onovarian function, oocyte quality, and fertility are poorly understood. The objective was to determine whether previously validated biomarkers for follicular differentiation and function, as well as oocyte quality differed between cattle with low versus a high antral follicle count (AFC). Ovaries were removed (n = 5 per group) near the beginning of the nonovulatory follicular wave, before follicles could be identified via ultrasonography as being dominant, from heifers with high versus a low AFC. The F1, F2, and F3 follicles were dissected and diameters determined. Follicular fluid and thecal, granulosal, and cumulus cells and the oocyte were isolated and subjected to biomarker analyses. Although the size and numerous biomarkers of differentiation, such as mRNAs for the gonadotropin receptors, were similar, intrafollicular concentrations of estradiol and the abundance of mRNAs for CYP19A1 in granulosal cells and ESR1, ESR2, and CTSB in cumulus cells were greater, whereas mRNAs for AMH in granulosal cells and TBC1D1 in thecal cells were lower for animals with low versus a high AFC during follicle waves. Hence, variation in the ovarian reserve may have an impact on follicular function and oocyte quality via alterations in intrafollicular estradiol production and expression of key genes involved in follicle-stimulating hormone action (AMH) and estradiol (CYP19A1) production by granulosal cells, function and survival of thecal cells (TBC1D1), responsiveness of cumulus cells to estradiol (ESR1, ESR2), and cumulus cell determinants of oocyte quality (CTSB).
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Bone morphogenetic proteins (BMPs) and their receptors are expressed in ovarian theca cells (TC) and granulosa cells (GC) and BMPs have been implicated in the regulation of several aspects of follicle development including thecal androgen production and granulosal oestrogen production. Their potential involvement in luteal function has received less attention. in this study, we first compared relative abundance of mRNA transcripts for BMPs, activin-beta A and BMP/activin receptors in bovine corpus luteum (CL) and follicular theca and granulosa layers before undertaking functional in vitro experiments to test the effect of selected ligands (BMP6 and activin A) on luteinizing bovine TC and GC. Relative to P-actin transcript abundance, CL tissue contained more BMP4 and -6 mRNA than granulosa, more BMP2 mRNA than theca but much less activin-beta A mRNA than both granulosa and theca. Transcripts for all seven BMP/activin receptors were readily detected in each tissue and two transcripts (BMPRII, ActRIIA) were more abundant in CL than either theca or granulosa, consistent with tissue responsiveness. In vitro luteinization of TC and GC from antral follicles (4-6 mm) was achieved by culturing with 5% serum for 6 days. Treatment with BMP6 (0, 2, 10, and 50 ng/ml) and activin A (0, 2, 10 and 50 ng/ml) under these conditions dose-dependently suppressed forskolin-induced progesterone (P-4) secretion from both cell types without affecting cell number. BMP6 reduced forskolin-stimulated upregulation of STAR mRNA and raised 'basal' CYP17A1 mRNA level in theca-lutein cells without affecting expression of CYP11A1 or hydroxy-Delta-5-steroid dehydrogenase, 3 beta- and steroid Delta-isomerase 1 (HSD3B1). In granulosa-lutein cells, STAR transcript abundance was not affected by BMP6, whereas forskolin-induced expression of CYP11A1, HSD3B1, CYP19A1 and oxytocin transcripts was reduced. In both cell types, follistatin attenuated the suppressive effect of activin A and BMP6 on forskolin-induced P4 secretion but had no effect alone. Granulosa-lutein cells secreted low levels of endogenous activin A (similar to 1 ng/ml); BMP6 reduced this, while raising follistatin secretion thus decreasing activin A:follistatin ratio. Collectively, these findings support inhibitory roles for BMP/activin signalling in luteinization and steroidogenesis in both TC and GC.
