877 resultados para demand-control-support


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Pumped storage hydro plants (PSHP) can provide adequate energy storage and frequency regulation capacities in isolated power systems having significant renewable energy resources. Due to its high wind and solar potential, several plans have been developed for La Palma Island in the Canary archipelago, aimed at increasing the penetration of these energy sources. In this paper, the performance of the frequency control of La Palma power system is assessed, when the demand is supplied by the available wind and solar generation with the support of a PSHP which has been predesigned for this purpose. The frequency regulation is provided exclusively by the PSHP. Due to topographic and environmental constraints, this plant has a long tail-race tunnel without a surge tank. In this configuration, the effects of pressure waves cannot be neglected and, therefore, usual recommendations for PID governor tuning provide poor performance. A PI governor tuning criterion is proposed for the hydro plant and compared with other criteria according to several performance indices. Several scenarios considering solar and wind energy penetration have been simulated to check the plant response using the proposed criterion. This tuning of the PI governor maintains La Palma system frequency within grid code requirements.

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On-site tracking in open construction sites is often difficult because of the large amounts of items that are present and need to be tracked. Additionally, the amounts of occlusions/obstructions present create a highly complex tracking environment. Existing tracking methods are based mainly on Radio Frequency technologies, including Global Positioning Systems (GPS), Radio Frequency Identification (RFID), Bluetooth and Wireless Fidelity (Wi-Fi, Ultra-Wideband, etc). These methods require considerable amounts of pre-processing time since they need to manually deploy tags and keep record of the items they are placed on. In construction sites with numerous entities, tags installation, maintenance and decommissioning become an issue since it increases the cost and time needed to implement these tracking methods. This paper presents a novel method for open site tracking with construction cameras based on machine vision. According to this method, video feed is collected from on site video cameras, and the user selects the entity he wishes to track. The entity is tracked in each video using 2D vision tracking. Epipolar geometry is then used to calculate the depth of the marked area to provide the 3D location of the entity. This method addresses the limitations of radio frequency methods by being unobtrusive and using inexpensive, and easy to deploy equipment. The method has been implemented in a C++ prototype and preliminary results indicate its effectiveness

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O modelo demanda e controle de Karasek, elaborado na década de 1970, postula que os trabalhadores expostos a situações de alta exigência no trabalho, decorrente da combinação entre altas demandas psicológicas e baixo controle sobre o processo de trabalho, tem maior risco de apresentar eventos em saúde relacionados ao estresse, em particular doenças cardiovasculares. Os objetivos desta tese incluíram: avaliar propriedades psicométricas do instrumento Demand-Control-Support Questionnaire (DCSQ) e conduzir uma meta-análise dos estudos publicados sobre a associação entre alta exigência no trabalho e hipertensão arterial. Três artigos foram elaborados. O primeiro artigo avaliou a validade dimensional e consistência interna da versão brasileira do instrumento DCSQ, quando aplicado a trabalhadores de um hospital e nove restaurantes no Rio de Janeiro. O segundo artigo comparou as propriedades psicométricas do DCSQ no contexto dos trabalhadores de hospital no Brasil e na Suécia. O terceiro artigo apresentou uma meta-análise dos estudos de associação entre alta exigência no trabalho e hipertensão arterial. Os resultados evidenciaram que o instrumento DCSQ tem estrutura tridimensional e equivalente nas versões brasileira e sueca (original), representada por demandas psicológicas, uso de habilidades e autonomia para a decisão. O modelo de melhor ajuste excluiu a dimensão apoio social no trabalho e o item trabalho repetitivo (uso de habilidades). A meta-análise revelou que os estudos foram heterogêneos, a população-alvo foi restrita a países da Europa, EUA e Japão, sem evidência de associação entre alta exigência no trabalho, demanda e controle, e hipertensão arterial.

