24 resultados para Noble, Alison


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Commençant par : « Li ancien ont esté coustumier de metre en escript les choses qu'ils penssoient qui fussent bonnes à savoir... » et finissant par : «... car li usages et li hanteis de chascun jour trueve plus de l'art en ces choses que l'ancienne doctrine ne nous en a moustré » .

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Commençant par : « Les anciens ont esté coustumiers de meitre en escript les choses qu'ilz pensoient qui fussent bonnes à savoir... » et finissant par «... car li usaiges et le hanteis de chascun jour trueuve plus d'art en ces choses que l'ancienne doctrine ne nous en a monstré » .

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Armorial contenant les blasons coloriés des familles issues de Charles, comte de Luxembourg (1156), et des notices historiques sur chacune d'elles. — Il a été composé sous le règne de François Ier.

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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

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Même ornementation, mêmes armoiries que dans le ms. français 5094. Le texte de ce ms., qui offre en plusieurs endroits des lacunes que nous indiquerons dans un instant, donne au feuillet 5 v° une strophe de 8 vers qui n'existe pas dans les exemplaires précédents : « Ensemble furent si bien d'accord Qu'ilz engendrèrent un fils de grant noblesse, Nommé Jehan, dit conte de Monfort, Après la mort de la noble duchesse, Et quatre filles qui en grant leesse Furent toutes colloquées haultement, Car de France, la royalle haultesse, Fut descendue la noble Yollant » . Quant aux lacunes, en voici l'énumération : Fol. 31. Ce feuillet est mutilé de la marge droite, de sorte qu'il ne donne pas les deux écussons coloriés qui accompagnent dans les autres mss. la notice relative à Étampes et à Hue Le Maire, sieur de Chaillou. — Entre les feuillets 33 et 34 est une lacune qui correspond aux 4 vers relatifs à N.-D. des Champs, au départ du corps de la reine de l'église N.-D. des Champs, le 14 février 1514, jusqu'aux premières lignes du sermon prononcé à St-Denis par M. Parvy, confesseur de la reine, le 16 février 1514, là où l'orateur donne l'origine de l'hermine qui figure dans les armes de Bretagne, soit en tout une lacune de 18 pages. — Au revers du feuillet 42 devrait être une miniature représentant la « chapelle royalle ardant » en l'église des Carmes, à Nantes, où fut déposé le coeur d'Anne de Bretagne. Cette miniature n'a pas été exécutée, et la place est restée en blanc. Après cette miniature existent dans les autres mss. 20 vers qui ne figurent pas dans le présent ms. — Entre les feuillets 44 et 45 manquent 31 lignes, soit la valeur d'une page et 6 lignes, qui commencent par l'épitaphe de François II, duc de Bretagne : « Si dedans gist le corps du duc Françoys, deuxe de ce nom, lequel regna trente deux... », et finissent par la description du coeur d'or contenant le coeur d'Anne de Bretagne, dont la portraiture, qui existe dans les mss. précédents, manque dans celui-ci. — Les 38 lignes qui forment la fin de notre relation dans les mss. précédents, manquent dans celui-ci, qui s'arrête avec la phrase : « Ainsy finirent iceulx services, mais les pleurs, criz et lamentacions auront longue durée. Prions Dieu pour elle, celluy qui son ame a créé ».

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En tête, sont les blasons coloriés de Saint-Georges et d'Angleterre et d'Anne de Montmorency. On lit au fol. 24 : « J'ay esté donné par le trez chrestien Louis treiziesme, roy de France et de Navarre, à Mre René de Chaumejan, chevallier, marquis de Fourille, conseiller du Roy en ses conseils et grand mareschal de ses logis ; en l'année mil six cens trente trois, ayant esté trouvé dans la bibliotèque de Chantilly, au premier voyage que Sa Majesté y fit, pour en prendre possession, après la mort de feu haut et puissant seigneur Messire Henry, duc de Montmorency, pair et mareschal de France, gouverneur et lieutenant-général pour le roy en Languedoc. »

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Commençant par : « En l'honneur de Dieu nostre Createur et Redempteur, et de sa benoiste Vierge mere... » et finissant par : «... qu'il nous doint grace que y puissions parvenir. Amen » .

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Commençant par : « [C]onsiderant et voyant par experience que naturelment tous corps humains nobles et non nobles... » et finissant par : «... par le visage et par les piés pour luy faire perdre son advis » .