999 resultados para Mare de Déu del Puig-Culte
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Sign. : A-H8, I4
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Frontis calc. de la Virgen : "B. Suñer lo dibº, V. Capilla lo grab."
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El presente trabajo se centra en el estudio del papel que juega el control visual del espacio en las prácticas sociales de las comunidades prehistóricas. Este trabajo se articula a partir de un estudio de caso, el término municipal de Calviá, situado en el sureste de la isla de Mallorca, para analizar las diferentes formas de monumentalidad arquitectónica y cómo estas se constituyen cómo un punto de referencia social dentro del paisaje. Partiendo de una amplia horquilla temporal, que abarcaría el Bronce Naviforme (1550-850 AC), el período Talayótico (850-550 AC) y el Postalayótico (550-123 AC), se propone analizar los cambios y pervivencias en la construcción del paisaje, a través de estrategias de visibilidad, percepción y movimiento alrededor de los monumentos arquitectónicos. A través de la perspectiva de la Arqueología del Paisaje y mediante el uso de Sistemas de Información Geográfica (SIG) se propone un análisis de tendencias a largo plazo en la configuración social de un paisaje.
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Research surrounding the transition from II to I millennium cal BC in Eastern Iberian Peninsula has a large and extensive tradition of investigation. However, the chances to do research on this historical process have been limited by the lack of a well contextualized and dated stratigraphic sequence. For this reason, recent studies in this topic have followed the periodic proposals which were developed in closer regions and areas, especially in the South East and North East of the Peninsula. The investigation perspective about the Late Bronze in Eastern Iberian has however now improved, with the development of several archaeological investigations, the increase in the number of sites being dated and more recent studies into the region helping to bring about this change. As such, it is now in the correct state to be able to propose a new periodization and delve into the changes which occurred in the transition between 1500 and 725 cal BC.
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Référence bibliographique : Toledano, Marieschi, 1g
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Considérations méthodologiques Nous avons limité aux précisions indispensables à la compréhension de notre propos les considérations sur la gigantomachie en général. Nous renvoyons aux études signalées plus haut (supra, p. 7, n. 2), principalement pour ce qui concerne les géants avant leur transformation en anguipèdes à partir de l'époque hellénistique. Notre recherche de parallèles reposera sur quelques oeuvres d'art encore existantes : les sculptures décorant les plus importantes d'entre elles feront dès lors figure d'archétype, même si, bien sûr, rien ne permet d'exclure qu'il en ait existé de plus significatives. Parmi les nombreux monuments aujourd'hui disparus, respectivement parmi ceux qui seraient encore à découvrir, il s'en trouvait sans doute qui auraient été susceptibles de servir de modèle pour les sculptures ornant le fanum de Lousonna, duquel bien peu de restes nous sont parvenus. A l'exception de quelques renvois ponctuels, notre démarche s'est appuyée exclusivement sur du matériel et des informations déjà publiés. Pour la reconstitution des bas-reliefs de Lousonna, nous nous sommes inspiré généralement de sculptures hellénistiques et romaines dont l'ornementation présentait des similitudes avec les fragments à notre disposition ; la plupart des parallèles sont mentionnés dans le Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae. L'examen des volumes du Corpus Signorum Imperii Romani et de quelques autres recueils nous a permis de faire des propositions pour les cas restés en suspens. A une exception près, l'échantillonnage aéré formé à partir d'ensembles sculptés qui devaient avoir les mêmes caractéristiques que le matériel que nous tenterons d'identifier : ils comportaient des monstres anguipèdes avec les jambes se terminant par la tête du serpent, remontant au plus tard à la fin de la période romaine et produits dans un atelier gréco-romain. Afin de recréer avec le plus de vraisemblance possible l'environnement du fanum de Lousonna, nous avons recherché des édifices de caractéristiques semblables dans les catalogues de temples gallo-romains dressés par P. D. HORNE et A. C. KING (1980), respectivement I. FAUDUET et P. ARCELIN (1993). Tant l'absence presque complète de restes architecturaux