992 resultados para Safety Pharmacology
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Le but de cette étude était d’évaluer les qualifications de performance du système FlexiWare® chez le rat male Sprague Dawley et le singe Cynomolgus éveillés, ainsi que chez le chien Beagle éveillé et anesthésié, suite à l’administration de produits ayant une activité pharmacologique connue. Les produits utilisés incluaient l’albutérol administré par inhalation, la méthacholine, et le rémifentanil administrés par voie intraveineuse. Une solution saline administré par voie intraveneuse, a été utilisée comme substance témoin. Différentes variables ont servi à évaluer la réponse des animaux (rats, chien, singe). Ces dernières comprenaient la fréquence respiratoire (RR), le volume courant (TV), la ventilation minute (MV). Des paramètres additionnels ont été évalués chez le rat, soit les temps d’inspiration (IT) et d’expiration (ET), le temps du pic de débit expiratoire, les pics de débits inspiratoire et expiratoire, le ratio inspiratoire:expiratoire (I:E), le ratio inspiratoire sur respiration totale (I:TB), et l’écoulement expiratoire moyen (EF50). Les résultats obtenus ont démontré que le système FlexiWare® était suffisamment sensible et spécifique pour dépister, chez les espèces animales utilisées, les effets bronchodilateur, bronchoconstricteur et dépresseur central des substances testées. Il pourrait faire partie des méthodes (ICH 2000) utilisées en pharmacologie de sécurité lors de l’évaluation de substances pharmacologiques sur le système respiratoire des animaux de laboratoire. Les espèces animales utilisées ont semblé s’adapter aisément aux procédures de contention. Les paramètres évalués, RR, TV et MV ont permis de caractériser la réponse des animaux suite à l’administration de produits pharmacologiques à effets connus, judicieusement complétés par les variables de débit. L’ajout de paramètres du temps n’était pas primordiale pour détecter les effets des drogues, mais offre des outils complémentaires d’interpréter les changements physiologiques. Cependant, chez le rat conscient, la période d’évaluation ne devrait pas s’étendre au-delà d’une période de deux heures post traitement. Ces études constituent une évaluation des qualifications de performance de cet appareil et ont démontré de manière originale, la validation concurrentielle, en terme de précision (sensibilité et spécificité) et fiabilité pour différentes variables et sur différentes espèces.
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En février, 2009 un rapport de PHRMA (Pharmaceutical Research and Manufacturers of America) confirmait que plus de 300 médicaments pour le traitement des maladies cardiaques étaient en phase d’essais cliniques ou en révision par les agences règlementaires. Malgré cette abondance de nouvelles thérapies cardiovasculaires, le nombre de nouveaux médicaments approuvés chaque année (toutes indications confondues) est en déclin avec seulement 17 et 24 nouveaux médicaments approuvés en 2007 et 2008, respectivement. Seulement 1 médicament sur 5000 sera approuvé après 10 à 15 ans de développement au coût moyen de 800 millions $. De nombreuses initiatives ont été lancées par les agences règlementaires afin d’augmenter le taux de succès lors du développement des nouveaux médicaments mais les résultats tardent. Cette stagnation est attribuée au manque d’efficacité du nouveau médicament dans bien des cas mais les évaluations d’innocuité remportent la palme des causes d’arrêt de développement. Primum non nocere, la maxime d’Hippocrate, père de la médecine, demeure d’actualité en développement préclinique et clinique des médicaments. Environ 3% des médicaments approuvés au cours des 20 dernières années ont, par la suite, été retirés du marché suite à l’identification d’effets adverses. Les effets adverses cardiovasculaires représentent la plus fréquente cause d’arrêt de développement ou de retrait de médicament (27%) suivi par les effets sur le système nerveux. Après avoir défini le contexte des évaluations de pharmacologie de sécurité et l’utilisation des bio-marqueurs, nous avons validé des modèles d’évaluation de l’innocuité des nouveaux médicaments sur les systèmes cardiovasculaires, respiratoires et nerveux. Évoluant parmi les contraintes et les défis des programmes de développements des médicaments, nous avons évalué l’efficacité et l’innocuité de l’oxytocine (OT), un peptide endogène à des fins thérapeutiques. L’OT, une hormone historiquement associée à la reproduction, a démontré la