924 resultados para Social-relations
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Ce mémoire s’attarde aux pratiques de lecture de lectrices du Échos Vedettes, magazine à potins québécois qui fête ses cinquante ans de publication en 2013. Cinq dimensions permettent de cerner et comprendre ces pratiques de lecture. Les trois premières prennent la forme d’un système composé de trois économies distinctes: l’économie spatio-temporelle, l’économie sociale et l’économie textuelle. Les répertoires de lecture ainsi que l’omniprésence de la photographie sont les deux dernières dimensions. Les données ont été recueillies dans le cadre d’entrevues individuelles de 6 lectrices régulières, recrutées par la méthode dite de « boule de neige ». L’analyse a, entre autres, permis de distinguer trois états que le Échos Vedettes incarne selon les moments, son rôle et son utilisation : une marchandise, un objet et un contenu. Les relations sociales entre femmes, les répertoires, la photographie ainsi que la ritualisation sont les principaux éléments qui caractérisent les pratiques de lecture des lectrices du Échos Vedettes. Ce sont des pratiques qui relèvent de l’amateur et de l’attachement à ce magazine à potins. Cette recherche a également mis en lumière les relations paradoxales de proximité, physique et
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L’objectif principal de ce mémoire est d’identifier les antécédents organisationnels de la supervision abusive. Alors, un modèle intégrant la culture organisationnelle a été élaboré. Les données primaires recueillies par l’Équipe de Recherche sur le Travail et la Santé Mentale (l’ERTSM) auprès de 2162 employés de 63 établissements au Québec de septembre 2009 à mai 2012 ont permis de tester nos hypothèses. Les analyses multiniveaux réalisées corroborent une relation significative entre la culture organisationnelle et la supervision abusive. Les résultats ont montré que la culture de performance est positivement reliée à la supervision abusive contrairement à la culture de relations sociales. Aussi, ces analyses révèlent que certains subordonnés seraient plus enclins à rapporter de la supervision abusive que d´autres. Enfin, d’autres caractéristiques organisationnelles comme la taille de l’établissement pourraient être associées à la supervision abusive.
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Manifestation du processus de rationalisation capitaliste contemporain, la gestion des ressources humaines s’est largement développée et diffusée comme paradigme d’organisation des relations sociales au sein de l’entreprise, mais aussi à l’extérieur de celle-ci. En m’appuyant sur l’étude Les employés de Siegfried Kracauer (2004 [1931]) ayant mis en lumière les effets de la rationalisation de l’entreprise moderne sur les traits de mentalités des employés dans les années 1920, je propose de me pencher sur les employés en gestion des ressources humaines aujourd’hui. Plus précisément, c’est la tension dont ils sont à la fois les porteurs et les objets qui constitue le coeur de ce mémoire. Cette tension lie la fonction particulière que ces employés sont appelés à jouer dans l’entreprise et leur propre condition comme employé. Ainsi, c’est par la constitution de rapports à la tension sous une forme idéaltypique— propre à l’approche wébérienne — que ce mémoire propose d’appréhender la condition des employés en gestion des ressources humaines. L’interprétation des rapports à la tension et à la pratique professionnelle de ces employés, à l’aune de quatre idéaltypes construits à cette fin (le sous-officier comptable, le sous-officier sportif, celle qui prend sur soi et le synthétique), permet de mettre en lumière des dilemmes qu’ils sont enclins à vivre, dilemmes inhérents à leur condition d’employés dans le monde rationalisé.
