991 resultados para THYROID-RELATED ORBITOPATHY


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OBJECTIVE: To evaluate the ability of orbital apex crowding volume measurements calculated with multidetector-computed tomography to detect dysthyroid optic neuropathy. METHODS: Ninety-three patients with Graves' orbitopathy were studied prospectively. All of the patients underwent a complete neuro-ophthalmic examination and computed tomography scanning. Volumetric measurements were calculated from axial and coronal contiguous sections using a dedicated workstation. Orbital fat and muscle volume were estimated on the basis of their attenuation values (in Hounsfield units) using measurements from the anterior orbital rim to the optic foramen. Two indexes of orbital muscle crowding were calculated: i) the volumetric crowding index, which is the ratio between soft tissue (mainly extraocular muscles) and orbital fat volume and is based on axial scans of the entire orbit; and ii) the volumetric orbital apex crowding index, which is the ratio between the extraocular muscles and orbital fat volume and is based on coronal scans of the orbital apex. Two groups of orbits (with and without dysthyroid optic neuropathy) were compared. RESULTS: One hundred and two orbits of 61 patients with Graves' orbitopathy met the inclusion criteria and were analyzed. Forty-one orbits were diagnosed with Graves' orbitopathy, and 61 orbits did not have optic neuropathy. The two groups of orbits differed significantly with regard to both of the volumetric indexes (p<0.001). Although both indexes had good discrimination ability, the volumetric orbital apex crowding index yielded the best results with 92% sensitivity, 86% specificity, 81%/94% positive/negative predictive value and 88% accuracy at a cutoff of 4.14. CONCLUSION: This study found that the orbital volumetric crowding index was a more effective predictor of dysthyroid optic neuropathy than previously described computed tomography indexes were.

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L’hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT) est la condition endocrinienne néonatale la plus fréquemment rencontrée, avec une incidence d’un cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT comprend toutes les anomalies du développement de la thyroïde. Parmi ces anomalies, le diagnostic le plus fréquent est l’ectopie thyroïdienne (~ 50% des cas). L’HCDT est fréquemment associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdisme) pouvant conduire à un retard mental sévère si non traitée. Le programme de dépistage néonatal assure un diagnostic et un traitement précoce par hormones thyroïdiennes. Cependant, même avec un traitement précoce (en moyenne à 9 jours de vie), un retard de développement est toujours observé, surtout dans les cas les plus sévères (c.-à-d., perte de 10 points de QI). Bien que des cas familiaux soient rapportés (2% des cas), l’HCTD est essentiellement considérée comme une entité sporadique. De plus, plus de 92% des jumeaux monozygotiques sont discordants pour les dysgénésies thyroïdiennes et une prédominance féminine est rapportée (spécialement dans le cas d’ectopies thyroïdiennes), ces deux observations étant clairement incompatible avec un mode de transmission héréditaire mendélien. Il est donc cohérent de constater que des mutations germinales dans les facteurs de transcription thyroïdiens connus (NKX2.1, PAX8, FOXE1, and NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des cas sporadiques testés et furent, de plus, exclues lors d’analyse d’association dans certaines familles multiplex. Collectivement, ces données suggèrent que des mécanismes non mendéliens sont à l’origine de la majorité des cas de dysgénésie thyroïdienne. Parmi ces mécanismes, nous devons considérer des modifications épigénétiques, des mutations somatiques précoces (au stade du bourgeon thyroïdien lors des premiers stades de l’embryogenèse) ou des défauts développementaux stochastiques (c.