582 resultados para EDAPHIC MITE
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Terrestrial invertebrates constitute most of described animal biodiversity and soil is a major reservoir of this diversity. In the classical attempt to understand the processes supporting biodiversity, ecologists are currently seeking to unravel the differential roles of environmental filtering and competition for resources in niche partitioning processes: these processes are in principle distinct although they may act simultaneously, interact at multiple spatial and temporal scales, and are often confounded in studies of soil communities. We used a novel combination of methods based on stable isotopes and trait analysis to resolve these processes in diverse oribatid mite assemblages at spatial
scales at which competition for resources could in principle be a major driver. We also used a null model approach based on a general neutral model of beta diversity. A large and significant fraction of community variation was explainable in terms of linear and periodic spatial structures in the distribution of organic C, N and soil structure: species were clearly arranged along an environmental, spatially structured gradient. However, competition related trait differences did not map onto the distances separating species along the environmental gradient and neutral models provided a satisfying approximation of beta diversity patterns. The results represent the first robust evidence
that in very diverse soil arthropod assemblages resource-based niche partitioning plays a minor role while environmental filtering remains a fundamental driver of species distribution.
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Carob is a traditional crop in Mediterranean areas. It exhibits drought resistance (Lo Gullo and Salleo 1988. Nunes et al. 1989) and tolerates different edaphic conditions (Martins-Loução and Brito de Carvalho 1990).
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One of the most common bee genera in the Niagara Region, the genus Ceratina (Hymenoptera: Apidae) is composed of four species, C. dupla, C. calcarata, the very rare C. strenua, and a previously unknown species provisionally named C. near dupla. The primary goal of this thesis was to investigate how these closely related species coexist with one another in the Niagara ~ee community. The first necessary step was to describe and compare the nesting biologies and life histories of the three most common species, C. dupla, C. calcarata and the new C. near dupla, which was conducted in 2008 via nest collections and pan trapping. Ceratina dupla and C. calcarata were common, each comprising 49% of the population, while C. near dupla was rare, comprising only 2% of the population. Ceratina dupla and C. near dupla both nested more commonly in teasel (Dipsacus sp.) in the sun, occasionally in raspberry (Rubus sp.) in the shade, and never in shady sumac (Rhus sp.), while C. calcarata nested most commonly in raspberry and sumac (shaded) and occasionally in teasel (sunny). Ceratina near dupla differed from both C. dupla and C. calcarata in that it appeared to be partially bivoltine, with some females founding nests very early and then again very late in the season. To examine the interactions and possible competition for nests that may be taking place between C. dupla and C. calcarata, a nest choice experiment was conducted in 2009. This experiment allowed both species to choose among twigs from all three substrates in the sun and in the shade. I then compared the results from 2008 (where bees chose from what was available), to where they nested when given all options (2009 experiment). Both C. dupla and C. calcarata had the same preferences for microhabitat and nest substrate in 2009, that being raspberry and sumac twigs in the sun. As that microhabitat and nest substrate combination is extremely rare in nature, both species must make a choice. In nature Ceratina dupla nests more often in the preferred microhabitat (sun), while C. calcarata nests in the preferred substrate (raspberry). Nesting in the shade also leads to smaller clutch sizes, higher parasitism and lower numbers of live brood in C. calcarata, suggesting that C. dupla may be outcompeting C. calcarata for the sunny nesting sites. The development and host preferences of Ceratina parasitoids were also examined. Ceratina species in Niagara were parasitized by no less than eight species of arthropod. Six of these were wasps from the superfamily Chalcidoidea (Hymenoptera), one was a wasp from the family Ichneumonidae (Hymenoptera) and one was a physogastric mite from the family Pyemotidae (Acari). Parasites shared a wide range of developmental strategies, from ichneumonid larvae that needed to consume multiple Ceratina immatures to complete development, to the species from the Eulophidae (Baryscapus) and Encyrtidae (Coelopencyrtus), in which multiple individuals completed development inside a single Ceratina host. Biological data on parasitoids is scarce in the scientific literature, and this Chapter documents these interactions for future research.