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Cette thèse part du postulat que la crise du syndicalisme résulte d’une remise en cause des identités collectives ayant légitimé jusque dans les années 70 leur représentation des travailleurs. En témoignent les mobilisations, qui se déroulent souvent en dehors des syndicats et de façon conflictuelle avec eux, de travailleuses et travailleurs longtemps minorés par les arrangements institutionnels prévalant avec la société salariale. Différents travaux dans le renouveau syndical relèvent de leur côté que les syndicats peinent à prendre en compte les besoins et aspirations de ces travailleurs car leur identité collective les entraîne à rester dans les sentiers des orientations et représentations institutionnalisées. Cependant, les auteurs se focalisent sur la façon dont le syndicalisme, et en particulier les leaders, peuvent reconstruire une représentation des travailleurs, et non sur la façon dont les identités collectives se transforment. Les études sur le syndicalisme héritent d’un débat sur les mouvements sociaux qui a abouti à scinder les approches théoriques entre celles conceptualisant les identités collectives, mais dans le cadre de théorisations contestables de l’évolution des sociétés, et celles qui sous-théorisent les identités collectives et considèrent que les mouvements sociaux émergent des processus politique et de la mobilisation des ressources. Les travaux sur le renouveau syndical reprennent généralement cette seconde approche et assimilent les mouvements de travailleurs à des organisations en considérant, implicitement, les buts de l’action collective comme donné. Or, un mouvement social est un concept ; il n’est pas réductible à une organisation, au risque sinon de perdre sa valeur heuristique, qui est de chercher à saisir les identités collectives en conflit et les stratégies associées. À partir de l’étude du cas du mouvement de travailleurs dans l’économie solidaire brésilienne, cette thèse questionne donc le « pourquoi de nouvelles identités collectives de travailleurs émergent » et le « comment ou le pourquoi des identités syndicales se transforment ou se reproduisent », lorsqu’elles sont confrontées à l’émergence de nouvelles façons de définir les dominations à combattre et les orientations. Les identités collectives sont opérationnalisées comme des matrices cognitives et normatives, ce qui permet de rendre compte de leur caractère évolutif en fonction des modalités d’interaction. L’étude de cas met en évidence que les mobilisations autonomes des travailleurs minorés sont porteuses de nouvelles définitions des problèmes et de pratiques sociales transformatrices, qui entrent en conflit avec les significations et les pratiques syndicales institutionnalisées. Elle montre que c’est à la suite d’interactions délibératives entre ces travailleurs et les syndicalistes que les identités syndicales se transforment. Cependant, la reconstitution des trajectoires de deux syndicats (de la principale centrale brésilienne) indique que le fait d’entrer dans de telles interactions ne dépend pas d’une décision rationnelle, mais de la perception (de la part des syndicats) des capacités des travailleurs à transformer le rapport au travail et au monde lorsqu’ils agissent collectivement. Un dernier résultat, corollaire, tient dans la falsification de l’hypothèse – défendue par une partie de la littérature sur le renouveau syndical – selon laquelle les syndicats, et en particulier les leaders, peuvent conduire une transformation de la représentation collective en procédant eux-mêmes à une agrégation des multiples identités collectives. Cette hypothèse, qui revient à considérer le but de l’action collective comme donné, est contredite par les données : elles montrent que, dans un tel cas, s’il y a bien des innovations institutionnelles conduites par le syndicat, ces innovations favorisent l’adaptation du syndicalisme aux mutations du capitalisme et non la transformation des rapports sociaux de domination, parce que prédominent alors les liens sociaux avec les groupes dominants, c’est-à-dire les interprétations cognitives dominantes des problèmes.
