988 resultados para Regional Analgesia
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Although it is clear that regional analgesia in association with general anaesthesia substantially reduces postoperative pain, the benefits in terms of overall perioperative outcome are less evident. The aim of this nonsystematic review was to evaluate the effect on middle and long-term postoperative outcomes of adding regional perioperative analgesia to general anaesthesia. This study is based mostly on systematic reviews, large epidemiological studies and large or high-quality randomized controlled trials that were selected and evaluated by the author. The endpoints that are discussed are perioperative morbidity, cancer recurrence, chronic postoperative pain, postoperative rehabilitation and risk of neurologic damage. Epidural analgesia may have a favourable but very small effect on perioperative morbidity. The influence of other regional anaesthetic techniques on perioperative morbidity is unclear. Preliminary data suggest that regional analgesia might reduce the incidence of cancer recurrence. However, adequately powered randomized controlled trials are lacking. The sparse literature available suggests that regional analgesia may prevent the development of chronic postoperative pain. Rehabilitation in the immediate postoperative period is possibly improved, but the advantages in the long term remain unclear. Permanent neurological damage is extremely rare. In conclusion, while the risk of permanent neurologic damage remains extremely low, evidence suggests that regional analgesia may improve relevant outcomes in the long term. The effect size is mostly small or the number-needed-to-treat is high. However, considering the importance of the outcomes of interest, even minor improvement probably has substantial clinical relevance.
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JUSTIFICATIVA E OBJETIVOS: Durante o processo de parturição, diversos fatores alteram a intensidade da dor, tais como a paridade, a rotura de membranas corioamnióticas, a dilatação cervical, bem como influências culturais e ambientais. Assim, os objetivos deste estudo foram verificar o número de requisições de analgesia regional e o grau de dilatação cervical no momento da solicitação da analgesia pelas parturientes com membranas corioamnióticas íntegras e aquelas com corioamniorrexe. MÉTODO: Trata-se de um estudo descritivo e retrospectivo, com análise de 208 prontuários de parturientes primigestas, 129 com membranas corioamnióticas íntegras e 79 com corioamniorrexe, assistidas no Centro da Saúde da Mulher de Ribeirão Preto, SP, no período de novembro de 2008 a maio de 2009. Para análise estatística dos dados foram utilizados os testes de Mann-Whitney e o Qui-quadrado, com nível de significância p < 0,05 e intervalo de confiança de 95%. RESULTADOS: Foi solicitada analgesia regional por 87,9% das parturientes selecionadas para esta pesquisa. A média da dilatação cervical para as pacientes com membranas íntegras foi de 6,26 ± 1,67 cm e para aquelas com corioamniorrexe foi com dilatação de 6,11 ± 1,75 cm, não havendo diferença significativa entre esses dois grupos de parturientes (p = 0,12). Em relação ao tipo de analgesia, houve predomínio do duplo bloqueio, sem diferenças significativas entre os dois grupos avaliados (p = 0,84). CONCLUSÃO: A maioria das parturientes deste estudo solicitou analgesia regional tipo duplo bloqueio com em média 6 cm, de acordo com a dilatação cervical, não havendo diferença entre primigestas com membranas corioamnióticas rotas e íntegras.
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El presente trabajo es un capítulo de libro titulado “Anestesia Regional y Periférica Guiada por Ultrasonido en el Paciente Crítico” que será incluido en la última edición del libro “Manual de Ultrasonido en Terapia Intensiva y Emergencias” cuyo editor es el Doctor José de Jesús Rincón Salas y que será publicado por la Editorial Prado de México para distribución latinoamericana desde dicho país. Por solicitud del editor y teniendo en cuenta el enfoque del libro, el presente trabajo está dirigido a estudiantes de formación, médicos graduados y especialistas en las áreas de cuidado intensivo, anestesiología, dolor, medicina interna y medicina de urgencias. Tiene como propósito empapar de conocimientos necesarios y prácticos en anestesia regional a personas que usualmente no han tenido contacto con la anestesia regional, pues desafortunadamente sólo en los últimos años ha sido posible que la anestesia regional haya comenzado a salir de las salas de cirugía, ámbito donde ha estado confinada tradicionalmente. El lenguaje utilizado es sencillo y el capítulo ha sido escrito para que sea fácil de leer y consultar, dejando así mensajes muy claros sobre la utilidad, viabilidad e implicaciones que tiene el uso de anestesia regional guiada por ultrasonido en cuidado intensivo. Los autores esperamos que de esta manera, el presente capítulo permita continuar superando los obstáculos que se interponen entre los invaluables beneficios de la anestesia regional y los pacientes de cuidado intensivo que necesitan de ella.