La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1906/03/25 (A1,N3).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/02/25 (A3,N2).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/06/25 (A3,N10).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1906/06/25 (A1,N4).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/11/10 (A4,N2).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/03/10 (A3,N3).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/12/25 (N4,N3).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1906/02/17 (A1,N1).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/08/25 (A3,N14).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/09/10 (A3,N15).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/07/10 (A3,N11).

La Vie théâtrale, artistique et mondaine : revue illustrée de l'art au théâtre

1908/07/25 (A3,N12).

« Li Abrejance de l'ordre de chevalerie... par... VEGECE FLAIVE », traduction par « JEHAN PRIORAT ».

Commençant par : « Li premiers livres nos ensoingne, Vegeces Flaives le tesmoingne... » et finissant par : « Que Dex le traie à bone fin. Ici mon livre vos defin. Amen. Expliciz li romanz de chevalerie » .

« Li Abregemens de tres noble homme VEGECE des establissemens apartenans à chevalerie », traduction faite en 1284 pour Jean de Brienne Ier, comte d'Eu, par « JEHAN DE MEUN ».

Commençant par : « Li ancien ont esté coustumier de metre en escript les choses qu'ils penssoient qui fussent bonnes à savoir... » et finissant par : «... car li usages et li hanteis de chascun jour trueve plus de l'art en ces choses que l'ancienne doctrine ne nous en a moustré » .

« L'Abregemens de noble homme VEGECE FLAVE », ou « Des establissemens appartenans à chevalerie », traduction [de JEAN DE MEUNG].

Commençant par : « Les anciens ont esté coustumiers de meitre en escript les choses qu'ilz pensoient qui fussent bonnes à savoir... » et finissant par «... car li usaiges et le hanteis de chascun jour trueuve plus d'art en ces choses que l'ancienne doctrine ne nous en a monstré » .