10 resultados para Somnambulism.


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Includes letter from Dr. Brigham to Mr. stone requesting an account of the experiments in animal magnetism, Mr. Stone's reply, and an appendix containing "statements copied from the Appendix to Hartshorne's [sic] recent edition of Deleuze."

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"The following treatise, first published in the San Franciso Home journal, and here given as a distinct book, was written ... as portion of a ... work ... entitled: Der sensitive mensch und sein verhalten zum ode." - Translator's introd., p. [xiii]

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Objective: The aim of this study was to compare the prevalence of sleep habits and complaints and to estimate the secular trends through three population-based surveys carried out in 1987, 1995, and 2007 in the general adult population of the city of Sao Paulo, Brazil. Methods: Surveys were performed using the same three-stage cluster-sampling technique in three consecutive decades to obtain representative samples of the inhabitants of Sao Paulo with respect to gender, age (20-80 years), and socio-economic status. Sample sizes were 1000 volunteers in 1987 and 1995 surveys and 1101 in a 2007 survey. In each survey, the UNIFESP Sleep Questionnaire was administered face-to-face in each household selected. Results: For 1987, 1995, and 2007, respectively, difficulty initiating sleep (weighted frequency %; 95% CI) [(13.9; 11.9-16.2), (19.15; 16.8-21.6), and (25.0; 22.5-27.8)], difficulty maintaining sleep [(15.8; 13.7-18.2), (27.6; 24.9-30.4), and (36.5; 33.5-39.5)], and early morning awakening [(10.6; 8.8-12.7), (14.2; 12.2-16.5), and (26.7; 24-29.6)] increased in the general population over time, mostly in women. Habitual snoring was the most commonly reported complaint across decades and was more prevalent in men. There was no statistically significant difference in snoring complaints between 1987 (21.5; 19.1-24.2) and 1995 (19.0; 16.7-21.6), but a significant increase was noted in 2007 (41.7; 38.6-44.8). Nightmares, bruxism, leg cramps, and somnambulism complaints were significantly higher in 2007 compared to 1987 and 1995. All were more frequent in women. Conclusions: This is the first study comparing sleep complaints in probabilistic population-based samples from the same metropolitan area, using the same methodology across three consecutive decades. Clear trends of increasing sleep complaints were observed, which increased faster between 1995 and 2007 than from 1987 to 1995. These secular trends should be considered a relevant public health issue and support the need for development of health care and educational strategies to supply the population`s increased need for information on sleep disorders and their consequences. (C) 2010 Elsevier B.V. All rights reserved.

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This study compares the prevalence of complaints of insomnia, excessive diurnal sleepiness, parasomnias, and sleep habits of the adult population in the city of São Paulo, Brazil, estimated in surveys carried out in 1987 and 1995. Representative samples of 1000 adult residents per survey were interviewed using a validated structured sleep questionnaire, the "UNIFESP Sleep Questionnaire". Difficulty maintaining sleep, difficulty initiating sleep and early morning awakening, occurring at least three times a week, were reported in 1987 and 1995, by 15.8/27.6, 13.9/19.1, and 10.6/14.2% of the interviewees, respectively, significantly increasing throughout time. These sleep problems were more often found among women. Frequencies of excessive diurnal sleepiness and sleep attacks were unchanged comparing 1987 with 1995 (4.5 vs 3.8 and 3.1 vs 3.0%, respectively). Parasomnia complaints remained unchanged, with the exception of leg cramps, which doubled in prevalence from 1987 to 1995 (2.6 to 5.8%). Snoring was the most common parasomnia (21.5% in 1995), reported more often by men than by women, and somnambulism was the least common (approximately 1%). Besides sleeping slightly less, interviewees went to bed and woke up later in 1995. Approximately 12% of the subjects in both surveys had consulted a physician due to sleep problems and 3.0% reported habitual use of sleep-promoting substances in 1995. Overall, there was a significant increase in insomnia complaints from 1987 to 1995 in the general population of the city of São Paulo. This major change over a little under a decade should be considered as an important public health issue.

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Diverses études se sont penchées sur les paramètres EEG du sommeil en ondes lentes, y compris l’activité en ondes lentes en lien avec le somnambulisme, mais les résultats se révèlent inconsistants et contradictoires. Le premier objectif de la présente étude était d’analyser quantitativement l’EEG en sommeil en mesurant les fluctuations de puissance spectrale en delta (1-4 Hz) et delta lent (0.5-1 Hz) avant des épisodes de somnambulisme. Le second était de détecter les oscillations lentes (> 75 μV, fréquence d'environ 0.7-0.8 Hz) et très lentes (> 140 μV, fréquence d'environ 0.7-0.8 Hz) afin d'examiner leur changement d'amplitude et de densité avant de tels épisodes. Suite à une privation de sommeil de 25 heures, les enregistrements polysomnographiques de 22 adultes atteints de somnambulisme ont été scrutés. L’analyse des 200 secondes avant les épisodes révèle que ceux-ci ne sont pas précédés d’une augmentation graduelle de puissance spectrale en delta ni en delta lent, tant sur les dérivations frontale, centrale que pariétale. Toutefois, une hausse statistiquement significative de la densité des oscillations lentes et des oscillations très lentes a été observée au cours des 20 sec immédiatement avant le début des épisodes. Reste à déterminer le rôle exact de ces paramètres de l’EEG en sommeil par rapport à la manifestation et au diagnostic des parasomnies en sommeil lent.