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Introduction & Objectifs : Pour assurer l’analgésie postopératoire, l’anesthésiste dispose, en plus des différentes classes de médicaments administrés par voie orale ou intraveineuse, de diverses techniques pour bloquer l’influx nerveux douloureux en administrant les anesthésiques locaux (AL) de manière centrale ou périphérique. La ropivacaïne (ROP), un AL à longue durée d’action, est un médicament de première intention partout dans le monde, en raison de sa grande efficacité et de son faible risque de toxicité. Contrairement à certains pays, la ROP n'est toujours pas indiquée au Canada pour la rachianesthésie (bloc central) en raison d'un manque de données probantes. Jusqu'à présent, les efforts de recherche ont essentiellement porté sur la sécurité ainsi que sur la durée d’action du médicament lorsqu’administré par voie spinale. De plus, les doses optimales de ROP pour l’anesthésie régionale périphérique ne sont pas encore précisément connues. La posologie devrait être adaptée au site d’administration ainsi qu’à l’intensité et la durée du stimulus produit par la chirurgie. Ultimement, cela permettrait aux cliniciens d’identifier le régime optimal en fonction des facteurs démographiques qui pourraient affecter la pharmacocinétique (PK) et la pharmacodynamie (PD) de l’AL (objectif global de ces travaux). Validation de la Méthode Analytique Manuscrit 1 : Une méthode analytique spécifique et sensible permettant de déterminer les concentrations plasmatiques de ROP a d’abord été optimisée et validée. Validation du Biomarqueur Manuscrit 2 : Nous avons ensuite mis au point et évalué la fiabilité d’une méthode quantitative basée sur la mesure du seuil de perception sensorielle (CPT) chez le volontaire sain. Ce test nécessite l’application d’un courant électrique transcutané qui augmente graduellement et qui, selon la fréquence choisie, est capable de stimuler spécifiquement les fibres nerveuses impliquées dans le cheminement de l’influx nerveux douloureux. Les résultats obtenus chez les volontaires sains indiquent que la mesure CPT est fiable, reproductible et permet de suivre l’évolution temporelle du bloc sensitif. Études cliniques Manuscrit 3 : Nous avons ensuite caractérisé, pendant plus de 72 h, l’absorption systémique de la ROP lorsqu’administrée pour un bloc du nerf fémoral chez 19 patients subissant une chirurgie du genou. Le modèle PK populationnel utilisé pour analyser nos résultats comporte une absorption biphasique durant laquelle une fraction de la dose administrée pénètre rapidement (temps d’absorption moyen : 27 min, IC % 19 – 38 min) dans le flux sanguin systémique pendant que l’autre partie, en provenance du site de dépôt, est redistribuée beaucoup plus lentement (demi-vie (T1/2) : 2.6 h, IC % 1.6 – 4.3 h) vers la circulation systémique. Une relation statistiquement significative entre l’âge de nos patients et la redistribution de l’AL suggère que la perméabilité tissulaire est augmentée avec l’âge. Manuscrit 4 : Une analyse PK-PD du comportement sensitif du bloc fémoral (CPT) a été effectuée. Le modèle développé a estimé à 20.2 ± 10.1 mg la quantité de ROP nécessaire au site d’action pour produire 90 % de l’effet maximal (AE90). À 2 X la AE90, le modèle prédit un début d’action de 23.4 ± 12.5 min et une durée de 22.9 ± 5.3 h. Il s’agit de la première étude ayant caractérisé le comportement sensitif d’un bloc nerveux périphérique. Manuscrit 5 : La troisième et dernière étude clinique a été conduite chez les patients qui devaient subir une chirurgie du genou sous rachianesthésie. Tout comme pour le bloc du nerf fémoral, le modèle PK le plus approprié pour nos données suggère que l’absorption systémique de la ROP à partir du liquide céphalo-rachidien est biphasique; c.à.d. une phase initiale (T1/2 : 49 min, IC %: 24 – 77 min) suivie (délai: 18 ± 2 min) d'une phase légèrement plus lente (T1/2 : 66 min, IC %: 36 – 97 min). L’effet maximal a été observé beaucoup plus rapidement, soit aux environs de 12.6 ± 4.9 min, avant de revenir aux valeurs de base 210 ± 55 min suivant l’administration de l’agent. Ces données ont permis d’estimer une AE50 de 7.3 ± 2.3 mg pour l'administration spinale. Conclusion : En somme, ces modèles peuvent être utilisés pour prédire l’évolution temporelle du bloc sensitif de l’anesthésie rachidienne et périphérique (fémorale), et par conséquent, optimiser l’utilisation clinique de la ROP en fonction des besoins des cliniciens, notamment en ce qui a trait à l’âge du patient.
