4 resultados para texte écrit

em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)


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La musique, plus qu`um mot et le texte écrit, a le pouvoir de produire le déplacement du sujet en relation aux contingences du temps e de l´espace. Entendre de la musique est plus que de l´amusement. Comme un artifice cognitif qui ultrapasse l´expérience analytique e métonymique, les formes tonales doublent la réalité, expandent les sens, actionent l´imagination, retotalisent les sentiments, amplient les expériences, permettent la rencontre du sujet avec les éssences des phénomènes qui ne sont pas traductibles par les mots. Nous écoutons de la musique pour restituer notre dignité e conférer à la vie plus de vérité, plus de concrétion (Santiago Kovadloff). La mélodie permet l´expérimentation des états de cohésion, de conéction pleine entre sens et intention, entre commencement et fin, de la finitude de la vie (Schopenhauer). Le phénomène musical provoque l´expréssion de la douleur, de la souffrance et, au même temps, du jubile et de la joie, réliant nature et homme (Nietzsche). Tenant comme base cette compréhension, la dissertation tient dans la musique une importante métaphore pour comprendre la complexité humaine, une fois qu´elle propicie une écoute sensible du monde et mobilise dans le sujet l´expérimentation de divers états de l´être. Nous pouvons dire que la musique est un opérateur de la conaissence parce qu´elle fait affleurer l´écoute intérieure, la rencontre du sujet avec lui même. Cet opérateur cognitif actione les pôles de l´ésprit qui font dialoguer sensibilité, éthique et esthétique, ordre et chaos, silence et bruit, mouvement et pause, repétition et inovation. Par l´expérience musicale, nous habitons des formes hibrides de sensibilité et raison. L´inachèvement, notre principal caractéristique comme humains, a, dans la musique, une image impair, parce que la musique est l´expression du dévir. Pour tisser ces arguments, la dissertation part des études de Schopenhauer et Nietzsche sur la musique, esthétique et métaphysique; Expose des fragments de la biographie de trois grands penseurs contemporains (Werner Heinsenberg, Ilya Prigogine et Edgar Morin) accentuant la présence de la musique en ses vies; et, par fin, présente ce que nous appelons biographies sonores de quatre artistes-musiciens brésiliens (Benedito Juarez et Gil Jardim, de São Paulo, et Ronaldo Ferreira de Lima et, Cleudo Freire, du Rio Grande do Norte)

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Les symboles et les signes de Noites do Sertão, de João Guimarães Rosa, contient l étude d une édition de cette ouvrage, publié par Livraria José Olímpio Editora, en 1975. Un éditeur arrêtée. Notre priorité c est montrer au lecteur les dégradations résultants d altérations ou d omissions qu on vérifie dans les publications postérieurs; d une manière spécifique, les éditions mais récents. Dans le primiere chapitre, notre recherche privilégie l analyse et l explication de las inscirtions qui sons enregistré dans la partie exterior, ou dans la couverture de ce livre. Le deuxième chapitre traite des réflexions sur ce qui se réfère au revers de la couverture, dans le côté gauche: les énigmes dont l auteur utilise avec l intention de bien idiquer au lecteur orientations pour envisager les aspects des narratives. Combien, nous méditerons ici sur la signification des épigraphes de cette ouvrage; sur les noms des personnages les plus importants et sur la connexion de ce livre avec autres textes littéraires. Dans le troisième chapitre nous explicitons la rélation de contiguïté avec cette ouvrage et le platonisme. O Chapitre quatre s occupe d étudier toutes cettes symboles vérifier ici sur la pérspective de la vision Junguienne (C.G.Jung); et dans le cinq, analysons les relations possibles de cette ouvrage avec autres livres du même écriteur. Finalement, nous présentons un vocabulaire qui est très importants pour la compréhention des mots mais compliqué dans ce texte écrit pour João Guimarães Rosa

