993 resultados para kidney cancer
Resumo:
To update trends in childhood cancer mortality in Europe, we analysed mortality data derived from the World Health Organization for all childhood neoplasms, bone and kidney cancers, non-Hodgkin's lymphomas (NHL) and leukaemias, in 30 European countries up to 2007. Between 1990-1994 and 2005-2007, mortality from all neoplasms steadily declined in most European countries (from 5.2 to 3.5/100,000 boys and from 4.3 to 2.8/100,000 girls in the European Union, EU). In 2005-2007, however, mortality rates from childhood cancers were still higher in countries from Eastern (4.9/100,000 boys and 3.9/100,000 girls) and Southern (4.0/100,000 boys and 3.1/100,000 girls) Europe than in those from Western (3.1/100,000 boys and 2.5/100,000 girls) and Northern (3.2/100,000 boys and 2.5/100,000 girls) Europe. Similar temporal trends and geographic patterns were observed for leukaemias, with declines from 1.7 to 0.9/100,000 boys and from 1.3 to 0.7/100,000 girls between 1990-1994 and 2005-2007 in the EU. For kidney cancer and NHL mortality rates were low and have been declining in larger European countries over the last 15years. The pattern of trends was less clear for bone cancer, with no systematic downward trends at age 0-14, though some fall was evident at age 15-19. Thus, mortality from childhood cancer continued to decline over more recent years in most European countries. However, the mortality rates in Eastern - but also Southern - European countries in the mid 2000's were similar to those in the Western and Northern European ones in the early 1990's. Some further improvement in childhood cancer mortality is therefore achievable through more widespread and better adoption of currently available treatments.
Resumo:
BACKGROUND: Over the last 4 decades, childhood cancer mortality declined in most developed areas of the world. However, scant information is available from middle-income and developing countries. The authors analyzed and compared patterns in childhood cancer mortality in 24 developed and middle-income countries in America, Asia, and Oceania between 1970 and 2007. METHODS: Childhood age-standardized annual mortality rates were derived from the World Health Organization (WHO) database for all neoplasms, bone and kidney cancer, non-Hodgkin lymphoma (NHL), and leukemias. RESULTS: Since 1970, rates for all childhood cancers dropped from approximately 8 per 100,000 boys to 3 per 100,000 boys and from 6 per 100,000 girls to 2 per 100,000 girls in North America and Japan. Latin American countries registered rates of approximately 5 per 100,000 boys and 4 per 100,000 girls for 2005 through 2007, similar to the rates registered in more developed areas in the early 1980s. Similar patterns were observed for leukemias, for which the mortality rates were 0.81 per 100,000 boys and 0.55 per 100,000 girls in North America, 0.86 per 100,000 boys and 0.68 per 100,000 girls in Japan, and 1.98 per 100,000 boys and 1.65 per 100,000 girls in Latin America for 2005 through 2007. Bone cancer rates for 2005 through 2007 were approximately 2-fold higher in Argentina than in the United States. During the same period, Mexico registered the highest rate for kidney cancer and Colombia registered the highest rate for NHL, whereas the lowest rates were registered by Japan for kidney and by Japan and the United States for NHL. CONCLUSIONS: Improvements in the adoption of current integrated treatment protocols in Latin American and other lower- and middle-income countries worldwide would avoid a substantial proportion of childhood cancer deaths.