capacité d’induire la différentiation in vitro de lignées cellulaires (P19) mais aussi de cellules souches embryonnaires en cardiomyocytes battants. Ces observations nous ont amené à considérer l’utilisation de l’OT dans le traitement de l’infarctus du myocarde. Afin d’arriver à cet objectif ultime, nous avons d’abord évalué la pharmacocinétique de l’OT dans un modèle de rat anesthésié. Ces études ont mis en évidence des caractéristiques uniques de l’OT dont une courte demi-vie et un profil pharmacocinétique non-linéaire en relation avec la dose administrée. Ensuite, nous avons évalué les effets cardiovasculaires de l’OT sur des animaux sains de différentes espèces. En recherche préclinique, l’utilisation de plusieurs espèces ainsi que de différents états (conscients et anesthésiés) est reconnue comme étant une des meilleures approches afin d’accroître la valeur prédictive des résultats obtenus chez les animaux à la réponse chez l’humain. Des modèles de rats anesthésiés et éveillés, de chiens anesthésiés et éveillés et de singes éveillés avec suivi cardiovasculaire par télémétrie ont été utilisés. L’OT s’est avéré être un agent ayant d’importants effets hémodynamiques présentant une réponse variable selon l’état (anesthésié ou éveillé), la dose, le mode d’administration (bolus ou infusion) et l’espèce utilisée. Ces études nous ont permis d’établir les doses et régimes de traitement n’ayant pas d’effets cardiovasculaires adverses et pouvant être utilisées dans le cadre des études d’efficacité subséquentes. Un modèle porcin d’infarctus du myocarde avec reperfusion a été utilisé afin d’évaluer les effets de l’OT dans le traitement de l’infarctus du myocarde. Dans le cadre d’un projet pilote, l’infusion continue d’OT initiée immédiatement au moment de la reperfusion coronarienne a induit des effets cardiovasculaires adverses chez tous les animaux traités incluant une réduction de la fraction de raccourcissement ventriculaire gauche et une aggravation de la cardiomyopathie dilatée suite à l’infarctus. Considérant ces observations, l’approche thérapeutique fût révisée afin d’éviter le traitement pendant la période d’inflammation aigüe considérée maximale autour du 3ième jour suite à l’ischémie. Lorsqu’initié 8 jours après l’ischémie myocardique, l’infusion d’OT a engendré des effets adverses chez les animaux ayant des niveaux endogènes d’OT élevés. Par ailleurs, aucun effet adverse (amélioration non-significative) ne fût observé chez les animaux ayant un faible niveau endogène d’OT. Chez les animaux du groupe placebo, une tendance à observer une meilleure récupération chez ceux ayant des niveaux endogènes initiaux élevés fût notée. Bien que la taille de la zone ischémique à risque soit comparable à celle rencontrée chez les patients atteints d’infarctus, l’utilisation d’animaux juvéniles et l’absence de maladies coronariennes sont des limitations importantes du modèle porcin utilisé. Le potentiel de l’OT pour le traitement de l’infarctus du myocarde demeure mais nos résultats suggèrent qu’une administration systémique à titre de thérapie de remplacement de l’OT devrait être considérée en fonction du niveau endogène. De plus amples évaluations de la sécurité du traitement avec l’OT dans des modèles animaux d’infarctus du myocarde seront nécessaires avant de considérer l’utilisation d’OT dans une population de patients atteint d’un infarctus du myocarde. En contre partie, les niveaux endogènes d’OT pourraient posséder une valeur pronostique et des études cliniques à cet égard pourraient être d’intérêt.
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To determine the incidence of adverse drug events (ADE) that resulted in the need for children's emergency care, a total of 23,286 pediatric emergency case notes were analyzed. They were selected on the basis of the ICD code indicating a possible ADE. ADEs were found in 13 case notes (0.06%), predominantly among girls and mainly in the 1 to 5 year age group. About half of the observed events occurred as a result of accidental ingestion, 27.3% were suicide attempts, and 27.3% arose due to the discontinuation of treatment. Antiepileptic drugs were those most often involved. Three (23%) were serious. The results suggest that children have easy access to medications and are involved in the majority of accidental occurrences. Using drugs involves risks, and drawing attention to such risks while prescribing and dispensing them fosters the sharing of responsibility and the empowerment of the users, measures necessary to health promotion.
