949 resultados para orthopaedic implants
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Following elective orthopaedic surgery or the treatment of a fracture, patients are temporarily unable to drive. This loss of independence may have serious social and economic consequences for the patient. It is therefore essential to know when it is safe to permit such patients to return to driving. This article, based upon a review of the current literature, proposes recommendations of the time period after which patients may safely return to driving. Practical decisions are made based upon the type of surgical intervention or fracture. Swiss legislation is equally approached so as to better define the decision.
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Problématique : Les connaissances théoriques et pratiques au sujet de la mise en charge immédiate d’implants non jumelés chez les édentés sont limitées. Objectifs : Cette étude avait pour but de : (1) déterminer le taux de survie implantaire de 2 implants non jumelés supportant une prothèse totale mandibulaire suite à une mise en charge immédiate, (2) évaluer les changements des niveaux osseux et de stabilité implantaire survenus sur ces 2 implants durant une période de 4 mois et les comparer à un implant témoin, et (3) décrire les complications cliniques associées à ce mode de mise en charge. Méthodologie : Chez 18 individus édentés (âge moyen de 62±7 ans), cette étude de phase I avec un design pré/post a évalué les résultats cliniques suivant la mise en charge immédiate (<48 heures) de 2 implants non jumelés par une prothèse totale mandibulaire. À l’aide de radiographies périapicales, de sondages osseux et d’analyses de la fréquence en résonnance, les niveaux osseux péri-implantaires (en mm) et les niveaux de stabilité implantairte (en ISQ) de ces 2 implants insérés dans la région parasymphysaire ont été évalués à la chirurgie (T0) et au suivi de 4 mois (T1). Un implant non submergé et sans mise en charge inséré dans la région de la symphyse mandibulaire a été utilisé comme témoin. Les données ont été analysées avec des modèles mixtes linéaires, la méthode de Tukey ajustée, l’analyse de variance de Friedman et des tests de rang signés de Wilcoxon. Résultats : De T0 à T1, 3 implants mis en charge immédiatement ont échoué chez 2 patients. Le taux de survie implantaire obtenu était donc de 91,7% (33/36) et, par patient, de 88,9% (16/18). Aucun implant témoin n’a échoué. Les changements osseux documentés radiologiquement et par sondage autour des implants mis en charge immédiatement étaient, respectivement, de -0,2 ± 0,3 mm et de -0,5 ± 0,6 mm. Les pertes d’os de support implantaire n’ont pas été démontrées statistiquement différentes entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins. Les niveaux moyens de stabilité implantaire ont augmenté de 5 ISQ indépendamment de la mise en charge. Les niveaux moyens d’ISQ n’ont pas été démontrés statistiquement différents entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins à T0 ou T1. Cinq des 18 patients n’ont expérimenté aucune complication clinique, alors que 9 en ont eu au moins deux. Hormis les échecs implantaires, aucune de ces complications n’a entraîné de changements au protocole. Conclusion : Les résultats à court terme suggèrent que : (1) le taux de survie implantaire suite au protocole immédiat est similaire à ceux rapportés lors d’un protocole de mise en charge conventionnel (2) les changements d’os de support implantaire et de stabilité ne sont pas différents comparativement à ceux d’un implant témoin, (3) un niveau élevé d’expérience clinique et chirurgicale est requis pour effectuer les procédures et pour gérer les complications associées. Ces résultats préliminaires devraient être confirmés dans une étude clinique de phase II.