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Une multitude de gens, au XXe siècle, se sont servis de la psychanalyse pour se rendre compte de leurs faits et gestes. En s’appuyant ainsi sur la psychanalyse, ils démontraient la profondeur de la confiance qu’ils lui accordaient. Cette diffusion ample et profonde, qui a laissé une empreinte très marquée sur la culture contemporaine, demeure largement inexpliquée. Ce phénomène étonnant devient intelligible dès lors qu’on aborde la psychanalyse comme une grammaire de l’intériorité, qui a guidé des interactions en les médiatisant par des symboles et des significations communes (normes, valeurs, etc.) propres aux sociétés démocratiques contemporaines (celles qui se conçoivent comme émanant d’un accord entre individus). Cette pratique sociale, l’enquête psychanalytique, peut être analysée en situant dans leurs contextes d’interactions les discours dans lesquels des désirs refoulés étaient imputés à différentes conduites. L’œuvre de Freud offre un échantillon de tels discours. La description de la forme et du sens que ces imputations de désirs refoulés conféraient à différentes interactions en cours nous permet d’identifier les traits caractéristiques de l’enquête psychanalytique. Freud montre que le refoulement naît d’un conflit entre une volonté présociale refoulée et une volonté socialisée, refoulante, née des exigences inculquées par l’autorité parentale. Pour identifier un désir refoulé, il faut donc simultanément identifier une relation refoulante. L’enquête psychanalytique amène à passer en revue les différentes relations interpersonnelles et intrapersonnelles dans lesquelles est impliqué l’auteur du refoulement. Cet exercice permet de départager les relations qui contraignent la volonté intérieure présociale à des exigences sociales de celles qui, en sens inverse, émanent de cette volonté intérieure. Comme les premières suscitent le refoulement et les symptômes indésirables qu’il entraîne, la guérison du refoulement exige que le porteur du refoulement prenne ses distances des exigences sociales héritées, de manière à parvenir à reconnaître sa volonté présociale. En soupesant ainsi la contrainte exercée sur les volontés présociales par les relations particulières, l’enquête psychanalytique jaugeait ces dernières à partir d’une exigence propre aux sociétés démocratiques contemporaines : celle de fonder les relations sociales sur les volontés non contraintes des partenaires. L’enquête psychanalytique participait ainsi d’un imaginaire social moderne qui donnait, à des relations variées, la forme d’un contrat. Les contemporains qui recouraient à cette enquête manifestaient un souci de respecter cette exigence et ils suscitaient une réaction critique envers les relations qui contraignaient la volonté. En somme, l’enquête psychanalytique offrait aux contemporains une manière d’ordonner les relations qui était adaptée à une société accordant une autorité prééminente aux exigences « contractuelles ». Voilà qui explique en grande partie l’ampleur et la profondeur de la diffusion de la psychanalyse au XXe siècle.
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La question de la rationalité socioéconomique propre aux paysans canadiens-français occupe dans l'historiographie canadienne du Québec rural préindustriel une place de choix, ayant été invoquée tour à tour pour glorifier ou condamner une population aux pratiques jugées à bien des égards différentes de celles des société anglo-saxonnes nord-américaines. Néanmoins, aussi importante soit-elle, cette problématique a rarement été abordée de front par les historiens, qui ont plutôt choisi de l'inclure en filigrane d'interprétations plus ciblées de réalités connexes. Dans cette optique, nous nous proposions dans ce mémoire de dégager, par le biais de l'analyse critique d'un échantillon de productions historiques représentatives des courants plus généraux dont elles sont issues, les principales représentations de la rationalité socioéconomique paysanne véhiculées par les historiens canadiens (tant francophones qu'anglophones) depuis 1960, de les expliquer à la lumière des particularités des contextes dans lesquels elles ont été produites ainsi que d'en retracer le parcours historiographique. Cette démarche nous a permis de constater clairement l'existence de trois paradigmes interprétatifs ayant successivement dominé le discours historique sur la question depuis 1960. Cette évolution, si elle s'accorde bel et bien au rythme du progrès méthodologique de la science historique, présente toutefois plusieurs originalités fermement ancrées dans les particularités du contexte dans lequel elle s'est déroulée, dont les principales sont la question nationale, la dichotomie ethnolinguistique de l'historiographie canadienne et la portée sociale significative des interprétations proposées.
