913 resultados para Literary forgeries and mystifications


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Literary texts offer rich opportunities for language learning. However, can second language (L2) learners fully understand L2 literary texts? According to Bernhardt (2001):"the act of reading in a second language is extremely tricky -- is even trickier with literary texts that are inherently ambiguous, full of metaphor and intertextual relations to texts to which the readers have no access" (p.198). In other words, L2 readers are often poorly equipped grammatically, linguistically and culturally to cope with literary texts in which it might be difficult to recognize figurative language, to comprehend metaphors, to identify underlying cultural assumptions and above all to think critically while navigating those complexities. Therefore, during the reading process, L2 readers encounter gaps in the text which necessarily compel them to use whatever background knowledge they possess in order to create meaning. The purpose of this research is to see exactly how post-secondary L2 readers use their existing background knowledge to understand literary texts and what they do when confronted with text passages for which they lack such knowledge.

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Abstract: The project for researching the role played by libraries in canon-formation (namely through their policies regarding the creation, organization, preservation, and utilization of the collections) will be presented and discussed. We selected the Library of the Faculty of Humanities, Lisbon University, a modern academic library, created in 1859, by royal decree of D. Pedro V, following his canonical choice. Actually, the two contemporary rulers of new Britannia— Prince Albert, his cousin, and Queen Victoria—held this king in high consideration for his outstanding contribution to Portuguese modernisation. Representing various fields of study, the collections were decisive to canon-formation in the Faculty of Humanities. Thus, we have been trying to answer the following questions: who has been creating, organizing, preserving, and utilizing the collections, from the mid-nineteenth century onwards? When, where and how? Presently, we are studying the collections in English, namely the works belonging or referring to the long nineteenth century. Richard Garnett’s “The International Library of Famous Literature” (London, 1899) is our first case-study. The anthology determined the Western literary, cultural and visual canon at the turning of the century, as evidenced by comparing it to the Portuguese and Spanish editions, published at the beginning of the twentieth century.

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May Sinclair was one of the most widely read and successful English women novelists of the first half of the twentieth century. She had interests and themes in common with many of those now considered to have been at the heart of English modernism. In terms of formal experimentation too her concerns chime with the aesthetic innovations of, for example, pound, Eliot and Woolf. Her early interest in psychoanalysis and support for the suffrage campaign also mark her out as a modern. Despite some work from feminist literary critics and her partial categorisation as modernist, however, her work still lacks a critical framework within which it can be read. Indeed, some of the work done by feminist critics on her has paradoxically re-marginalised her. In this thesis I aim to provide one critical framework through which Sinclair's work can be read. My contention is that the occluding of one aspect of her work and thought- its movement toward intellectual, emotional and aesthetic wholeness - has marred previous critical readings of her. By paying attention to this through a focus on discourses of cure, this thesis reads Sinclair's work with an awareness of its language, cultural context and intertextual relations. Early twentieth-century medical discourse, psychoanalysis, mysticism, the chivalric and the psychical are all used to read the works. At the same time, my aim is to read Sinclair's work without eliding its difficulties. Rather, I aim to read her in a way that acknowledges the difficulties of and fraught moments in her writing as markers of its significance.

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Résumé Cet ouvrage examine les fondements du mouvement de conservation architecturale moderne. Dans ce contexte, la création de la « Society for the Protection of Ancient Buildings » par William Morris est considéré comme le point culminant d’un processus historique qui mena à l’apparition du mouvement. Sa genèse est présentée comme ayant été le résultat d’une confrontation entre deux visions utopiques du moyen-âge; celle de l’Église Anglicane et celle de William Morris. Un survol détaillé des origines, des résultats et des effets de la « Renaissance Gothique » ouvre tout grand sur les sources littéraires, idéologiques et religieuses qui y donnèrent sa force. Les grands programmes de restaurations qui ont vu le jour en Angleterre à l’ère victorienne sont examinés en relation avec l’Église Anglicane et caractérisés par les motivations idéologiques de celle-ci. Bien que ce memoire ne réussit pas à démontré de manière sans équivoque que la création du mouvement de conservation architectural moderne par Morris fut essentiellement en reaction au programme idéologique de l’Église Anglicane au dix-neuvième siècle, nous y retrouvons néanmoins une réévaluation des causes et de l’impact de la « Renaissance Gothique » qui, de manière significative, allaient à l’encontre des croyances et des principes les plus chers à Morris. Il existe une quantité admirable d’ouvrages examinant les travaux et l’impact de William Morris en littérature et en arts, ainsi que son activisme socialiste. Cependant, il serait juste de constater qu’en comparaison, la grande contribution qu’il apporta à la protection de l’architecture patrimoniale a certainement été négligée dans les publications à son sujet. Ce projet de recherche examine les éléments et les conditions qui ont motivé Morris à créer un mouvement qui encore aujourd’hui continue de croitre en importance et en influence.

