161 resultados para SPEECH PERCEPTION
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There is little consensus regarding how verticality (social power, dominance, and status) is related to accurate interpersonal perception. The relation could be either positive or negative, and there could be many causal processes at play. The present article discusses the theoretical possibilities and presents a meta-analysis of this question. In studies using a standard test of interpersonal accuracy, higher socioeconomic status (SES) predicted higher accuracy defined as accurate inference about the meanings of cues; also, higher experimentally manipulated vertical position predicted higher accuracy defined as accurate recall of others' words. In addition, although personality dominance did not predict accurate inference overall, the type of personality dominance did, such that empathic/responsible dominance had a positive relation and egoistic/aggressive dominance had a negative relation to accuracy. In studies involving live interaction, higher experimentally manipulated vertical position produced lower accuracy defined as accurate inference about cues; however, methodological problems place this result in doubt.
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In terrestrial ecosystems, plants take up phosphate predominantly via association with arbuscular mycorrhizal fungi (AMF). We identified loss of responsiveness to AMF in the rice (Oryza sativa) mutant hebiba, reflected by the absence of physical contact and of characteristic transcriptional responses to fungal signals. Among the 26 genes deleted in hebiba, DWARF 14 LIKE is, the one responsible for loss of symbiosis . It encodes an alpha/beta-fold hydrolase, that is a component of an intracellular receptor complex involved in the detection of the smoke compound karrikin. Our finding reveals an unexpected plant recognition strategy for AMF and a previously unknown signaling link between symbiosis and plant development.
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De nos jours, les comportements discriminatoires sont mal vus par la société. On tend à montrer du doigt les personnes s'engageant dans de tels comportements et à médiatiser les entreprises prises en flagrant délit de discrimination, tant au niveau du processus d'embauche (p. ex., rejet systématique des candidatures venant de candidats d'origine étrangère), qu'au niveau des différences de traitement au sein des entreprises (p. ex., différence de salaires entre les femmes et les hommes). Si les comportements discriminatoires sont si mal perçus, pourquoi sont-ils toujours d'actualité ? Comment est-ce que des personnes s'engageant dans de tels comportements peuvent garder à la fois une image positive d'eux-mêmes et éviter de se faire réprimander par d'autres personnes qui pourraient avoir connaissance de leurs mauvais agissements ? C'est à cette problématique que je m'atèle dans ma recherche. A travers une expérience sur le thème de la discrimination à l'embauche, je démontre que les individus ayant tendance à se désengager moralement de leur propre action sont plus à même de s'engager dans des comportements discriminatoires que les autres individus. Le désengagement moral est un processus par lequel les individus justifient leur propre comportement non-éthique afin de les rendre acceptable (Bandura, 1986). En particulier, les résultats ont révélé que cette relation entre désengagement moral et discrimination est modéré par le degré de préjugés des individus. Parmi les individus ayant des préjugés marqués envers les étrangers, plus leur tendance au désengagement moral est élevé, plus ils sont à même de s'engager dans des comportements discriminatoires.
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OBJECTIVE: To identify and quantify sources of variability in scores on the speech, spatial, and qualities of hearing scale (SSQ) and its short forms among normal-hearing and hearing-impaired subjects using a French-language version of the SSQ. DESIGN: Multi-regression analyses of SSQ scores were performed using age, gender, years of education, hearing loss, and hearing-loss asymmetry as predictors. Similar analyses were performed for each subscale (Speech, Spatial, and Qualities), for several SSQ short forms, and for differences in subscale scores. STUDY SAMPLE: One hundred normal-hearing subjects (NHS) and 230 hearing-impaired subjects (HIS). RESULTS: Hearing loss in the better ear and hearing-loss asymmetry were the two main predictors of scores on the overall SSQ, the three main subscales, and the SSQ short forms. The greatest difference between the NHS and HIS was observed for the Speech subscale, and the NHS showed scores well below the maximum of 10. An age effect was observed mostly on the Speech subscale items, and the number of years of education had a significant influence on several Spatial and Qualities subscale items. CONCLUSION: Strong similarities between SSQ scores obtained across different populations and languages, and between SSQ and short forms, underline their potential international use.