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L’aréthuse bulbeuse (Arethusa bulbosa L.) est une orchidée tourbicole rare au Québec de par la petite taille de ses populations et les pressions qui pèsent sur son habitat. L’aréthuse est reconnue comme étant intolérante aux changements édaphiques de son habitat, notamment en regard du drainage. Afin de déterminer si l’aréthuse est une bonne espèce indicatrice de l’intégrité écologique des tourbières, cette étude compare des parcelles où l’espèce est présente et où elle est absente. Au cours des étés 2009 et 2010, 37 tourbières du Québec méridional ont été échantillonnées. Des analyses discriminantes ont mis en évidence les facteurs naturels ou d’origine anthropique qui expliquent le mieux la différence entre les quatre types de parcelles. Aussi, la recherche d’espèces indicatrices de la présence de l’aréthuse a été réalisée grâce à la méthode INDVAL. Les résultats montrent que l’aréthuse pousse principalement dans des tourbières présentant des conditions minérotrophes, ce qui est appuyé par le pH élevé et la présence de plantes indicatrices de minérotrophie dans les parcelles contenant l’aréthuse. Cette dernière semble aussi profiter d’une certaine atténuation de la lumière par des arbres dispersés ou par les strates plus basses. Finalement, certaines perturbations de faible ampleur semblent être bénéfiques pour l’aréthuse, ce qui ne permet pas d’affirmer qu’elle est une bonne espèce indicatrice de l’intégrité écologique des tourbières.
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Le parasite Varroa destructor provoque depuis plus de 30 ans la perte de nombreuses colonies à travers le monde. L’utilisation d’acaricides de synthèse s’est avérée inefficace au Canada et ailleurs dans le monde à la suite de la sélection de varroas résistants. Dans ce contexte, il est devenu impératif de trouver de nouveaux moyens pour contrôler cette peste apicole. Ce travail original de recherche a pour but de déterminer les paramètres fondamentaux d’une lutte intégrée contre la varroase fondée sur l’utilisation périodique de différents pesticides organiques (l’acide oxalique, l’acide formique et le thymol) associée à des seuils d’interventions. Les seuils d’intervention ont été déterminés à l’aide de régressions linéaires entre les taux de parasitisme par V. destructor et la formance zootechnique des colonies d’abeilles mellifères (production de miel et force des colonies). Un total de 154 colonies d’abeilles du Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD) ont été suivies de septembre 2005 à septembre 2006. Les seuils calculés et proposés à la suite de cette recherche sont de 2 varroas par jour (chute naturelle) au début mai, 10 varroas par jour à la fin juillet et de 9 varroas par jour au début septembre. L’efficacité des traitements organiques avec l’acide oxalique (AO), l’acide formique (AF) et le thymol a été vérifiée en mai (avant la première miellée) en juillet (entre deux miellées), en septembre (après la miellée et pendant le nourrissage des colonies) et en novembre (avant l’hivernage). L’acide oxalique a été appliqué en utilisant la méthode d’égouttement (4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v). L’acide formique a été appliquée sous forme de MiteAwayII™ (tampon commercial imbibé d’AF 65% v/v placé sur le dessus des cadres à couvain), Mitewipe (tampons Dri-Loc™ 10/15cm imbibés de 35 mL d’AF 65% v/v placés sur le dessus des cadres à couvain) ou Flash (AF 65% coulé directement sur le plateau inférieur d’une colonie, 2 mL par cadre avec abeilles). Le thymol a été appliqué sous forme d’Apiguard™ (gélose contenant 25% de thymol p/v placée sur le dessus des cadres à couvain). Les essais d’efficacité ont été réalisés de 2006 à 2008 sur un total de 170 colonies (98 appartenant au CRSAD et 72 appartenant au privé). Les résultats montrent que les traitements de printemps testés ont une faible efficacité pour le contrôle des varroas qui sont en pleine croissance durant cette période. Un traitement avec l’AF à la mi-été permet de réduire les taux de parasites sous le seuil en septembre mais il y a risque de contaminer la récolte de miel avec des résidus d’AF. Les traitements en septembre avec le MiteAwayII™ suivis par un traitement à l’acide oxalique en novembre (5 mL par égouttement entre chaque cadre avec abeilles, 4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v) sont les plus efficaces : ils réduisent les niveaux de varroase sous le seuil de 2 varroas par jour au printemps. Nos résultats montrent également que les traitements réalisés tôt en septembre sont plus efficaces et produisent des colonies plus fortes au printemps comparativement à un traitement réalisé un mois plus tard en octobre. En conclusion, ce travail de recherche démontre qu’il est possible de contenir le développement de la varroase dans les ruchers au Québec en utilisant une méthode de lutte intégrée basée sur une combinaison d’applications d’acaricides organiques associée à des seuils d’intervention.