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Problématique : La majorité des études publiées sur la réhabilitation par mise en charge immédiate de deux implants non jumelés avec une prothèse totale mandibulaire de recouvrement n’ont rapporté que des mesures cliniques objectives et très peu ont évalué les mesures centrées sur le patient, et ce, avec des erreurs de mesure. Aucune étude n’a évalué les attentes des patients vis-à-vis d'un tel protocole. Objectifs : Évaluer les attentes, le niveau de satisfaction ainsi que la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire des édentés complets suite à un protocole de mise en charge immédiate. Méthodologie : Cet essai clinique de phase 1 utilise un design pré-post afin d’évaluer les mesures centrées sur le patient. Dix-huit individus, complètement édentés et âgés en moyenne de 62,39 ± 7,65 ans, ont reçu une prothèse totale mandibulaire de recouvrement sur deux implants non jumelés suite à un protocole de mise en charge immédiate, conjointement à une prothèse totale conventionnelle maxillaire. Un instrument adapté pour mesurer leurs attentes à l’aide d’échelles visuelles analogues, le questionnaire « McGill Denture Satisfaction Instrument » ainsi que le questionnaire OHIP-20 ont été remis aux patients avant de procéder aux traitements (T0), ainsi qu’aux rendez-vous de suivi à 2 semaines (T1), 1 mois (T2) et 4 mois (T3). De plus, l’inventaire de personnalité révisé (NÉO PI-R) ainsi qu’un questionnaire sociodémographique ont été remplis par les participants. Les « change scores » ont été calculés puis des tests non paramétriques et des analyses de variances en mesures répétées suivies de comparaisons par paires ont été utilisés afin d’analyser les données recueillies. La taille d’effet a été estimée. Résultats : Les participants avaient différentes attentes par rapport à la mise en charge immédiate. Certains s’attendaient à un effet positif à court terme par rapport à leur apparence esthétique (83,3 %) et à leur vie sociale (55,7 %), alors que d’autres avaient des craintes envers leur confort (5,6 %), leur habileté à mastiquer (11,1 %) et à nettoyer leur prothèse inférieure (11,1 %). À 4 mois, le protocole de mise en charge immédiate avait rencontré la majorité des attentes des patients par rapport à l’esthétique (94.4 %), la mastication (83.3 %), la phonétique (61.1 %), le confort (94.4 %), l’hygiène (88.9 %) et leur vie sociale (88.9 %). Une amélioration statistiquement significative de la satisfaction en générale, du confort, de l’esthétique, de la stabilité de la prothèse inférieure et de l’habileté à mastiquer a été notée à 2 semaines (p<0,001). Également, les comparaisons par paires ont révélé une diminution statistiquement significative du score total de l’OHIP-20 (p < 0,001) de même que la majorité des domaines de l’OHIP (p < 0.01), sauf pour l’handicap social qui n’a diminué significativement qu’après 1 mois (p = 0.01). Ces changements (pour la satisfaction et la qualité de vie) sont restés stables au cours des suivis subséquents. Indépendamment des traits de personnalité et des variables sociodémographiques, le protocole immédiat a satisfait 94,4 % des participants et a amélioré leur qualité de vie avec une large magnitude d’effet (d = 1.9; p < 0.001). Bien que deux patients aient perdu des implants au cours du traitement, 100 % des participants étaient d’accord pour recommander cette procédure à leurs pairs. Conclusions: Le protocole de mise en charge immédiate semble satisfaire les patients quelles que soient leurs attentes. Le protocole MCI peut améliorer, à court terme, la qualité de vie des patients totalement édentés. Les résultats prometteurs de la phase 1 devraient être corroborés lors de la 2e phase de cette étude.
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Introducción: Las fracturas intertrocantéricas han llegado a nuestros días con una mayor incidencia dado el envejecimiento de la población, con fracturas más complejas, menos estables y asociadas a osteoporosis, se estima que representan aproximadamente 1,75 millones de años de vida perdidos ajustados a discapacidad es decir 0,1% de la carga de morbilidad a nivel mundial. Existe consenso en el tratamiento quirúrgico de este tipo de fracturas, presentando una incidencia variable de fallos, principalmente cuando son inestables, entre estos el denominado “cuto ut”. La utilización de un método de fijación con placa y tornillo helicoidal (DHHS) aparentemente disminuye la incidencia de dichos fallos con respecto a otras técnicas. Metodología: Por medio de una muestra calculada en 128 de pacientes con fracturas intertrocantéricas operados con DHS y DHHS entre el 2007 y el 2012 en La Clínica San Rafael de la ciudad de Bogotá, Colombia, se realizó un análisis multivariado para determinar si existe o no diferencias significativas en los índices de fallo entre estas dos técnicas. Resultados: Los pacientes incluidos en el estudio 54 (42,1%) fueron hombres y 74 (57,8%) fueron mujeres. 75 fueron operados con DHHS y 53 con DHS; en cuanto a las comorbilidades las principales fueron Hipertensión con 40 pacientes para DHS y 30 para DHHS, para el caso de Diabetes Mellitus fueron 13 y 9 para DHS y DHHS, respectivamente; en cuanto al tipo de fractura más común la principal fue la clasificación Tronzo II con 9 pacientes para DHS y 13 para DHHS. Conclusión. Para el estudios se evidencia que para los 3 desenlaces principales evaluados, 1. El porcentaje de re intervención (p=0,282), 2. La supervivencia en el primer año (p=0,499) y 3. El desempeño funcional con la escala de Oxford (p=0,06); no hubo diferencias estadísticamente significativas entre los grupos.