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Les somnambules présentent des caractéristiques qui suggèrent un dysfonctionnement dans la régulation du sommeil lent profond (SLP). La fonction autonome est étroitement liée à la régulation des stades de sommeil et reflète l’intensité du SLP. Notre objectif est d’étudier la fonction autonome pendant le SLP des somnambules et des sujets témoins avant et après une privation de sommeil. Quatorze somnambules adultes (9 femmes et 5 hommes ; 28,1 ± 5,8 ans) et 14 sujets témoins appariés pour l’âge et le sexe (27,8 ± 6,0 ans) ont été évalués par vidéo - polysomnographie pour une nuit de base et pendant le sommeil de récupération après 25 heures de privation de sommeil. La fréquence cardiaque (FC) et les composantes spectrales de la variabilité de la FC ont été évaluées. Les composantes de basses (LF) et de hautes fréquences (HF) en valeur absolue et en unités normalisées (LFn et HFn) ainsi que le ratio LF/HF ont été analysés à partir de segments de 5 minutes d’électrocardiogramme sélectionnés lors du SLP des deux premiers cycles de sommeil. Au cours du premier cycle de sommeil, les somnambules, mais pas les sujets témoins, ont montré une diminution des LFn et du ratio LF/HF ainsi qu’une augmentation des HFn lors du sommeil de récupération par rapport au sommeil normal. Au cours du deuxième cycle, les somnambules ont montré une FC plus élevée en sommeil de récupération par rapport au sommeil de base et l’inverse a été trouvé chez les sujets témoins. Les somnambules ont montré une augmentation de l’activité parasympathique ainsi qu’une diminution de l’activité sympathique au cours du premier cycle du sommeil de récupération par rapport à la valeur initiale. Puisque cette fenêtre de temps est fortement associée à la survenue d'épisodes de somnambulisme chez les sujets prédisposés, cette hyperactivité parasympathique pourrait être impliquée dans la physiopathologie de somnambulisme.

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Le somnambulisme est un trouble du sommeil fréquent qui affecte jusqu’à 4% de la population adulte et comporte un risque important de blessures. Les mécanismes à la base du somnambulisme demeurent méconnus mais il a été historiquement associé à la présence de psychopathologie. À ce jour, la majorité des efforts de recherche se sont concentrés autour des manifestations nocturnes du somnambulisme, tandis que très peu d’études se sont intéressées aux conséquences diurnes. Le premier objectif de cette thèse était de préciser le lien entre le somnambulisme et la psychopathologie en mesurant la prévalence de symptômes dépressifs et anxieux au sein d’un large échantillon de somnambules. Les résultats ont montré que seule une minorité de patients présentait des symptômes significatifs de psychopathologie et que le profil clinique des patients avec et sans symptômes de psychopathologie était globalement similaire. Les patients qui présentaient les symptômes anxiodépressifs les plus sévères ont néanmoins rapporté dans une plus faible proportion avoir une histoire familiale de somnambulisme comparativement aux autres patients. À l’inverse, ils ont rapporté souffrir de cauchemars dans une plus grande proportion. Le second objectif de cette thèse était de mieux documenter les conséquences diurnes du somnambulisme. La deuxième étude a montré que près de la moitié des somnambules présentaient des niveaux pathologiques de somnolence diurne. Toutefois, la somnolence ne s’est révélée associée à aucun des marqueurs polysomnographiques de fragmentation et de profondeur du sommeil. La troisième étude a quant à elle montré qu’une privation de 25h de sommeil avait chez les somnambules un impact négatif sur les capacités d’inhibition motrice comparativement aux contrôles. Cette diminution de la performance n’était toutefois pas associée à la fragmentation du sommeil chez les somnambules. De plus, la privation de sommeil n’a pas eu d’effet différentiel sur la capacité d’attention soutenue des somnambules. Enfin, aucune différence de performance aux tâches neuropsychologiques n’a été observée entre les groupes à l’état d’éveil normal. Dans l’ensemble, cette thèse suggère que la majorité des somnambules ne présente pas de signe de psychopathologie significative. Les résultats mettent cependant en évidence la présence d’altérations significatives du fonctionnement diurne. Le caractère idiopathique de ces altérations fonctionnelles suggère qu’elles pourraient être liées aux mécanismes physiopathologiques à la base du somnambulisme. L’étude des phénomènes diurnes constitue donc une avenue de recherche prometteuse afin de mieux comprendre les impacts cliniques et les mécanismes à la base du somnambulisme.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)