1000 resultados para art moderne


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La «modernité» de la psychanalyse, comme entreprise à la fois thérapeutique et de savoir, dépend-elle, pour tout ou partie, du fond animique prétendument archaïque ou primitif défini par cette discipline comme son principal objet d'étude? Rapportée à l'horizon épistémique de la psychanalyse, cette articulation entre archaïsme et modernité aurait-elle seulement été du goût de Freud? En interrogeant de manière critique les rapports de Freud à l'art «moderne», à l'art «classique» et aux arts «primitifs», ce texte entend simultanément mettre en évidence l'importance du paradigme des arts dans la constitution de l'identité épistémique de la psychanalyse et proposer une possible relecture des relations entre nature et culture ou du phénomène de sublimation, tels que définis par le fondateur de la psychanalyse.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Includes indexes.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio‐visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Au 20e siècle en France et en Allemagne, l’art moderne prend son essor. Certains, comme Francastel, qualifient cet art de destruction d’un espace plastique classique. Cette destruction devient un vecteur de création chez plusieurs artistes qui, suite aux deux grandes guerres, remettent en question leur état « civilisé » et se tournent vers le « primitif » pour offrir une autre voie, loin de tout processus civilisateur. Cette admiration pour les peuples primitifs ainsi que pour les productions artistiques d’enfants, d’amateurs et de « fous » est visible chez plusieurs collectionneurs d’art. En constituant des collections d’art marginal, ces derniers défendaient une idéologie qui propose une autre forme de culture en remplacement d’une civilisation dépassée. Grâce à leurs collections, la libre expression se positionna contre le rationalisme occidental. On compte, parmi ces collectionneurs, le psychiatre Hans Prinzhorn, le marchand d’art Wilhelm Udhe et les artistes André Breton, Jean Dubuffet et Arnulf Rainer. Chacun d’eux a eu un impact sur la construction du récit de l’art moderne et de l’art contemporain. Leurs collections ont chacune sa spécificité et offrent des vocabulaires différents pour parler de productions artistiques marginales, c’est-à-dire se développant « hors culture ». C’est par l’analyse des terminologies employées par les collectionneurs, principalement la dénomination d’art pathologique, que nous tracerons un portrait de la construction historique de l’art marginal en lien avec l’art moderne

Relevância:

70.00% 70.00%

Publicador:

Resumo:

Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Da Bisanzio alla Santa Russia Résumé Ivan Foletti Le texte du premier volume de YIkonografija Bogomatri (Iconographie de la mère de Dieu), publié en 1914 à Saint Pétersbourg par Nikodim Kondakov et traduit dans le cadre de ce travail, soulève chez le lecteur contemporain de nombreuses questions quant au développement des études byzantines, entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. Il s'agit, avant tout, de comprendre les enjeux fondamentaux de la naissance de cette discipline, dans le cadre de l'Europe romantique et plus particulièrement de son acculturation à la réalité russe. En se concentrant sur le personnage de Nikodim Kondakov, considéré par ses contemporains comme le patriarche des études byzantines, ce travail propose d'articuler la réflexion autour de deux axes principaux. Il s'agit d'une part de la relation entre histoire de l'art et société : dans le contexte russe et plus largement dans celui de l'Europe, la recherche semble se développer en étroite relation avec les tendances politiques et sociales de ces années. C'est probablement la raison du choix pour Nikodim Kondakov de se dédier aux études de Byzance, dans les années où la Russie prépare sa guerre contre la Turquie (1877-1878), tandis que l'opinion publique est martelée avec un revival de l'ancienne idéologie de Moscou comme « troisième Rome » et héritière de Byzance. Un autre aspect significatif est la décision de ce même chercheur d'étudier les antiquités russes sous le règne de Alexandre III, le tzar « contre-réformateur », quand la Russie se replie sur elle même autour de trois mots d'ordre: Orthodoxie, autocratie, et nationalité. D'autre part, la réception de Kondakov en Occident, semble aussi dépendre de questions politiques. Son accueil très favorable en France et en Angleterre contraste avec une perception bien plus négative en Autriche et en Allemagne ; il s'agit là d'une position en étonnante harmonie avec les traités politiques - l'alliance franco-russe de 1891 et la triple entente de 1911 qui opposent les pays membres aux empires centraux. Le deuxième axe considéré est celui d'une analyse systématique de la naissance des études sur les images cultuelles russes, les icônes. Les pages dédiées à ce phénomène dans Γ Ikonograflja Bogomatri, mais également dans les autres ouvrages de Kondakov, posent clairement la question des raisons nationalistes et populistes de la redécouverte, autour de 1900, en Russie et en Europe de cette expression visuelle. Conclusion logique de la tradition historiographique du XIXe siècle - qui s'est préoccupé des icônes perçues comme documents historiques - cette nouvelle vague d'intérêt pose la question de l'icône commé"oeuvre d'art. C'est autour de ce débat, alimenté également par l'apparition des avant-gardes, que se situent les plus importants savants russes de ces années en opposant deux manières radicalement différentes de percevoir l'art : à l'approche positiviste s'oppose celle d'un renouveau d'Hegel. Ce débat sera brusquement interrompu par la révolution, suivie par les années staliniennes qui vont définitivement « discerner » laquelle des deux méthodes et approches est la « juste », en congelant de fait, pour des décennies, toute possibilité de discussion. Cette thèse souhaiterait donc ouvrir en Occident un débat pour l'instant marginal dans les études : celui de la naissance d'une histoire de l'art moderne en Russie, mais également de l'émergence d'une nouvelle Europe savante autour de 1900 où l'histoire de l'art byzantin s'affirme comme un domaine émergent.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

