999 resultados para University professors
Resumo:
Cette étude de cas, composée de trois articles, examine les diverses sources d’explication de l’écart salarial selon le genre chez les professeurs d’une grande université de recherche canadienne. Le premier article analyse les écarts selon le genre sur les primes “de marché” à partir de données d’un sondage réalisé auprès des professeurs en 2002. Une analyse des correspondances donne une solution à deux facteurs dans laquelle le second facteur oppose clairement les professeurs qui ont reçu une prime à ceux qui n’en n’ont pas reçue. Le genre est fortement associé à ce facteur, la catégorie “femme” se retrouvant du côté de l’axe associé à l’absence de primes de marché. Les résultats de la régression logistique confirment que le secteur d’activité, la fréquence des contrats de recherche, la valorisation du salaire ainsi que le rang combiné à l’ancienneté sont reliés à la présence de primes de marché, tel que proposé par les hypothèses. Toutefois, même après avoir contrôlé pour ces relations, les femmes sont toujours près de trois fois moins susceptibles de s’être vu attribuer des primes de marché que leurs homologues masculins. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que dans un contexte où les salaires sont déterminés par convention collective, la réindividualisation du processus de détermination des salaires — en particulier le versement de primes de marché aux professeurs d’université — peut favoriser la réapparition d’écarts de salaire selon le genre. Le second article est réalisé à partir de données administratives portant sur les années 1997 à 2006. Les contributions respectives de quatre composantes de la rémunération à l’écart salarial selon le genre y sont analysées, soit le salaire de base, l’accès au rang de professeur titulaire, l’accès aux primes de marché et chaires de recherche du Canada, de même que les montants reçus. Les composantes varient quant à leur degré de formalisation. Ceci permet de tester l’hypothèse selon laquelle l’ampleur de l’écart salarial selon le genre varie en fonction du degré de formalisation des composantes salariales. Nous déterminons également dans quelle mesure l’écart selon le genre sur les diverses composantes de la rémunération varie en fonction de la représentation relative des femmes professeurs au sein des unités. Les résultats démontrent l’existence de variations dans l’ampleur des différences selon le genre en fonction du degré de formalisation des pratiques de rémunération. Qui plus est, après contrôles, la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont fortement représentées. Le dernier article examine les mécanismes pouvant mener à un écart selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché chez les professeurs de l’institution. Les processus d’attribution de ces suppléments salariaux sont examinés à partir d’entretiens réalisés avec 17 administrateurs à tous les niveaux hiérarchiques de l’institution et dans une diversité d’unités académiques. Les résultats suggèrent que les différences selon le genre pourraient être liées à des caractéristiques spécifiques du processus d’attribution et à une distribution inégale des primes aux unités à forte représentation féminine. De façon générale, les résultats démontrent que l’écart de rémunération selon le genre chez les professeurs de cette université n’est pas totalement expliqué par des différences dans les caractéristiques individuelles des hommes et femmes. L’analyse révèle que l’écart réside dans des différences selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché et aux chaires de recherches du Canada et, dans une moindre mesure, au rang de professeur titulaire. Aucune différence n’est observée sur le salaire de base et le montant des primes salariales reçues, que celles-ci soient dites de “marché” ou associées à une chaire de recherche du Canada. Qui plus est, on constate que la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont le mieux représentées. L’accès différencié selon le genre aux primes de marché qui est observé pourrait être lié à certains processus organisationnels qui limitent les probabilités d’octrois à des femmes. Les femmes pourraient être particulièrement désavantagées dans ce système d’octroi, pour plusieurs raisons. L’existence de différences selon le genre en ce qui a trait aux dispositions ou habiletés des individus à négocier leur salaire est évoquée et supposée par certains administrateurs. Un accès limité aux informations concernant la politique de primes pourrait réduire la probabilité que des femmes tentent d’obtenir ces suppléments salariaux. Les directeurs d’unités, qui sont en majorité des hommes, pourraient être biaisées en faveur des professeurs masculins dans leurs évaluations s’ils tendent à favoriser ceux qui leurs ressemblent. Il est également possible que les directeurs d’unités où les femmes sont les mieux représentées n’aient pas reçu d’information sur les primes de marché ou que des traditions disciplinaires les aient rendu réticents à demander des primes.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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We analyze the interaction between university professors’ teaching quality and their research and administrative activities. Our sample is a high-quality individual panel data set from a medium size public Spanish university that allows us to avoid several types of biases frequently encountered in the literature. Although researchers teach roughly 20% more than non-researchers, their teaching quality is also 20% higher. Instructors with no research are 5 times more likely than the rest to be among the worst teachers. Over much of the relevant range, we find a nonlinear and positive relationship between research output and teaching quantity on teaching quality. Our conclusions may be useful for decision makers in universities and governments.
