188 resultados para Universalism
Resumo:
Basado en elementos de la filosofía clásica, el common sense británico y la Escuela de Frankfurt, el autor postula un sentido común guiado críticamente, que serviría para evaluar las tendencias históricas y los modelos de modernización en el Tercer Mundo. Evitando extremos, este teorema rechazaría tanto las pretensiones de verdad de muchos enfoques racionalistas como el relativismo epistemológico y ético. La existencia de leyes y etapas obligatorias de la historia es uno de esos extremos; otro es la opción teórica que afirma que los modelos culturales son incomparables e inconmensurables entre sí. La existencia de un solo paradigma normativo-positivo de desarrollo es insostenible, pero igualmente la posición que decreta la diversidad e incomparabilidad totales de los regímenes civilizatorios. Es conveniente adoptar una línea intermedia entre universalismo y particularismo y alcanzar una síntesis fructífera de ambos.
Resumo:
La articulación entre las políticas de empleo y las políticas sociales condicionan la percepción subjetiva de incertidumbre los individuos. El modelo de mercado laboral tiene un peso determinante en la percepción de incertidumbre. El empleo en sí mismo ya no es suficiente garantía de ingresos seguros. El empleo a tiempo parcial y los contratos temporales generan una creciente demanda de políticas de redistribución de los ingresos en los países del Sur y Este de Europa. En los países escandinavos los mismos tipos de contratos laborales generan menos desigualdad porque el empleo público contribuye a generar un “círculo virtuoso” que favorece las políticas de igualdad y la conciliación entre la vida laboral y familiar. A nivel individual las actitudes pro-redistributivas las impulsan las mujeres, aquellas personas con incertidumbre en sus ingresos económicos y con bajo nivel de estudios. Por el contrario, quienes más confían en el éxito individual y el mérito son los jóvenes con estudios universitarios y aquellos que perciben ingresos económicos altos.
Resumo:
Muchos estudios encuentran un efecto del origen social sobre la ocupación y el salario incluso tras controlar la educación. Este efecto, que suele ser pequeño, puede ser un artificio resultante del deficiente control de la educación. Este trabajo examina la importancia de controlar en detalle la educación desagregando las carreras universitarias. Estudiamos el clasismo del mercado de trabajo para una promoción de titulados en Ciencias Sociales y Humanidades de la Universidad Complutense de Madrid (UCM) en los seis años entre su graduación en 1997 y 2003. Esta es la fecha de la encuesta gracias a la cual podemos medir la influencia del status social de los padres sobre las oportunidades de empleo de los hijos no con título universitario en general, sino con el mismo título universitario. Encontramos que la influencia del origen social sobre la clase profesional y los ingresos disminuye mucho cuando se controlan las titulaciones, y que no se observa en la mayor parte de ellas, pero sí en algunas, en concreto Políticas y Sociología y Económicas. Esta concreción allana el camino para investigar las vías por las que esta influencia se produce.
Resumo:
This paper begins by outlining and critiquing what we term the dominant anglophone model of neo-liberal community safety and crime prevention. As an alternative to this influential but flawed model, a comparative analysis is provided of the different constitutional-legal settlements in each of the five jurisdictions across the UK and the Republic of Ireland (ROI), and their uneven institutionalization of community safety. In the light of this it is argued that the nature of the anglophone community safety enterprise is actually subject to significant variation. Summarizing the contours of this variation facilitates our articulation of some core dimensions of community safety. Then, making use of Colebatch’s (2002) deconstruction of policy activity into categories of authority and expertise, and Brunsson’s (2002) distinction between policy talk, decisions and action, we put forward a way of understanding policy activity that avoids the twin dangers of ‘false particularism’ and ‘false universalism’ (Edwards and Hughes, 2005); that indicates a path for further empirical enquiry to assess the ‘reality’ of policy convergence; and that enables the engagement of researchers with normative questions about where community safety should be heading.