susceptibles d'être rapportés à l'édifice religieux que la nature somme toute modeste du vicus lémanique nous ont fait opter pour une variante minimaliste, se limitant finalement à la structure supportant la gigantomachie devant un temple sans aucune décoration. Pour tenter de préciser les modalités de la transmission du thème des géants, nous envisagerons trois cheminements possibles : la tradition orale, la transmission littéraire et, enfin, la représentation iconographique, qu'il s'agisse de monuments, d'objets mobiliers ou même des quelques rares illustrations de textes antiques. Sauf indication contraire, les textes anciens sont cités dans les traductions des Belles-Lettres, des Sources chrétiennes ou de la Loeb Classical Library dont la liste figure à la page 161. La version française des textes dont aucune traduction n'était disponible est généralement due à François Mottas (traduction F.M.). Nous ne reportons les dates de naissance des auteurs ou des artistes mentionnés que lorsqu'elles sont utiles à la compréhension de notre exposé. En plus du rôle qu'ont pu jouer les oeuvres d'art disparues au cours des deux derniers millénaires, divers facteurs ont dû assurer la constitution et la mise au point d'un imaginaire de plus en plus élaboré des gigantomachies. La mémoire a certes sa part dans l'inspiration des artistes qui réalisèrent les sculptures de la cité lémanique; mais si un mythe ou le récit d'un événement peuvent s'être transmis de bouche à oreille au cours des siècles, certaines ressemblances dans l'attitude des personnages sont trop frappantes, même en tenant compte de ces gestes qu'il n'existe qu'une seule façon de représenter: il n'est dès lors pas possible d'imaginer que la transmission des détails des scènes se serait pratiquée uniquement par voie orale. Si le voyage touristique; tel que nous l'entendons de nos jours, n'a pas existé, les personnes susceptibles d'avoir ramené des informations de leurs déplacements à travers l'Empire sont plus nombreuses qu'on ne le croirait au premier abord. Fonctionnaires allant prendre leur charge ou en mission dans une contrée voisine; soldats, parmi lesquels des mercenaires gaulois; pèlerins ayant visité de grands sanctuaires, comme celui d'Esculape à Pergame, emplacement de la gigantomachie la plus impressionnante, ou d'autres lieux de culte; jeunes fortunés ayant étudié à Athènes; commerçants accompagnés par des muletiers ou des portefaix acheminant leurs marchandises; membres de corporations ou artisans exerçant des métiers itinérants; esclaves, dont l'exportation devait représenter une source de revenus intéressante pour les commerçants romains; en dernier lieu, sans parler des artistes eux-mêmes, ces arpenteurs-géomètres chargés de toutes sortes de relevés qui accompagnaient les empereurs lors de leurs déplacements (infra, p. 36). Il faudra cependant rester prudent quant à l'affirmation d'une connaissance visuelle directe que les sculpteurs de Lousonna auraient eue des réalisations antiques avec lesquelles nous mettrons la gigantomachie en parallèle. Même si elle n'a toujours pas pu être prouvée, la circulation de cahiers de modèles semble bel et bien assurée: dans un atelier, les maîtres ont forcément passé leurs croquis à leurs successeurs et ceci s'est peut-être répété pour plusieurs générations d'artisans. Sans parler des monnaies, d'autres moyens de transmission peuvent encore être mentionnés : éventuelles éditions illustrées de textes antiques, motifs gravés sur des gemmes ou représentés sur des récipients décorés... Une observation s'impose ici : la plupart des monuments que nous utiliserons pour notre reconstitution existaient encore lors de l'érection de notre gigantomachie. Une fois les bas-reliefs de Lousonna reconstitués, restait donc à combler l'absence de toute étude sur la survie de la gigantomachie à travers les âges et à préciser l'emploi qui en serait fait à la Renaissance. Divers recueils d'ouvrages consacrés à la mythologie et remontant à cette période nous ont permis de décrire les modalités de la reprise du récit de la guerre des géants; en l'absence de toute synthèse sur ceux-ci dans la peinture de la Renaissance, c'est en partant de l'examen des nombreux travaux consacrés au Palazzo del Te à Mantoue que nous avons pu établir un lien entre les représentations de géants peintes durant la première moitié du 16ème siècle, au cours duquel la gigantomachie était redevenue un sujet d'actualité. Le monument de la bourgade lémanique comporte encore neuf personnages et constitue, avec celui d'Yzeures-sur-Creuse, l'exemplaire le plus complet découvert dans la partie occidentale de l'Empire romain : il méritait bien d'être à l'origine d'une telle démarche.