Resumo:
L’immunothérapie tumorale à médiation cellulaire est un traitement qui utilise le système immunitaire des patients afin d’induire une réponse des lymphocytes T CD8+ (T CD8+) contre la tumeur. Cette réponse est produite suite à la reconnaissance des antigènes par les T CD8+. Ces cibles sont appelées antigènes tumoraux (TAA) et définies comme des protéines exprimées par les cellules cancéreuses mais absentes des tissus normaux. Par une approche bio-informatique, notre laboratoire a identifié Dickkopf-1 (DKK1), une protéine inhibitrice de la voie de Wnt, comme un TAA potentiel. Une immunothérapie à médiation cellulaire efficace requiert l’identification de TAA candidats pertinents. Le traitement de patients par immunothérapie pourrait également être améliorées par l’augmentation de la puissance d’action anti-tumorale ainsi que la persistante des T CD8+ spécifiques aux TAA. Ce projet de doctorat se divise en deux parties : 1- La caractérisation de l’expression de DKK1 dans les cancers communs et la détermination de son immunogénicité afin de valider sa candidature comme TAA. 2- La reprogrammation des T CD8+, de patients atteints d’un cancer commun, vers un phénotype moins différentié afin d’augmenter leur potentiel anti-tumoral et leur persistance. Dans le premier objectif, nous avons caractérisé l’expression de DKK1 dans le cancer du sein et dans d’autres cancers communs. Le profil d’expression de DKK1 a été étudié par RT-PCR et par ELISA dans plusieurs lignées cellulaires de cancer et dans les tissus normaux. L’expression de DKK1 a aussi été étudiée dans des échantillons cliniques provenant de cancers du sein, du poumon et du rein. Trente pourcents (30%) des tumeurs provenant d’un cancer du sein exprimaient DKK1. La moitié des tumeurs DKK1(+) était triple négative, donc pas de récepteurs d’œstrogène et de progestérone et était Her-2/neu(-) (ces patientes ont des possibilités de traitements très restreintes). De plus, 50% des échantillons cliniques de tumeurs du poumon et 30% des tumeurs de rein exprimaient DKK1. Les observations effectuées dans le cancer du poumon ont été, par la suite, corroborées par d'autres groupes qui ont montré une corrélation entre l'expression de DKK1 et un mauvais pronostic. Après avoir confirmée l’expression de DKK1 dans les cancers communs, justifiant ainsi sa candidature comme TAA, nous avons évalué l’immunogénicité de DKK1. Pour ce faire, nous avons effectué des stimulations in vitro de cellules mononucléées du sang périphérique (PBMC) de patient(e)s atteint(e)s d’un cancer du sein ou du poumon avec des peptides dérivés de DKK1 pouvant être présentés par les complexes majeurs d’histocompatibilité (CMH) HLA-A*0201. Des clones de T CD8+ reconnaissant un peptide de DKK1 ont été identifiés et isolés. Par essai multiplex et cytométrie de flux intracellulaire, la polyfonctionnalité d’un ces clones T CD8+ spécifiques à DKK1 a été étudiée et a révélée un profil effecteur, renforçant ainsi la candidature de DKK1 comme TAA. Dans l’ensemble, les résultats obtenus dans cette première partie de thèse suggèrent une possible utilisation de DKK1 en immunothérapie contre les cancers communs, attribuable à son expression dans ces cancers et la possibilité de faire proliférer des T CD8+ effecteurs spécifiques à DKK1 à partir de sang de patients. Dans la seconde partie de cette thèse, je décrirai la manipulation in vitro des T CD8+ de patients atteints d’un cancer commun, afin d’augmenter la force et la durée de leurs fonctions anti-tumorales. Il a été démontré que des lymphocytes moins différentiés sont capables d’une réponse immunologique plus efficace et durable. Nous avons basé ce projet sur l’utilisation d’un inhibiteur pharmacologique de la GSK-3, pour activer de la voie de Wnt chez les T CD8+ et ainsi leur conférer un phénotype moins différentié, partageant des caractéristiques de la cellule naïve et de la cellule mémoire. Des cultures de T CD8+, spécifiques à des antigènes viraux, en présence de l’inhibiteur ont permis d’augmenter la sécrétion d’interféron (IFN)- et leur activité cytotoxique. Ces résultats indiquent un effet de l’activation de la voie de Wnt sur la fonction des T CD8+. Ces observations sont rapportées pour la première fois chez les T CD8+ humains et suggèrent une nouvelle stratégie, applicables à l’immunothérapie du cancer, afin de prolonger la persistance des cellules ainsi que leur activité anti-tumorale. En conclusion, ces travaux de recherche ont mené à la réalisation d’une étape très importante dans la validation de la candidature de DKK1 comme TAA pour les cancers communs, soit la démonstration de son expression dans ces cancers et son absence dans les tissus normaux dérivés d’organes importants. Ces travaux ont également mené à la démonstration de l’immunogénicité de DKK1, par l’identification d’un peptide de DKK1 reconnu par les T CD8+. De plus, l’étude de la polyfonctionnalité des T CD8+ spécifiques à DKK1 a révélée un profil effecteur favorable pour l’obtention d’une réponse anti-tumorale efficace. Ces découvertes pourraient servir à l’élaboration d’une stratégie d’immunothérapie à médiation cellulaire pour les cancers communs. Pour sa part, l’étude phénotypique et fonctionnelle de la modulation de la voie de Wnt dans les T CD8+ a donné lieu à l’observation d’un phénotype encore jamais rapporté chez l’humain, conférant aux T CD8+ un aspect moins différentié avec des caractéristiques propre à un phénotype mémoire. Ces résultats sont pertinents dans l’amélioration de l’immunothérapie du cancer, passant par l’augmentation de la persistance des lymphocytes. En résumé, les résultats présentés dans cette thèse de doctorat fournissent des évidences indéniables quant à la validation de DKK1 comme TAA pour une immunothérapie à médiation cellulaire des cancers communs. Ces résultats fournissent également des preuves quant à la pertinence de la reprogrammation des T CD8+ par l’activation de la voie de la voie de Wnt, afin de générer des lymphocytes médiateurs plus efficaces pour ce type de thérapie.