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BACKGROUND: The JAMAR (Juvenile Arthritis Multidimensional Assessment Report) has been developed to evaluate the perception of the patient and his parents on different items: well-being, pain, functional status, quality of life, disease activity, disease course, side effects of medication, therapeutic compliance and satisfaction with illness outcome. Our aim was to compare disease's perception by JIA patients and their parents. METHODS: We included into the study 100 consecutive patients over 7 years of age. We asked both parent and child to complete the JAMAR questionnaire. For each patient we recorded demographic and disease related data. We examined the level of disagreement between children and parents for the quantitative items of the JAMAR: VAS Pain, VAS Disease Activity, VAS Well Being, Juvenile Arthritis Functional Score, HRQoL. Then we looked for a relation between discordance-rate and demographic and clinical variables. RESULTS: Children and parents' median scores for all five items were similar. Individual dyads agreement was low, with a large amount of pairs (80) discordant for at least one item. We found higher MD VAS and JADAS in more discordant dyads, suggesting that when the disease is more active discordance between child and parent increase. CONCLUSION: The JAMAR questionnaire is an important tool that helps clinicians to detect divergent child and parent's disease perceptions. It is essential that both patients and parents fill the JAMAR questionnaire for a complete clinical and psychosocial evaluation.
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La problématique : En Suisse, même si l'on constate une longue tradition du modèle de famille pluri-générationnelle multi-locale (Tourollier, 2009), l'évolution démographique a pour effet le vieillissement des aidants (Anchisi, 2010). La société véhicule l'idée que trop de personnes en perte d'autonomie sont abandonnées par leurs familles et que celles-ci relèguent toutes leurs responsabilités à l'Etat. Selon Pitaud (2009), cette vision est erronée, car son étude démontre que les membres de la famille forment généralement le noyau de ce réseau d'aide qui permet leur maintien à domicile. Il s'agit, pour l'auteur, d'une solution à la fois humaine et économiquement acceptable. Le contexte global du vieillissement et de la possibilité de fragilisation psychique suggère qu'une meilleure prise en compte des besoins de l'entourage des personnes souffrants de problématique de démence peut améliorer leur qualité ainsi que celle des proches aidants (Thomas, 2005). But : Cette étude quantitative vise à décrire la perception qu'ont les proches aidants de leur propre qualité de vie incluant leur vulnérabilité. Méthode: Cette étude quantitative descriptive corrélationnelle a été effectuée auprès de 30 proches aidants, recrutés selon un échantillonnage non probabiliste. Pour les corrélations exploratoires, des tests de Pearson, Student, Wilcoxon ou Mann Whitney ont été effectués. Le questionnaire proposé est tiré des études Pixel et il contient des données sociodémographiques, quatre dimensions portant sur la qualité de vie perçue ainsi que deux dimensions sur la vulnérabilité. Résultats: L'âge moyen des proches aidants participant est de 77,47 ans (ÉT 4,74). Les résultats montrent que 40% d'entre eux sont impliqués dans l'aide auprès du malade depuis plus de cinq ans. La plus grande partie a un niveau de formation de type maîtrise professionnelle (70%). Le score moyen de la perception de la qualité de vie (max. 105 points) est de 63.20 (ÉT 10.25). La vulnérabilité perçue est divisée en deux dimensions (max 50 points par partie). Pour la dimension 1 ; la moyenne pour l'impact de la maladie est de 29.00 (ÉT 5.63). Pour la dimension 2 ; la moyenne de l'aggravation de la vulnérabilité, est de 34.26 (ÉT 10.25). Des corrélations exploratoires montrent que l'âge, la durée des soins, le genre sont associées avec une diminution de la qualité de vie ou l'aggravation de la vulnérabilité perçue. Conclusion : Malgré les limites de la présente étude qui sont liées à la petitesse de l'échantillon, les résultats sont conciliables avec les écrits antérieurs. Il serait judicieux de poursuivre des recherches sur ce sujet afin d'approfondir et d'affiner les représentations utiles au renforcement du rôle infirmier auprès des proches aidants d'une part et des autres professionnels du réseau de soin d'autre part, ceci dans le but de favoriser la promotion de la santé auprès des proches aidants qui sont un maillon indispensable dans la chaîne des soins.
