967 resultados para Robbe-Grillet, Alain
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Resumen tomado de la revista
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Alain Robbe-Grillet, d’abord connu en tant que romancier, a dès le début des années 1960 partagé son temps entre le cinéma et la littérature. Après avoir fourni le scénario de L’année dernière à Marienbad, il est passé derrière la caméra et a réalisé une dizaine de films qui, tant par leur forme que leur propos, poursuivent les recherches esthétiques entreprises dans sa pratique littéraire. Plus encore, il nous semble que le début de cette aventure cinématographique marque un tournant dans son œuvre. Alors que le point de vue qui portait les premiers romans — point de vue que les critiques ont rapproché de celui d’une caméra —, marquait déjà la dimension intermédiale de son œuvre, il apparaît que son passage dans la chaise du réalisateur a été le germe d’une radicalisation de sa pratique. Ainsi, les romans et les films qui ont suivi possèdent une portée intermédiale beaucoup plus large. De fait, c’est l’ensemble de la narration qui s’y trouve remise en question par la mise en évidence des spécificités de chacun des médias et par la transposition de procédés propres à la littérature dans le film, et vice versa. C’est par une étude comparative de La maison de rendez-vous (1965) et de L’homme qui ment (1968) que nous montrons en quoi consiste la relation intermédiale que Robbe-Grillet établit entre les disciplines, en plus de mettre en évidence les mécaniques qui, ancrées dans la matérialité des médias, fondent le roman et le film.
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Este trabajo de investigación plantea un estudio sobre los motivos de la naturalezamuerta y de la ruina en el cine a partir de la película de Jia Zhang Ke titulada Still Life (2006). Se propone establecer una continuidad con la modernidad a través de ambos motivos y llevar a cabo una relectura de los mismos desde un análisis hermeneútico que parte de la tradición pictórica y pone en diálogo la cinematografía de otros cineastas como Roberto Rossellini, Yasujiro Ozu, Robert Bresson, Abbas Kiarostami, entre otros, para reflexionar sobre la práctica cinematográfica entre la inmediatez y la memoria.
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Kirjallisuusarvostelu
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Partindo do conceito de de "disnarrativo" ("dysnarration"), tal como formulado por Alain Robbe-Grillet em 1976 e publicado no "Le Monde" de 26 de Fevereiro desse ano, pretendo abordar uma das práticas narrativas mais mistificadoras do cinema moderno e pós-moderno, na qual a história, ao mesmo tempo que se vai contando, se nega a si mesma. O efeito é obtido por recurso a três linhas narrativas ("séries"), as quais se entrecruzam durante o tempo do filme, gerando personagens, locais e situações verdadeiramente "incompossíveis" (ou seja, como defende Deleuze, possíveis em si mesmas mas não quando combinadas umas com as outras). Esta estrutura narrativa ("telestrutura") relança constantemente a história, dotando-a de uma natureza alegórica superior à descritiva (tanto mais que os filmes são enriquecidos por meio de citações artísticas intermediais). O efeito é paradoxal - a de uma história impossível que se vai criando sob os nossos olhos - e o resultado é um autêntico labirinto fílmico. Cabe ao espectador tentar descodificar a obra, tarefa obviamente votada ao malogro por efeito da própria construção. A prática disnarrativa de Alain Robbe-Grillet será exemplificada no filme de 1983, sempre actual devido ao enigma abstracto que o permeia. Refiro-me a "La Belle captive" (FRA).