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Notre thèse de doctorat a pour but d’évaluer les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes. Plus spécifiquement, il est question d’identifier les facteurs associés aux symptômes dépressifs majeurs, à une tension psychologique au travail ou travail "tendu" ("high-strain" job), à un travail "tendu" avec un faible soutien social au travail ("Iso-strain"), et enfin d’évaluer l’association entre ces contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail. Les données analysées sont issues de l’Étude Montréalaise sur la Prématurité, une étude de cohorte prospective menée entre mai 1999 et avril 2004, auprès de 5 337 femmes enceintes interviewées à 24-26 semaines de grossesse dans quatre hôpitaux de l’île de Montréal (Québec, Canada). L’échelle CES-D (Center for Epidemiological Studies Depression Scale) a été utilisée pour mesurer les symptômes dépressifs majeurs (score CES-D ≥23). L’échelle abrégée de Karasek a été utilisée pour mesurer les contraintes psychosociales au travail. La présente étude a conduit à la rédaction de quatre articles scientifiques qui seront soumis à des revues avec comité de pairs. Le premier article a permis de comparer la prévalence des symptômes dépressifs majeurs dans différents sous-groupes de femmes enceintes : femmes au foyer, femmes au travail, femmes en arrêt de travail, femmes aux études et de rechercher les facteurs de risque associés aux symptômes dépressifs majeurs pendant la grossesse. À 24-26 semaines de grossesse, la prévalence des symptômes dépressifs majeurs était de 11,9% (11,0-12,8%) pour l’ensemble des femmes enceintes à l’étude (N=5 337). Les femmes enceintes au travail avaient une proportion de symptômes dépressifs moins élevée [7,6% (6,6-8,7%); n=2 514] par rapport aux femmes enceintes au foyer qui avaient les prévalences les plus élevées [19,1% (16,5-21,8%); n=893], suivi des femmes enceintes en arrêt de travail [14,4% (12,7-16,1%); n=1 665] et des femmes enceintes aux études [14,3% (10,3-19,1%); n=265]. Les caractéristiques personnelles (non professionnelles) associées aux symptômes dépressifs majeurs étaient, après ajustement pour toutes les variables, le statut d’emploi, un faible niveau d’éducation, un faible soutien social en dehors du travail, le fait d’avoir vécu des événements stressants aigus, d’avoir manqué d’argent pour les besoins essentiels, les difficultés relationnelles avec son partenaire, les problèmes de santé chronique, le pays de naissance et le tabagisme. Le deuxième article avait pour objectif de décrire l’exposition aux contraintes psychosociales au travail et d’identifier les facteurs qui y sont associés chez les femmes enceintes de la région de Montréal, au Québec (N=3 765). Au total, 24,4% des travailleuses enceintes se trouvaient dans la catégorie travail "tendu" ("high-strain" job) et 69,1% d’entre elles avaient eu un faible soutien social au travail ("Iso-strain"). Les facteurs de risque associés à un travail "tendu" étaient : un faible soutien social au travail, certains secteurs d’activité et niveaux de compétences, le fait de travailler plus de 35 heures par semaine, les horaires irréguliers, la posture de travail, le port de charges lourdes, le jeune âge des mères, une immigration ≥ 5 ans, un bas niveau d’éducation, la monoparentalité et un revenu annuel du ménage <50 000$. Le troisième article a évalué l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail (N=3 765). Dans les analyses bivariées et multivariées, les femmes enceintes qui avaient un "high-strain job" ou un "Iso-strain" présentaient davantage de symptômes dépressifs majeurs que les autres sous-groupes. Les contraintes psychosociales au travail étaient associées aux symptômes dépressifs majeurs lorsqu’on prenait en compte les autres facteurs organisationnels et les facteurs personnels auxquels elles étaient confrontées à l’extérieur de leur milieu de travail. Notre étude confirme les évidences accumulées en référence aux modèles théoriques "demande-contrôle" et "demande-contrôle-soutien" de Karasek et Theorell. L’impact de ce dernier et le rôle crucial du soutien social au travail ont été mis en évidence chez les femmes enceintes au travail. Cependant, l’effet "buffer" du modèle "demande-contrôle-soutien" n’a pas été mis en évidence. Le quatrième article a permis d’évaluer l’exposition aux contraintes psychosociales au travail chez les femmes enceintes au travail et en arrêt de travail pour retrait préventif et de mesurer l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs en fonction du moment du retrait préventif (N=3 043). À 24-26 semaines de grossesse, les femmes enceintes en retrait préventif du travail (31,4%) avaient été plus exposées à un "high-strain job" (31,0% vs 21,1%) et à un "Iso-strain" (21,0% vs 14,2%) que celles qui continuaient de travailler (p<0,0001); et elles avaient des proportions plus élevées de symptômes dépressifs majeurs. Après ajustement pour les facteurs de risque personnels et professionnels, "l’Iso-strain" restait significativement associé aux symptômes dépressifs majeurs chez les femmes qui continuaient de travailler tout comme chez celles qui ont cessé de travailler, et cela quel que soit leur durée d’activité avant le retrait préventif du travail (4 à 12 semaines/ 13 à 20 semaines/ ≥ 21 semaines). Les contraintes psychosociales au travail représentent un important facteur de risque pour la santé mentale des travailleuses enceintes. Malgré l’application du programme "pour une maternité sans danger" il s’avère nécessaire de mettre en place dans les milieux de travail, des mesures de prévention, de dépistage et d’intervention afin de réduire la prévalence des symptômes dépressifs prénataux et l’exposition aux contraintes psychosociales au travail pour prévenir les complications maternelles et néonatales. D’autant plus que, la dépression prénatale est le principal facteur de risque de dépression postpartum, de même que les enfants nés de mères souffrant de dépression sont plus à risque de prématurité et de petit poids de naissance.