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This research is a study about knowledge interface that aims to analyse knowledge discontinuities, the dynamic and emergent characters of struggles and interactions within gender system and ethnicity differences. The cacao boom phenomenon in Central Sulawesi is the main context for a changing of social relations of production, especially when the mode of production has shifted or is still underway from subsistence to petty commodity production. This agrarian change is not only about a change of relationship and practice, but, as my previous research has shown, also about the shift of knowledge domination, because knowledge construes social practice in a dialectical process. Agroecological knowledge is accumulated through interaction, practice and experience. At the same time the knowledge gained from new practices and experiences changes mode of interaction, so such processes provide the arena where an interface of knowledge is manifested. In the process of agro-ecological knowledge interface, gender and ethnic group interactions materialise in the decision-making of production and resource allocation at the household and community level. At this point, power/knowledge is interplayed to gain authority in decision-making. When authority dominates, power encounters resistance, whereas the dominant power and its resistance are aimed to ensure socio-economic security. Eventually, the process of struggle can be identified through the pattern of resource utilisation as a realisation of production decision-making. Such processes are varied from one community to another, and therefore, it shows uniqueness and commonalities, especially when it is placed in a context of shifting mode of production. The focus is placed on actors: men and women in their institutional and cultural setting, including the role of development agents. The inquiry is informed by 4 major questions: 1) How do women and men acquire, disseminate, and utilise their agro ecological knowledge, specifically in rice farming as a subsistence commodity, as well as in cacao farming as a petty commodity? How and why do such mechanisms construct different knowledge domains between two genders? How does the knowledge mechanism apply in different ethnics? What are the implications for gender and ethnicity based relation of production? ; 2) Using the concept of valued knowledge in a shifting mode of production context: is there any knowledge that dominates others? How does the process of domination occur and why? Is there any form of struggle, strategies, negotiation, and compromise over this domination? How do these processes take place at a household as well as community level? How does it relate to production decision-making? ; 3) Putting the previous questions in two communities with a different point of arrival on a path of agricultural commercialisation, how do the processes of struggle vary? What are the bases of the commonalities and peculiarities in both communities?; 4) How the decisions of production affect rice field - cacao plantation - forest utilisation in the two villages? How does that triangle of resource use reflect the constellation of local knowledge in those two communities? What is the implication of this knowledge constellation for the cacao-rice-forest agroecosystem in the forest margin area? Employing a qualitative approach as the main method of inquiry, indepth and dialogic interviews, participant observer role, and document review are used to gather information. A small survey and children’s writing competition are supplementary to this data collection method. The later two methods are aimed to give wider information on household decision making and perception toward the forest. It was found that local knowledge, particularly knowledge pertaining to rice-forest-cacao agroecology is divided according to gender and ethnicity. This constellation places a process of decision-making as ‘the arena of interface’ between feminine and masculine knowledge, as well as between dominant and less dominant ethnic groups. Transition from subsistence to a commercial mode of production is a context that frames a process where knowledge about cacao commodity is valued higher than rice. Market mechanism, as an external power, defines valued knowledge. Valued knowledge defines the dominant knowledge holder, and decision. Therefore, cacao cultivation becomes a dominant practice. Its existence sacrifices the presence of rice field and the forest. Knowledge about rice production and forest ecosystem exist, but is less valued. So it is unable to challenge the domination of cacao. Various forms of struggles - within gender an ethnicity context - to resist cacao domination are an expression of unequal knowledge possession. Knowledge inequality implies to unequal access to withdraw benefit from market valued crop. When unequal knowledge fails to construct a negotiated field or struggles fail to reveal ‘marginal’ decision, e.g. intensification instead of cacao expansion to the forest, interface only produces divergence. Gender and ethnicity divided knowledge is unabridged, since negotiation is unable to produce new knowledge that accommodates both interests. Rice is loaded by ecological interest to conserve the forest, while cacao is driven by economic interest to increase welfare status. The implication of this unmediated dominant knowledge of cacao production is the construction of access; access to the forest, mainly to withdraw its economic benefit by eliminating its ecological benefit. Then, access to cacao as the social relationship of production to acquire cacao knowledge; lastly, access to defend sustainable benefit from cacao by expansion. ‘Socio-economic Security’ is defined by Access. The convergence of rice and cacao knowledge, however, should be made possible across gender and ethnicity, not only for the sake of forest conservation as the insurance of ecological security, but also for community’s socio-economic security. The convergence might be found in a range of alternative ways to conduct cacao sustainable production, from agroforestry system to intensification.