Resumo:
A review. 6-Substituted fulvenes are interesting and easily accessible starting materials for the synthesis of novel substituted titanocenes via reductive dimerization, carbolithiation or hydridolithiation reactions, which are followed by a transmetallation reaction with titanium tetrachloride in the latter two cases. Depending on the substitution pattern, these titanocenes prove to be bioorganometallic anticancer drugs, which have significant potential against advanced or metastatic renal-cell cancer. Patients bearing these stages of kidney cancer have a poor prognosis so far and therefore real progress in the area of metal-based anticancer drugs may come from this simple and effective synthetic approach. This tutorial review provides an insight into the synthesis of fulvene-derived titanocenes and their activity in preclin. expts.
Resumo:
Herein we report the clinical, histopathological, and molecular features of a cancer syndrome with predisposition to uterine leiomyomas and papillary renal cell carcinoma. The studied kindred included 11 family members with uterine leiomyomas and two with uterine leiomyosarcoma. Seven individuals had a history of cutaneous nodules, two of which were confirmed to be cutaneous leiomyomatosis. The four kidney cancer cases occurred in young (33- to 48-year-old) females and displayed a unique natural history. All these kidney cancers displayed a distinct papillary histology and presented as unilateral solitary lesions that had metastasized at the time of diagnosis. Genetic-marker analysis mapped the predisposition gene to chromosome 1q. Losses of the normal chromosome 1q were observed in tumors that had occurred in the kindred, including a uterine leiomyoma. Moreover, the observed histological features were used as a tool to diagnose a second kindred displaying the phenotype. We have shown that predisposition to uterine leiomyomas and papillary renal cell cancer can be inherited dominantly through the hereditary leiomyomatosis and renal cell cancer (HLRCC) gene. The HLRCC gene maps to chromosome 1q and is likely to be a tumor suppressor. Clinical, histopathological, and molecular tools are now available for accurate detection and diagnosis of this cancer syndrome.
Resumo:
Protein kinase C (PKC) comprises a superfamily of isoenzymes, many of which are activated by cofactors such as diacylglycerol and phosphatidylserine. In order to be capable of activation, PKC must first undergo a series of phosphorylations. In turn, activated PKC phosphorylates a wide variety of intracellular target proteins and has multiple functions in signal transduced cellular regulation. A role for PKC activation had been noted in several renal diseases, but two that have had most investigation are diabetic nephropathy and kidney cancer. In diabetic nephropathy, an elevation in diacylglycerol and/or other cofactor stimulants leads to an increase in activity of certain PKC isoforms, changes that are linked to the development of dysfunctional vasculature. The ability of isoform-specific PKC inhibitors to antagonize diabetes-induced vascular disease is a new avenue for treatment of this disorder. In the development and progressive invasiveness of kidney cancer, increased activity of several specific isoforms of PKC has been noted. It is thought that this may promote the kidney cancer's inherent resistance to apoptosis, in natural regression or after treatments, or it may promote the invasiveness of renal cancers via cellular differentiation pathways. In general, however, a more complete understanding of the functions of individual PKC isoforms in the kidney, and development or recognition of specific inhibitors or promoters of their activation, will be necessary to apply this knowledge for treatment of cellular dysregulation in renal disease.
Resumo:
The laparoscopic approach has emerged as a valid option for surgical management of kidney cancer, as well as a few benign pathologies. The immediate benefits of laparoscopy are well established and include less estimated blood loss, decreased pain, shorter perioperative convalescence, and improved cosmesis. Long-term oncologic outcomes of patients treated laparoscopically for kidney tumors are similar to those of open surgery.