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Plusieurs interventions visant à améliorer la santé psychologique au travail reposent sur une conceptualisation pathogénique où celle-ci est représentée par une absence d’états psychologiques négatifs (Randall & Nielsen, 2010). Or, elle représenterait à la fois l’absence d’états négatifs de détresse psychologique au travail et la présence d’états positifs de bien-être psychologique au travail (Gilbert, Dagenais-Desmarais, & Savoie, 2011). Ceci suggère qu’afin de maximiser l’impact des interventions, il serait pertinent d’indiquer aux intervenants des leviers pouvant influencer les volets positifs et négatifs de la santé psychologique au travail. Parmi ces leviers, Gilbert (2009) a identifié les demandes et les ressources au travail. Cependant, les modèles théoriques traitant de l’impact de demandes et de ressources sur des états positifs et négatifs tendent à traiter de ces effets de manière indépendante et aucun ne formule de propositions concernant l’impact potentiel de ces leviers sur un état complet et unifié de santé psychologique au travail (e.g., Job Demand-Control(-Support) de Karasek & Theorell, 1990; Job Demands-Resources de Bakker & Demerouti, 2007). En considérant l’aspect interrelié et distinct de la facette positive et négative de la santé psychologique au travail, la présente thèse vise donc à explorer la dynamique entre les demandes, les ressources et un état complet et unifié de santé psychologique au travail. Pour ce faire, un article théorique et un article empirique sont présentés. L’article théorique intègre différentes théories afin d’apporter un éclairage sur l’incidence des demandes et ressources au travail sur un état complet et unifié de santé psychologique au travail, et d’expliquer simultanément l’influence de ces aspects du travail sur les facettes de bien-être et de détresse au travail. Il avance ainsi que, telles que définies par le modèle Job Demand-Resources (Bakker & Demerouti, 2007), les demandes tendraient a davantage représenter des menaces que des défis et auraient alors des effets néfastes sur un état complet de santé psychologique au travail et ses facettes positifs et négatifs. D’autre part, il est suggéré que lorsque les demandes sont élevées, avoir suffisamment de ressources pour se sentir capable de répondre avec succès aux demandes pourrait amener celles-ci à moins représenter des menaces et davantage représenter des défis. Comparativement à une situation où les ressources sont insuffisantes, cette première situation accroîtrait un état complet de santé psychologique au travail, de même que l’intensité de son volet positif, tandis que l’intensité de son volet négatif serait amoindrie. Enfin, il est suggéré que les ressources au travail faciliteraient la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux, ce qui aurait un effet bénéfique sur un état complet de santé psychologique au travail, de même que sur ses facettes. Pour sa part, l’article empirique vise à explorer empiriquement la dynamique entre les demandes, ressources et un état unifié et complet de santé psychologique au travail. Pour ce faire, deux études utilisant des modélisations par équations structurelles sont effectuées. La première utilise un devis transversal et deux échantillons de 302 et 384 enseignants. Elle montre que les demandes et ressources au travail ont une incidence directe respectivement nocive et bénéfique sur la santé psychologique au travail. Cependant, contrairement à ce qui était attendu, les ressources au travail n’auraient pas d’effet modérateur. Ces résultats sont similaires d’un échantillon à l’autre. La seconde étude utilise un devis longitudinal, deux temps de mesure avec une année d’intervalle et un échantillon de 158 enseignants. Suite à une comparaison des relations de causalité normale, inverse et réciproque; elle démontre que la causalité normale serait le type de relation qui expliquerait le mieux les données. Ce constat vient donc renforcer les résultats de l’étude précédente et suggère qu’une diminution des demandes et une augmentation des ressources s’accompagneraient d’une augmentation de la santé psychologique au travail. En explorant théoriquement et empiriquement la dynamique entre les demandes, les ressources et la santé psychologique au travail, la présente thèse offre des bases théoriques novatrices et des bases empiriques solides pour les recherches traitant de demandes et de ressources au travail qui désire étudier un état complet et unifié de santé psychologique au travail, et considérer l’aspect distinct et interdépendant de ses facettes positives et négatives. En pratique, une telle approche permettrait aux décideurs de plus facilement identifier les leviers sur lesquels il importe d’investir pour maximiser la santé psychologique, car cette dernière serait représentée par un critère unique plutôt que plusieurs critères séparés (Mihalopoulos, Carter, Pirkis, & Vos, 2013).