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With the purpose of eliciting a superovulatory response, 12 adult nulliparous Boer goat does were actively immunized against a recombinant a-subunit of ovine inhibin (roIHN-alpha; two injections of 100 mg 4 weeks apart). Another 12 control Boer goat does were treated with physiological saline and acted as controls. One year later the immunized animals were boostered by the administration of another dose (100 mg) of the immunogen. Following treatment, blood samples were collected twice weekly for the periods of 16 and 12 weeks, respectively, to monitor the inhibin binding ability with the aid of a radio-tracer binding assay. Throughout the experiment, estrus detection was conducted twice daily with the aid of an aproned intact buck. From the first day after treatment to 48 h after standing estrus, ovarian activity was monitored daily by transrectal ultrasonography. On alternate estrous cycles, does were mated and 6 days later flushed transcervically to recover embryos. All goats treated with the roIHN-alpha produced antibodies reactive to the native bovine inhibin tracer-the titre increasing from 2.9 +/- 0.4 to a maximum of 21.9 +/- 2.9% binding after the second injection. The antibody titre gradually subsided over the next 16 weeks. The booster injection restored an elevated antibody titre (11.7 +/- 0.4%), which was maintained until the end of the sampling period 12 weeks later. In the control goats only trace amounts of antibody were recorded throughout the trial. In the roIHN-alpha-immunized goats the number of follicles reaching a diameter of > 4 mm was 14.6 +/- 1.2 per doe. A positive correlation was recorded between the follicle number and antibody titre (r=0.61; P < 0.01). The number of follicles ovulating per doe (6.9 +/- 0.7) followed the same tendency-however, the proportion decreased with increasing follicle numbers. A relatively weak correlation was recorded between the inhibin binding ability and number of ovulations (r=0.27; P < 0.05). In the control goats the majority (92%) of follicles exceeding 4 mm in diameter ovulated (2.5 +/- 0.1 follicles/doe). Embryo collection proved unsatisfactory (42% versus 39% recovery for immunized and control animals, respectively)-presumably because the uterine lumen of the nulliparous does was too narrow to permit effective flushing. In the group of immunized goats the occurrence of short estrous cycles (< 15 days) recorded was 34% versus only 6% in the controls. Overall, immunization of goats against roIHN-alpha led to an almost six-fold increase in number of ovarian follicles, a three-fold increase in ovulations and, despite the low recovery rate, a more than three-fold increase in ova or embryos recovered. It may be concluded that treatment of female goats with roIHN-alpha leads to an inhibin antibody response, accompanied by enhanced ovarian activity. The response was, however, accompanied by a large proportion of retained follicles and a high incidence of short estrous cycles. These problems need to be further investigated before rendering the method fit for application in embryo transfer programs in goats. (C) 2007 Elsevier B.V. All rights reserved.
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BACKGROUND: The intracellular signalling mechanisms that regulate ovarian follicle development are unclear; however, we have recently shown differences in the Akt and Erk signalling pathways in dominant compared to subordinate follicles. The aim of this study was to investigate the effects of inhibiting Akt and Erk phosphorylation on IGF- and gonadotropin- stimulated granulosa and theca cell function in vitro, and on follicle development in vivo. METHODS: Bovine granulosa and theca cells were cultured for six days and stimulated with FSH and/or IGF, or LH in combination with PD98059 (Erk inhibitor) and/or LY294002 (Akt inhibitor) and their effect on cell number and hormone secretion (estradiol, activin-A, inhibin-A, follistatin, progesterone and androstenedione) determined. In addition, ovarian follicles were treated in vivo with PD98059 and/or LY294002 in ewes on Day 3 of the cycle and follicles were recovered 48 hours later. RESULTS: We have shown that gonadotropin- and IGF-stimulated hormone production by granulosa and theca cells is reduced by treatment with PD98059 and LY294002 in vitro. Furthermore, treatment with PD98059 and LY294002 reduced follicle growth and oestradiol production in vivo. CONCLUSION: These results demonstrate an important functional role for the Akt and Erk signalling pathways in follicle function, growth and development.
