93 resultados para expressions figées
em Université de Montréal, Canada
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Thse numrise par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral
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Article publi avec l'autorisation de la Chambre des notaires du Qubec.
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Question : Cette thse comporte deux articles portant sur ltude dexpressions faciales motionnelles. Le processus de dveloppement dune nouvelle banque de stimuli motionnels fait lobjet du premier article, alors que le deuxime article utilise cette banque pour tudier leffet de lanxit de trait sur la reconnaissance des expressions statiques. Mthodes : Un total de 1088 clips motionnels (34 acteurs X 8 motions X 4 exemplaire) ont t aligns spatialement et temporellement de sorte que les yeux et le nez de chaque acteur occupent le mme endroit dans toutes les vidos. Les vidos sont toutes dune dure de 500ms et contiennent lApex de lexpression. La banque dexpressions statiques fut cre partir de la dernire image des clips. Les stimuli ont t soumis un processus de validation rigoureux. Dans la deuxime tude, les expressions statiques sont utilises conjointement avec la mthode Bubbles dans le but dtudier la reconnaissance des motions chez des participants anxieux. Rsultats : Dans la premire tude, les meilleurs stimuli ont t slectionns [2 (statique & dynamique) X 8 (expressions) X 10 (acteurs)] et forment la banque dexpressions STOIC. Dans la deuxime tude, il est dmontr que les individus prsentant de l'anxit de trait utilisent prfrentiellement les basses frquences spatiales de la rgion buccale du visage et ont une meilleure reconnaissance des expressions de peur. Discussion : La banque dexpressions faciales STOIC comporte des caractristiques uniques qui font quelle se dmarque des autres. Elle peut tre tlcharge gratuitement, elle contient des vidos naturelles et tous les stimuli ont t aligns, ce qui fait delle un outil de choix pour la communaut scientifique et les cliniciens. Les stimuli statiques de STOIC furent utiliss pour franchir une premire tape dans la recherche sur la perception des motions chez des individus prsentant de lanxit de trait. Nous croyons que lutilisation des basses frquences est la base des meilleures performances de ces individus, et que lutilisation de ce type dinformation visuelle dsambigise les expressions de peur et de surprise. Nous pensons galement que cest la nvrose (chevauchement entre l'anxit et la dpression), et non lanxit mme qui est associe de meilleures performances en reconnaissance dexpressions faciales de la peur. Lutilisation dinstruments mesurant ce concept devrait tre envisage dans de futures tudes.
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral
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Les humains communiquent via diffrents types de canaux: les mots, la voix, les gestes du corps, des motions, etc. Pour cette raison, un ordinateur doit percevoir ces divers canaux de communication pour pouvoir interagir intelligemment avec les humains, par exemple en faisant usage de microphones et de webcams. Dans cette thse, nous nous intressons dterminer les motions humaines partir dimages ou de vido de visages afin densuite utiliser ces informations dans diffrents domaines dapplications. Ce mmoire dbute par une brve introduction l'apprentissage machine en sattardant aux modles et algorithmes que nous avons utiliss tels que les perceptrons multicouches, rseaux de neurones convolution et autoencodeurs. Elle prsente ensuite les rsultats de l'application de ces modles sur plusieurs ensembles de donnes d'expressions et motions faciales. Nous nous concentrons sur l'tude des diffrents types dautoencodeurs (autoencodeur dbruitant, autoencodeur contractant, etc) afin de rvler certaines de leurs limitations, comme la possibilit d'obtenir de la coadaptation entre les filtres ou encore dobtenir une courbe spectrale trop lisse, et tudions de nouvelles ides pour rpondre ces problmes. Nous proposons galement une nouvelle approche pour surmonter une limite des autoencodeurs traditionnellement entrains de faon purement non-supervise, c'est--dire sans utiliser aucune connaissance de la tche que nous voulons finalement rsoudre (comme la prvision des tiquettes de classe) en dveloppant un nouveau critre d'apprentissage semi-supervis qui exploite un faible nombre de donnes tiquetes en combinaison avec une grande quantit de donnes non-tiquetes afin d'apprendre une reprsentation adapte la tche de classification, et d'obtenir une meilleure performance de classification. Finalement, nous dcrivons le fonctionnement gnral de notre systme de dtection d'motions et proposons de nouvelles ides pouvant mener de futurs travaux.