Resumo:
BACKGROUND: In recent decades, there have been substantial changes in mortality from urologic cancers in Europe. OBJECTIVE: To provide updated information, we analyzed trends in mortality from cancer of the prostate, testis, bladder, and kidney in Europe from 1970 to 2008. DESIGN, SETTING, AND PARTICIPANTS: We derived data for 33 European countries from the World Health Organization database. MEASUREMENTS: We computed world-standardized mortality rates and used joinpoint regression to identify significant changes in trends. RESULTS AND LIMITATIONS: Mortality from prostate cancer has leveled off since the 1990s in countries of western and northern Europe, particularly over the last few years while it was still rising in Bulgaria, Romania, and Russia. In the European Union (EU), it reached a peak in 1995 at 15.0 per 100 000 men and declined to 12.5 per 100 000 in 2006. Mortality from testicular cancer has steadily declined in most countries in western and northern Europe since the 1970s. The declines were later and appreciably lower in central/eastern Europe. In EU, rates declined from 0.75 in 1980 to 0.32 per 100 000 men in 2006, with stronger declines up to the late 1990s and an apparent leveling off in rates thereafter. Over the last 15 years, mortality from bladder cancer has declined in most European countries in both sexes. The major exceptions were Bulgaria, Poland, and Romania. In the EU, bladder cancer mortality was stable until 1992 and declined thereafter from 7.3 to 5.5 per 100 000 men and from 1.5 to 1.2 per 100 000 women in 2006. Mortality from kidney cancer increased throughout Europe until the early 1990s and leveled off thereafter in many countries, except in a few central and eastern ones. Between 1994 and 2006, rates declined from 4.9 to 4.3 per 100 000 in EU men and from 2.1 to 1.8 per 100 000 in EU women. CONCLUSIONS: Over the last two decades, trends in urologic cancer mortality were favorable in Europe, with the exception of a few central and eastern countries.
Resumo:
In prostatic cancer, PSA velocity is a reliable sign of cancer agressivity. In the metastatic prostatic cancer, there is no difference on survival between an early and late hormonal treatment. In the invasive bladder cancer néo-adjuvant chemotherapy offers a light advantage. In the kidney cancer, anti-angiogenic agents increase the survival. In the non neurogenic overactive bladder, no studies have led to relevant results in using antimuscarinic agent in the first line. The 5 phophodiesterase inhibitors used in the treatment of erectile dysfunction are also effective in the treatment of trouble induced by benign prostatic hyperplasia.
Resumo:
AbstractRenal cell carcinoma (RCC) is the seventh most common histological type of cancer in the Western world and has shown a sustained increase in its prevalence. The histological classification of RCCs is of utmost importance, considering the significant prognostic and therapeutic implications of its histological subtypes. Imaging methods play an outstanding role in the diagnosis, staging and follow-up of RCC. Clear cell, papillary and chromophobe are the most common histological subtypes of RCC, and their preoperative radiological characterization, either followed or not by confirmatory percutaneous biopsy, may be particularly useful in cases of poor surgical condition, metastatic disease, central mass in a solitary kidney, and in patients eligible for molecular targeted therapy. New strategies recently developed for treating renal cancer, such as cryo and radiofrequency ablation, molecularly targeted therapy and active surveillance also require appropriate preoperative characterization of renal masses. Less common histological types, although sharing nonspecific imaging features, may be suspected on the basis of clinical and epidemiological data. The present study is aimed at reviewing the main clinical and imaging findings of histological RCC subtypes.