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Cette thèse doctorale poursuit l’objectif de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en tant que déterminant des problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre. Ceci, dans un contexte où les organisations font face à plusieurs défis importants pouvant affecter leur survie et pérennité, mais surtout face aux coûts directs et indirects reliés à ce type de problèmes qui ne cessent d’augmenter. Cette thèse fut également inspirée par les nombreuses limites constatées à la suite d’une revue de la littérature sur la santé mentale au travail, alors que les principaux modèles sur le stress professionnel (e.g. modèle demandes-contrôle de Karasek (1979), modèle demandes-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990), le modèle du Déséquilibre Efforts-Récompenses de Siegrist (1996) et le modèle Demandes-Ressources de Demerouti et al., (2001)) et guidant la recherche sur le sujet, ne tiennent pas compte du contexte organisationnel élargi dans lequel se vit le travail. Un élément bien précis du contexte organisationnel est le cœur de cette thèse soit la culture organisationnelle. En effet, la culture organisationnelle joue-t-elle un rôle dans le développement et/ou l’aggravation de problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre? Si oui ce rôle existe, alors comment et sous quelles conditions la culture organisationnelle est-elle susceptible de protéger ou de fragiliser la santé mentale des individus? Dans le but de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en matière de santé mentale au travail, nous avons eu recours à un modèle théorique intégrateur exposant les relations entre la culture organisationnelle, les conditions de l’organisation du travail et la santé mentale. Cette articulation théorique est présentée sous forme d’article dans le cadre de cette thèse. De ce modèle découle deux grandes hypothèses. La première est à l’effet que les conditions de l’organisation du travail sont associées à la détresse psychologique et à l’épuisement professionnel une fois tenu en compte la culture organisationnelle. La seconde hypothèse induite par le modèle proposé, pose que les conditions de l’organisation du travail médiatisent la relation entre la culture organisationnelle et les problèmes de santé mentale au travail. Ces hypothèses de recherche furent testées à partir de données transversales obtenues dans le cadre du projet de recherche SALVEO de l’Équipe de Recherche sur le Travail et la Santé Mentale (ERTSM) de l’Université de Montréal. Les résultats obtenus sont présentés sous forme de deux articles, soumis pour publication, lesquels constituent les chapitres 5 et 6 de cette thèse. Dans l’ensemble, le modèle théorique proposé obtient un soutient empirique important et tend à démontrer que la culture organisationnelle joue indirectement sur la détresse psychologique de par son influence sur les conditions de l’organisation du travail. Pour l’épuisement professionnel, les résultats démontrent que la culture organisationnelle influence directement et indirectement les problèmes de santé mentale au travail. Les résultats corroborent l’importance de développer de nouveaux modèles théoriques pour mieux inclure des facteurs reliés à l’organisation et au contexte organisationnel plus large afin d’avoir un portrait complet de la problématique de la santé mentale au travail. Cette thèse conclue sur les implications de ces résultats pour la recherche, et pour les retombées pratiques pour la gestion des ressources humaines.