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Dans les dernières années, une explosion de la recherche sur les ARN a eu lieue à cause de nombreuses découvertes démontrant l’importance de l’ARN dans plusieurs processus biologiques. Ainsi, de grandes quantités d’ARN sont devenues indispensables au bon déroulement de plusieurs études, notamment pour la biologie structurale et la caractérisation fonctionnelle. Cependant, il existe encore peu de méthodes de purification simples, efficaces, fiables et produisant un ARN sous forme native. Dans les dernières années, le laboratoire Legault a mis au point une méthode de purification par affinité utilisant une étiquette ARiBo pour la purification d’ARN transcrits in vitro par la polymérase à ARN du phage T7. Cette méthode de purification d’ARN a été spécifiquement développée pour maximiser la pureté et le rendement. De plus, elle est très rapide et fonctionne avec plusieurs types d’ARN. Cependant, comme plusieurs autres méthodes de purification, cette méthode produit des ARN avec des extrémités 5′ hétérogènes. Dans ce mémoire, des solutions sont proposées pour remédier au problème d’hétérogénéité en 5ʹ′ des ARN transcrits avec la polymérase à ARN du phage T7 et purifiés par la méthode ARiBo. La première solution consiste à choisir la séquence en 5′ parmi celles des 32 séquences testées qui ne présentent pas d’hétérogénéité en 5ʹ′. La seconde solution est d’utiliser une étiquette clivable en 5ʹ′ de l’ARN d’intérêt, tel que le ribozyme hammerhead, déjà utilisée pour ce genre d’application, ou le système CRISPR/Cse3 que nous proposons dans l’article présenté dans ce mémoire. De plus, nous avons adapté la méthode ARiBo pour rendre possible la purification d’un long ARN de 614 nt, le polycistron miR-106b-25. Nous avons également démontré la possibilité d’utiliser la méthode ARiBo pour l’isolation de protéines qui se lient à un ARN donné, le précurseur de miRNA pre-miR-153-2. En conclusion, ce mémoire démontre la possibilité d’adapter la méthode ARiBo à plusieurs applications.