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Dterminer si quelquun est digne de confiance constitue, tout au long de notre vie, une dcision la base de nos interactions sociales quotidiennes. Des tudes rcentes chez les jeunes adultes ont propos que le jugement de confiance bas sur un visage constituerait une extension des processus de reconnaissance des expressions faciales, particulirement de la colre et de la joie (Todorov, 2008). Bien que le jugement de confiance soit dune grande importance tout au long de notre vie, notre connaissance, aucune tude na tent dexplorer lvolution de ce processus au cours du vieillissement. Pourtant, sachant que les personnes ges saines sont moins efficaces que les jeunes adultes pour reconnatre les expressions faciales motionnelles (Ruffman et al., 2008; Calder et al., 2003), des diffrences pourraient exister dans les capacits de ces deux groupes dge poser un jugement de confiance. Le prsent travail a permis dexplorer, pour une premire fois, les processus perceptifs sous-jacents au jugement de confiance chez une population ge saine ainsi que chez une population prsentant une dmence fronto-temporale. Les rsultats dmontrent que les reprsentations de colre, de joie et de confiance sont similaires chez les jeunes et les gs sains et suggrent quil existe bel et bien un lien entre le jugement de confiance et les jugements de joie et de colre. De plus, ils rvlent que ce lien persiste au cours vieillissement, mais que les adultes gs sains se fient davantage leur reprsentation de la colre que les jeunes adultes pour dterminer si un visage est digne de confiance ou non. Enfin, les patients prsentant une dmence fronto-temporale possdent des reprsentations diffrentes des gs sains en ce qui concerne la colre, la joie et la confiance, et ils semblent se fier davantage leur reprsentation de la joie que les gs sains pour dterminer le niveau de confiance dun visage.
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Cette thse a pour objectif de comparer les expressions motionnelles voques par la musique, la voix (expressions non-linguistiques) et le visage sur les plans comportemental et neuronal. Plus prcisment, le but est de bnficier de lindniable pouvoir motionnel de la musique afin de raffiner notre comprhension des thories et des modles actuels associs au traitement motionnel. Qui plus est, il est possible que cette disposition surprenante de la musique pour voquer des motions soit issue de sa capacit simmiscer dans les circuits neuronaux ddis la voix, bien que les vidences cet effet demeurent parses pour le moment. Une telle comparaison peut potentiellement permettre dlucider, en partie, la nature des motions musicales. Pour ce faire, diffrentes tudes ont t ralises et sont ici prsentes dans deux articles distincts. Les tudes prsentes dans le premier article ont compar, sur le plan comportemental, les effets dexpressions motionnelles sur la mmoire entre les domaines musical et vocal (non-linguistique). Les rsultats ont rvl un avantage systmatique en mmoire pour la peur dans les deux domaines. Aussi, une corrlation dans la performance individuelle en mmoire a t trouve entre les expressions de peur musicales et vocales. Ces rsultats sont donc cohrents avec lhypothse dun traitement perceptif similaire entre la musique et la voix. Dans le deuxime article, les corrlats neuronaux associs la perception dexpressions motionnelles voques par la musique, la voix et le visage ont t directement compars en imagerie par rsonnance magntique fonctionnelle (IRMf). Une augmentation significative du signal Blood Oxygen Level Dependent (BOLD) a t trouve dans lamygdale (et linsula postrieure) en rponse la peur, parmi lensemble des domaines et des modalits ltude. Une corrlation dans la rponse BOLD individuelle de lamygdale, entre le traitement musical et vocal, a aussi t mise en vidence, suggrant nouveau des similarits entre les deux domaines. En outre, des rgions spcifiques chaque domaine ont t releves. Notamment, le gyrus fusiforme (FG/FFA) pour les expressions du visage, le sulcus temporal suprieur (STS) pour les expressions vocales ainsi quune portion antrieure du gyrus temporal suprieur (STG) particulirement sensible aux expressions musicales (peur et joie), dont la rponse sest avre module par lintensit des stimuli. Mis ensemble, ces rsultats rvlent des similarits mais aussi des diffrences dans le traitement dexpressions motionnelles vhicules par les modalits visuelle et auditive, de mme que diffrents domaines dans la modalit auditive (musique et voix). Plus particulirement, il appert que les expressions musicales et vocales partagent dtroites similarits surtout en ce qui a trait au traitement de la peur. Ces donnes sajoutent aux connaissances actuelles quant au pouvoir motionnel de la musique et contribuent lucider les mcanismes perceptuels sous-jacents au traitement des motions musicales. Par consquent, ces rsultats donnent aussi un appui important lutilisation de la musique dans ltude des motions qui pourra ventuellement contribuer au dveloppement de potentielles interventions auprs de populations psychiatriques.