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En 1993, l’église du monastère Humor et six autres églises du nord de la Moldavie (Roumanie) ont été classifiés comme patrimoine de l'UNESCO, en particulier en raison de leurs caractéristiques iconographiques et architecturales uniques. Construit au seizième siècle, le monastère Humor est devenu un riche centre religieux et culturel sous le patronage du prince Petru Rares de Moldavie. Ce centre a encouragé les innovations architecturales ecclésiales, ainsi qu’un programme très prolifique de fresques, extérieures et intérieures, exprimant une créativité au-delà du canon de la peinture de l'époque. La présente thèse est concentrée sur ces innovations architecturales et iconographiques, comprises à la lumière du contexte historique de ce moment unique dans l'histoire de la Moldavie, dans le siècle qui suivit la chute de Constantinople (1453). Tandis que la première partie de la thèse est concentrée sur ces circonstances historiques, et plus précisément sur l'impact du patronage du Prince Rares, la deuxième partie de la recherche est concentrée sur l'analyse des sources littéraires et de la théologie d’une série unique de fresques, placé dans la gropnita (chambre funéraire) de l’église monastique d’Humor, évoquant la vie de la Mère de Dieu. La série est un exemple extraordinaire d’interaction des textes, le Protévangile de Jacques et le Synaxarion, avec l'iconographie. Une attention particulière à l'iconographie du monastère Humor démontre le besoin de la corrélation entre texte et icône d'une part, ainsi que la nécessité d’une corrélation entre les études théologiques, l'art et l’histoire d’autre part. Un autre avantage de la recherche est de contribuer à une appréciation plus riche des trésors culturels et religieux des communautés chrétiennes de l'Europe de l'Est aux points de vue religieux et culturel, en réponse à leur reconnaissance comme patrimoine de l’UNESCO.

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Ce mémoire comprend deux volets : une étude théorique et un texte de création littéraire. Dans un premier temps, il s’agir d’étudier le rôle du désir dans la démarche thématique et philosophique employée par l’écrivain Wilson Harris dans son roman The Palace of the Peacock. Ainsi démonterons-nous dans le premier chapitre que Harris se sert – de façon paradoxale – du désir empirique pour faire valoir les limites mêmes de celui-ci. Nous aborderons dans le deuxième chapitre le rapport problématique qu’entretient, chez Harris, la subjectivité féminine avec la subjectivité masculine. En particulier, nous examinerons la représentation de ce rapport sous la forme de métaphores ayant trait à l’environnement et à l’anatomie. Nous avancerons que le caractère problématique que revêt le rapport entre subjectivités féminine et masculine dans le roman est en quelque sorte nécessitée par l’écriture même de Harris. Dans le troisième chapitre, nous prendrons part aux débats sur la poétique qui animent la littérature contemporaine afin de situer notre propre élan vers la création littéraire. En même temps, nous entreprendrons une tentative de récupération de certains des concepts théoriques formulés par Harris, en lien avec notre propre poétique. S’ensuivra notre projet de création littéraire, intitulé HEROISM/EULOGIES, qui constitue le quatrième et dernier chapitre du mémoire. Ce texte, extrait d’un projet d’écriture créative plus vaste, trace les mouvements d’un certain nombre de sujets à travers une Amérique imaginée.

