802 resultados para Parkinson’s disease - motor deficits


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Parkinson’s disease (PD) is characterized by postural instability and gait impairment. Verbal instructions can reduce postural sway and improve gait performance in PD. For gait, this evidence is limited to unobstructed straight-path walking. As falls in PD often occur when turning, the purpose of this thesis was to determine if instructions can benefit turning performance in this population. Twelve individuals with PD performed two walking tasks (normal walking, walking with a 180 degree turn) under four instruction conditions (no instruction, take big steps, make larger trunk movements, focus on end and/or turn point). Task duration and trunk yaw and roll sway were calculated. In general, the results demonstrated that the instruction to take big steps improved performance for both tasks compared to providing no instruction or externally based instruction. These results suggest that instructions related to step amplitude may facilitate walking and turning performance in PD.

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As a result of mutation in genes, which is a simple change in our DNA, we will have undesirable phenotypes which are known as genetic diseases or disorders. These small changes, which happen frequently, can have extreme results. Understanding and identifying these changes and associating these mutated genes with genetic diseases can play an important role in our health, by making us able to find better diagnosis and therapeutic strategies for these genetic diseases. As a result of years of experiments, there is a vast amount of data regarding human genome and different genetic diseases that they still need to be processed properly to extract useful information. This work is an effort to analyze some useful datasets and to apply different techniques to associate genes with genetic diseases. Two genetic diseases were studied here: Parkinson’s disease and breast cancer. Using genetic programming, we analyzed the complex network around known disease genes of the aforementioned diseases, and based on that we generated a ranking for genes, based on their relevance to these diseases. In order to generate these rankings, centrality measures of all nodes in the complex network surrounding the known disease genes of the given genetic disease were calculated. Using genetic programming, all the nodes were assigned scores based on the similarity of their centrality measures to those of the known disease genes. Obtained results showed that this method is successful at finding these patterns in centrality measures and the highly ranked genes are worthy as good candidate disease genes for being studied. Using standard benchmark tests, we tested our approach against ENDEAVOUR and CIPHER - two well known disease gene ranking frameworks - and we obtained comparable results.

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Le trouble comportemental en sommeil paradoxal (TCSP) se caractérise par une perte de l’atonie musculaire en sommeil paradoxal et par des manifestations motrices élaborées souvent associées au contenu onirique. Le TCSP peut apparaître sous une forme idiopathique (TCSPi), mais il est fréquemment lié à certains désordres neurodégénératifs, dont les synucléinopathies. Des marqueurs biologiques des synucléinopathies, tels que la présence d’anomalies au plan de la motricité, de la détection des odeurs ainsi que de la discrimination des couleurs, ont été retrouvés dans le TCSPi. De plus, des perturbations de l’activité cérébrale en neuroimagerie ainsi que du fonctionnement cognitif ont été observées chez ces patients. Des études ont démontré que le TCSPi pouvait précéder l’apparition d’une maladie de Parkinson (MP) ou d’une démence à corps de Lewy (DCL). Ceci suggère que le TCSPi représenterait un facteur de risque des synucléinopathies. L’objectif principal du présent projet est d’étudier les anomalies du débit sanguin cérébral régional (DSCr) de repos avec la tomographie par émission monophotonique (TEM) dans le TCSPi. Deux études ont été réalisées. La première visait à comparer le DSCr entre des patients avec un TCSPi et des sujets sains, puis d’explorer la relation entre l’activité cérébrale et la présence de marqueurs biologiques des synucléinopathies. Les résultats ont montré une diminution de la perfusion cérébrale dans les régions frontales et pariétales ainsi qu’une augmentation de la perfusion au niveau du pont, du putamen et des hippocampes chez les patients avec un TCSPi. Une relation significative entre la performance des sujets avec un TCSPi à une épreuve de discrimination des couleurs et la perfusion cérébrale au niveau des régions frontales et occipitales a été mise en évidence. Dans l’ensemble, ces résultats ont démontré des anomalies du DSCr chez les patients avec un TCSPi qui sont similaires à celles observées par d’autres études en neuroimagerie dans la MP. Ceci suggère des atteintes neuroanatomiques semblables entre ces pathologies. La seconde étude en TEM a été effectuée dans le but d’examiner les modifications du DSCr associées aux perturbations du fonctionnement cognitif dans le TCSPi. Pour ce faire, le DSCr a été comparé entre un sous-groupe de patients avec un TCSPi et un trouble cognitif léger (TCL), un sous-groupe de patients avec un TCSPi sans TCL et un groupe de sujets sains. Les résultats ont montré que seuls les patients avec un TCSPi et un TCL présentaient une diminution de la perfusion cérébrale dans les aires corticales postérieures (occipitales et temporo-pariétales). Ces observations sont similaires à celles rapportées dans la MP avec démence et la DCL dans les études en neuroimagerie. En conclusion, les résultats de ces deux études ont montré des perturbations du DSCr dans le TCSPi, similaires à celles observées dans les synucléinopathies. Par ailleurs, nos résultats ont mis en évidence que les patients avec un TCSPi et un TCL présentaient les mêmes anomalies de la perfusion cérébrale que les patients avec une MP avec démence et/ou une DCL. La présence de tels marqueurs des synucléinopathies dans le TCSPi suggère que ces patients pourraient être plus à risque d’évoluer vers ce type de maladie neurodégénérative.