-à-d., accumulation aléatoire de mutations germinales ou somatiques). Voilà pourquoi nous proposons un modèle «2 hits » combinant des mutations (épi)génétiques germinales et somatiques; ce modèle étant compatible avec le manque de transmission familial observé dans la majorité des cas d’HCDT. Dans cette thèse, nous avons déterminé si des variations somatiques (épi)génétiques sont associées à l’HCTD via une approche génomique et une approche gène candidat. Notre approche génomique a révélé que les thyroïdes ectopiques ont un profil d’expression différent des thyroïdes eutopiques (contrôles) et que ce profil d’expression est enrichi en gènes de la voie de signalisation Wnt. La voie des Wnt est cruciale pour la migration cellulaire et pour le développement de plusieurs organes dérivés de l’endoderme (p.ex. le pancréas). De plus, le rôle de la voie des Wnt dans la morphogénèse thyroïdienne est supporté par de récentes études sur le poisson-zèbre qui montrent des anomalies du développement thyroïdien lors de la perturbation de la voie des Wnt durant différentes étapes de l’organogénèse. Par conséquent, l’implication de la voie des Wnt dans l’étiologie de la dysgénésie thyroïdienne est biologiquement plausible. Une trouvaille inattendue de notre approche génomique fut de constater que la calcitonine était exprimée autant dans les thyroïdes ectopiques que dans les thyroïdes eutopiques (contrôles). Cette trouvaille remet en doute un dogme de l’embryologie de la thyroïde voulant que les cellules sécrétant la calcitonine (cellules C) proviennent exclusivement d’une structure extrathyroïdienne (les corps ultimobranchiaux) fusionnant seulement avec la thyroïde en fin de développement, lorsque la thyroïde a atteint son emplacement anatomique définitif. Notre approche gène candidat ne démontra aucune différence épigénétique (c.-à-d. de profil de méthylation) entre thyroïdes ectopiques et eutopiques, mais elle révéla la présence d’une région différentiellement méthylée (RDM) entre thyroïdes et leucocytes dans le promoteur de FOXE1. Le rôle crucial de FOXE1 dans la migration thyroïdienne lors du développement est connu et démontré dans le modèle murin. Nous avons démontré in vivo et in vitro que le statut de méthylation de cette RDM est corrélé avec l’expression de FOXE1 dans les tissus non tumoraux (c.-à-d., thyroïdes et leucocytes). Fort de ces résultats et sachant que les RDMs sont de potentiels points chauds de variations (épi)génétiques, nous avons lancé une étude cas-contrôles afin de déterminer si des variants génétiques rares localisés dans cette RDM sont associés à la dysgénésie thyroïdienne. Tous ces résultats générés lors de mes études doctorales ont dévoilé de nouveaux mécanismes pouvant expliquer la pathogenèse de la dysgénésie thyroïdienne, condition dont l’étiologie reste toujours une énigme. Ces résultats ouvrent aussi plusieurs champs de recherche prometteurs et vont aider à mieux comprendre tant les causes des dysgénésies thyroïdiennes que le développement embryonnaire normal de la thyroïde chez l’homme.