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Ethnopharmacological relevance and background: “Dictamnus” was a popular name for a group of medicinal herbaceous plant species of the Rutaceae and Lamiaceae, which since the 4th century have been used for gynaecological problems and other illnesses BCE and still appear in numerous ethnobotanical records. Aims: This research has as four overarching aims: Determining the historical evolution of medical preparations labelled “Dictamnus” and the different factors affecting this long-standing herbal tradition. Deciphering and differentiating those medicinal uses of “Dictamnus” which strictly correspond to Dictamnus (Rutaceae), from those of Origanum dictamnus and other Lamiaceae species. Quantitatively assessing the dependence from herbal books, and pharmaceutical tradition, of modern Dictamnus ethnobotanical records. Determining whether differences between Western and Eastern Europe exist with regards to the Dictamnus albus uses in ethnopharmacology and ethnomedicine. Methods: An exhaustive review of herbals, classical pharmacopoeias, ethnobotanical and ethnopharmacological literature was conducted. Systematic analysis of uses reported which were standardized according to International Classification of Diseases – 10 and multivariate analysis using factorial, hierarchical and neighbour joining methods was undertaken. Results and discussion: The popular concept “Dictamnus” includes Origanum dictamnus L., Ballota pseudodictamnus (L.) Benth. and B. acetabulosa (L.) Benth. (Lamiaceae), as well as Dictamnus albus L. and D. hispanicus Webb ex Willk. (Rutaceae), with 86 different types of uses. Between 1000 and 1700 CE numerous complex preparations with “Dictamnus” were used in the treatment of 35 different pathologies. On biogeographical grounds the widespread D. albus is a far more likely prototypical “Dictamnus” than the Cretan endemic Origanum dictamnus. However both form integral parts of the “Dictamnus” complex. Evidence exists for a sufficiently long and coherent tradition for D. albus and D. hispanicus, use to treat 47 different categories of diseases. Conclusions: This approach is a model for understanding the cultural history of plants and their role as resources for health care. “Dictamnus” shows how transmission of traditional knowledge about materia medica, over 26 centuries, represents remarkable levels of development and innovation. All this lead us to call attention to D. albus and D. hispanicus which are highly promising as potential herbal drug leads. The next steps of research should be to systematically analyse phytochemical, pharmacological and clinical evidence and to develop safety, pharmacology and toxicology profiles of the traditional preparations.
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Colon and pancreatic cancers contribute to 90,000 deaths each year in the USA. These cancers lack targeted therapeutics due to heterogeneity of the disease and multiple causative factors. One important factor that contributes to increased colon and pancreatic cancer risk is gastrin. Gastrin mediates its actions through two G-protein coupled receptors (GPCRs): cholecystokinin receptor A (CCK-A) and CCK-B/gastrin receptor. Previous studies have indicated that colon cancer predominantly expresses CCK-A and responds to CCK-A isoform antagonists. However, many CCK-A antagonists have failed in the clinic due to poor pharmacokinetic properties or lack of efficacy. In the present study, we synthesized a library of CCK-A isoform-selective antagonists and tested them in various colon and pancreatic cancer preclinical models. The lead CCK-A isoform, selective antagonist PNB-028, bound to CCK-A at 12 nM with a 60-fold selectivity towards CCK-A over CCK-B. Furthermore, it inhibited the proliferation of CCK-A-expressing colon and pancreatic cancer cells without affecting the proliferation of non-cancerous cells. PNB-028 was also extremely effective in inhibiting the growth of MAC-16 and LoVo colon cancer and MIA PaCa pancreatic cancer xenografts in immune-compromised mice. Genomewide microarray and kinase-array studies indicate that PNB-028 inhibited oncogenic kinases and angiogenic factors to inhibit the growth of colon cancer xenografts. Safety pharmacology and toxicology studies have indicated that PNB-028 is extremely safe and has a wide safety margin. These studies suggest that targeting CCK-A selectively renders promise to treat colon and pancreatic cancers and that PNB-028 could become the next-generation treatment option.
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Este proyecto se origina en el interés de analizar las estrategias actuales de promoción de productos farmacéuticos, en el marco del debate sobre el efecto persuasivo o informativo que la publicidad directa tiene sobre los consumidores. El objetivo es determinar el efecto de las estrategias de promoción directa para consumidores (Direct to Consumer Advertising [DTCA]) sobre el comportamiento de compra de pacientes y las prescripciones que formulan los médicos en el mercado de productos bajo receta en Estados Unidos. Para tal fin se propuso realizar una monografía que incluyera una revisión de literatura de carácter argumentativo, consultando información de nivel secundario en bases de datos científicas cuyos contenidos obedecieran a criterios metodológicos determinados por la naturaleza argumentativa del estudio. Adicionalmente, se analizó el debate sobre estos anuncios a la luz de dos estudios realizados a pacientes con cáncer de seno, próstata y colon, liderados por el Pennsylvania Cancer Registry con los productos biofarmacéuticos Avodart® y Flomax®. Finalmente, la investigación se fundamentó en la relación del mercado farmacéutico en Estados Unidos con cada uno de los agentes que interactúan en él; consumidores, médicos prescriptores y empresas farmacéuticas, así como el valor que estos comparten través de dichas interacciones. Se concluye que el comportamiento de compra de los consumidores está determinado por la naturaleza de la patología que padecen y el comportamiento de los profesionales que prescriben a sus pacientes se ve influenciado por los anuncios DTCA.