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L’objectif principal de ce mémoire est d’approfondir les connaissances à propos de l’impact des stresseurs organisationnels sur la concentration du cortisol salivaire. Plus précisément, nous étudierons la contribution des modèles demande-contrôle de Karasek (1979) et demande-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990) à la variation du cortisol salivaire chez les individus. Les associations entre les composantes principales de chacun des modèles (demandes psychologiques, latitude décisionnelle et soutien social), mais également les effets d’interaction inclus dans ces modèles, c’est-à-dire de l’effet modérateur de la latitude décisionnelle et du soutien social, seront étudiés. L’axe HPS a été associé aux symptômes de la santé mentale (Abelson et al., 2007; Havermans et al., 2011; Vreeburg et al., 2009b, 2010, 2013; Staufenbiel, 2013) ainsi qu’aux stresseurs en milieu de travail (Chida et Steptoe, 2009). À l’heure actuelle, le cortisol salivaire serait un indicateur de l’axe hypothalamo-pituito-surrénalien (HPS) le plus prometteur pour mesurer la réponse physiologique face à un événement stressant ou à un stress chronique (Maïna et al., 2009). Les données proviennent de l’étude SALVEO, menée par l’Équipe de recherche sur le travail et la santé mentale de l’Université de Montréal. Les résultats des analyses multiniveaux ne soutiennent pas l’implication du modèle demande-contrôle-soutien sur la concentration de cortisol. En effet, elles ne permettent pas de conclure que les effets, autant principaux que d’interaction, du modèle demande-contrôle-soutien expliquent la variation dans les concentrations de cortisol. La consommation de tabac est significativement reliée à la concentration de cortisol salivaire et doit être prise en considération dans les études futures. Par conséquent, ces résultats suggèrent que d’autres recherches sont nécessaires pour comprendre comment les stresseurs du travail s’incorporent à l’individu au niveau physiologique. Des connaissances approfondies de ces associations permettraient de mieux comprendre les associations entre le stress à long terme et les effets sur la santé, c’est-à-dire, comment les tensions au travail affectent la santé mentale à long terme (Karhula et al., 2015).

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Os transtornos mentais comuns (TMC) apresentam elevada prevalência em populações gerais e de trabalhadores, com consequências individuais e sociais importantes. Este estudo, transversal e descritivo, explora a relação entre demandas psicológicas, grau de controle e presença de suporte social no trabalho e prevalência de TMC em trabalhadores da rede básica de saúde de Botucatu (SP). A coleta de dados foi feita por meio de questionário autoaplicável, não identificado, com destaque para itens relativos à demanda-controle-suporte e presença de TMC (Self Reporting Questionnaire, SRQ-20). As informações foram inseridas em banco de dados construído com Excel/Office XP 2003 e a análise estatística, efetuada com o programa SAS. Constatou-se que 42,6% dos trabalhadores apresentavam TMC. A observação de associação - alta prevalência de TMC com elevado desgaste (classificação de Karasek) e baixa prevalência de TMC com baixo desgaste - indica que, no município estudado, as condições de trabalho na atenção básica constituem fator contributivo não negligenciável ao adoecimento dos trabalhadores. Revela-se a necessidade de intervenções direcionadas ao cuidado aos trabalhadores, melhoria das condições de trabalho e aumento do suporte social no trabalho.