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Ce mémoire se focalise sur la pièce Antony and Cleopatra de Shakespeare en relation avec la pensée biblique, l’humanisme de la Renaissance et les caractéristiques de la tragédie comme genre littéraire et philosophie grecque. La chute d’Adam et Eve dans la Bible, ainsi que le conflit entre le héros tragique et les dieux, sont deux thèmes qui sont au centre de ce mémoire. Le mythe de la chute d’Adam et Eve sert, en effet, d’un modèle de la chute—et par conséquent, de la tragédie—d’Antoine et Cléopâtre mais aussi de structure pour ce mémoire. Si le premier chapitre parle de paradis, le deuxième évoque le péché originel. Le troisième, quant à lui, aborde une contre-rédemption. Le premier chapitre réfère à l’idée du paradis, ou l’Éden dans la bible, afin d’examiner ce qui est édénique dans Antony and Cleopatra. La fertilité, l’épicuréisme, l’excès dionysien sont tous des éléments qui sont présents dans la conception d’un Éden biblique et Shakespearien. Le deuxième chapitre est une étude sur la tragédie comme genre fondamentalement lié à la pensée religieuse et philosophique des grecs, une pensée qui anime aussi Antony and Cleopatra. Ce chapitre montre, en effet, que les deux protagonistes Shakespeariens, comme les héros tragiques grecs, défient les dieux et le destin, engendrant ainsi leur tragédie (ou ‘chute’, pour continuer avec le mythe d’Adam et Eve). Si le deuxième chapitre cherche à créer des ponts entre la tragédie grecque et la tragédie Shakespearienne, le troisième chapitre montre que le dénouement dans Antony and Cleopatra est bien différent des dénouements dans les tragédies de Sophocle, Euripide, et Eschyle. Examinant la pensée de la Renaissance, surtout la notion d’humanisme, la partie finale du mémoire présente les protagonistes de Shakespeare comme des éternels rebelles, des humanistes déterminés à défier les forces du destin.

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La nature iconoclaste de l'ère postmoderne se manifeste dans une révolution contre les normes littéraires préétablies. Cet iconoclasme est plus flagrant dans la fantaisie urbaine. Dans un environnement désordonné, fragmenté et très stéréotypé, la fantaisie urbaine est considérée comme un événement qui défie tout jugement, et toute stratification sociale. Bien qu'elle ait été bien accueillie par les lecteurs et qu'elle a obtenue de fortes ventes, c'est seulement depuis deux décennies que ces genres ont commencé à attirer l'attention académique. Ce travail peut être considéré comme une tentative pour comprendre la fantaisie urbaine à travers la série d'une de ses écrivains les plus éminents, Laurell K. Hamilton. En conséquence, j’ai choisi trois romans de sa série Anita Blake: Guilty Pleasures (1993), Circus of the Damned (1995) et Blue Moon (1998). Les paramètres stylistiques et thématiques dans ses romans créent une philosophie postmoderne de subversion, qui valide et invalide les discussions sur la structure du signe, la violence, et la réaction du lecteur. Le premier chapitre étudie la construction du sens à travers la structure de la langue de la fantaisie urbaine. Il traite la signification que le résultat de l'interaction entre les différents signes linguistiques. Il suit également l'évolution de ce que Derrida appelle «inflated signs», qui sont au coeur de la régénération du sens à travers les romans. La saturation dans ces signes implique une «absence» qui s'affiche à travers la désintégration du système de la langue et les ruptures récurrentes de sa structure globale. Le deuxième chapitre se concentre sur les tendances de la violence dans les romans de la fantaisie urbaine qui rendent les jeux de pouvoir des personnages truculents et leurs réactions apparaissent inadmissibles. Il examine la violence par rapport à ses causes et sa ii logique. Grâce aux concepts de Derrida de l’‘arché-violence’, de ‘décision’ et de ‘sacrifice,’ je démontre que la violence est inévitable dans le monde créé de Hamilton et dans le monde qu'elle simule. Le troisième chapitre examine la réaction du lecteur sur les événements exotiques et la caractérisation paranormale des romans de Hamilton. Il révèle comment la fantaisie urbaine conteste la conception de Wolfgang Iser de réaction du lecteur et le concept d'‘apparence’ de Jean Baudrillard. J’insiste sur le fait que les lecteurs de la fantaisie urbaine ne sont plus des interprètes ou des réceptifs passifs d'images paranormaux. En effet, l'interaction entre l’auteur et le lecteur, que ces romans entrainent, défie ces conceptions réductrices de la réaction du lecteur.