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Le traitement des motions joue un rle essentiel dans les relations interpersonnelles. Des dficits dans la reconnaissance des motions voques par les expressions faciales et vocales ont t dmontrs la suite dun traumatisme craniocrbral (TCC). Toutefois, la majorit des tudes nont pas diffrenci les participants selon le niveau de gravit du TCC et nont pas valu certains pralables essentiels au traitement motionnel, tels que la capacit percevoir les caractristiques faciales et vocales, et par le fait mme, la capacit y porter attention. Aucune tude ne sest intresse au traitement des motions voques par les expressions musicales, alors que la musique est utilise comme mthode dintervention afin de rpondre des besoins de prise en charge comportementale, cognitive ou affective chez des personnes prsentant des atteintes neurologiques. Ainsi, on ignore si les effets positifs de lintervention musicale sont bass sur la prservation de la reconnaissance de certaines catgories dmotions voques par les expressions musicales la suite dun TCC. La premire tude de cette thse a valu la reconnaissance des motions de base (joie, tristesse, peur) voques par les expressions faciales, vocales et musicales chez quarante et un adultes (10 TCC modr-svre, 9 TCC lger complexe, 11 TCC lger simple et 11 tmoins), partir de tches exprimentales et de tches perceptuelles contrles. Les rsultats suggrent un dficit de la reconnaissance de la peur voque par les expressions faciales la suite dun TCC modr-svre et dun TCC lger complexe, comparativement aux personnes avec un TCC lger simple et sans TCC. Le dficit nest pas expliqu par un trouble perceptuel sous-jacent. Les rsultats montrent de plus une prservation de la reconnaissance des motions voques par les expressions vocales et musicales la suite dun TCC, indpendamment du niveau de gravit. Enfin, malgr une dissociation observe entre les performances aux tches de reconnaissance des motions voques par les modalits visuelle et auditive, aucune corrlation na t trouve entre les expressions vocales et musicales. La deuxime tude a mesur les ondes crbrales prcoces (N1, N170) et plus tardives (N2) de vingt-cinq adultes (10 TCC lger simple, 1 TCC lger complexe, 3 TCC modr-svre et 11 tmoins), pendant la prsentation dexpressions faciales voquant la peur, la neutralit et la joie. Les rsultats suggrent des altrations dans le traitement attentionnel prcoce la suite dun TCC, qui amenuisent le traitement ultrieur de la peur voque par les expressions faciales. En somme, les conclusions de cette thse affinent notre comprhension du traitement des motions voques par les expressions faciales, vocales et musicales la suite dun TCC selon le niveau de gravit. Les rsultats permettent galement de mieux saisir les origines des dficits du traitement des motions voques par les expressions faciales la suite dun TCC, lesquels semblent secondaires des altrations attentionnelles prcoces. Cette thse pourrait contribuer au dveloppement ventuel dinterventions axes sur les motions la suite dun TCC.