Resumo:
Si le Marx de Michel Henry reconduit plusieurs thèses développées dans les écrits antérieurs et anticipe celles de « la trilogie » sur le christianisme, le dialogue qu’il instaure autour du thème de la praxis lui confère un statut singulier dans l’ensemble de l’oeuvre. Parce que Marx attribue à la pratique de l’individu et aux rapports réels entre les pratiques le pouvoir de créer les idéalités, notamment celle de la valeur, Henry est lui-même conduit à déplacer le champ d’immanence qu’il avait jusque-là situé du côté de l’ego et du corps vers la pratique et le système du travail vivant aux prises avec le monde objectif. Or du point de vue d’une phénoménologie matérielle, pour autant qu’il renvoie à un point de vue extérieur à la stricte immanence, le seul usage de la notion d’« individu » manifeste déjà une prise en compte de « la transcendance », poussant Henry à suspendre pour une part l’approche phénoménologique. Même si l’acosmisme de L’essence de la manifestation transparait encore dans le Marx, il est mis en tension extrême avec le monde des déterminations sociales et économiques et contraint l’auteur à développer la thèse de l’enracinement de ces déterminations dans l’immanence de la vie et de la praxis. C’est en même temps ce qui fait la force et l’originalité de la lecture henryenne de Marx. D’un autre côté, quand bien même elle hérite d’une éthique de la praxis, la trilogie semble perdre de vue la stricte individualité de la praxis qui apparaît dans le Marx. C’est ainsi que le concept de Vie Absolue qu’elle promeut est associé à une exigence d’universel que Henry avait préalablement disqualifiée, notamment à travers sa critique de Hegel. La thèse qu’on va lire cherche ainsi à rendre compte de l’originalité absolue du Marx dans l’oeuvre du phénoménologue français.
Resumo:
In the early twenty-first century, jazz has a history in Japan of approximately 100 years. In contemporary Tokyo, Japanese musicians demonstrate their right to access jazz performance through a variety of musical and extra-musical techniques. Those accepted as fully professional and authentic artists, or puro, gain a special status among their peers, setting them apart from their amateur and part-time counterparts. Drawing on three months of participant-observation in the Tokyo jazz scene, I examine this status of puro, its variable definition, the techniques used by musicians to establish themselves as credible jazz performers, and some obstacles to achieving this status. I claim two things: first, aspiring puro musicians establish themselves within a jazz tradition through musical references to African American identity and a rhetoric of jazz as universal music. Second, I claim that universalism as a core aesthetic creates additional obstacles to puro status for certain musicians in the Tokyo scene.
Resumo:
Le Paradoxe de la redistribution de Walter Korpi et Joakim Palme (1998) postule que les États-providences qui ont des dépenses sociales moins ciblées redistribuent davantage. Ive Marx, Lina Salanauskaite et Gerlinde Verbist (2013) ont toutefois constaté que le paradoxe démontré grâce à une corrélation entre un indice de redistribution et un indice de ciblage des dépenses sociales n'était plus valide dans les années 2000. En reproduisant les corrélations, il apparaît que l'augmentation importante du ciblage dans des pays qui redistribuent beaucoup comme le Danemark et la Suède est la principale cause de la disparition de la corrélation entre redistribution et ciblage. Lors des crises économiques dans les années 1980 et 1990, les prestations maximales déjà relativement faibles ainsi que la volonté de maintenir les prestations minimums et les taux de remplacement de la part des partis sociaux-démocrates ont poussé les gouvernements danois et suédois à réduire les prestations maximales afin de limiter l’augmentation des dépenses, augmentant ainsi le ciblage des dépenses sociales tout en préservant le caractère universel des programmes. L’augmentation du ciblage des dépenses sociales n’a pas eu d’effets négatifs sur la redistribution particulièrement au Danemark où la redistribution a augmenté et les inégalités diminué entre la fin des années 80 et le milieu des années 2000.
Resumo:
Le Paradoxe de la redistribution de Walter Korpi et Joakim Palme (1998) postule que les États-providences qui ont des dépenses sociales moins ciblées redistribuent davantage. Ive Marx, Lina Salanauskaite et Gerlinde Verbist (2013) ont toutefois constaté que le paradoxe démontré grâce à une corrélation entre un indice de redistribution et un indice de ciblage des dépenses sociales n'était plus valide dans les années 2000. En reproduisant les corrélations, il apparaît que l'augmentation importante du ciblage dans des pays qui redistribuent beaucoup comme le Danemark et la Suède est la principale cause de la disparition de la corrélation entre redistribution et ciblage. Lors des crises économiques dans les années 1980 et 1990, les prestations maximales déjà relativement faibles ainsi que la volonté de maintenir les prestations minimums et les taux de remplacement de la part des partis sociaux-démocrates ont poussé les gouvernements danois et suédois à réduire les prestations maximales afin de limiter l’augmentation des dépenses, augmentant ainsi le ciblage des dépenses sociales tout en préservant le caractère universel des programmes. L’augmentation du ciblage des dépenses sociales n’a pas eu d’effets négatifs sur la redistribution particulièrement au Danemark où la redistribution a augmenté et les inégalités diminué entre la fin des années 80 et le milieu des années 2000.