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La présente étude conduit les traditions fragmentées de la culture littéraire de Trieste vers les préoccupations contemporaines de la littérature mondiale à l’époque actuelle où la mondialisation est largement perçue comme le paradigme historique prédominant de la modernité. Ce que j’appelle la « littérature globalisée » renvoie à la refonte de la Weltliteratur – envisagée par Goethe et traduite comme « world literature » ou la « littérature universelle » – par des discours sur la culture mondiale et le post-nationalisme. Cependant, lorsque les études littéraires posent les questions de la « littérature globalisée », elles sont confrontées à un problème : le passage de l’idée universelle inhérente au paradigme de Goethe entre le Scylla d’un internationalisme relativiste et occidental, et le Charybde d’un mondialisme atopique et déshumanisé. Les spécialistes de la littérature mondiale qui tendent vers la première position acquièrent un fondement institutionnel en travaillant avec l’hypothèse implicite selon laquelle les nations sont fondées sur les langues nationales, ce qui souscrit à la relation entre la littérature mondiale et les littératures nationales. L’universalité de cette hypothèse implicite est réfutée par l’écriture triestine. Dans cette étude, je soutiens que l’écriture triestine du début du XXe siècle agit comme un précurseur de la réflexion sur la culture littéraire globalisée du XXIe siècle. Elle dispose de sa propre économie de sens, de sorte qu’elle n’entre pas dans les nationalismes littéraires, mais elle ne tombe pas non plus dans le mondialisme atopique. Elle n’est pas catégoriquement opposée à la littérature nationale; mais elle ne permet pas aux traditions nationales de prendre racine. Les écrivains de Triestine exprimaient le désir d’un sentiment d’unité et d’appartenance, ainsi que celui d’une conscience critique qui dissout ce désir. Ils résistaient à l’idéalisation de ces particularismes et n’ont jamais réussi à réaliser la coalescence de ses écrits dans une tradition littéraire unifiée. Par conséquent, Trieste a souvent été considérée comme un non-lieu et sa littérature comme une anti-littérature. En contournant les impératifs territoriaux de la tradition nationale italienne – comme il est illustré par le cas de Italo Svevo – l’écriture triestine a été ultérieurement incluse dans les paramètres littéraires et culturels de la Mitteleuropa, où son expression a été imaginée comme un microcosme de la pluralité supranationale de l’ancien Empire des Habsbourg. Toutefois, le macrocosme projeté de Trieste n’est pas une image unifiée, comme le serait un globe; mais il est plutôt une nébuleuse planétaire – selon l’image de Svevo – où aucune idéalisation universalisante ne peut se réaliser. Cette étude interroge l’image de la ville comme un microcosme et comme un non-lieu, comme cela se rapporte au macrocosme des atopies de la mondialisation, afin de démontrer que l’écriture de Trieste est la littérature globalisée avant la lettre. La dialectique non résolue entre faire et défaire la langue littéraire et l’identité à travers l’écriture anime la culture littéraire de Trieste, et son dynamisme contribue aux débats sur la mondialisation et les questions de la culture en découlant. Cette étude de l’écriture triestine offre des perspectives critiques sur l’état des littératures canoniques dans un monde où les frontières disparaissent et les non-lieux se multiplient. L’image de la nébuleuse planétaire devient possiblement celle d’un archétype pour le monde globalisé d’aujourd’hui.

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Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.

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Although ways of thinking about the past have changed, in Britain the reporting of excavations has followed a series of shared conventions for nearly 100 years. This article considers two of them. It investigates the relationship between accounts of stratigraphic evidence and the publication of the associated artefacts and ecofacts and suggests that it results from the combination of two separate intellectual traditions in the late nineteenth century. It also identifies certain widely shared proportions between the separate components of excavation monographs published over a long period of time. Their existence has never been acknowledged. The excavation report has become a well-established literary genre and authors who are familiar with such texts unconsciously reproduce the same structures in their writing.

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A chapter of 6,000 words on books, literary culture, and public and private libraries in the ancient city of Rome