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The primary theoretical accounts of migration have been largely unaffected by the feminisation of migration. But this does not mean that they are gender neutral. Drawing on the concept of gender knowledge developed by German sociologists Irene Dölling and Sünne Andresen, on the feminist critique of knowledge, feminist economics and studies on gender and migration, the paper interrogates two influential models of migration from neoclassical economics for their gendered assumptions: the Roy-Borjas selection model of migration and Jacob Mincer’s model of family migration. An analysis of their gendered assumptions about the individual, the family, the institution of the labour market and immigration policies shows that both theories explicitly and implicitly assume a male migrant as the norm and frame female migrants as passive dependents. However, the paper argues that it is not “men as such” who serve as prototypical migrants, but a specific type of white, heterosexual and middle-class masculinity, which is set as the norm while other migration realities and knowledge about the structuration of migration processes through social relations of gender, race and class are excluded. Finally, it is argued that with knowledge being a powerful site for the production of meaning in social relations, the gender knowledge in mainstream migration theories could lead to discriminatory migration policies and might also affect migrant subjectivities. This underscores the need for a more sustained dialogue between feminist and mainstream migration scholarship to further engender the field.
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Seed is the basic input to crop production. Farmer-based seed production as an alternative agricultural technology transfer is increasingly given especial attention in developing countries where food insecurity is critical. This paper aims to assess the seed production and dissemination strategy among smallholder farmers in eastern Ethiopia that has been introduced by Hararghe Catholic Secretariat (a Non-GovernmentalOrganization). A survey of 160 households in four administrative districts and focus group discussions were used to collect data. While narratives helped understand the process, logistic regressionwas used to identify determinants of land allocation to seed production. Results indicate the crucial role of informal networks and social capital as facilitators of access to production inputs, information and knowledge. The informal seed supply system initiated by the NGO has a huge potential to benefit smallholder farmers by improving their access to higher-yielding varieties of various crops, thereby contributing to an increase in their wellbeing. However, the traditional practice of seed exchange, influenced by social relations, will remain uneconomical to seed producers. Thus, the paper suggests that this potential can be further exploited if some preconditions such as establishment of seed banks, investment in human capital, removal of the underlying constraints and creation of reliable seed markets are given emphasis.
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El documento estudia los determinantes de la productividad del recurso humano dedicado a actividades de C&T en Colombia. A partir de la medición que realizó Colciencias en el año 2004 para la clasificación de grupos a nivel nacional, se encuentra que el nivel de formación del investigador tiene impacto en la productividad del grupo, al igual que las relaciones sociales complejas dadas por la preferencia de trabajo con los investigadores que tienen más prestigio dentro del grupo, ya que esto ofrece la posibilidad de generar mayores habilidades a los investigadores de menor clasificación. El segundo análisis se realiza a partir de la información de los becarios de estudios de postgrado en el exterior de Colciencias y utilizando los datos de su CvLac, encontrando que variables como el nivel de formación y el manejo de idiomas son determinantes de la productividad del investigador y que para Colombia, el área de conocimiento del investigador no son referentes a su productividad.
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La sociedad ha definido ciertas normas y pautas de comportamiento en los individuos que se encuentran en ella. La interacción y red de relaciones dadas entre ellos constituye la identidad de la misma. El carácter de las sociedades está determinado por medio de la Institución Social la cual proporciona una interpretación más profunda de la complejidad de las relaciones sociales de cualquier conjunto de personas relacionadas entre sí. Dentro de la sociedad existe una noción de Cultura Social que refleja una experiencia colectiva que vivencian todos los individuos en ella, los acontecimientos que han tenido lugar en el pasado y que repercuten o tienen incidencia en el presente e incluso en el futuro de ese grupo de personas. La organización resulta ser el vínculo existente entre un conjunto de individuos que se encuentran relacionados y dispuestos a alcanzar una meta común por medio del establecimiento de roles o funciones. La Cultura Organizacional genera sentido de identidad y pertenencia a la Organización, además de incentivar el compromiso entre los integrantes de la misma para la consecución de logros y objetivos en común. Por tanto, la Cultura Social no debe ser aplicada de igual forma a la Cultura Organizacional, ya que la vinculación y la clase de relación que surge de los individuos en la Sociedad o en la Organización, es completamente diferente. Los valores, creencias y ritos, que se crean en la sociedad no pueden ser transferidos a una empresa debido a que las relaciones y el fin último de cada una de ellas es diferente.