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Le contrôle postural et la perception des limites de la stabilité sont des processus complexes qui nécessitent le traitement et l’intégration d’informations sensorielles multimodales. Pendant l’enfance, le développement de la stabilité posturale s’effectue de façon non-monotonique. Plusieurs auteurs ont suggéré que ce profil non linéaire serait provoqué par une période de recalibration des systèmes sensoriels. Cette phase, nommée période de transition, est observée vers l’âge de 6-7 ans. Nous disposons toutefois de très peu d’information sur le rôle spécifique des afférences et des mécanismes d’intégration sensorielle au cours du développement postural. Les dysfonctions dans les noyaux gris centraux, telles que ceux observés dans la maladie de Parkinson, ont été associées à divers déficits dans le contrôle de la posture, dans le traitement et l’intégration sensoriel plus particulièrement, au niveau des informations proprioceptives. De plus, les limites fonctionnelles de la stabilité posturale des personnes atteintes de la maladie de Parkinson sont significativement réduites. Cependant, les connaissances concernant comment certaines pathologies des noyaux gris centraux, telles que le syndrome Gilles de la Tourette (SGT) et la maladie de Huntington (MH) affectent la capacité d’utiliser les informations sensorielles pour contrôler la posture demeurent à ce jour, incomplètes. Cette thèse porte sur le rôle des noyaux gris centraux dans les processus de traitements et d’intégration sensorielle, particulièrement les afférences proprioceptives dans le contrôle de la posture au cours du développement de l’enfant en santé, atteint du SGT et chez l’adulte atteint de la MH avec et sans symptôme clinique. Notre protocole expérimental a été testé chez ces trois populations (enfants en santé, SGT et MH). Nous avons utilisé des mesures quantitatives à partir de données issues d’une plateforme de force afin d’évaluer les ajustements posturaux dans les limites de la stabilité posturale. Les participants devaient s’incliner le plus loin possible dans quatre différentes directions (avant, arrière, droite et gauche) et maintenir l’inclinaison posturale maximale pendant 10 secondes. Afin de tester la capacité à traiter et à intégrer les informations sensorielles, la tâche expérimentale a été exécutée dans trois conditions sensorielles : 1) yeux ouverts, 2) yeux fermés et 3) yeux fermés, debout sur une mousse. Ainsi, la contribution relative de la proprioception pour le contrôle postural augmente à travers les conditions sensorielles. Dans la première étude, nous avons évalué la capacité à traiter et à intégrer les informations sensorielles avant (4 ans) et après (8-10 ans) la période de transition comparativement aux adultes. Dans la deuxième et la troisième étude, nous avons également évalué le traitement et l’intégration des informations sensorielles chez les patients atteints de désordres des noyaux gris centraux. La deuxième étude portera spécifiquement sur les adolescents atteints du SGT et la troisième, sur la MH avant et après l’apparition des symptômes cliniques. En somme, les résultats de la première étude ont démontré que la performance des enfants est affectée de façon similaire par les différentes conditions sensorielles avant et après la période de transition. Toutefois, le profil de développement des mécanismes responsables des ajustements posturaux de l’axe antéropostérieur est plus précoce comparativement à ceux de l’axe médiolatéral. Ainsi, nos résultats ne supportent pas l’hypothèse de la période de recalibration des systèmes sensoriels pendant cette période ontogénétique mais suggèrent que la période de transition peut être expliquée par la maturation précoce des mécanismes d’ajustements posturaux dans l’axe antéropostérieur. Dans l’ensemble, les résultats de nos études chez les populations atteintes de désordres des noyaux gris centraux (MH et SGT) démontrent non seulement qu’ils ont des déficits posturaux mais également que les ajustements posturaux dans les deux axes sont affectés par les conditions sensorielles. Pour la première fois, nos études démontrent des déficits globaux de traitements et d’intégration sensorielle accentués pour les signaux proprioceptifs. Ces résultats sont similaires à ceux observés dans la maladie de Parkinson. De plus, les adolescents atteints du SGT éprouvent également des troubles posturaux marqués dans la condition visuelle ce qui suggère des déficits d’intégrations visuelles et/ou multimodaux.