Resumo:
Le système immunitaire se doit d’être étroitement régulé afin d’éviter que des réponses immunologiques inappropriées ou de trop forte intensité ne surviennent. Ainsi, différents mécanismes permettent de maintenir une tolérance périphérique, mais aussi d’atténuer la réponse lorsque celle-ci n’est plus nécessaire. De tels mécanismes sont cependant aussi exploités par les tumeurs, qui peuvent ainsi échapper à une attaque par le système immunitaire et donc poursuivre leur progression. Ces mécanismes immunosuppresseurs nuisent non seulement à la réponse naturelle contre les cellules tumorales, mais font aussi obstacle aux tentatives de manipulation clinique de l’immunité visant à générer une réponse anti-tumorale par l’immunothérapie. L’un des mécanismes par lesquels les tumeurs s’évadent du système immunitaire est l’expression d’enzymes responsables du métabolisme des acides aminés dont l’une des principales est l’indoleamine 2,3-dioxygénase (IDO). Cette dernière dégrade le tryptophane et diminue ainsi sa disponibilité dans le microenvironnement tumoral, ce qui engendre des effets négatifs sur la prolifération, les fonctions et la survie des lymphocytes T qui y sont présents. Bien que la régulation de l’expression de cette enzyme ait été largement étudiée chez certaines cellules présentatrices d’antigènes, dont les macrophages et les cellules dendritiques, peu est encore connu sur sa régulation dans les cellules tumorales humaines. Nous avons posé l’hypothèse que différents facteurs produits par les cellules immunitaires infiltrant les tumeurs (TIIC) régulent l’expression de l’IDO dans les cellules tumorales. Nous avons effectivement démontré qu’une expression de l’IDO est induite chez les cellules tumorales humaines, suite à une interaction avec des TIIC. Cette induction indépendante du contact cellulaire résulte principalement de l’interféron-gamma (IFN-g) produit par les lymphocytes T activés, mais est régulée à la baisse par l’interleukine (IL)-13. De plus, la fludarabine utilisée comme agent chimiothérapeutique inhibe l’induction de l’IDO chez les cellules tumorales en réponse aux lymphocytes T activés. Cette observation pourrait avoir des conséquences importantes en clinique sachant qu’une forte proportion d’échantillons cliniques provenant de tumeurs humaines exprime l’IDO. Enfin, les lymphocytes B, qui sont retrouvés également dans certaines tumeurs et qui interagissent étroitement avec les lymphocytes T, sont aussi susceptibles à une induction transcriptionnelle et traductionnelle de l’IDO. Cette enzyme est cependant produite sous une forme inactive dans les lymphocytes B, ce qui rend peu probable l’utilisation de l’IDO par les lymphocytes B comme mécanisme pour freiner la réponse immunitaire. Nos travaux apportent des informations importantes quant à la régulation de l’expression de la molécule immunosuppressive IDO dans les cellules cancéreuses. Ils démontrent que l’expression de l’IDO est influencée par la nature des cytokines présentes dans le microenvironnement tumoral. De plus son expression est inhibée par la fludarabine, un agent utilisé pour le traitement de certains cancers. Ces données devraient être prises en considération dans la planification de futurs essais immunothérapeutiques, et pourraient avoir un impact sur les réponses cliniques anti-tumorales.
Resumo:
La présentation antigénique par le complexe majeur d’histocompatibilité (MHC) I est un processus ubiquitaire permettant la présentation de protéines endogènes qui reflètent l'état de la cellule à la surface cellulaire aux lymphocytes T CD8+ dans le contexte de la surveillance et la réponse immunitaires. Ainsi, l'expression des molécules du MHC I classiques est induite en réponse aux stimuli inflammatoires afin de favoriser la reconnaissance immunitaire et l'élimination des pathogènes. HFE est une molécule du MHC Ib non-classique qui sert de régulateur négatif de l'absorption du fer. HFE est associé au développement de l'hémochromatose héréditaire (HH), maladie associée au métabolisme du fer mais souvent accompagnée de défauts immunitaires. Ainsi, nous avons en premier lieu étudié l'impact de HFE sur la présentation antigénique par MHC I, afin d'expliquer en