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Este trabajo se acerca a una discusión sobre dinámicas individuales y colectivas del matoneo escolar y sus consecuencias explorando tres temas: características de los actores del Bullying (agresor, víctima y testigo), consecuencias sobre la vida emocional, y mecanismos de atribución para explicarlo. Primero, se estableció que el agresor, generalmente movido por el deseo ganar estatus social generalmente, justifica la agresión al pensar que la víctima obtiene su merecido. Su papel dentro de la dinámica afecta sus relaciones y la probabilidad de que vuelva a matonear a otros en el futuro. Las víctimas son estudiantes que están constantemente expuestos a maltrato o acciones violentas por parte de los otros pares. Pueden desarrollar trastornos de depresión, ansiedad y baja autoestima entre otras cosas. A veces justifican la agresión que reciben en su “mal comportamiento”, y otras aguantan la agresión con la esperanza de que el agresor reciba su castigo. Los testigos son aquellos que presencian el acto. Pueden sufrir de altos niveles de estrés o ansiedad. En algunos casos no hacen nada para defender a la víctima por miedo a ser agredidos, porque les parece una agresión justa o porque les es indiferente. En conclusión, se puede establecer que cada autor del bullying contribuye de maneras diferentes a que esta dinámica se desarrolle. Este se conforma o reacciona frente al matoneo dependiendo (entre otras cosas) de los mecanismos de atribución y de las teorías que construya para explicarlo. Sin embargo, hace falta más investigación sobre el tema.
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El interés del presente estudio consiste en analizar el tema del sistema de administración de penas y castigos colombiano, entre 2000 y 2005; a la luz de los planteamientos de Michel Foucault, en su obra Vigilar y Castigar; en lo concerniente al encierro como castigo y los elementos que se pueden desprenden: saber, disciplina, resistencia. Mediante una conjunta contextualización histórica y conceptual; se va haciendo una caracterización del funcionamiento, estructura, misión, objetivo etc.; de la prisión que en términos generales es similar; es decir, aunque haya avances teóricos, tecnológicos y científicos, a través del tiempo emergerán saberes sometidos que se instauran muchas veces, como medio de sobrevivencia. Comprobando que efectivamente sí, se fundamentan saberes locales, en una sociedad de control tan reprimida como la Cárcel Modelo de Bogotá.
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Este trabajo realizado como requisito de grado del programa de Filosofía de la Universidad Colegio Mayor de Nuestra Señora del Rosario, aborda el tema de la educación moral en la infancia a partir del análisis y discusión de algunas teorías de la moral. También hace un acercamiento a la literatura infantil en lo relativo a la función que se le puede atribuir como recurso o herramienta para la formación moral. De este modo, el trabajo se estructura siguiendo una argumentación que primero pretende esclarecer los conceptos que se vinculan con el tema de la educación moral como los son el de socialización, el de infancia, el de desarrollo, el mismo concepto de educación moral, y otros que permiten identificar y problematizar esta cuestión en relación con los niños y las particularidades de su comportamiento, sus procesos cognitivos y el modo en que se dan sus relaciones sociales. Por ello el trabajo recoge aportes de la sociología y de la psicología que complementan el tema, que es observado aquí, principalmente, desde la filosofía moral. Estos conceptos ayudan a estructurar el problema que se plantea relativo a la manera cómo se construye lo moral en la infancia. A partir de ellos se desarrolla el resto del texto, primero, con el análisis crítico que se hace en el capítulo dos a la teoría racionalista de la moral, la cual se pone en discusión con los planteamientos de algunas teorías de los sentimientos morales y del desarrollo emocional. Luego, en el capítulo tres se examina la teoría de las virtudes de Aristóteles, destacando la mayor capacidad que tiene de comprender comportamientos morales no racionales, como los de la infancia, que se relacionan con lo que desde la sociología se entiende como el entorno social en el que se desarrolla la moral individual. Finalmente, en el capítulo cuatro, se examina la literatura infantil como un recurso que sirve para la formación moral en los niños, debido a los procesos cognitivos y sociales, que esta literatura favorece. En este capítulo se retoman las cuestiones tratadas a lo largo del trabajo acerca de lo moral y la formación en la infancia para ponerlas en relación con ejemplos de la literatura infantil tomados de los Cuentos de los Hermanos Grimm que permiten identificar algunos elementos que vinculan la lectura de estos cuentos con los procesos de formación moral.