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The aim of this study was to determine whether there are differences in the attitudes of Dentistry School Professors from two universities, one private and one public concerning HIV-positive patients or HIV-positive health care professionals. A questionnaire Was handled to all profession at the Araçatuba Dental School of São Paulo State University - FOA-UNESP (public) and Lins Dental School of the Piracicaba Methodist University - FOL-UNIMEP (private). When asked if they would be willing to be treated by an HIV-infected health care professional, 38.9% of the 77 professors at FOA-UNESP replied that they would accept only non-invasive treatments and 13% would not accept any kind of treatment; the same applied to 42.4% and 15.2% of the 33 FOL-UNIMEP professors. Among the 54 professors at FOA-UNESP and 27 at FOL-UNIMEP providing clinical service, only 31.5% and 18.5% stated that they treat HIV-infected persons like any other patient. The results were very similar in both schools. Although they reported that they taught their students not to act in a discriminatory manner towards HIV-positive patient the professors themselves showed prejudice towards infected patients and professionals. Consequently, this topic trust be further debated in the academic milieu.
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Place of publication varies: Easton, Pa., Apr. 1922-
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Place of publication varies: Easton, Pa., Apr. 1922-
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Étude de cas / Case study
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Article
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Although there is considerable published research on Acquired Immunodeficiency Syndrome (AIDS), individual biases persist because of lack of information regarding HIV virus transmission. As a result, both infected patients and health care professionals suffer. The objective of this study was to determine if there is prejudice among university professors at the School of Dentistry at Aracatuba's Sao Paulo State University (FOA-UNESP) concerning HIV-positive patients or HIV-positive health care professionals. Out of the seventy-seven professors who responded to the questionnaire, 62.3 percent (forty-eight) stated that they advise their students not to refuse to treat a patient with HIV. Although 96.2 percent (fifty-two) of the fifty-four professors who treat patients have reported that they treat patients who are HIV-positive, only 65.3 percent of them were aware of infection control precautions, and only 32.7 percent reported that they would treat an HIV-positive patient like any other patient. There is also prejudice regarding HIV-positive professionals because only 48.1 percent (thirty-seven) of the professors responded that they would be willing to be treated by an infected professional. It can be concluded that there is prejudice among some of the FOA-UNESP university professors regarding individuals who are HIV-positive.
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Universidade Estadual de Campinas . Faculdade de Educação Física
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Universidade Estadual de Campinas . Faculdade de Educação Física
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International Conference: A Child's World - Next Steps, 25 June 2012 - 27th June 2014.
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Disponível em: http://193.136.113.6/Opac/Pages/Search/Results.aspx?SearchText=UID=bb8aa8d5-c6b6-466a-81bb-fe8a67693cee&DataBase=10449_UNLFCSH
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This Work Project aims to discuss the Context Costs and Comparative Advantages of the Telecommunications sector both in Portugal and China. The work was built mostly on primary research by interviews with relevant people (business persons, University Professors and Agencies directors), and by economic data publicly available. A list of context costs and comparative advantages was drawn for each country and possible resolutions suggestions were made in the end. The context costs depend heavily on the economic situation of the countries and it should be taken into account when assessing the degree of magnitude of each cost of context. The competitive advantages of each country were drawn in comparison with one another. Some key results stand out: firstly, Portugal’s costs of context depend mainly on governmental decisions, uncertainties and instability and China’s cost of context depend primarily on cultural norms, mainly the Guanxi; second, the telecommunications sector shares most of its context costs and advantages with other sectors; third, China as an economic power could use the telecommunications sector as a way to further develop and boost its economy.
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It has been observed that university professors sometimes become less research active in their later years. This paper models the decision to become inactive as a utility maximising problem under conditions of uncertainty and derives an age-dependent activity condition for the level of research productivity. The model implies that professors who are close to retirement age are more likely to become inactive when faced with setbacks in their research while those who continue research do not lower their activity levels. Using data from the University of Iceland, we find support for the model’s predictions. The model suggests that universities should induce their older faculty to remain research active by striving to make their research more productive and enjoyable, maintaining peer pressure, reducing job security and offering higher performance related pay.