partie les défauts immunitaires liés à l'HH associée à HFEC282Y. Puis, compte tenu de l'impact de l'inflammation sur l'expression des molécules du MHC I classiques, nous avons étudié la régulation de l'expression de HFE en réponse aux stimuli inflammatoires induits par les cellules du sang périphérique mononucléées (PBMC). Nous avons mis au point un système d’expression antigénique dans lequel nous contrôlons l’expression de MHC I, de HFE et d’un antigène pour lequel nous avons généré des lymphocytes T CD8+ spécifiques. Nos résultats démontrent que la forme sauvage de HFE (HFEWT), contrairement à sa forme mutée (HFEC282Y), inhibe la reconnaissance de complexes MHC I/peptide (pMHC). Nous avons également démontré que l'inhibition de la reconnaissance est maintenue, indépendamment des niveaux d'expression de MHC I à la surface, d'une compétition pour la β2-microglobuline, de la capacité de HFE d'interagir avec le récepteur de la transferrine, de l'origine de l'antigène ou de l'affinité de celui-ci. Par ailleurs, nous avons identifié les domaines α1-2 de HFEWT comme étant responsables de l'inhibition de la reconnaissance antigénique. Par contre, la reconnaissance de peptides chargés de manière externe sur les molécules du MHC I présentes à la surface n'a démontré aucune inhibition en présence de HFEWT, suggérant que HFEWT pourrait affecter la reconnaissance en interférant avec le processus d'apprêtement antigénique intracellulaire. À l’inverse, nous avons souhaité déterminer si les lymphocytes T activés pouvaient influencer les niveaux d'expression de HFE. En termes de régulation de l'expression de HFE, nous avons établi que HFE est exprimé dans les tissus sains chez l'humain et induit chez les lignées de cancers du colon, du sein, du poumon, du rein et du mélanome. Par ailleurs, en co-cultivant des lymphocytes T activés avec ces lignées tumorales, nous avons démontré que l'expression de HFE est fortement inhibée dans toutes ces lignées tumorales lorsqu'exposées à des lymphocytes T activés. Finalement, la modulation de l'expression de HFE est indépendante du contact cellulaire et semble médiée en partie par le GM-CSF, l'IFN-γ et le TNF. En somme, ces résultats suggèrent que les lymphocytes T de l'hôte modulent l'expression de HFE dans le microenvironnement inflammatoire, ce qui pourrait promouvoir la reconnaissance des antigènes présentés sur les molécules du MHC I présentées aux lymphocytes T CD8+ antigène-spécifiques. De plus, ces études soulèvent la possibilité d'un nouveau rôle physiologique de HFEWT dans la voie de présentation antigénique par MHC I, qui pourrait moduler l'immunogénicité des antigènes et la réponse immunitaire cellulaire chez l'hôte.
Resumo:
Introducción: Las indicaciones por las cuales un paciente requiere una nefrectomía son múltiples: las neoplasias, la hidronefrosis y la exclusión funcional son las principales. En manos expertas la nefrectomía es un procedimiento seguro, especialmente porque en la actualidad el abordaje por excelencia es realizar una técnica mínimamente invasiva con conservación de nefronas. Se presenta el análisis de la experiencia en Mederi, Hospital Universitario Mayor en esta intervención. Metodología: Se realizó una serie de casos de pacientes llevados a nefrectomía entre mayo de 2008 y mayo de 2012. Se incluyeron la totalidad de los casos. Resultados: Se analizaron 72 registros, 49 mujeres y 25 hombres; 13 de ellas fueron laparoscópicas. La edad promedio fue de 58,6 años. El tiempo medio operatorio fue 169,23 minutos (118-220 minutos). El sangrado operatorio promedio fue de 680,63 ml (IC95%: 2,83-1358 ml). El tiempo de hospitalización promedio fue de 4,88 días IC95%. La mayoría de los pacientes se distribuyeron en estadios medios de la enfermedad tumoral, con poco compromiso ganglionar y metástasis; el diagnóstico histológico y estadio dominante fueron el carcinoma de células renales grado 3 de Fuhrman respectivamente. Se reportan 13 casos de compromiso de la capsula de Gerota y 11 con compromiso del hilio. Discusión: La experiencia en nefrectomía de la institución es muy positiva por el bajo número de mortalidad y complicaciones. En cuanto a la técnica, es importante promover la técnica laparoscópica