Resultados tratamiento de las fracturas intertrocantéricas en el Hospital Universitario Mayor MEREDÍ
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Las fracturas intertrocantericas son una importante causa de la morbimortalidad en los adultos mayores. Requieren la mayoria manejo quirurgico. No se ha logrado definir si es mejor el tratamiento con osteosintesis o artoplastia de cadera. Por esta razon decidimos realizar un estudio identificando los resultados en cada uno de los tratamientos con poblacion colombiana en el Hospital Universitario Mayor Mederi. Metodos: Estudio de serie de casos. Se analizó una cohorte retrospectiva de pacientes mayores de 59 años con fractura intertrocantérica en el Hospital Universitario Mayor Méderi. Resultados: Se reportaron un total de 179 pacientes con diagnóstico de fractura intertrocantérica. De los cuales se realizaron 100 osteosíntesis , 20 reemplazos totales de cadera y 59 hemiartroplastias. La mortalidad fueron 11 pacientes que corresponde al 6.1%, 3 fueron hombres y 8 mujeres, en cuanto al procedimiento realizado a 7 pacientes se les realizo osteosíntesis y a los 4 restantes se les realizo hemiartroplastia. En total 7 infecciones las cuales se presentaron respectivamente en 6 osteosíntesis y 1 hemiartroplastia. Discusión: La mortalidad fue mayor en la osteosíntesis con 7 pacientes que equivale al 63,6 % de la mortalidad total del estudio. Los porcentajes de infección postoperatoria fueron mayores en la osteosíntesis , encontrándose que del total de pacientes intervenidos 3,9% se infectaron y de estos el 85,7 % corresponden a osteosíntesis versus 14,3% de hemiartroplastia. El sangrado postoperatorio fue mayor a 500 cc en un 39% de las osteosíntesis y en un 44% en las hemiartroplastias. Conclusión: el tratamiento de las fracturas intertrocantéricas tuvo menor mortalidad y menor porcentaje de infección cuando los pacientes fueron tratados con hemiartroplastia y reemplazo total de cadera.
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Resumen en español
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Resumen tomado de la publicaci??n
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This paper studies the effectiveness of the recorded books and teaching method developed by Dr. Marie Carbo in the aural habilitation of pre-lingual deaf children with cochlear implants.
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This paper discusses the development of a guidebook for parents and teachers of children with cochlear implants.
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This study assesses communication breakdowns in children with cochlear implants from oral and total communications backgrounds. More communication breakdowns occurred between the total communication child and the conversational partner than the oral communication child and the conversational partner. Both total and oral communication children used non-specific repair strategies.
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Spontaneous writing samples of deaf children with cochlear implants were analyzed for syntactic errors and other descriptive characteristics. These results were compared to a small sample of writings from hearing children.
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This study investigates whether deaf children with cochlear implants have oral reading fluency scores comparable to reading-age matched hearing peers. It also examines the reading comprehension skills of deaf children with cochlear implants.
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Is the human body a suitable place for a microchip? Such discussion is no longer hypothetical - in fact in reality it has not been so for some years. Restorative devices such as pacemakers and cochlear implants have become well established, yet these sophisticated devices form notably intimate links between technology and the body. More recent developments in engineering technologies have meant that the integration of silicon with biology is now reaching new levels - with devices which interact directly with the brain. As medical technologies continue to advance, their potential benefits for human enhancement will become increasingly attractive, and so we need to seriously consider where this may take us. In this paper, an attempt is made to demonstrate that, in the medical context, the foundations of more advanced implantable enhancement technologies are already notably progressed, and that they are becoming more science fact than is widely considered. A number of wider moral, ethical and legal issues stem from enhancement applications and it is difficult to foresee the social consequences, the fundamental changes on our very conception of self and the impact on our identity of adoption long term. As a result, it is necessary to acknowledge the possibilities and is timely to have debate to address the wider implications these possibilities may bring.