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Pós-graduação em Saúde Coletiva - FMB

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Trotz einer zunehmenden Relevanz psychischer Erkrankungen im Gesundheitssystem und einer bedeutenden psychosozialen Funktion der Arbeit gibt es bisher wenige Studien, die sich explizit einer Untersuchung des Zusammenhangs von psychischer Erkrankung und Arbeitsplatzproblemen widmen. Noch weniger Befunde gibt es zu einem Vergleich von klinischen und nicht-klinischen Personen bezüglich arbeitsrelevanter Faktoren. In der hier vorliegenden Studie erfolgte erstmals eine Überprüfung der Karasek-Modelle gleichzeitig an klinischen und nicht-klinischen Personen. Insgesamt nahmen 160 Personen an der Studie teil, jeweils 40 befanden sich in stationärer bzw. ambulanter psychotherapeutischer Behandlung; zu all diesen Personen wurden insgesamt 80 nicht-klinische Personen untersucht, die der Patientenstichprobe in Beruf, Geschlecht und Alter glichen. Alle Personen gaben Auskunft per Fragebogen und berichteten in einem etwa einstündigen Interview von Stressoren und Ressourcen am Arbeitsplatz. Diese Untersuchung ergab, dass sich die Arbeitsplatzprobleme klinischer Personen in der Qualität nicht von denen nicht-klinischer Personen unterschieden, jedoch berichteten klinische Personen eine höhere Anzahl an Arbeitsplatzproblemen. Die positiven Faktoren am Arbeitsplatz unterschieden sich weder qualitativ noch quantitativ zwischen klinischen und nicht-klinischen Personen. Die klinischen Personen setzten häufiger ungünstige Stressverarbeitungsstrategien ein und zeigten teilweise einen ungünstigeren Umgang mit der Arbeit. In der Gesamtstichprobe gelang eine Bestätigung des Job-Demand-Control-Modells sowie des Job-Demand-Control-Support-Modells (ohne Interaktionseffekte); Personen mit geringer Kontrolle, hohen Anforderungen und geringer sozialer Unterstützung am Arbeitsplatz wiesen die höchsten Erschöpfungswerte auf (38.8% der Varianz der Erschöpfungswerte konnte so erklärt werden). Innerhalb der klinischen Stichprobe und bei Personen mit hoher Internalität erbrachten die Modelle höhere Vorhersageleistungen, mögliche Ursachen werden diskutiert. Die Ergebnisse dieser Arbeit gehen über bisherige Befunde hinaus. Sie unterstreichen die Wichtigkeit der Berücksichtigung arbeitsrelevanter Faktoren in der Psychotherapie und unterstützen die aktuelle Entwicklung der zunehmenden gesundheitsrelevanten Hilfsangebote für Arbeitnehmer (z.B. Coaching-Sitzungen) in großen Unternehmen.