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The academic discipline of television studies has been constituted by the claim that television is worth studying because it is popular. Yet this claim has also entailed a need to defend the subject against the triviality that is associated with the television medium because of its very popularity. This article analyses the many attempts in the later twentieth and twenty-first centuries to constitute critical discourses about television as a popular medium. It focuses on how the theoretical currents of Television Studies emerged and changed in the UK, where a disciplinary identity for the subject was founded by borrowing from related disciplines, yet argued for the specificity of the medium as an object of criticism. Eschewing technological determinism, moral pathologization and sterile debates about television's supposed effects, UK writers such as Raymond Williams addressed television as an aspect of culture. Television theory in Britain has been part of, and also separate from, the disciplinary fields of media theory, literary theory and film theory. It has focused its attention on institutions, audio-visual texts, genres, authors and viewers according to the ways that research problems and theoretical inadequacies have emerged over time. But a consistent feature has been the problem of moving from a descriptive discourse to an analytical and evaluative one, and from studies of specific texts, moments and locations of television to larger theories. By discussing some historically significant critical work about television, the article considers how academic work has constructed relationships between the different kinds of objects of study. The article argues that a fundamental tension between descriptive and politically activist discourses has confused academic writing about ›the popular‹. Television study in Britain arose not to supply graduate professionals to the television industry, nor to perfect the instrumental techniques of allied sectors such as advertising and marketing, but to analyse and critique the medium's aesthetic forms and to evaluate its role in culture. Since television cannot be made by ›the people‹, the empowerment that discourses of television theory and analysis aimed for was focused on disseminating the tools for critique. Recent developments in factual entertainment television (in Britain and elsewhere) have greatly increased the visibility of ›the people‹ in programmes, notably in docusoaps, game shows and other participative formats. This has led to renewed debates about whether such ›popular‹ programmes appropriately represent ›the people‹ and how factual entertainment that is often despised relates to genres hitherto considered to be of high quality, such as scripted drama and socially-engaged documentary television. A further aspect of this problem of evaluation is how television globalisation has been addressed, and the example that the issue has crystallised around most is the reality TV contest Big Brother. Television theory has been largely based on studying the texts, institutions and audiences of television in the Anglophone world, and thus in specific geographical contexts. The transnational contexts of popular television have been addressed as spaces of contestation, for example between Americanisation and national or regional identities. Commentators have been ambivalent about whether the discipline's role is to celebrate or critique television, and whether to do so within a national, regional or global context. In the discourses of the television industry, ›popular television‹ is a quantitative and comparative measure, and because of the overlap between the programming with the largest audiences and the scheduling of established programme types at the times of day when the largest audiences are available, it has a strong relationship with genre. The measurement of audiences and the design of schedules are carried out in predominantly national contexts, but the article refers to programmes like Big Brother that have been broadcast transnationally, and programmes that have been extensively exported, to consider in what ways they too might be called popular. Strands of work in television studies have at different times attempted to diagnose what is at stake in the most popular programme types, such as reality TV, situation comedy and drama series. This has centred on questions of how aesthetic quality might be discriminated in television programmes, and how quality relates to popularity. The interaction of the designations ›popular‹ and ›quality‹ is exemplified in the ways that critical discourse has addressed US drama series that have been widely exported around the world, and the article shows how the two critical terms are both distinct and interrelated. In this context and in the article as a whole, the aim is not to arrive at a definitive meaning for ›the popular‹ inasmuch as it designates programmes or indeed the medium of television itself. Instead the aim is to show how, in historically and geographically contingent ways, these terms and ideas have been dynamically adopted and contested in order to address a multiple and changing object of analysis.

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In 1917 D.H. Lawrence's whole outlook on the social and cultural environment of his country was embodied in his attitude towards the literary marketplace. The suppression of The Rainbow in 1915 and his opposition to the war contributed to his feeling of detachment from what he called ‘the bourgeois world, the world which controls press, publication and all’. Presenting new archival evidence, this article examines the publishing history of the poetry volume Look! We Have Come Through, issued by Chatto & Windus in 1917. Closer examination of the motives of the individual editors involved in the production of the volume reveals why Lawrence was required to make changes to his text but also why the firm were eager to publish a volume that was to have little commercial impact. Issued at a critical moment in Lawrence's relationship with the marketplace, and in the history of literary modernism, the episode shows how, in spite of general hostility to his work, there were forces in the mainstream publishing market that were keen to embrace modern literary forms and take risks with the work of authors whose subject-matter was challenging and potentially dangerous.

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The fascinating idea that tools become extensions of our body appears in artistic, literary, philosophical, and scientific works alike. In the last fifteen years, this idea has been re-framed into several related hypotheses, one of which states that tool use extends the neural representation of the multisensory space immediately surrounding the hands (variously termed peripersonal space, peri-hand space, peri-cutaneous space, action space, or near space). This and related hypotheses have been tested extensively in the cognitive neurosciences, with evidence from molecular, neurophysiological, neuroimaging, neuropsychological, and behavioural fields. Here, I briefly review the evidence for and against the hypothesis that tool use extends a neural representation of the space surrounding the hand, concentrating on neurophysiological, neuropsychological, and behavioural evidence. I then provide a re-analysis of data from six published and one unpublished experiments using the crossmodal congruency task to test this hypothesis. While the re-analysis broadly confirms the previously-reported finding that tool use does not literally extend peripersonal space, the overall effect-sizes are small and statistical power is low. I conclude by questioning whether the crossmodal congruency task can indeed be used to test the hypothesis that tool use modifies peripersonal space.