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The high levels of polychlorinated biphenyls (PCBs) and DDT in gray seal (Halichoerus grypus) and ringed seal (Phoca hispida botnica) in the Baltic Sea have been associated with pathological disruptions, including bone lesions and reproductive failures. The underlying environmental and toxicological mechanisms leading to these pathological changes are not yet fully understood. The present study investigated the relationship between the individual contaminant load and bone- and thyroid-related effects in adult gray seals (n = 30) and ringed seals (n = 46) in the highly contaminated Baltic Sea and in reference areas (Sable Island, Canada, and Svalbard, Norway). In the gray seals, multivariate and correlation analyses revealed a clear relationship between circulating 1,25-dihydroxyvitamin D3 (1,25(OH)2D), calcium, phosphate, and thyroid hormone (TH) levels and hepatic PCB and DDT load, which suggests contaminant-mediated disruption of the bone and thyroid homeostasis. Contaminants may depress 1,25(OH)2D levels or lead to hyperthyroidism, which may cause bone resorption. In the ringed seals, associations between circulating 1,25(OH)2D, THs, and hepatic contaminants were less prominent. These results suggest that bone lesions observed in the Baltic gray seals may be associated with contaminant-mediated vitamin D and thyroid disruption.

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The endostyle of invertebrate chordates is a pharyngeal organ that is thought to be homologous with the follicular thyroid of vertebrates. Although thyroid-like features such as iodine-concentrating and peroxidase activities are located in the dorsolateral part of both ascidian and amphioxus endostyles, the structural organization and numbers of functional units are different. To estimate phylogenetic relationships of each functional zone with special reference to the evolution of the thyroid, we have investigated, in ascidian and amphioxus, the expression patterns of thyroid-related transcription factors such as TTF-2/MoxE4 and Pax2/5/8, as well as the forkhead transcription factors FoxQ1 and FoxA. Comparative gene expression analyses depicted an overall similarity between ascidians and amphioxus endostyles, while differences in expression patterns of these genes might be specifically related to the addition or elimination of a pair of glandular zones. Expressions of Ci-FoxE and BbFoxE4 suggest that the ancestral FoxE class might have been recruited for the formation of thyroid-like region in a possible common ancestor of chordates. Furthermore, coexpression of FoxE4, Pax2/5/8, and TPO in the dorsolateral part of both ascidian and amphioxus endostyles suggests that genetic basis of the thyroid function was already in place before the vertebrate lineage. (c) 2005 Wiley-Liss, Inc.

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The endostyle of invertebrate chordates is a pharyngeal organ that is thought to be homologous with the follicular thyroid of vertebrates. Although thyroid-like features such as iodine-concentrating and peroxidase activities are located in the dorsolateral part of both ascidian and amphioxus endostyles, the structural organization and numbers of functional units are different. To estimate phylogenetic relationships of each functional zone with special reference to the evolution of the thyroid, we have investigated, in ascidian and amphioxus, the expression patterns of thyroid-related transcription factors such as TTF-2/MoxE4 and Pax2/5/8, as well as the forkhead transcription factors FoxQ1 and FoxA. Comparative gene expression analyses depicted an overall similarity between ascidians and amphioxus endostyles, while differences in expression patterns of these genes might be specifically related to the addition or elimination of a pair of glandular zones. Expressions of Ci-FoxE and BbFoxE4 suggest that the ancestral FoxE class might have been recruited for the formation of thyroid-like region in a possible common ancestor of chordates. Furthermore, coexpression of FoxE4, Pax2/5/8, and TPO in the dorsolateral part of both ascidian and amphioxus endostyles suggests that genetic basis of the thyroid function was already in place before the vertebrate lineage. (c) 2005 Wiley-Liss, Inc.

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BACKGROUND: There is a lack of studies about how to proceed surgically in rare strabismus diseases. It was the aim of this study to inteview experienced German-speaking strabismologists about how they perform surgery in rare but also some frequent strabismic conditions. The focus was on the choice of the technique, the timing, and the dosage. METHOD: A validated questionnaire was sent to 11 experienced strabismus surgeons. It contained questions about the following topics: congenital fibrosis syndrome, Jaentsch-Brown syndrome, intermittent exotropia, maximum dosage for rectus muscle surgery, Kestenbaum surgery, sixth nerve palsy, heterophorias, myokymia of the superior oblique muscle, thyroid endocrine orbitopathy, dissociated vertical deviation, adjustable sutures, advancement of previously recessed rectus muscles, retroequatorial myopiexia, and congenital esotropia. RESULTS: Ten experts answered the questionnaire (91 %). There was a large consent for many topics. However, for many procedures there was disagreement about the dosage and the timing. Since some questions addressed rare diseases and many strabismologists use only certain types of surgical procedures, some questions could only be answered by a few surgeons. CONCLUSIONS: German-speaking strabismologist show a large consensus about the type of surgical procedure to use, but often disagree about the dosage and timing of the operation.

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

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In the vertebrate brain, the thalamus serves as a relay and integration station for diverse neuronal information en route from the periphery to the cortex. Deficiency of TH during development results in severe cerebral abnormalities similar to those seen in the mouse when the retinoic acid receptor (ROR)α gene is disrupted. To investigate the effect of the thyroid hormone recep-tors (TRs) on RORalpha gene expression, we used intact male mice, in which the genes encoding the α and beta TRs have been deleted. In situ hybridization for RORalpha mRNA revealed that this gene is expressed in specific areas of the brain including the thalamus, pons, cerebellum, cortex, and hippocampus. Our quantitative data showed differences in RORalpha mRNA expression in different subthalamic nuclei between wild-type and knock-out mice. For example, the centromedial nucleus of the thalamus, which plays a role in mediating nociceptive and visceral information from the brainstem to the basal ganglia and cortical regions, has less expression of RORalpha mRNA in the knockout mice (-37%) compared to the wild-type controls. Also, in the dorsal geniculate (+72%) and lateral posterior nuclei (+58%) we found more RORalpha mRNA in dKO as compared to dWT animals. Such differences in RORalpha mRNA expression may play a role in the behavioral alterations resulting from congenital hypothyroidism.