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Die vorliegende Studie untersuchte die im Job-Demand-Control-Support-Modell und Effort-Reward-Imbalance-Modell beschriebenen Tätigkeitsmerkmale in Bezug auf Depressivität in einer Stichprobe von 265 Erwerbstätigen. Anhand konfirmatorischer Faktorenanalysen wurden Gemeinsamkeiten und Unterschiede beider Modelle geprüft. Anschließend wurde die Bedeutung der nachweisbaren Tätigkeitsmerkmale für die Vorhersage von Depressivität getestet und untersucht, inwieweit die Effekte durch Überforderungserleben mediiert werden. Die Analysen zeigten, dass die Modelle sowohl gemeinsame (Arbeitsintensität bzw. berufliche Anforderungen) als auch distinkte Arbeitsmerkmale (Tätigkeitsspielraum, Arbeitsplatzsicherheit, beruflicher Status, soziale Anerkennung) erfassen. Hohe Arbeitsintensität, geringe Arbeitsplatzsicherheit und fehlende soziale Anerkennung standen in signifikantem Zusammenhang mit Depressivität. Anders als erwartet war der berufliche Status positiv mit Depressivität assoziiert, während für den Tätigkeitsspielraum keine signifikanten Effekte nachweisbar waren. Das Pfadmodell bestätigte sowohl direkte als auch durch Überforderungserleben vermittelte Zusammenhänge zwischen den Tätigkeitsmerkmalen und Depressivität (39 % Varianzaufklärung). Die Ergebnisse bieten eine Grundlage für die Identifizierung potenzieller Risikofaktoren für das Auftreten depressiver Symptome am Arbeitsplatz. This study examined the job characteristics in the Job-Demand-Control-Support Model and in the Effort-Reward Imbalance Model with regard to depression in a sample of 265 employees. First, we tested by means of confirmatory factor analysis similarities and differences of the two models. Secondly, job characteristics were introduced as predictors in a path model to test their relation with depression. Furthermore, we examined whether the associations were mediated by the experience of excessive demands. Our analyses showed the demand/effort component to be one common factor, while decision latitude and reward (subdivided into the three facets of job security, social recognition, and status-related reward) remained distinctive components. Employees with high job demands/effort, low job security, low social recognition, but high status-related rewards reported higher depression scores. Unexpectedly, status-related rewards were positively associated with depression, while we found no significant effects for decision latitude. The path models confirmed direct as well as mediation effects (through experienced excessive demands) between job characteristics and depression (39 % explained variance in depression). Our results could be useful to identify possible job-related risk factors for depression.

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The purpose of this study was to examine the relationship between the structure of jobs and burnout, and to assess to what extent, if any this relationship was moderated by individual coping methods. This study was supported by the Karasek's (1998) Job Demand-Control-Support theory of work stress as well as Maslach and Leiter's (1993) theory of burnout. Coping was examined as a moderator based on the conceptualization of Lazarus and Folkman (1984). ^ Two overall overarching questions framed this study: (a) what is the relationship between job structure, as operationalized by job title, and burnout across different occupations in support services in a large municipal school district? and (b) To what extent do individual differences in coping methods moderate this relationship? ^ This study was a cross-sectional study of county public school bus drivers, bus aides, mechanics, and clerical workers (N = 253) at three bus depot locations within the same district using validated survey instruments for data collection. Hypotheses were tested using simultaneous regression analyses. ^ Findings indicated that there were statistically significant and relevant relationships among the variables of interest; job demands, job control, burnout, and ways of coping. There was a relationship between job title and physical job demands. There was no evidence to support a relationship between job title and psychological demands. Furthermore, there was a relationship between physical demands, emotional exhaustion and personal accomplishment; key indicators of burnout. ^ Results showed significant correlations between individual ways of coping as a moderator between job structure, operationalized by job title, and individual employee burnout adding empirical evidence to the occupational stress literature. Based on the findings, there are implications for theory, research, and practice. For theory and research, the findings suggest the importance of incorporating transactional models in the study of occupational stress. In the area of practice, the findings highlight the importance of enriching jobs, increasing job control, and providing individual-level training related to stress reduction.^

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Background: This study examines perceived stress and its potential causal factors in nurses. Stress has been seen as a routine and accepted part of the healthcare worker’s role. The lack of research on stress in nurses in Ireland motivated this study. Aims: The aims of this study are to examine the level of stress experienced by nurses working in an Irish teaching hospital, and investigate differences in perceived stress levels by ward area and associations with work characteristics. Method: A cross-sectional study design was employed, with a two-stage cluster sampling process. A self-administered questionnaire was used to collect the data and nurses were investigated across ten different wards using the Nursing Stress Scale and the Demand Control Support Scales. Results: The response rate was 62%. Using outpatients as a reference ward, perceived stress levels were found to be significantly higher in the medical ward, accident and emergency, intensive care unit and paediatric wards (p<0.05). There was no significant difference between the wards with regard to job strain, however, differences did occur with levels of support; the day unit and paediatric ward reporting the lowest level of supervisor support (p<0.01). A significant association was seen between the wards and perceived stress even after adjustment (p<0.05). Conclusion: The findings suggest that perceived stress does vary within different work areas in the same hospital. Work factors, such as demand and support are important with regard to perceived stress. Job control was not found to play an important role.

