982 resultados para United Nations. Security Council
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We analyze democratic equity in council voting games (CVGs). In a CVG, a voting body containing all members delegates decision-making to a (time-varying) subset of its members, as describes, e.g., the relationship between the United Nations General Assembly and the United Nations Security Council (UNSC). We develop a theoretical framework for analyzing democratic equitability in CVGs at both the country and region levels, and for different assumptions regarding preference correlation. We apply the framework to evaluate the equitability of the UNSC, and the claims of those who seek to reform it. We find that the individual permanent members are overrepresented by between 21.3 times (United Kingdom) and 3.8 times (China) from a country-level perspective, while from a region perspective Eastern Europe is the most heavily overrepresented region with more than twice its equitable representation, and Africa the most heavily underrepresented. Our equity measures do not preclude some UNSC members from exercising veto rights, however.
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One of the aspects related to biolaw is that related to security and health. In other words, using the expression of relevant authorities on this subject, “the securitization of health” and, those situations connected with the Security Council labour in the last decades, may constitute an interesting subject. Beginning with the role of the UN blue helmets in many countries where the expansion of HIV/AIDS is usual, followed by the expansion of some diseases in Haiti, together with the Ebola “crisis” in 2014 and connected with the efforts of the World Health Organization to fight against the zika...what is the role played by the United Nations Security Council on this field, trying to establish a relationship between security and health?
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Liberal-Institutionalism and Structural Realism expectations about international organizations are confronted by looking at if and how US-controlled international aid is granted, and particularly if it is related or not to political affinity and to United Nations Security Council (UNSC) non-permanent membership. A preliminary assessment suggests that these relations only hold for the period of the Cold War, and, even then, only when UNSC non-permanent membership is in years in which the Security Council was deemed very important.
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Tal i com estableix la Carta de les Nacions Unides, el Consell de Seguretat determina l’existència d’una amenaça a la pau, un trencament de la pau o un acte d’agressió i decideix les mesures que han de fer-se servir per restaurar la pau i seguretat internacionals, també l’ús de la força. L’objectiu d’aquest article és explorar la legitimitat d’aquest ús de la força. Amb aquest objectiu, el text parteix d’una definició centrada en les seves dimensions legal, normativa i social. En segon lloc, s’analitzarà com aquestes dimensions estan representades als debats del Consell de Seguretat de la guerra d’Irak de 2003, un dels usos de la força més controvertits i que més debat ha generat als darrers anys. Finalment, l’anàlisi proposat permet treure algunes conclusions sobre les bases canviants de la legitimitat de l’ús de la força.
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Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Direito, Programa de Pós-Graduação em Direito, 2016.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L’adoption de la Charte des Nations unies à San Francisco le 26 juin 1945 et son entrée en vigueur le 24 octobre de la même année a matérialisé la volonté des Vainqueurs d'éviter une troisième catastrophe à l'humanité. Cet accord a eu la bénédiction des super puissances et scellé la naissance d'une Organisation à vocation universelle qu'est l'ONU, susceptible de faire asseoir des instruments nécessaires pour pallier aux manquements de la défunte SDN. Aussi, cette naissance est perçue comme le parachèvement de l'évolution du droit international, ayant édifié, non seulement une structure plus solide, mais aussi capable d'encadrer l'usage de la force par les États. Par ailleurs, cet encadrement est confié au Conseil de sécurité, son organe le plus puissant dans la mesure où il est le seul compétent pour constater la violation par un État de ses obligations en matière de respect de la paix et de la sécurité internationales. Cependant, les critiques sont de plus en plus nombreuses à son égard. En effet, dans son ossature actuelle, il paraît obsolète, car n'est pas en phase avec les réalités géopolitiques et économiques du moment. Depuis plusieurs décennies, des propositions de réforme ont été suggérées sans pourtant parvenir à un consensus au niveau des États membres, plus spécifiquement des membres permanents du Conseil. Ce mémoire vise premièrement à effectuer une analyse des différentes propositions puis deuxièmement à présenter une formule de « sortie de crise ». Des deux types de propositions que nous avons identifiés (Groupes de travail vs Groupes d'États), à l'exception de l'équipe « Unis pour le consensus », préconisent à l'unanimité la modification de la catégorie des membres permanents. Notre analyse révèle que les principaux privilèges, à savoir le droit de véto et la permanence au Conseil de sécurité constituent les points d'achoppement de la réforme dans la mesure où leur modification reviendrait à amoindrir les prérogatives du club des cinq. À cet effet, nous courons le risque de nous engager dans une solution utopique. Pour notre part, nous avons souhaité la solution de la « régionalisation de la sécurité », c'est-à-dire, confier les opérations de maintien de la paix et de la sécurité de chacune des régions du monde à son organisation correspondante. Pour y parvenir, il est primordial de renforcer les pouvoirs desdites organisations, afin d'avoir toute l'autonomie nécessaire dans les prises de décisions dans la prévention et la gestion de ces différents conflits régionaux.
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Critical assessment of Luis Inácio Lula da Silva's diplomacy, which departed from the previous patterns of the Brazilian Foreign Service, to align itself with the political conceptions of the Workers' Party. This diplomacy has neither consolidated the position of Brazil as a regional leader, nor attained its declared goal of inserting Brazil into the United Nations Security Council, although it has reinforced Brazil's image in the international scenarios; but this was achieved much more through the personal activism of the President himself, than through normal diplomatic work.