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Entre les années 1950 et 1980, émerge une nouvelle forme de labyrinthe chez des romanciers européens comme Michel Butor, Alain Robbe-Grillet, Italo Calvino, Patrick Modiano et Alasdair Gray : un labyrinthe insaisissable et non cartographiable. Pour en rendre compte nous avons recours au modèle du rhizome, issu de la philosophie de Gilles Deleuze et de Félix Guattari, aussi bien qu'au concept d'hétérotopie de Michel Foucault. La spatialité de nos romans nous pousse à prendre en compte également les réécritures ironiques du mythe de Thésée, Ariane, le Minotaure, Dédale. Les citations et les allusions au mythe nous font remarquer la distance d'avec le modèle traditionnel et les effets de ce qu'on peut considérer comme un « bricolage mythique », dans le cadre d'un regard ironique, parodique ou satirique. La représentation romanesque du labyrinthe accentue d'un côté l'absence d'un centre, et de l'autre côté l'ouverture extrême de cet espace qu'est la ville contemporaine. En même temps, la présence de nombreux « espaces autres », les hétérotopies de Foucault, définit l'égarement des protagonistes des romans. Au fur et à mesure que les écrivains acquièrent conscience des caractéristiques « labyrinthiques » de ces espaces, celles-ci commencent à informer l'œuvre romanesque, créant ainsi un espace métafictionnel. Entre les années Cinquante et le début des années Soixante-dix, les Nouveaux romanciers français accentuent ainsi l'idée de pouvoir jouer avec les instruments de la fiction, pour exaspérer l'absence d'un sens dans la ville comme dans la pratique de l'écriture. Calvino reformule cette conception du roman, remarquant l'importance d'un sens, même s'il est caché et difficile à saisir. Pour cette raison, à la fin de l'époque que nous analysons, des auteurs comme Modiano et Gray absorbent les techniques d'écriture de ces prédécesseurs, en les faisant jouer avec la responsabilité éthique de l'auteur.
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El trabajo analiza las similitudes y diferencias entre las teorías de tres importantes representantes del nouveau roman francés: Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet y Jean Ricardou. Para eso, se centra en el debate que tuvo lugar en el coloquio sobre el nouveau roman llevado a cabo en Cerisy-la-Salle en 1971, del cual participaron escritores y críticos. A partir de ese balance, el trabajo se remonta a los ensayos escritos con anterioridad por Sarraute, Robbe-Grillet y Ricardou. En este contexto, se reconstruyen las ideas sobre la narrativa moderna de cada escritor y se las pone en diálogo y discusión. El trabajo se centra en la originalidad de la teoría y obra de Sarraute, expresada en una paradoja: inauguradora del movimiento, Sarraute es al mismo tiempo la eterna disidente y marginal. Este doble y contradictorio estatuto permite considerarla como la representante más original del núcleo del nouveau roman.
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Conferencia y debate posterior con Simon Zabell, artista y profesor de Bellas Artes en la Universidad de Granada, uno de los autores más reconocidos dentro del panorama contemporáneo español. La sesión versó sobre el proceso creativo de su último proyecto, que da título a la conferencia, centrándose en el cruce disciplinar que en éste se produce entre la pintura y la literatura, particularmente la última novela de Joseph Conrad. De este forma, se proyectó durante la sesión en primicia un adelanto de montaje del documental que Zabell ha rodado entre Tahiti y Granada acerca del proyecto. Zabell, Después de estudiar pintura y escultura en esta Universidad, desarrolló un interés en los efectos de la performance y la narrativa sobre la pintura y la instalación, que le llevó a estudiar escenografía con Philip Prowse en Slade School of Fine Art de Londres. Desde entonces ha utilizado principalmente la pintura, la escultura y la instalación para desarrollar proyectos con un fuerte contenido narrativo y escenográfico, y que a menudo se basan en obras de creadores previos, como el autor radical francés Alain Robbe-Grillet y el compositor Karlheinz Stockhausen. Estos proyectos se han expuesto ampliamente en salas del Reino Unido, España y Suecia, y en numerosas ferias de arte como SCOPE LONDON, PINTA NY, ARCO, BALELATINA BASEL etc. El proyecto actual de Zabell, Our Men in Tahiti, se basa en la novela The Ebb Tide (Bajamar) de Robert Louis Stevenson y está acompañado de una película documental que saldrá a la luz en 2016.