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Introduction et objectifs : Alors que l'effet moteur de la lévodopa (L-dopa) dans la maladie de Parkinson (MP) est clair et établi, son effet sur la cognition demeure incertain. Les troubles cognitifs ont un impact important sur la qualité de vie et les études évaluant l'effet cognitif de ce médicament donnent des résultats encore divergents. L’objectif primaire de cette étude pilote est d’observer l’impact des doses cliniques de lévodopa sur la cognition. Un second objectif sera d'établir une courbe dose-réponse pour observer les différences potentielles. Méthodes : Cinq patients avec MP ont été évalués à l’aide de 2 tests cognitifs (CPT-II et Stroop) et 2 tests moteurs (Finger Tapping et UPDRS-III) en OFF (sevrage minimal de 12 heures) et en ON avec des doses croissantes de lévodopa (commençant à 50mg avec une augmentation de dose de 50mg par visite) jusqu’à l'observation d'une performance cognitive optimale ou d'effets secondaires. Une administration répétée des tests cognitifs a été faite à la première visite pour limiter l’effet d’apprentissage. Résultats : Le temps de réaction (RT) mesuré en millisecondes au CPT-II a augmenté (médiane 3.03%) après la prise de médicament alors que les erreurs ont légèrement diminué (médiane -9.92%). Au Stroop, l’effet d’interférence évalué selon les changements au temps d’inhibition mesuré en secondes était légèrement moindre sans changement dans les erreurs. Avec les doses prescrites, le RT a augmenté de 3,50% et le nombre d’erreurs est resté stable alors que les doses inférieures ont eu une moindre augmentation du RT tout en diminuant les erreurs. Dans le Stroop, les doses faibles ont amélioré le temps de près de 19% alors que les doses prescrites ont quant à elles diminué les erreurs. Malgré une certaine variabilité, la courbe dose-réponse indique que les erreurs diminuaient aux doses faibles et fortes dans le CPT-II alors que le RT augmentait généralement, ce qui pourrait indiquer un style de performance plus prudent. L’effet de la lévodopa sur l’interférence dans le Stroop variait légèrement sans tendances fixes mis à part le bénéfice observé par les doses faibles. Une importante variabilité a été observée dans les évaluations motrices entre les sujets ainsi qu'au sein du même sujet. Conclusion : Ces résultats indiquent qu’en général, le médicament ne semble pas avoir d’effet néfaste important sur l’attention et les fonctions exécutives évaluées auprès de ce groupe de patients parkinsoniens. L'effet cognitif des doses plus faibles semble leur être bénéfique et meilleur que les doses cliniquement prescrites. La relation dose-réponse démontre un effet cognitif variable de la lévodopa entre les doses, n'indiquant toutefois pas de tendances claires.

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Beaucoup de patients atteints de la maladie de Parkinson (MP) peuvent souffrir de troubles cognitifs dès les étapes initiales de la maladie et jusqu’à 80% d’entre eux vont développer une démence. Des altérations fonctionnelles au niveau du cortex préfrontal dorsolatéral (CPFDL), possiblement en relation avec le noyau caudé, seraient à l’origine de certains de ces déficits cognitifs. Des résultats antérieurs de notre groupe ont montré une augmentation de l’activité et de la connectivité dans la boucle cortico-striatale cognitive suite à la stimulation magnétique transcrânienne (SMT) utilisant des paramètres « theta burst » intermittent (iTBS) sur le CPFDL gauche. Pour cette étude, 24 patients atteints de la MP avec des troubles cognitifs ont été séparées en 2 groupes : le groupe iTBS active (N=15) et le groupe sham (stimulation simulée, N=9). Une batterie neuropsychologique détaillée évaluant cinq domaines cognitifs (attention, fonctions exécutives, langage, mémoire et habiletés visuo-spatiales) a été administrée lors des jours 1, 8, 17 et 37. Le protocole iTBS a été appliqué sur le CPFDL gauche durant les jours 2, 4 et 7. Les scores z ont été calculés pour chaque domaine cognitif et pour la cognition globale. Les résultats ont montré une augmentation significative de la cognition globale jusqu’à 10 jours suivant l’iTBS active, particulièrement au niveau de l’attention, des fonctions exécutives et des habiletés visuo-spatiales. Cet effet sur la cognition globale n’est pas répliqué dans le groupe sham. Ces résultats suggèrent donc que l’iTBS peut moduler la performance cognitive chez les patients atteints de MP avec des déficits cognitifs.