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Short summary: This study was undertaken to assess the diversity of plant resources utilized by the local population in south-western Madagascar, the social, ecological and biophysical conditions that drive their uses and availability, and possible alternative strategies for their sustainable use in the region. The study region, ‘Mahafaly region’, located in south-western Madagascar, is one of the country’s most economically, educationally and climatically disadvantaged regions. With an arid steppe climate, the agricultural production is limited by low water availability and a low level of soil nutrients and soil organic carbon. The region comprises the recently extended Tsimanampetsotsa National Park, with numerous sacred and communities forests, which are threatened by slash and burn agriculture and overexploitation of forests resources. The present study analyzed the availability of wild yams and medicinal plants, and their importance for the livelihood of the local population in this region. An ethnobotanical survey was conducted recording the diversity, local knowledge and use of wild yams and medicinal plants utilized by the local communities in five villages in the Mahafaly region. 250 households were randomly selected followed by semi-structured interviews on the socio-economic characteristics of the households. Data allowed us to characterize sociocultural and socioeconomic factors that determine the local use of wild yams and medicinal plants, and to identify their role in the livelihoods of local people. Species-environment relationships and the current spatial distribution of the wild yams were investigated and predicted using ordination methods and a niche based habitat modelling approach. Species response curves along edaphic gradients allowed us to understand the species requirements on habitat conditions. We thus investigated various alternative methods to enhance the wild yam regeneration for their local conservation and their sustainable use in the Mahafaly region. Altogether, six species of wild yams and a total of 214 medicinal plants species from 68 families and 163 genera were identified in the study region. Results of the cluster and discriminant analysis indicated a clear pattern on resource, resulted in two groups of household and characterized by differences in livestock numbers, off-farm activities, agricultural land and harvests. A generalized linear model highlighted that economic factors significantly affect the collection intensity of wild yams, while the use of medicinal plants depends to a higher degree on socio-cultural factors. The gradient analysis on the distribution of the wild yam species revealed a clear pattern for species habitats. Species models based on NPMR (Nonparametric Multiplicative Regression analysis) indicated the importance of vegetation structure, human interventions, and soil characteristics to determine wild yam species distribution. The prediction of the current availability of wild yam resources showed that abundant wild yam resources are scarce and face high harvest intensity. Experiments on yams cultivation revealed that germination of seeds was enhanced by using pre-germination treatments before planting, vegetative regeneration performed better with the upper part of the tubers (corms) rather than the sets of tubers. In-situ regeneration was possible for the upper parts of the wild tubers but the success depended significantly on the type of soil. The use of manure (10-20 t ha¹) increased the yield of the D. alata and D. alatipes by 40%. We thus suggest the promotion of other cultivated varieties of D. alata found regions neighbouring as the Mahafaly Plateau.
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Se complementa con un cuaderno de campo cuyo registro es 17980051
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Procedimiento que sigue el escolar al resolver un problema matem??tico. Campo heur??stico y formas arquet??picas. Escolares de quinto curso de EGB de la ciudad de Santander escogidos al azar. 102 ni??os de 4 colegios. Despu??s se reducen a 20 ni??os sin p??rdida de representatividad. Establecimiento de actos protot??picos por los cuales los ni??os resuelven sus problemas y ejercicios. Se establecen 5 ??reas: Conjuntos, Numeraci??n, C??lculo, Magnitudes y Geometr??a; los problemas se obtienen de un modo aleatorio, escogidos por los profesores de los colegios pertenecientes a la muestra. 20 problemas escogidos se presentan a los alumnos eligiendo aquellos resueltos por el 60-75 por ciento de los escolares, tomando uno de cada ??rea. Se reduce la muestra por el m??todo de elecci??n al azar. Se reelaboran los 4 problemas y se registra la conducta de los escolares en su resoluci??n. Parejas de observadores adiestrados, registros auditivos y visuales, c??digos de registro. T de Student, coeficiente de Scott, matrices de transaci??n y c??lculo de vectores l??mite. No aparecen. Faltan ??stas p??ginas.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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Presentació d’un dossier que tracta l’acostament crític a la figura del bisbe Narcís i als prodigis que li han estat atribuïts, així com a la producció historiogràfica i artística que ha generat el mite