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Copiato nell'Italia del Nord verso il 1350, il manoscritto Ferrell 5 è oggi il solo testimone della "Continuation du Roman de Meliadus" che racconta le avventure di Artù, di Meliadus il padre di Tristano, e del Buon Cavaliere senza Paura padre di Dinadan, partiti alla ricerca di Morholt, prigioniero su di un'isola lontana. Ora, questa inchiesta è solo un pretesto: al centro dell'interesse dei tre re non sta tanto l'avventura promessa quanto i racconti che essi collezionano in occasione dei diversi scali di questo viaggio per mare, durante il quale non succede quasi niente. La ricerca di Morholt agisce quale racconto-cornice che non solo mette in scena le condizioni della presa di parola da parte dei cavalieri-narratori e organizza i racconti, anzi li drammatizza, ma funziona anche da matrice che informa, feconda e rigenera questi stessi racconti. Quanto all'isolamento, imposto dalla navigazione, esso permette lo sbocciare di una piccola ma prestigiosa società di narratori che non ha nulla da invidiare a quella delle raccolte di novelle. Così, un racconto dopo l'altro, si definisce un'arte di narrare che espone ed esplora i legami tra valore del racconto e bontà della cavalleria: la perfezione poetica, fonte del piacere estetico, è solo l'altra faccia della perfezione cavalleresca.
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Aquest treball pretén esbrinar fins a quin punt se segueixen els criteris teòrics establerts pels autors catalans del Renaixement en la literatura catalana de ficció del segle XVI. Per examinar l'adequació als models proposats pels humanistes he triat una obra anònima de caràcter paròdic escrita en forma d'epístoles entre dos llauradors de l'Horta de València, Les estil·lades y amoroses lletres trameses per Berthomeu Sirlot a la sua senyora, y per ella a ell. El procediment de treball consistirà a analitzar com els teòrics del Renaixement de l'àrea catalanoparlant van interpretar i assimilar en la seva obra alguns dels conceptes més importants de les poètiques i les retòriques dels clàssics grecs i llatins (els principis d'imitació, decòrum, harmonia i ordre), en aquest cas Aristòtil i Horaci, i si l'autor anònim de Les estil·lades y amoroses lletres els va tenir en compte a l'hora de compondre la seva obra. A la vegada, en tractar-se d'una paròdia satírica amb clara voluntat humorística, aquesta anàlisi també pot donar compte de quina opinió tenien els intel·lectuals catalans del Renaixement sobre la ficció i l'humor.
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El present treball presenta una descripció etnogràfica del barri d'El Xup (Manresa), on es presenta el barri i es parla especialment de la seva escola pública. També s'exposen les estratègies adoptades per la Generalitat de Catalunya per fer front, en les escoles catalanes, al notable increment d'alumnat immigrat a les aules.
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Report for the scientific sojourn carried out at the Institut National d'Histoire de l'Art (INHA), France, from 2010 to 2012. It has focused on the analysis and editing of tales of human apparitions from the other world belonging to the Catalan culture or referring to it. We have studied and edited different versions of the process of Esperança Alegre (Lleida, 1500) and the Peregrinació del Venturós Pelegrí. These medieval works have been preserved in sources of the late sixteenth century or later. We have located a manuscript of the Esperança Alegre's tale, unknown to us at the beginning of this research (Biblioteca Nacional de España, ms. 1701), which differs from the version of ms. Baluze 238 of the Bibliothèque Nationale de France. The scribe of the ms. 1701 adds several paragraphs where considers the case as a diabolical phantasmagoria. About the Venturós Pelegrí, we have tried to establish firm criteria for the classification of many editions from the seventeenth to nineteenth centuries. We have been looking for printed books in the libràries of the world and we have made several requests for photographic reproductions, in order to classify undated editions by comparing woodcuts and other decorative elements. In the legend of Prince Charles of Viana (1421-1461), the appearances of his ghost are accompanied by rumors of his poisoning and of his sanctity. In addition, we have studied the cycles of masses for the souls in Purgatory linked to the hagiographies of St. Amadour and St. Vincent Ferrer, as well as the appearances described in L'Ànima d’Oliver of Francesc Moner, in the Carmelite chronicles of Father John of St. Joseph (1642-1718) and in some folktales collected from the eighteenth to the twentieth century. All this have allowed us to verify the evolution of certain cultural paradigms since the Middle Ages to the present.