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La atrofia multisistémica (AMS) es una enfermedad degenerativa caracterizada por disautonomías y síntomas extrapiramidales. El diagnóstico diferencial con otros parkinsonismos es difícil, por lo cual se requiere una ayuda paraclínica para soportar el diagnóstico clínico. La degeneración del núcleo de Onuf, exclusiva en esta enfermedad, podría sugerir que la presencia de denervación en el esfínter anal podría ser tomada en cuenta como criterio diagnóstico de AMS. Se realizó una revisión sistemática con el fin de determinar la utilidad de la electromiografía de esfínter anal (EMG-EA) en el diagnóstico diferencial de AMS contra otros parkinsonismos. Se incluyeron 17 estudios que analizaron los resultados de EMG-EA en pacientes con AMS. De éstos, 11 de estudios fueron analíticos y compararon pacientes con AMS y otros parkinsonismos. Los 6 estudios restantes fueron descriptivos. La duración de los potenciales de unidad motora (PUM) es significativamente mayor en pacientes con AMS comparados con otros parkinsonismos, y utilizando un punto de corte > 13 ms muestra características operativas que hacen a este parámetro potencialmente útil. Solo un estudio encontró diferencias significativas en el porcentaje de PUM polifásicos, el cual tuvo una sensibilidad y especificidad clínicamente útil cuando el punto de corte es mayor a 60%. El resto de los estudios no reportan diferencias estadísticamente significativas entre parkinsonismos. La literatura disponible apunta a la potencial utilidad de la EMG-EA en el diagnóstico diferencial de la AMS de otros parkinsonismos; sin embargo es necesario conducir más estudios para solventar las limitaciones metodológicas existentes.

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Antecedentes. La enfermedad de Parkinson (EP) es la segunda enfermedad neurodegenerativa más común en el mundo, la cual afecta el componente físico, psicológico y social de los individuos que la padecen. Numerosos estudios han abordado los beneficios de diferentes programas de ejercicio, llegando a ser una estrategia no-farmacológica efectiva para aminorar el deterioro funcional de los pacientes con EP. Objetivo. Determinar los efectos de las diferentes modalidades de ejercicio físico en los principales desenlaces clínicos en pacientes con EP. Métodos. Se consultaron las bases de datos MEDLINE, EMBASE, Scopus, CENTRAL y PEDro desde febrero de 1990 hasta febrero de 2014 para identificar Ensayos Clínicos Aleatorizados (ECA) publicados. Además, se examinaron las listas de referencias de otras revisiones y de estudios identificados. La extracción de datos se realizó por dos autores independientes. Se empleó un modelo de efectos aleatorios en presencia de heterogeneidad estadística (I2>50%). El sesgo de publicación fue evaluado mediante el gráfico de embudo. Resultados: Un total de 18 estudios fueron incluidos. Se encontraron diferencias estadísticamente significativas en las intervenciones con ejercicio y las siguientes medidas de resultado, severidad de los síntomas motores (MDS-UPDRS) DME 1.44, IC 95% [-2.09 a -0.78] (p<0.001) I2= 87,9% y el equilibrio DME 0,52 IC 95% [0,30 a 0,74] (p<0.001) I2= 85,6%. En el análisis de subgrupos en la modalidad de ejercicio aeróbico, en MDS-UPDRS DME -1,28, IC 95% [-1,98 a -0,59] (p<0.001), 3 calidad de vida DME -1,91 IC 95% [-2,76 a -1,07] (p<0.001), equilibrio DME 0,54 IC 95% [0,31 a 0,77] (p<0.001), 10-m WT DME 0,15 IC 95% [0,06 a 0,25] (p<0.001) y Vo2 máximo DME -1,09 IC 95% [-1,31 a -0,88] (p=0.001), 6MWT DME 40,46 IC 95% [11,28 a 69,65] (p=0.007). Conclusiones: El ejercicio aeróbico produjo mejoras significativas en MDS UPDRS, equilibrio, calidad de vida, 10-m WT y y Vo2 máximo; mientras que el ejercicio combinado mejoró la fuerza.