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To evaluate the impact of iodine-131 therapy received during childhood and adolescence and correlate it with the quality of life in these patients. Methods: We studied 19 patients diagnosed with cancer in childhood or adolescence who underwent thyroidectomy and supplemental therapy with I-131. We also recruited a control group of healthy subjects with the same demographic parameters. All patients were subjected to a scintigraphy examination of the salivary glands, and were also asked to complete a questionnaire in order to assess their overall quality of life. In addition, a more specific questionnaire for patients with head and neck cancer was also given to all study participants. Results: The quantitative and qualitative analyses of the salivary glands showed functional deficits with greater involvement of the parotid gland for volume, concentration and excretion. The right submandibular gland showed significant changes for volume in the patient group. The questionnaires made it possible to observe significant differences between the patient and control groups for symptoms such as thick saliva, dry mouth and speech problems. Conclusion: In spite of being very effective and widely used, iodine radionuclide therapy is correlated with a lower quality of life in young people.

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Objective Immune responses against differentiated thyroid carcinomas (DTC) have long been recognized. We aimed to investigate the role of immune cell infiltration in the progression of DTC. Design We studied 398 patients 253 with papillary and 13 with follicular thyroid cancers, as well as 132 with nonmalignant tissues. Patients and measurements Immune cell infiltration was identified using CD3, CD4, CD8, CD20, CD68 and FoxP3 immunohistochemical markers. In addition, we assessed colocalization of CD4 and IL-17 to identify Th17 lymphocytic infiltration and colocalization of CD33 and CD11b to identify infiltration of myeloid-derived suppressor cells (MDSC). Results Immune cells infiltrated malignant tissues more often than benign lesions. The presence of chronic lymphocytic thyroiditis (CLT) concurrent to DTC, CD68+, CD4+, CD8+, CD20+, FoxP3+ and Th17 lymphocytes but not MDSCs was associated with clinical and pathological features of lower tumour aggressiveness and a more favourable patient outcome. A log-rank test confirmed an association between concurrent CLT, tumour-associated macrophage infiltration, and CD8+ lymphocytes and an increased in disease-free survival, suggesting that evidence of these immune reactions is associated with a favourable prognosis. Conclusion Our data suggest that the tumour or peri-tumoural microenvironment may act to modify the observed pattern of immune response. Immune cell infiltration and the presence of concurrent CLT helped characterize specific tumour histotypes associated with favourable prognostic features.

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We previously showed that short-term hypo- and hyperthyroidism induce changes in neuropeptide glutamic-acid-isoleucine-amide (NEI) concentrations in discrete brain areas in male rats. To investigate the possible effects of hypo- and hyperthyroidism on NEI concentrations mainly in hypothalamic areas related to reproduction and behavior, female rats were sacrificed at different days of the estrous cycle. Circulating luteinizing hormone (LH), estradiol and progesterone concentrations were measured in control, hypothyroid (hypoT, treated with PTU during 7-9 days) and hyperthyroid (hyperT, l-T4 during 4-7 days) animals. Both treatments blunted the LH surge. Hypo- and hyperthyroidism increased estradiol concentrations during proestrus afternoon (P-PM), although hypoT rats showed lower values compared to control during proestrus morning (P-AM). Progesterone levels were higher in all groups at P-PM and in the hyperT during diestrus morning (D2). NEI concentrations were lower in hypoT rats during the estrous cycle except in estrus (E) in the peduncular part of the lateral hypothalamus (PLH). They were also reduced by both treatments in the perifornical part of the lateral hypothalamus (PeFLH) during P-PM. Hypothyroidism led to higher NEI concentrations during P-PM in the organum vasculosum of the lamina terminalis and anteroventral periventricular nucleus (OVLT+AVPV). The present results indicate that NEI concentration is regulated in a complex manner by hypo- and hyperthyroidism in the different areas studied, suggesting a correlation between NEI values and the variations of gonadal steroid levels during estrous cycle. These changes could be, in part, responsible for the alterations observed in the hypothalamic-pituitary-gonadal axis in these pathologies.