Resumo:
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
Resumo:
Ansatz zur Generierung einer konditionalen, reversiblen Wt1 k.o.-Maus Der Wilms-Tumor (WT, Nephroblastom) ist ein embryonaler Nierentumor, der durch die maligne Transformation von undifferenziertem Nierengewebe, sog. nephrogenen Resten, entsteht. WT treten mit einer Inzidenz von 1 in 10.000 Lebendgeburten auf. Das Hauptmanifestationsalter, der normalerweise einseitig und sporadisch auftretenden Tumore, liegt zwischen dem 3. und 4. Lebensjahr. Etwa 10 % der Patienten entwickeln jedoch bilaterale Tumore. In diesen Fällen ist eine Assoziation mit komplexen genetischen Krankheitsbildern (u. a. WAGR-, Denys-Drash-, Frasier- und Beckwith-Wiedemann-Syndrom) festzustellen. In 15 % der sporadischen WT sind Mutationen im WT1 (Wilms-Tumor 1)-Gen beschrieben. WT1 besteht aus zehn Exons und weist typische Merkmale von Transkriptionsfaktoren (z. B. vier Zinkfinger) auf. Zwei alternative Spleißereignisse betreffen Exon 5 (+/−Exon 5) und Exon 9 (Transkripte mit bzw. ohne die codierenden Sequenzen für die AS Lysin-Threonin-Serin; +/−KTS). Die Lage der drei alternativ vorhandenen AS zwischen den Zinkfingern 3 und 4 bestimmt die verschiedenen Funktionen der WT1-Proteine (4 Isoformen) als Transkriptionsfaktor (−KTS) bzw. als RNA-bindendes Protein (+KTS). Das zunächst im Zusammenhang mit WT als Tumorsuppressorgen identifizierte WT1 ist ein Entwicklungsgen mit einem sehr komplexen Expressionsmuster in der Embryonalentwicklung. Dabei ist v. a. die Bedeutung in der Urogenitalentwicklung entscheidend. Konstitutive, homozygote Wt1−/− k.o.-Mäuse sind embryonal (~ E12,5 dpc) letal und bilden u. a. keine Gonaden und keine Nieren. Aus diesem Grund existiert bisher kein Wilms-Tumormodell. Die Herstellung eines konditionalen murinen Tiermodells auf Basis des Tet on/off-Systems zur Untersuchung der Nierenentwicklung bzw. zur Analyse der Wilms-Tumorpathogenese war Ziel dieser Arbeit. Hierfür wurden drei Mauslinien generiert: Zwei transgene sog. Responder-Linien, die eine chimäre spleißbare Wt1-cDNA der Variante musWt1+Exon 5;+/−KTS unter der Kontrolle eines Tet-responsiven Promotors im Genom tragen. Dieses tTA/Dox-abhängig regulierbare Wt1-Transgen (tgWt1) sollte (exogen regulierbar) die Expression des endogenen Wt1-Lokus ausreichend nachahmen, um die kritischen Phasen der Embryogenese zu überwinden und lebensfähige Tiere zu erhalten. Parallel dazu wurde die Wt1-Effektor-Mauslinie (WE2) generiert. Diese trägt einen tetrazyklinabhängigen Transaktivator (tTA) zur Steuerung Tet-regulierbarer Transgene unter der Kontrolle des endogenen Wt1-Promotors. Die durch homologe Rekombination in ES-Zellen erreichte Integration des tTA direkt am Translationsstartpunkt des Wt1-Lokus hat in den Tieren einen heterozygoten Wt1 knock out/tTA knock in zur Folge. Die bisher vorgenommenen Verpaarungen doppelt transgener Wt1-tTA+/−/Resp-Mäuse ergaben keinen Rescue des letalen Wt1 k.o. und es konnten bislang keine Wilms-Tumore induziert werden. Alle im Verlauf der Arbeit generierten Mauslinien wurden umfassend charakterisiert. So konnte für die Tiere der Responder-Linien Wt1-Resp1 (mit zusätzlichen Isolator-Sequenzen zum Schutz des Transgens vor Positionseffekten) und Wt1-Resp2 (ohne Isolatoren) konnte die Tet-induzierbare Expression und die Spleißbarkeit des tgWt1 in MEF-Assays und mittels Effektor-Mäusen auf RNA-Ebene nachgewiesen werden. Die genomische Charakterisierung der WE2-Linie ergab eine ungeklärte etwa 120 kb große Inversion am Wt1-Lokus, die alle 5'-regulatorischen Sequenzen mitsamt des tTA vom Rest von Wt1 trennt. Tiere dieser Linie weisen aber dennoch einen funktionalen Wt1 k.o. auf: Unter den Nachkommen aus Intercross-Verpaarungen von Wt1-tTA+/−-Mäusen lassen sich auf Grund der Letalität keine Wt1−/−-Genotypen nachweisen. Die Charakterisierung der Effektor-Linie auf RNA-Ebene und mittels Reporter-Mäusen liefert ein Wt1-analoges tTA-Expressionsmuster: So findet man eine deutliche tTA-Expression u. a. in Niere (Glomeruli), Uterus, Ovar und Testis. Die hier vorgestellten Experimente ergeben darüber hinaus eindeutige Hinweise einer Beteiligung von Wt1 in der Entstehung der glatten Muskulatur bzw. in der Vaskulogenese.