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Osteoporosis and Paget’s bone disease are the most common diseases of the bone. In addition to glucocorticoid treatment, there are many other secondary causes of osteoporosis. Bisphosphonates are used to treat these bone conditions. Zoledronic acid is the most potent bisphosphonate at inhibiting bone resorption. In osteoporosis, zoledronic acid increases bone mineral density for at least 1 year following a single intravenous administration. The efficacy and safety of zoledronic acid in the treatment of osteoporosis and Paget’s bone disease are reviewed. This article also covers the studies of the effects of zoledronic acid in the bone loss associated with the secondary osteoporosis.
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The anti-estrogen treatment for hormone-sensitive breast cancer and the androgen deprivation therapy for prostate cancer can lead to the development of osteoporosis and bone fractures. Metastases associated with prostate and breast cancer can also occur in bone. Bisphosphonates are used in these types of bone dysfunction. Zoledronic acid is the most potent bisphosphonate. In osteoporosis, zoledronic acid inhibits bone reabsorption and increases bone mineral density for at least a year after intravenous administration. The efficacy and safety of zoledronic acid in osteoporosis secondary to hormone-sensitive cancers (prostate and breast), and in the bone metastases associated with these cancers are reviewed.
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Introduction: Domperidone is a dopamine D2-receptor antagonist developed as an antiemetic and prokinetic agents. Oral domperidone is not approved in the US, but is used in many countries to treat nausea and vomiting, gastroparesis, and as a galactogogue (to promote lactation). The US Food and Drug Administration (FDA) have issued a warning about the cardiac safety of domperidone. Areas covered: The authors undertook a review of the cardiac safety of oral domperidone. Expert opinion: The data from preclinical studies are unambiguous in identifying domperidone as able to produce marked hERG channel inhibition and action potential prolongation at clinically relevant concentrations. The compound’s propensity to augment instability of action potential duration and action potential triangulation are also indicative of proarrhythmic potential. Domperidone should not be administered to subjects with pre-existing QT prolongation/LQTS, subjects receiving drugs that inhibit CYP3A4, subjects with electrolyte abnormalities or with other risk factors for QT-prolongation. With these provisos, it is possible that domperidone may be used as a galactogogue without direct risk to healthy breast feeding women but more safety information should be sought in this situation. Also, more safety information is required regarding risk to breast feeding infants or before domperidone is routinely used in gastroparesis or gastroesphageal reflux in children.
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Sodium rutin sulfate (SRS) is a sulfated rutin modified from the natural flavonol glycoside rutin. Here, we investigated its in vitro anti-HIV and -HSV activities and its cytotoxic profile. Fifty percent inhibitory concentration (IC50) values of SRS against HIV-1 X4 virus IIIB, HIV-1 R5 isolates Ada-M and Ba-L were 2.3 +/- 0.2, 4.5 +/- 2.0 and 8.5 +/- 3.8 mu M with a selectivity index (SI) of 563, 575 and 329, respectively. Its IC50 against primary R5 HIV-1 isolate from Yunnan province in China was 13.1 +/- 5.5 mu M, with a Sl of 197. In contrast, unsulfated rutin had no activity against any of the HIV-1 isolates tested. Further study indicated that SRS blocked viral entry and virus-cell fusion likely through interacting with the HIV- I envelope glycoprotein. SRS also demonstrated some activity against human herpes simplex virus (HSV) with an IC50 of 88.3 +/- 0.1 mu M and a Sl of 30. The 50% cytotoxicity concentration (CC50) of SRS was >3.0 mM, as determined in human genital ME 180, HeLa and primary human foreskin fibroblast cells. Minimum inhibitory concentration of SRS for vaginal lactobacilli was >3.0 mM. These results collectively indicate that SRS represents a novel candidate for anti-HIV-1/HSV microbicide development. (C) 2007 Elsevier B.V. All rights reserved.