L’étude conceptualise la symbolique du Sud en tant qu’espace identitaire construit par une idéologie politique et une esthétique. Les cartes géographiques inversées (1936, 1943) de Joaquín Torres García (Uruguay) sont une prise de position politique qui affirme le pouvoir d’énonciation des artistes latino-américains de façon indépendante aux centres culturels européens. Sa théorie, l’« Universalisme Constructif », propose un nouvel art pour l’Amérique latine, combinant l’éthique artistique précolombienne et l’abstraction moderniste. Dans la nouvelle « Le Sud » (1953) et l’essai « L’écrivain argentin et la tradition » (1951), Jorge Luis Borges (Argentine) redéfinit la littérature latino américaine, marginalisée et périphérique, en tant que littérature qui a droit à toute la culture occidentale. Il rejette une culture qui ne serait que nationaliste. Le diptyque de Fernando Solanas (Argentine) formé des films Sud (1985) et Tangos, l’exil de Gardel (1988) est étudié à partir de son manifeste « Vers un Tiers- Cinéma » (1969), coécrit avec Octavio Getino. Dans le diptyque, le Sud est un espace de dénonciation des censures de la dictature et de l’impérialisme, mais aussi un espace de rénovation culturelle et identitaire. Dans son cinéma, Solanas utilise un produit culturel régional, le tango, comme outil de dénonciation politique. Tout au long de l’étude, on utilise des notions de Michel Foucault, (hétérotopie) et de Walter Mignolo (le centre amovible) pour approfondir le sens de l’espace Sud.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Cette étude présente l anthropophagie comme une notion théorique et experiementale du corps qui réhabilite le sensible et réveille le monde perçu. L argumentation fait ressortir la dimension sensible du corps et de la connaissance, en considerant sa sensibilité et motricité, corps qui ne se sépare pas de la nature et de l histoire, en actuant dans le monde comme présence vive, originaire, en mouvement ; en supposant un sujet qui, au même temps que construit ses propres senses, il dépend de l expérience de l autre et du monde, en créant et en recréant la culture, et il agrandit le processus de connaître, de sentir, de penser, d agir, d être, de se transformer. Cette attitude annonce une connaissance sensible et un corps qui est suscetible de sensations, mais d expréssions aussi, de communication, de création, aspects indispensables pour se pensar l éducation comme un space sensible, d apprantissage et réssignification de la culture ; que dévient possible la communion avec le corps, le temps, le space ; qu enseigne à réapprendre à voir le monde, que considère la réversibilité des senses et l esthésie comme champs de l expérience sensible et de l imputation des senses ; qu évoque la beauté des multiples léctures du vécu et qu agrandit la compréhension du soi et de l autre. L objectif de ce travail est comprendre l anthropophagie comme une attitude du corps et de la connaisance sensible, qu approfondit la rélation de l être au monde, la rélation avec l autre et permet la création de senses culturelles, ésthetiques et éxistentielles our l éducation. Nos présentons l attitude phénomologique de Maurice Merleau-Ponty comme référence théorique et méthodologique de notre recherche. Il s agit d une attitude de la pensée qui place la conaissance au centre de nos expériences vécues au monde ; une attitude qui ne propose pas un sens définitif des choses et des personnes et qui contribue pour la compréhension de l anthropophagie, du corps, du sensible, du monde et de l autre, en indiquant des développements de ces réflexions pour l éducation. En créant des horizonts de sense et strastégies de pérception sur l anthopophagie, nos considérons comme choix notre expérience vécu, comme les voyages; atelier d extension avec des élèves du cours de Technologie en Production Culturelle de l Institut Fédéral d Éducation, Science et Technologie du Rio Grande do Norte-IFRN, Campus Cidade Alta ; l anthropophagie comme élement de l Art Moderne Brésilien ; les créations et les récits des élèves ; images ; filmes et livres recherchés ; dialogues avec les penseurs Lévi-Strauss, Montaigne et Oswald de Andrade, qui constituent nos principales références conceptuelles et qui ont permis traversé des savoirs et promouvoir un dialogue entre divers champs de connaissance, comme l Anthropologie, la Philosophie, l Art et l Éducation. Ces stratégies constituent le resultat partiel et inachevé d un processus de connaisance de soi et de l autre, que permet de revivre des mémoires, faire ressortir des couleurs, des senses, des goûts, des découvertes sensibles et encourageantes sur la connaissance, sur l art, des découvertes sur soi même, sur l autre, sur le monde, sur la vie, indiquant que l éducation peut être un processus fort sensible, dans lequel le corps est une présence indispensable, aussi comme le toucher, le créer, les delires, les affections, les encontres et l invention

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

[Exposition internationale. Gand. 1913]