999 resultados para Unlawful practice


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Depuis l’arrivée de la psychologie dans les universités québécoises en 1872, la psychologie n’a cessé d’évoluer. Alors qu’autrefois aucune loi ne régissait la pratique de la psychothérapie et l’usage du titre de psychothérapeute, le gouvernement du Québec a adopté en 2009, le projet de loi 21. Ce mémoire retrace l’histoire de la psychologie au Québec ainsi que l’histoire de l’Ordre des psychologues du Québec en portant une attention particulière aux changements légaux concernant la règlementation de la pratique de la psychothérapie et l’usage de titres réservés. Afin de dresser un portrait de la psychothérapie au Québec deux ans après l’adoption de la Loi 28 (mieux connue sous le nom de projet de loi 21), trois banques de données de l’Ordre des psychologues ont été utilisées ( 1) «Membres», 2) «Psychothérapeutes» et 3) «Signalement psychothérapie»). De ces trois banques de données, deux sont construites à partir de formulaires remplis par les psychologues et psychothérapeutes. Des 8509 psychologues, 870 psychothérapeutes, et 524 dossiers de pratique illégale (usurpation de titres professionnels et/ou pratique illégale de la psychothérapie) inclus dans l’étude, des différences statistiquement significatives ont été remarquées pour ce qui est du sexe, de l’âge et de la langue maternelle. Toutefois, l’effet de taille était petit. Les différences les plus importantes étaient observables au niveau de la scolarité et de l’exercice de la psychothérapie. Les dispositions de la Loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines n’étant en vigueur que depuis deux ans, il serait intéressant de suivre l’évolution de la psychothérapie et de la pratique illégale de la psychothérapie au Québec dans les prochaines années.

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Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Direito, Programa de Pós-Graduação em Direito, 2015.

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Abstract: Purpose – Several major infrastructure projects in the Hong Kong Special Administrative Region (HKSAR) have been delivered by the build-operate-transfer (BOT) model since the 1960s. Although the benefits of using BOT have been reported abundantly in the contemporary literature, some BOT projects were less successful than the others. This paper aims to find out why this is so and to explore whether BOT is the best financing model to procure major infrastructure projects. Design/methodology/approach – The benefits of BOT will first be reviewed. Some completed BOT projects in Hong Kong will be examined to ascertain how far the perceived benefits of BOT have been materialized in these projects. A highly profiled project, the Hong Kong-Zhuhai-Macau Bridge, which has long been promoted by the governments of the People's Republic of China, Macau Special Administrative Region and the HKSAR that BOT is the preferred financing model, but suddenly reverted back to the traditional financing model to be funded primarily by the three governments with public money instead, will be studied to explore the true value of the BOT financial model. Findings – Six main reasons for this radical change are derived from the analysis: shorter take-off time for the project; difference in legal systems causing difficulties in drafting BOT agreements; more government control on tolls; private sector uninterested due to unattractive economic package; avoid allegation of collusion between business and the governments; and a comfortable financial reserve possessed by the host governments. Originality/value – The findings from this paper are believed to provide a better understanding to the real benefits of BOT and the governments' main decision criteria in delivering major infrastructure projects.