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Vaginal microbicides for the prevention of HIV transmission may be an important option for protecting women from infection. Incorporation of dapivirine, a lead candidate nonnucleoside reverse transcriptase inhibitor, into intravaginal rings (IVRs) for sustained mucosal delivery may increase microbicide product adherence and efficacy compared with conventional vaginal formulations. Twentyfour
healthy HIV-negative women 18–35 years of age were randomly assigned (1:1:1) to dapivirine matrix IVR, dapivirine reservoir IVR, or placebo IVR. Dapivirine concentrations were measured in plasma
and vaginal fluid samples collected at sequential time points over the 33-day study period (28 days of IVR use, 5 days of follow-up). Safety was assessed by pelvic/colposcopic examinations, clinical laboratory tests, and adverse events. Both IVR types were safe and well tolerated with similar adverse events observed in the placebo and dapivirine groups. Dapivirine from both IVR types was successfully distributed throughout the lower genital tract at concentrations over 4 logs greater than the EC50 against wild-type HIV-1 (LAI) in MT4 cells. Maximum concentration (Cmax) and area under the concentration–time curve (AUC) values were significantly higher with the matrix than reservoir IVR. Mean plasma concentrations of dapivirine were ,2 ng/mL. These findings suggest that IVR delivery of microbicides is a viable option meriting further study.
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Exenatide extended-release (ER) is a microencapsulated formulation of the glucagon-like peptide 1-receptor agonist exenatide: It has a protracted pharmacokinetic profile that allows a once-weekly injection with comparable efficacy to insulin with an improved safety profile in type II diabetic people. Here, we studied the pharmacology of exenatide ER in 6 healthy cats. A single subcutaneous injection of exenatide ER (0.13 mg/kg) was administered on day 0. Exenatide concentrations were measured for 12 wk. A hyperglycemic clamp (target = 225 mg/dL) was performed on days 7 (clamp I) and 21 (clamp II) with measurements of insulin and glucagon concentrations. Glucose tolerance was defined as the amount of glucose required to maintain hyperglycemia during the clamp. Continuous glucose monitoring was performed on weeks 0, 2, and 6 after injection. Plasma concentrations of exenatide peaked at 1 h and 4 wk after injection. Comparing clamp I with clamp II, fasting blood glucose decreased (mean standard deviation = 11 8 mg/dL, P = 0.02), glucose tolerance improved (median [range] +33% 14%-138%], P = 0.04), insulin concentrations increased (+36.5% [-9.9% to 274.1%], P = 0.02), and glucagon concentrations decreased (-4.7% [0%-12.1%], P = 0.005). Compared with preinjection values on continuous glucose monitoring, glucose concentrations decreased and the frequency of readings <50 mg/dL increased at 2 and 6 wk after injection of exenatide ER. This did not correspond to clinical hypoglycemia. No other side effects were observed throughout the study. Exenatide ER was safe and effective in improving glucose tolerance 3 wk after a single injection. Further evaluation is needed to determine its safety, efficacy, and duration of action in diabetic cats. (C) 2015 Elsevier Inc. All rights reserved.
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Objective: To assess safety and efficacy of sitaxsentan 50 and 100 mg in patients with pulmonary arterial hypertension (PAH). Background: Sitaxsentan is a highly selective endothelin-A receptor antagonist that was recently withdrawn by the manufacturer because of a pattern of idiosyncratic liver injury. Methods: Before sitaxsentan withdrawal, this 18-week double-blind, placebo-controlled study randomized patients with PAH to receive placebo or sitaxsentan 50 or 100 mg once daily. The primary efficacy endpoint was change from baseline in 6-min walk distance (6MWD) at week 18. Changes in World Health Organization (WHO) functional class and time to clinical worsening (TTCW) were secondary endpoints. The primary efficacy analysis was powered for sitaxsentan 100 mg versus placebo. Results: Of 98 randomized patients, 61% were WHO functional class II at baseline. Improvement from baseline to week 18 in 6MWD occurred with sitaxsentan 100 but not 50 mg; a strong placebo effect was observed. At week 18, WHO functional class was improved or maintained in more patients receiving sitaxsentan 100 mg than placebo (P = 0.038); 0% versus 12% of patients deteriorated, respectively. TTCW was not significantly different for 100-mg sitaxsentan patients than placebo (P = 0.090). Adverse events (AEs) occurring more frequently with sitaxsentan (50 or 100 mg) included headache, peripheral edema, dizziness, nausea, extremity pain, and fatigue; most AEs were of mild or moderate severity. Conclusion: Sitaxsentan 100 mg improved functional class but not 6MWD in PAH patients who were mostly WHO functional class II at baseline. No patient receiving sitaxsentan 100 mg experienced clinical worsening; sitaxsentan was well tolerated. (C) 2011 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Porfimer is an intravenous (i.v.) injectable photosensitizing agent used in the photodynamic treatment of tumours and of high-grade dysplasia in Barrett's oesophagus.