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Dpartement de linguistique et de traduction
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Dpartement de linguistique et de traduction
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"Thse prsente la Facult des tudes suprieures En vue de l'obtention du grade de Docteur en droit"
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"Mmoire prsent la Facult des tudes suprieures en vue de l'obtention du grade de matrise en droit, option recherche (LL.M.)"
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La proprotine convertase subtilisine/kexine type 9 (PCSK9) favorise la dgradation post-transcriptionnelle du rcepteur des lipoprotines de faible densit (LDLr) dans les hpatocytes et augmente le LDL-cholestrol dans le plasma. Cependant, il nest pas clair si la PCSK9 joue un rle dans lintestin. Dans cette tude, nous caractrisons les variations de la PCSK9 et du LDLr dans les cellules Caco-2/15 diffrenties en fonction dune varit deffecteurs potentiels. Le cholestrol (100 M) li lalbumine ou prsent en micelles a rduit de faon significative lexpression gnique (30%, p<0,05) et lexpression protique (50%, p<0,05) de la PCSK9. tonnamment, une diminution similaire dans le LDLr protique a t enregistre (45%, p<0,05). Les cellules traites avec le 25-hydroxycholestrol (50 M) prsentent galement des rductions significatives dans lARNm (37%, p<0,01) et la protine (75%, p<0,001) de la PCSK9. Une baisse des expressions gnique (30%, p<0,05) et protique (57%, p<0,01) a galement t constate dans le LDLr. Des diminutions ont aussi t observes pour la HMG CoA rductase et la protine liant llment de rponse aux strols SREBP-2. Il a t dmontr que le SREBP-2 peut activer transcriptionnellement la PCSK9 par le biais de la liaison de SREBP-2 son lment de rponse aux strols situ dans la rgion proximale du promoteur de la PCSK9. Inversement, la dpltion du contenu cellulaire en cholestrol par lhydroxypropyl--cyclodextrine a augment lexpression gnique de la PCSK9 (20%, p<0,05) et son contenu protique (540%, p<0,001), en parallle avec les niveaux protiques de SREBP-2. Lajout des acides biliaires taurocholate et doxycholate dans le milieu apical des cellules intestinales Caco-2/15 a provoqu une baisse dexpression gnique (30%, p<0,01) et une hausse dexpression protique (43%, p<0,01) de la PCSK9 respectivement, probablement via la modulation du FXR (farnesoid X receptor). Ces donnes combines semblent donc indiquer que la PCSK9 fonctionne comme un senseur de strols dans le petit intestin.
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La thrapie gnique reprsente l'un des dfis de la mdecine des prochaines dcennies dont la russite dpend de la capacit d'acheminer l'ADN thrapeutique jusqu' sa cible. Des structures non virales ont t envisages, dont le chitosane, polymre cationique qui se combine facilement lADN. Une fois le complexe form, lADN est protg des nuclases qui le dgradent. Le premier objectif de l'tude est de synthtiser et ensuite valuer diffrentes nanoparticules de chitosane et choisir la mieux adapte pour une efficacit de transfection slective in vitro dans les cellules carcinomes pidermodes (KB). Le deuxime objectif de l'tude est d'examiner in vivo les effets protecteurs du gne de l'IL-1Ra (bloqueur naturel de la cytokine inflammatoire, lInterleukine-1) complex aux nanoparticules de chitosane slectionnes dans un modle d'arthrite induite par un adjuvant (AIA) chez le rat. Les nanoparticules varient par le poids molculaire du chitosane (5, 25 et 50 kDa), et la prsence ou labsence de lacide folique (FA). Des mesures macroscopiques de linflammation seront values ainsi que des mesures de concentrations de lInterleukine-1, Prostaglandine E2 et IL-1Ra humaine secrts dans le srum. Les nanoparticules Chitosane-ADN en prsence de lacide folique et avec du chitosane de poids molculaire de 25 kDa, permettent une meilleure transfection in vitro. Les effets protecteurs des nanoparticules contenant le gne thrapeutique taient vidents suite la dtection de lIL-1Ra dans le srum, la baisse d'expressions des facteurs inflammatoires, lInterleukine-1 et la Prostaglandine-E2 ainsi que la diminution macroscopique de linflammation. Le but de cette tude est de dvelopper notre mthode de thrapie gnique non virale pour des applications cliniques pour traiter larthrite rhumatode et dautres maladies humaines.