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Resumen tomado del autor. Esta comunicaci??n se enmarca dentro del proyecto de investigaci??n 'Educaci??n y socializaci??n en valores : aproximaci??n al an??lisis cualitativo de la evoluci??n de los valores presentes en las pr??cticas educativas y socializadoras vigentes dentro y fuera de la escuela desde la II Rep??blica espa??ola hasta la actualidad en la Comunitat Valenciana (1931-2004)', financiado por la Conselleria de Cultura, Educaci?? i Esport de la Generalitat Valenciana
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Investigar si el mecanismo de selecci??n l??xica en el nivel de palabra responde a una inhibici??n que la unidad que representa al 'imput' env??a a otras unidades tambi??n activadas. Saber adem??s, si el conjunto de candidatos l??xicos que compiten entre s?? se han activado a partir de unidades sil??bicas prel??xicas o por el contrario en base a unidades ortogr??ficas. Todo ello a trav??s de tareas en las que est?? implicada la funci??n lectora.. 243 alumnos de Psicolog??a participaron en los 7 experimentos que consta la presente investigaci??n.. En el primer experimento se ha puesto en evidencia que la s??laba se relaciona con los mecanismos de activaci??n e inhibici??n de candidatos l??xicos. En la serie de experimentos del segundo al quinto hemos tratado de ver cu??les son las condiciones id??neas bajo las que el est??mulo ser??a procesado utilizando como unidades prel??xicas s??labas. En el experimento dos la inhibici??n de nivel de letra no tiene ninguna influencia en el reconocimiento del est??mulo y hemos comprobado que son las unidades sil??bicas las que mantienen el contacto con el nivel l??xico superior. Tambi??n se ha comprobado que la frecuencia del contexto modula el tipo de unidades a utilizar en la relaci??n con el l??xico. Si el contexto es de baja frecuencia las unidades sil??bicas ejercen su efecto sobre el l??xico. Si el contexto es de alta frecuencia se utiliza la letra en su relaci??n con el l??xico ortogr??fico. En el experimento 5 se ha comprobado que existe un nivel l??xico ortogr??fico, que se desarrolla aproximadamente en los primeros 100 ms. y un segundo nivel sil??bico que se desarrolla a los 250 ms. aprox. Los resultados del experimento 6 apoyan un an??lisis del est??mulo auditivo en unidades sil??bicas y que la influencia de este an??lisis ha sido recogida en el nivel l??xico, lo que quiere decir que est?? relacionado con el acceso l??xico. Por los resultados del experimento 7 parece que no es la estructura de la s??laba lo que est?? produciendo la inhibici??n del experimento anterior. Parece ??nicamente el l??mite de la s??laba, su consideraci??n como un bloque con una longitud determinada, lo que est?? codificando el sujeto o lo que al menos, influye en la lectura del est??mulo test.. Cuando el est??mulo test se presenta auditivamente y toda su influencia ortogr??fica queda descartada, la s??laba es el ??nico patr??n subl??xico que parece producir efectos inhibitorios en la tarea de decisi??n l??xica utilizada. A la luz de estos datos apoyamos un modelo que no s??lo considera dos l??xicos, uno fonol??gico y otro ortogr??fico con conexiones inhibitorias intral??xicas, sino que deber??a a??adirse conexiones inhibitorias interl??xicas que dieran cuenta de la inhibici??n obtenida en estos experimentos en la lectura de una palabra que ha sufrido una previa influencia auditiva. Respecto a las unidades prel??xicas a tener en cuenta en el modelo, ser??a necesario considerar la s??laba como un nivel prel??xico que se relaciona con el l??xico mediante conexiones excitatorias. Esto no ha sido considerado por ning??n otro modelo que nosotros conozcamos, excepto el ya cl??sico de Spoehr y Smith /1973-1975/..
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Dossier
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La finalidad de la investigaci??n es profundizar en el conocimiento de la supervisi??n de las pr??cticas, como elemento clave de la formaci??n profesional del estudiante, adem??s de constatar si cumplen una funci??n formativa o es un tr??mite formal. El dise??o de la investigaci??n comprende la realizaci??n de varios estudios estad??sticos y un estudio de casos, cada uno de ellos cuenta con unos instrumentos espec??ficos. Los resultados se agrupan en diversos apartados: la concepci??n de la pr??ctica, complejidad de la funci??n supervisora, la coordinaci??n, la cualificaci??n y formaci??n espec??fica de los agentes de la supervisi??n. En el apartado de conclusiones destaca, entre otros aspectos, que los resultados de los estudios emp??ricos difieren de los del estudio de casos, despu??s de analizar estas diferencias, finaliza con unas reflexiones..