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There is increasing evidence to suggest neuroinflammatory processes contribute to the cascade of events that lead to the progressive neuronal damage observed in neurodegenerative disorders such as Parkinson’s disease and Alzheimer’s disease. The molecular mechanisms underlying such neurodegenerative processes are rather complex and involve modulation of the mitogen-activated protein kinase (MAPK) and NF-κB pathways leading to the generation of nitric oxide (NO). Such a small molecule may diffuse to the neighbouring neurons and trigger neuronal death through the inhibition of mitochondrial respiration and increases in the reactive oxygen and nitrogen species. Recently, attention has focused on the neuroprotective effects of flavonoids which have been effective in protecting against both age-related cognitive and motor decline in vivo. Although, the precise mechanisms by which flavonoids may exert their neuroprotective effects remain unclear, accumulating evidence suggest that they may exert their neuroprotective effects through the modulation of the MAP Kinase and PI3 Kinase signaling pathways. The aim of the present chapter is to highlight the potential neuroprotective role of dietary flavonoids in terms of their ability to modulate neuroinflammation in the central nervous system. We will provide an outline of the role glial cells play in neuroinflammation and describe the involvement of inflammatory mediators, produced by glia, in the cascade of events leading to neuronal degeneration. We will then present the evidence that flavonoids may modulate neuroinflammation by inhibiting the production of these inflammatory agents and summarise their potential mechanisms of action.

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Cognitive functions such as attention and memory are known to be impaired in End Stage Renal Disease (ESRD), but the sites of the neural changes underlying these impairments are uncertain. Patients and controls took part in a latent learning task, which had previously shown a dissociation between patients with Parkinson’s disease and those with medial temporal damage. ESRD patients (n=24) and age and education-matched controls (n=24) were randomly assigned to either an exposed or unexposed condition. In Phase 1 of the task, participants learned that a cue (word) on the back of a schematic head predicted that the subsequently seen face would be smiling. For the exposed (but not unexposed) condition, an additional (irrelevant) colour cue was shown during presentation. In Phase 2, a different association, between colour and facial expression, was learned. Instructions were the same for each phase: participants had to predict whether the subsequently viewed face was going to be happy or sad. No difference in error rate between the groups was found in Phase 1, suggesting that patients and controls learned at a similar rate. However, in Phase 2, a significant interaction was found between group and condition, with exposed controls performing significantly worse than unexposed (therefore demonstrating learned irrelevance). In contrast, exposed patients made a similar number of errors to unexposed in Phase 2. The pattern of results in ESRD was different from that previously found in Parkinson’s disease, suggesting a different neural origin.

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The hereditary spastic paraplegias are a heterogeneous group of degenerative disorders that are clinically classified as either pure with predominant lower limb spasticity, or complex where spastic paraplegia is complicated with additional neurological features, and are inherited in autosomal dominant, autosomal recessive or X-linked patterns. Genetic defects have been identified in over 40 different genes, with more than 70 loci in total. Complex recessive spastic paraplegias have in the past been frequently associated with mutations in SPG11 (spatacsin), ZFYVE26/SPG15, SPG7 (paraplegin) and a handful of other rare genes, but many cases remain genetically undefined. The overlap with other neurodegenerative disorders has been implied in a small number of reports, but not in larger disease series. This deficiency has been largely due to the lack of suitable high throughput techniques to investigate the genetic basis of disease, but the recent availability of next generation sequencing can facilitate the identification of disease- causing mutations even in extremely heterogeneous disorders. We investigated a series of 97 index cases with complex spastic paraplegia referred to a tertiary referral neurology centre in London for diagnosis or management. The mean age of onset was 16 years (range 3 to 39). The SPG11 gene was first analysed, revealing homozygous or compound heterozygous mutations in 30/97 (30.9%) of probands, the largest SPG11 series reported to date, and by far the most common cause of complex spastic paraplegia in the UK, with severe and progressive clinical features and other neurological manifestations, linked with magnetic resonance imaging defects. Given the high frequency of SPG11 mutations, we studied the autophagic response to starvation in eight affected SPG11 cases and control fibroblast cell lines, but in our restricted study we did not observe correlations between disease status and autophagic or lysosomal markers. In the remaining cases, next generation sequencing was carried out revealing variants in a number of other known complex spastic paraplegia genes, including five in SPG7 (5/97), four in FA2H (also known as SPG35) (4/97) and two in ZFYVE26/SPG15. Variants were identified in genes usually associated with pure spastic paraplegia and also in the Parkinson’s disease-associated gene ATP13A2, neuronal ceroid lipofuscinosis gene TPP1 and the hereditary motor and sensory neuropathy DNMT1 gene, highlighting the genetic heterogeneity of spastic paraplegia. No plausible genetic cause was identified in 51% of probands, likely indicating the existence of as yet unidentified genes.

