Israel : use of U.S.-manufactured tear gas in the Occupied Territories : report to the Honorable Ronald V. Dellums, House of Representatives /

"B-232961"--p.1.

La communication hors du commun : aporétique de la communauté inachevée

En prenant pour appui initial le caractère équivoque de la communication, cette dissertation interroge les manières par lesquelles la vie en commun prend aussi effet comme œuvre de mort. S’inspirant du renouvellement de la recherche sur le thème de la communauté, l’interrogation se déploie en trois mouvements principaux. Chacun de ces mouvements ouvre et négocie trois grandes impasses : épistémologique, politique et éthique. La recherche propose de s’y frayer un chemin en s’appuyant principalement sur les travaux de Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben et Roberto Esposito. Le premier mouvement ouvre au voilement de l’idée de communication. L’idée de communication est voilée par une idéologie qui hérite elle-même d’une certaine conception humaniste de la communauté. Un examen de l’essai de Pic de la Mirandole Sur la dignité de l’homme permet d’exposer les valeurs associées à cette tradition qui recouvrent le caractère ambivalent de la communication. Ce premier mouvement mène au seuil de la situation politique contemporaine, marquée notamment par la nécessité de penser « notre » condition après la crise des valeurs humanistes. Le deuxième mouvement s’applique à l’examen de trois événements politiques contemporains. Chacun donne à comprendre comment s’exprime le péril associé à ce voilement : la fusillade au Collège Dawson de Montréal en 2006, un incident impliquant l’usage de gaz lacrymogènes lors de manifestations menées en 2013 à la Place Taksim à Istanbul, en Turquie, et une analyse de la crise de la dette publique grecque. L’aporie qui articule communication et incommunicabilité y est examinée à partir des thèmes de l’incommensurabilité des modes de vie en commun, de la biopolitique et du fascisme. Le fait que le péril qui menace de « nous » partager soit encore, malgré tout, ce que « nous » avons en partage invite à avancer là où aucune voie ne semble s’ouvrir. Le troisième mouvement présente les manières par lesquelles l’aporie de la communication peut être saisie en montrant qu’il est possible de penser par delà l’opposition de la communication et de la non-communication. Ce problème est abordé à l’horizon de la tradition philosophique concernant la question de l’être. Le saisissement du commun comme d’un propre — l’appropriation de l’inappropriable — ouvre à une conception de la communication « hors du commun ». Ces trois mouvements ne portent pas jusqu’à une conclusion. Ils ouvrent plutôt sur une autre conception de la communication. Celle-ci expose la possibilité sans cesse reconduite de l’événement fragile et intime dont « nous » sommes le nom.

La communication hors du commun : aporétique de la communauté inachevée

En prenant pour appui initial le caractère équivoque de la communication, cette dissertation interroge les manières par lesquelles la vie en commun prend aussi effet comme œuvre de mort. S’inspirant du renouvellement de la recherche sur le thème de la communauté, l’interrogation se déploie en trois mouvements principaux. Chacun de ces mouvements ouvre et négocie trois grandes impasses : épistémologique, politique et éthique. La recherche propose de s’y frayer un chemin en s’appuyant principalement sur les travaux de Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben et Roberto Esposito. Le premier mouvement ouvre au voilement de l’idée de communication. L’idée de communication est voilée par une idéologie qui hérite elle-même d’une certaine conception humaniste de la communauté. Un examen de l’essai de Pic de la Mirandole Sur la dignité de l’homme permet d’exposer les valeurs associées à cette tradition qui recouvrent le caractère ambivalent de la communication. Ce premier mouvement mène au seuil de la situation politique contemporaine, marquée notamment par la nécessité de penser « notre » condition après la crise des valeurs humanistes. Le deuxième mouvement s’applique à l’examen de trois événements politiques contemporains. Chacun donne à comprendre comment s’exprime le péril associé à ce voilement : la fusillade au Collège Dawson de Montréal en 2006, un incident impliquant l’usage de gaz lacrymogènes lors de manifestations menées en 2013 à la Place Taksim à Istanbul, en Turquie, et une analyse de la crise de la dette publique grecque. L’aporie qui articule communication et incommunicabilité y est examinée à partir des thèmes de l’incommensurabilité des modes de vie en commun, de la biopolitique et du fascisme. Le fait que le péril qui menace de « nous » partager soit encore, malgré tout, ce que « nous » avons en partage invite à avancer là où aucune voie ne semble s’ouvrir. Le troisième mouvement présente les manières par lesquelles l’aporie de la communication peut être saisie en montrant qu’il est possible de penser par delà l’opposition de la communication et de la non-communication. Ce problème est abordé à l’horizon de la tradition philosophique concernant la question de l’être. Le saisissement du commun comme d’un propre — l’appropriation de l’inappropriable — ouvre à une conception de la communication « hors du commun ». Ces trois mouvements ne portent pas jusqu’à une conclusion. Ils ouvrent plutôt sur une autre conception de la communication. Celle-ci expose la possibilité sans cesse reconduite de l’événement fragile et intime dont « nous » sommes le nom.

Scheimpflug imaging of the post lens tear film during contact lens wear

A new imaging methodology is described to visualise the post lens tear film (PLTF) during contact lens wear. A rotating-Scheimpflug camera in combination with sodium fluorescein allows evaluation of the PLTF for different contact lens modalities, including mini-scleral, rigid gas permeable (RGP) and soft contact lenses. This imaging technique provides an extension of the instrument’s current functionality. The potential advantages and limitations of the technique are discussed.