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Chordoid glioma of the third ventricle is a rare neuroepithelial tumor characterized by a unique histomorphology and exclusive association with the suprasellar/third ventricular compartment. Variously interpreted as either astrocytic- or ependymal-like, and speculatively ascribed to the lamina terminalis/subcommissural organ, its histogenesis remains, nevertheless, unsettled. Here, we report on a suprasellar chordoid glioma occurring in a 52-year-old man. Although displaying otherwise typical morphological features, the tumor was notable for expression of thyroid transcription factor 1, a marker of tumors of pituicytic origin in the context of the sellar region. We furthermore found overlapping immunoprofiles of this example of chordoid glioma and pituicytic tumors (pituicytoma and spindle cell oncocytoma), respectively. Specifically, phosphorylated ribosomal protein S6, a marker of mTOR pathway activation, was expressed in both groups. Based on these findings, we suggest that chordoid glioma and pituicytic tumors may form part of a spectrum of lineage-related neoplasms of the basal forebrain.

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Purpose: The aim of this study was to characterize the clinical signs, symptoms, and ocular and systemic comorbidities in a large case series of contact lens-related microbial keratitis. Methods: Two hundred ninety-seven cases of contact lens-related microbial keratitis, aged between 15 and 64 years were detected through surveillance of hospital and community based ophthalmic practitioners in Australia and New Zealand. Full clinical data were available for 190 cases and 90 were interviewed by telephone. Clinical data included the size, location, and degree of anterior chamber response. Symptom data were available from the practitioner and from participant self-report. Associations between symptoms and disease severity were evaluated. Data on ocular and systemic disease were collected from participants and practitioners. The frequency of comorbidities was compared between the different severities of disease and to population norms. Results: More severe disease was associated with greater symptom severity and pain was the most prevalent symptom reported. Ninety-one percent of cases showed progression of ocular symptoms after lens removal, and symptom progression was associated with all severities of disease. Twenty-five percent of cases reported prior episodes requiring emergency attention. Thyroid disease (p 0.05) and self-reported poor health (p 0.001) were more common in cases compared with age-matched population norms. Discussion: Information on the signs, symptoms, and comorbidities associated with contact lens-related microbial keratitis may be useful in patient education and for practitioners involved in the fitting of lenses and management of complications. Although pain was the most common symptom experienced, progression of symptoms despite lens removal was close to universal. Poor general health, particularly respiratory disease and thyroid disease was more common in cases than in the general population, which may prompt practitioners to recommend flexibility in wear schedules when in poor health or the selection of a lower risk wear schedule in at risk patients

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Induction of cell proliferation by mitogen or growth factor stimulation leads to the specific induction or repression of a large number of genes. To identify genes differentially regulated by the cAMP-dependent transduction pathway, which is poorly characterized so far, we used the cDNA expression array technology. Hybridizations of Atlas human cDNA expression arrays with (32)P-labeled cDNA probes derived from control or thyrotropin (TSH)-stimulated dog thyrocytes in primary culture generated expression profiles of hundreds of genes simultaneously. Among the genes that displayed modified expression, we selected the transcription factor ID3, whose expression was increased by a cAMP-dependent stimulus. ID3 overexpression after TSH stimulation was first verified by Northern blotting analysis, and its mRNA regulation was then investigated in response to a variety of agents acting on thyrocyte proliferation and/or differentiation. We show that: (1) ID3 mRNA induction was stronger after stimulation of the cAMP cascade, but was not restricted to this signaling pathway, as phorbol myristate ester (TPA) and insulin also stimulated mRNA accumulation; (2) in contrast, powerful mitogens for thyroid cells, epidermal growth factor and hepatocyte growth factor, did not significantly modify ID3 mRNA levels; (3) ID3 protein levels closely parallelled mRNA levels, as revealed by immunofluorescence experiments showing a nuclear signal regulated by TSH; (4) in papillary thyroid carcinomas, ID3 mRNA was downregulated. Our results suggest that ID3 expression might be more related to the differentiating process induced by TSH than to the proliferative action of this hormone.