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Conflicting results have been reported as to whether genetic variations (Val66Met and C270T) of the brain-derived neurotrophic factor gene (RDNF) confer susceptibility to Alzheimer`s disease (AD). We genotyped these polymorphisms in a Japanese sample of 657 patients with AD and 525 controls, and obtained weak evidence of association for Val66Met (P = 0.063), but not for C270T. After stratification by sex, we found a significant allelic association between Val66Met and AD in women (P = 0.017), but not in men. To confirm these observations, we collected genotyping data for each sex from 16 research centers worldwide (4,711 patients and 4,537 controls in total). The meta-analysis revealed that there was a clear sex difference in the allelic association; the Met66 allele confers susceptibility to AD in women (odds ratio = 1.14, 95% CI 1.05-1.24, P = 0.002), but not in men. Our results provide evidence that the Met66 allele of BDNF has a sexually dimorphic effect on susceptibility to AD. (C) 2009 Wiley-Liss, Inc.

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Rats with unilateral lesion of the substantia nigra pars compacta (SNpc) have been used as a model of Parkinson`s disease. Depending on the lesion protocol and on the drug challenge, these rats rotate in opposite directions. The aim of the present study was to propose a model to explain how critical factors determine the direction of these turns. Unilateral lesion of the SNpc was induced with 6-hydroxydopamine (6-OHDA) or 1-methyl-4-phenyl-1,2,3,6-tetrahydropyridine (MPTP). Separate analysis showed that neither the type of neurotoxin nor the site of lesion along the nigrostriatal. pathway was able to predict the direction of the turns these rats made after they were challenged with apomorphine. However, the combination of these two factors determined the magnitude of the lesion estimated by tyrosine-hydroxylase immunohistochemistry and HPLC-ED measurement of striatal dopamine. Very small lesions did Dot cause turns, medium-size lesions caused ipsiversive turns, and large lesions caused contraversive turns. Large-size SNpc lesions resulted in an increased binding of [H-3] raclopride to D2 receptors, while medium-size lesions reduced the binding of [H-3]SCH-23390 D1 receptors in the ipsilateral striatum. These results are coherent with the model proposing that after challenged with a dopamine receptor agonist, unilaterally SNpc-lesioned rats rotate toward the side with the weaker activation of dopamine receptors. This activation is weaker on the lesioned side in animals with small SNpc lesions due to the loss of dopamine, but stronger in animals with large lesions due to dopamine receptor supersensitivity. (C) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.

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This masters thesis describes the development of signal processing and patternrecognition in monitoring Parkison’s disease. It involves the development of a signalprocess algorithm and passing it into a pattern recogniton algorithm also. Thesealgorithms are used to determine , predict and make a conclusion on the study ofparkison’s disease. We get to understand the nature of how the parkinson’s disease isin humans.

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The aim of this thesis is to investigate computerized voice assessment methods to classify between the normal and Dysarthric speech signals. In this proposed system, computerized assessment methods equipped with signal processing and artificial intelligence techniques have been introduced. The sentences used for the measurement of inter-stress intervals (ISI) were read by each subject. These sentences were computed for comparisons between normal and impaired voice. Band pass filter has been used for the preprocessing of speech samples. Speech segmentation is performed using signal energy and spectral centroid to separate voiced and unvoiced areas in speech signal. Acoustic features are extracted from the LPC model and speech segments from each audio signal to find the anomalies. The speech features which have been assessed for classification are Energy Entropy, Zero crossing rate (ZCR), Spectral-Centroid, Mean Fundamental-Frequency (Meanf0), Jitter (RAP), Jitter (PPQ), and Shimmer (APQ). Naïve Bayes (NB) has been used for speech classification. For speech test-1 and test-2, 72% and 80% accuracies of classification between healthy and impaired speech samples have been achieved respectively using the NB. For speech test-3, 64% correct classification is achieved using the NB. The results direct the possibility of speech impairment classification in PD patients based on the clinical rating scale.