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Lostoarthrose (OA) est une pathologie qui touche les articulations principalement chez les personnes ges. Il devient capital de mieux cerner cette pathologie cause des cots conomiques quelle engendre mais surtout cause du vieillissement de la population. Cette maladie se caractrise par une dgradation du cartilage articulaire, une sclrose osseuse, une inflammation de la membrane synoviale ainsi que la prsence dostophytes. Ltiologie de cette pathologie est reste nbuleuse car la recherche sur la maladie touchait principalement le cartilage articulaire. Toutefois, le rle cl de los sous-chondral dans lOA est maintenant reconnu. Lobsit tant un facteur de risque de lOA, nous avons mis lhypothse que la leptine, une adipocytokine cl dans lobsit, joue un rle important dans lOA. En effet, la leptine modifie le phnotype des ostoblastes (Ob) normaux humain et puisque les Ob OA humains ont un phnotype altr, notre objectif tait de dterminer le rle potentiel de la leptine dans ces cellules. Pour ce faire, nous avons prpar des cultures primaires dOb issus de la plaque sous-chondral du plateau tibial de patients OA et dindividus normaux (N). Lexpression de la leptine et de son rcepteur actif (OB-Rb) ont t mesures par RT-PCR en temps rel, et leur production a t mesure par ELISA et immunobuvardage (IB). La prolifration des Ob OA a t dtermine par incorporation de BrdU. La phosphorylation de p42/44 MAPK dans les Ob OA a t dtermine par IB. Le phnotype des Ob fut dtermin par la mesure de lactivit de la phosphatase alcaline (ALP) et la scrtion dostocalcine (OC), en prsence ou non de leptine. De plus, les effets des ARNs dinterfrences (SiRNA) anti-leptine et anti OB-Rb sur le phnotype des Ob OA furent dtermins via leur impact sur lactivit de lALP et sur la scrtion dOC. Leffet dose-rponse de la leptine sur les expressions dOB-Rb, du facteur de croissance TGF-1 ou encore sur sa propre expression furent dtermines par RT-PCR en temps rel. Pour terminer, la signalisation de la leptine a t tudie en valuant leffet dose rponse de celle-ci sur la production des protines JAK2 et STAT3 phosphoryles par IB. Les rsultats obtenus ont montrs que les Ob OA expriment et produisent plus de leptine que les Ob N. Au niveau phnotypique, ces Ob OA possdent une activit de lALP ainsi quune scrtion dOC plus importante que celles observes chez les Ob N. Lajout danticorps inactivant linteraction leptine et OB-Rb ou dinhibiteurs chimiques comme tyrphostin ou piceatannol diminurent lactivit de lALP ainsi que la scrtion dOC dans les Ob OA. Par contre, lajout de leptine exogne aux Ob OA augmenta lactivit de lALP sans pour autant faire varier la scrtion dOC. La leptine des doses de 1ng/ml 10mg/ml stimula la prolifration des Ob OA ainsi que la phosphorylation de p42/44 MAPK. La leptine exogne diminua lexpression de TFG-1 tandis quelle stimula la phosphorylation de JAK2 et STAT3 ou encore sa propre expression de manire dose-dpendante. Cependant, lexpression dOB-Rb diminua de manire dose-dpendante. Enfin, le traitement des Ob OA avec des Si leptine ou Si OB-Rb diminua lactivit dALP, la scrtion dOC, lexpression de la leptine, lexpression dOB-RB ainsi que lexpression du facteur TGF-1. Lensemble de ces donnes dmontre que la leptine endogne des Ob OA est sous contrle des facteurs de croissance et quelle contribue maintenir le phnotype anormal de los sous-chondral OA. De plus, ceci suggre que la leptine serait un acteur important dans la rgulation du remodelage osseux.