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Le présent ouvrage comprend des versions comparatives de neuf contes de Perrault, parmi les plus célèbres, publiés dans des éditions intégrales, au Brésil, entre 1934 et 2005. L analyse comparative donne la priorité à l identification des éléments relatifs à l oralité, comme ceux qui appartiennent, selon Ong (1998) et Havelock (1996), à des contextes de cultures antérieures à l épanouissement de l écriture et qui donc élaboraient ses propres structures de pensée et d expression pour interagir dans la vie pratique comme dans la création, dans la transmission et la manutention des coutumes et traditions. Issus des premiers récits, les contes de Perrault, traduits ou adaptés au Brésil, gardent en eux l esprit du langage narratif auquel l auteur français a consagré une attention spéciale, pour transposer dans l écrit quelques récits de la grande expérience humaine née dans le milieu populaire et qui désormais intègrent l espace de l écriture à chaque nouvelle version produite. Les bagages formulaires, comme les épithètes, les interventions du narrateur et la propre relation des signifations de l intrigue avec les structures de l imaginaire toujours présentes dans l humanité, démontrent le rapprochement entre l oralité et écriture. En suivant les discussions théoriques de Zumthor (1993, 1997, 2000) et par l interation du lecteur avec le texte, on constate que ces éléments relatifs à l oralité rendent possibl existence d une performance dans l écrit a partir des impressions cinesthésiques qui chaque lecture provoque chez le lecteur et récepteur d un texte narratif qui revendique, automatiquement, la construction d une ouvrage seulement possible à chaque instant de l interation, par le processus esthétique de la réception. Même au niveau d écrit, ou l intensité de sa présence est diminuée en raison de l absence d un corps physique qui transmet, qui développe, qui opere littéralement le texte par la voix et qui réunit l écoute et la vision de l auditeur, la performance produite s interpose entre le corps du lecteur qui agit sur le texte et en même temps reçoit les sensations lui permettant l expérience esthétique. Ainsi, dans l expérience de la lecture de Contes de Perrault est possible percevoir les éléments qui renvoient à la forme du conte de tradition populaire. Même déjà influencée par l écrit, le lecteur peut identifier, dans cette oeuvre, les possibilités determinantes de la dynamique perpétuel dans la transmission de ses textes: le plaisir de la pratique de l écoute des histoires contées oralement et le plaisir de la pratique de lectures silencieuses et solitaires. Dans ce chemin le lecteur devoit chercher les sens perdus, ici, rencontrés avec l aide des discours littéraires, linguistique, folklorique, anthropologique et psycanalytique sur la surface du texte narratif merveilleux. Outre cela, ces discours collaborent avec le lecteur qui retrouvent les voix emprisonnées par l écrit dans la virtualité et dans émergence d une performance

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Cette dissertation propose l analyse des Mémoires de Olivier de La Marche, homme de la cour qui a vécu comme serviteur des maisons de Bourgogne et d Autriche de l année 1439 jusqu à 1502. Nous avons compris sa littérature comme particulière pour l époque, car elle est née motivé par les questions personnelles de l auteur. C est pourquoi qu elle s est éloignée des genres littéraires liés à la fonction de servir aux propos du prince, particulièrement les chroniques. Nous avons cru que ces intentions particulières ont eu l origine dans la tradition de la mémoire médiévale, qui a répandu de l oral pour l écrit pendant la fin de la Moyen Âge. Cette écriture de la mémoire, réglementée à l expérience de qui écrivait, a promu la naissance de l individu quand il a cherché assumer les lieux du personnage et du témoin des événements dans l espace du texte . Telle affirmation nous avons conduit jusqu à la fonction des discours qui ont créé des espaces dans l oeuvre. Motivé par la vision spécialisée comme maître d hôtel, tels discours ont produit un espace de la cour idéal, capable de justifier la personnalité de l auteur et de lui consacrer comme le maître de la pratique de la courtoisie