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OBJECTIVE: This study analyzes symptom perception by parents and healthcare professionals and the quality of symptom management in a pediatric palliative home care setting and identifies which factors contribute to a high quality of palliative and end-of-life care for children. METHODS: In this retrospective, cross-sectional study, parents were surveyed at the earliest three months after their child's death. All children were cared for by a specialized home pediatric palliative care team that provides a 24/7 medical on-call service. Questionnaires assessed symptom prevalence and intensity during the child's last month of life as perceived by parents, symptom perception, and treatment by medical staff. The responses were correlated with essential palliative care outcome measures (e.g., satisfaction with the care provided, quality-of-life of affected children and parents, and peacefulness of the dying phase). RESULTS: Thirty-eight parent dyads participated (return rate 84%; 35% oncological disorders). According to parental report, dyspnea (61%) and pain (58%) were the dominant symptoms with an overall high symptom load (83%). Pain, agitation, and seizures could be treated more successfully than other symptoms. Successful symptom perception was achieved in most cases and predicted the quality of symptom treatment (R 2, 0.612). Concordant assessment of symptom severity between parents and healthcare professionals (HCPs) improved the satisfaction with the care provided (p = 0.037) as well as the parental quality-of-life (p = 0.041). Even in cases with unsuccessful symptom control, parents were very satisfied with the SHPPC team's care (median 10; numeric rating scale 0-10) and rated the child's death as highly peaceful (median 9). Significance of the results: The quality and the concordance of symptom perception between parents and HCPs essentially influence parental quality-of-life as well as parental satisfaction and constitute a predictive factor for the quality of symptom treatment and palliative care.
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Il faut distinguer timing pubertaire objectif (TPO ; comparaison du timing pubertaire réel d'un sujet avec celui d'un groupe de référence) et timing pubertaire subjectif (TPS ; perception subjective par le sujet de son timing pubertaire par rapport à celui de ses pairs). Chez l'adolescente, la ménarche est couramment utilisée comme marqueur du TPO. La littérature s'intéressant aux variations physiologiques (normales) du timing pubertaire montre qu'un TPO précoce est corrélé chez les adolescentes avec de nombreux problèmes de santé (p.ex. dépression, abus de substances, comportements à risques, niveau d'études inférieur). Un TPO tardif chez l'adolescente serait quant à lui associé à une meilleure réussite scolaire. Les diverses hypothèses expliquant ces corrélations sont brièvement décrites dans notre travail. Certaines hypothèses impliquent des facteurs objectifs tels les changements du corps à la puberté, alors que d'autres privilégient des facteurs plus subjectifs, dans le registre de la perception de soi. A ce jour, la littérature ne s'est que très peu intéressée au TPS en soi. Une adolescente percevant son timing pubertaire comme précoce est-elle à risque même si sa puberté survient objectivement au même âge que la majorité de ses pairs ? L'objectif de ce travail est de rechercher d'éventuelles corrélations entre TPS et adoption de comportements à risque chez des adolescentes rapportant un TPO dans la moyenne. Nos données proviennent de l'enquête SMASH 2002, une étude par questionnaire auto-administré conduite parmi un échantillon de 7548 adolescentes et adolescents suisses âgés de 16-20 ans. Des 3658 adolescentes de l'échantillon initial, nous ne sélectionnons que les 1003 d'entre elles qui ont répondu à la question sur le TPS et qui ont rapporté un âge à la ménarche de 13 ans, soit la moyenne et la médiane de l'âge à la ménarche rapporté par les 3658 adolescentes de l'échantillon initial. Ces 1003 adolescentes sélectionnées sont considérées comme ayant un TPO dans la moyenne. Ces 1003 adolescentes sont séparées en 3 groupes en fonction de leur TPS (précoce/correspondant à la moyenne/tardif). A l'aide d'analyses bivariées et logistiques, nous comparons ces 3 groupes en termes d'adoption de comportements à risque dans le champ de la sexualité (précocité des rapports sexuels) et dans celui de la consommation de substances (tabac, cannabis, drogues dures). Nos résultats montrent principalement qu'une perception de précocité pubertaire est associée avec une précocité des premiers rapports sexuels et de l'usage de drogues dures. A l'inverse, les adolescentes percevant leur puberté comme tardive rapportent moins fréquemment des rapports sexuels avant 16 ans que les adolescentes percevant leur puberté comme dans la moyenne. Les implications cliniques sont les suivantes : face à une adolescente percevant sa puberté comme étant ou ayant été précoce, le praticien devrait investiguer l'existence de comportements à risque même si la puberté survient ou est survenue à un âge similaire à ce qui est retrouvé chez la majorité des pairs. En effet, notre étude suggère que même si cette adolescente se trompe en percevant sa puberté comme précoce, la probabilité de comportements à risque est augmentée dans le champ de la sexualité et de la consommation de substances. Nos résultats suggèrent aussi que l'association retrouvée dans la littérature entre précocité objective de la puberté et comportements à risque chez les adolescentes n'est pas uniquement médiée par les changements corporels pubertaires mais qu'un facteur psychologique tel que la perception subjective est également impliqué.