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Ovarian follicle development is regulated through endocrine and local mechanisms. Increasing evidence indicates roles for transforming growth factor beta superfamily members, including inhibins and activins. We recently identified divergent expression of mRNAs encoding activin receptors (ActR) and inhibin co-receptor betaglycan in chicken follicles at different stages of maturation. Here, we compare the actions of LH and FSH (0, 1, 10, 100 ng/ml) on levels of mRNA for ActRI, ActRIIA, ActRIIB and betaglycan in chicken granulosa and theca cells (GC and TC) from preovulatory (F1) and prehierarchical (6-8 mm) follicles. The expression of mRNAs for LH-R and FSH-R and production of inhibin A, oestradiol and progesterone were also quantified. FSH decreased ActRIIB and ActRI mRNA levels in 6-8 mm GC, whereas LH increased the mRNA levels. Both LH and FSH enhanced ActRIIA (5- and 8.5-fold) and betaglycan mRNA expression (2- and 3.5-fold) in 6-8 mm GC. In 6-8 mm TC, LH and FSH both increased the betaglycan mRNA level (7- and 3.5-fold respectively) but did not affect ActRI, ActRIIA and ActRIIB transcript levels. In F1 GC, both LH and FSH stimulated ActRI (2- and 2.4-fold), ActRIIB (3.2- and 2.7-fold) and betaglycan (7- and 4-fold) mRNA levels, while ActRIIA mRNA was unaffected. In F1 TC, LH and FSH reduced ActRIIA (35-50%) and increased (4.5- and 7.6-fold) betaglycan mRNA, but had no effect on ActRI and ActRIIB transcript levels. Results support the hypothesis that expression of ActR and betaglycan are differentially regulated by gonadotrophins during follicle maturation in the hen. This may represent an important mechanism for fine-tuning follicle responsiveness to local and systemic activins and inhibins.
Resumo:
Ovarian follicle development is primarily regulated by an interplay between the pituitary gonadotrophins, LH and FSH, and ovary-derived steroids. Increasing evidence implicates regulatory roles of transforming growth factor-beta (TGF beta) superfamily members, including inhibins and activins. The aim of this study was to identify the expression of mRNAs encoding key receptors of the inhibin/activin system in ovarian follicles ranging from 4 mm in diameter to the dominant F1 follicle (similar to 40 turn). Ovaries were collected (n=16) from inid-sequence hens maintained on a long-day photoschedule (16h of light:8 h of darkness). All follicles removed were dissected into individual granulosa and thecal layers. RNA was extracted and cDNA synthesized. Real-time quantitative PCR was used to quantify the expression of niRNA encoding betaglycan, activin receptor (ActR) subtypes (type-I, -IIA and -IIB) and glyceraldehyde-3-phosphate dehydrogenase (GAPDH); receptor expression data were normalized to GAPDH expression. Detectable levels of ActRI, -IIA and -IIB and the inhibin co-receptor (betaglycan) expression were found in all granulosa and thecal layers analysed. Granulosa ActRI mRNA peaked (P < 0(.)05) in 8-9(.)9 mm follicles, whereas ActRIIA rose significantly from 6-7(.)9 mm to 8-9(.)9 nun, before filling to F3/2; levels then rose sharply (3-fold) to F1 levels. Granulosa betaglycan niRNA expression rose 3-fold from 4-5(.)9 min to 8-9(.)9 mm, before falling 4-fold to F3/2; levels then rose sharply (4-fold) to F1 levels. ActRIIB levels did not vary significantly during follicular development. Thecal ActRI mRNA expression was similar from 4-7(.)9 mm then decreased significantly to a nadir at the F4 position, before increasing 2-fold to the F1 (P < 0(.)05). Although thecal ActRIIB and -IIA expression did not vary significantly from 4 nim to F3, ActRIIB expression increased significantly (2-fold) from F3 to F1 and ActIIA, increased 22-fold from F2 to F1 (P < 0(.)05). Thecal betaglycan fell to a nadir at F6 after follicle selection; levels then increased significantly to F2, before filling similar to 50% in the F I. In all follicles studied expression of betaglycan and ActRI (granulosa: 1-0(.)65, P < 0-001, n=144/group; theca: r=0(.)49, P < 0-001, n=144/group) was well correlated. No significant correlations were identified between betaglycan and ActRIIA or -IIB. Considering all follicles analysed, granulosa mRNA expression of betaglycan, ActRI ActRIIA and ActRIIB were all significantly lower than in corresponding thecal tissue (betaglycan, 11(.)4-fold; ActRIIB, 5(.)1-fold; ActR(.) 3-8-fold: ActRIIA, 2(.)8-fold). The co-localization of type-I and -II activin receptors and betaglycan on granulosa and thecal cells are consistent with a local auto/paracrine role of inhibins and activins in modulating ovarian follicle development, selection and progression in the domestic fowl.