Tear film lipids:dynamic composition and clinical performance

Purpose: Meibomian-derived lipid secretions are well characterised but their subsequent fate in the ocular environment is less well understood. Phospholipids are thought to facilitate the interface between aqueous and lipid layers of the tear film and to be involved in ocular lubrication processes. We have extended our previous studies on phospholipid levels in the tear film to encompass the fate of polar and non-polar lipids in progressive accumulation and aging processes on both conventional and silicone-modified hydrogel lenses. This is an important aspect of the developing understanding of the role of lipids in the clinical performance of silicone hydrogels. Method: Several techniques were used to identify lipids in the tear film. Mass-spectrometric methods included Agilent 1100-based liquid chromatography coupled to mass spectrometry (LCMS) and Perkin Elmer gas chromatography mass spectrometry (GCMS). Thin layer chromatography (TLC) was used for separation of lipids on the basis of increasing solvent polarity. Routine assay of lipid extractions from patient-worn lenses was carried out using a Hewlett Packard 1090 liquid chromatograph coupled to both uv and Agilent 1100 fluorescence detection. A range of histological together with optical, and electron microscope techniques was used in deposit analysis. Results: Progressive lipid uptake was assessed in various ways, including: composition changes with wear time, differential lipid penetrate into the lens matrix and, particularly, the extent to which lipids become unextractable as a function of wear time. Solvent-based separation and HPLC gave consistent results indicating that the polarity of lipid classes decreased as follows: phospholipids/fatty acids > triglycerides > cholesterol/cholesteryl esters. Tear lipids were found to show autofluorescence—which underpinned the value of fluorescence microscopy and fluorescence detection coupled with HPLC separation. The most fluorescent lipids were found to be cholesteryl esters; histological techniques coupled with fluorescence microscopy indicated that white spots (’’jelly bumps’’) formed on silicone hydrogel lenses contain a high proportion of cholesteryl esters. Lipid profiles averaged for 30 symptomatic and 30 asymptomatic contact lens wearers were compiled. Peak classes were split into: cholesterol (C), cholesteryl esters (CE), glycerides (G), polar fatty acids/phospholipids (PL). The lipid ratio for ymptomatic/symptomatic was 0.6 ± 0.1 for all classes except one—the cholesterol ratio was 0.2 ± 0.05. Significantly the PL ratio was no different from that of any other class except cholesterol. Chromatography indicated that: lipid polarity decreased with depth of penetration and that lipid extractability decreased with wear time. Conclusions: Meibomian lipid composition differs from that in the tear film and on worn lenses. Although the same broad lipid classes were obtained by extraction from all lenses and all patients studied, quantities vary with wear and material. Lipid extractability diminishes with wear time regardless of the use of cleaning regimes. Dry eye symptoms in contact lens wear are frequently linked to lipid layer behaviour but seem to relate more to total lipid than to specific composition. Understanding the detail of lipid related processes is an important element of improving the clinical performance of materials and care solutions.

Tear Secretion Induced by Selective Stimulation of Corneal and Conjunctival Sensory Nerve Fibers

Purpose. To measure the increase in tear secretion evoked by selective stimulation of the different populations of sensory receptors of the cornea and conjunctiva by using moderate and intense mechanical, chemical, and cold stimuli. Methods. Six healthy subjects participated in the study. Tear secretion was measured in both eyes by the Schirmer’s test conducted under control conditions and after stimulation of the center of the cornea and the temporal conjunctiva with a gas esthesiometer. Mechanical stimulation consisted in three pulses of 3 seconds’ duration of warmed air (at 34°C on the eye surface) applied at moderate (170 mL/min) and high (260 mL/min) flow rates. Cold thermal stimulation was made with cooled air that produced a corneal temperature drop of −1°C or −4.5°C. Chemical (acidic) stimulation was performed with a jet of gas containing a mixture of 80% CO2 in air. Results. The basal volume of tear secretion increased significantly (P < 0.05, paired t-test) after stimulation of the cornea with high-flow mechanical stimuli (260 mL/min), intense cooling pulses (−4.5°C), and chemical stimulation (80% CO2). The same stimuli were ineffective when applied to the conjunctiva. Moderate mechanical (170 mL/min) and cold (−1°C) stimulation of the cornea or the conjunctiva did not change significantly the volume of tear secretion. Conclusions. Reflex tear secretion caused by corneal stimulation seems to be chiefly due to activation of corneal polymodal nociceptors, whereas selective excitation of corneal mechanonociceptors or cold receptors appears to be less effective in evoking an augmented lacrimal secretion. Conjunctival receptors stimulated at equivalent levels do not evoke an increased tear secretion.

Particle and gaseous emissions from compressed natural gas and ultralow sulphur diesel-fuelled buses at four steady engine loads

Exhaust emissions from thirteen compressed natural gas (CNG) and nine ultralow sulphur diesel in-service transport buses were monitored on a chassis dynamometer. Measurements were carried out at idle and at three steady engine loads of 25%, 50% and 100% of maximum power at a fixed speed of 60 kmph. Emission factors were estimated for particle mass and number, carbon dioxide and oxides of nitrogen for two types of CNG buses (Scania and MAN, compatible with Euro 2 and 3 emission standards, respectively) and two types of diesel buses (Volvo Pre-Euro/Euro1 and Mercedez OC500 Euro3). All emission factors increased with load. The median particle mass emission factor for the CNG buses was less than 1% of that from the diesel buses at all loads. However, the particle number emission factors did not show a statistically significant difference between buses operating on the two types of fuel. In this paper, for the very first time, particle number emission factors are presented at four steady state engine loads for CNG buses. Median values ranged from the order of 1012 particles min-1 at idle to 1015 particles km-1 at full power. Most of the particles observed in the CNG emissions were in the nanoparticle size range and likely to be composed of volatile organic compounds The CO2 emission factors were about 20% to 30% greater for the diesel buses over the CNG buses, while the oxides of nitrogen emission factors did not show any difference due to the large variation between buses.