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I studien undersöks hur arbetstagarnas arbetstillfredsställelse förändrats vis en arbetstidsförkortning. Arbetstidsförkortningens art är i form av en övergång ifrån åtta timmars arbetsdag till sex timmars arbetsdag med bibehållen heltidslön. Studien har genomförts vid ett mindre privat tjänsteföretag. Studiens syfte är att undersöka hur denna typ av arbetstidsförkortning förhåller sig till arbetstagarnas arbetstillfredsställelse och därmed öka förståelsen för de båda fenomenen. Det framkommer att arbetstagarnas arbetstillfredsställelse har förändrats sedan arbetstidsförkortningen. Gällande enskilda faktorer i arbetet har somliga faktorer minskat medan somliga faktorer ökat. I diskussionen framkommer att det föreligger en risk för ohälsa för arbetstagarna då det råder brist på stöd, minskad kontroll och ökade krav sedan arbetstidsförkortningen införts. Den föreliggande risken för ohälsa kan dock ses som acceptabel med tanke på den varierande arbetsbelastningen vilket innebär att arbetstagarna under perioder får tid för återhämtning. Trots omständigheterna råder en hög global arbetstillfredsställelse vilket i sin tur borde innebära att teorierna som brukats innehåller vissa brister då hänsyn till svängningar i arbetsbelastningen inte tagits. I resultatanalysen framkom tre teman vilka sågs relevanta för arbetstagarna och dess arbetstillfredsställelse. Dessa teman bestod av förändringar i relationer, förändringar i arbetet och förändringar i belöningar. Den teoretiska referensramen för studien innehåller förväntningsteorin, tvåfaktor teorin, kravkontroll- stödmodellen samt ansträngning- belöning- obalansmodellen. Datainsamling har skett med hjälp av fyra semistrukturerade intervjuer då respondenterna bestått av arbetstagare på det valda fallet som studerats. Studien är uppbyggt efter kvalitativ metod och har en fenomenologisk ansats. Studien har utformats i form av en fallstudie.

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The purpose of this study was to examine the relationship between the structure of jobs and burnout, and to assess to what extent, if any this relationship was moderated by individual coping methods. This study was supported by the Karasek's (1998) Job Demand-Control-Support theory of work stress as well as Maslach and Leiter's (1993) theory of burnout. Coping was examined as a moderator based on the conceptualization of Lazarus and Folkman (1984). Two overall overarching questions framed this study: (a) what is the relationship between job structure, as operationalized by job title, and burnout across different occupations in support services in a large municipal school district? and (b) To what extent do individual differences in coping methods moderate this relationship? This study was a cross-sectional study of county public school bus drivers, bus aides, mechanics, and clerical workers (N = 253) at three bus depot locations within the same district using validated survey instruments for data collection. Hypotheses were tested using simultaneous regression analyses. Findings indicated that there were statistically significant and relevant relationships among the variables of interest; job demands, job control, burnout, and ways of coping. There was a relationship between job title and physical job demands. There was no evidence to support a relationship between job title and psychological demands. Furthermore, there was a relationship between physical demands, emotional exhaustion and personal accomplishment; key indicators of burnout. Results showed significant correlations between individual ways of coping as a moderator between job structure, operationalized by job title, and individual employee burnout adding empirical evidence to the occupational stress literature. Based on the findings, there are implications for theory, research, and practice. For theory and research, the findings suggest the importance of incorporating transactional models in the study of occupational stress. In the area of practice, the findings highlight the importance of enriching jobs, increasing job control, and providing individual-level training related to stress reduction.