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El dolor oncológico representa una de las principales causas de dolor crónico, siendo los opioides la primera línea de manejo, sin embargo 10% de los pacientes requieren estrategias analgésicas multimodales. La eficacia analgésica de la clonidina como coadyuvante ha sido demostrada para diversos modelos de dolor. Sin embargo no hay revisiones sistemáticas que validen su eficacia y seguridad en dolor crónico oncológico. Se realizó una revisión sistemática de la literatura a noviembre 26 de 2012, encontrando 15 trabajos (12 reportes de caso y tres ensayos clínicos controlados), n=138 pacientes. La intervención tuvo una eficacia entre 44,7 y 100%, mostrando mayor beneficio en pacientes con componente de dolor neuropático. La adición de clonidina fue bien tolerada, siendo la sedación y la disminución en tensión arterial y frecuencia cardiaca los efectos secundarios más frecuentes, con relación dosis dependiente, de resolución espontánea y en ninguno de los casos se documentó lesión secundaria en los pacientes. La vía de administración más frecuente fue neuroaxial (intratecal y peridural). La revisión sistemática no fue susceptible de metaanálisis por la heterogeneidad clínica de los estudios. Los resultados obtenidos sugieren que la adición de clonidina puede ser una opción terapeútica eficaz y segura en los pacientes con dolor crónico oncológico severo refractario a opioides a altas dosis asociado o no a infusión neuroaxial de anestésico local, en especial en presencia de componente neuropático. Sin embargo se identificó la necesidad de un mayor número de ensayos clínicos controlados aleatorios que permitan establecer conclusiones definitivas.
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A chronic pain syndrome, similar to the complex regional pain syndrome (CRPS) described in human beings, was diagnosed in a cow with persisting severe pelvic limb lameness. Diagnosis was based on the disproportionate relationship between the severity and duration of pain and the lesion, the failure of conventional analgesic and surgical therapy and the presence of characteristic clinical features. Multimodal therapy, i.e. a mixture of methadone, ketamine and bupivacaine was administered continuously for 17 days via an extradural catheter to counteract nociceptive hypersensitization. Doses were adjusted daily after assessing the effect, using a composite pain score. Physiotherapy was also performed. The diagnosis of CRPS in cattle is unusual. In this case, treatment was successful and the cow was discharged mildly lame and in improving physical condition. Long-term extradural analgesia proved to be safe and effective in the treatment of this syndrome, which was nonresponsive to conventional therapy.
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Introduction: Assessment of expertise in regional anesthesia techniques is traditionally based upon quota fulfillment of procedures during training. Validation of practitioner proficiency in performing procedures in surgical specialties has moved from simple measurement of technical skills to evaluation of global patient outcomes. Complete absence of pain as a result of nerve blockade is the most important clinical endpoint but patient, technical and procedural factors influence results. The purpose of this study was to measure the postoperative pain scores and associated analgesic medication requirements for patients administered sciatic nerve blockade by nurse anesthetists and determine patient or procedural factors that influenced this outcome. Methods: Either nerve stimulator or ultrasound guided sciatic nerve blockade was administered by nurse anesthetists under the supervision of regional anesthesia faculty. Patient demographic data that was collected included gender, body mass index, surgical procedure, and pre-existing chronic pain with associated opioid use. Patient self-reported pain scores and opioid analgesic dosages in the preoperative, intraoperative, immediate postoperative and 24 hour post procedure intervals were recorded. Results: 22 nurse anesthetists administered sciatic nerve blockade to 48 patients during a 36 month interval. Transition from a nerve stimulator to ultrasound guided sciatic nerve block technique resulted in lower mean pain scores. Patients reporting chronic opioid use were observed to have elevated perioperative opioid analgesic requirements and pain scores compared to opioid naïve patients. Conclusion: Effective analgesia is a prime measure for assessing expertise in regional anesthesia and continuous evaluation of this outcome in everyday practice is proposed.
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Background: Australian and New Zealand College of Anaesthetists’ guidelines for procedural sedation and analgesia (PSA) are intended to apply across all clinical settings. As nurses are frequently responsible for patient care during PSA in the cardiac catheterisation laboratory (CCL), their perspectives can provide insight into the effectiveness of these guidelines within this particular setting. Methods: A cross-sectional sampling design was used to recruit nurses from urban, regional, public and private CCLs across Australia and New Zealand. Semi-structured interviews were conducted, digitally recorded and transcribed. Data were analysed using thematic analysis. Findings: Twenty-three nurses from 16 CCLs across four states in Australia and New Zealand participated. Most held senior positions (managers=14; educators=5) and CCL experience ranged from 4 to 26 years (mean 11). Participants were concerned about the legitimacy of their practice as they administered PSA outside of guideline recommendations and deemed present education and training as deficient. Participants noted also that guideline recommendations were sometimes not adhered to as it was difficult to balance the increasingly complex PSA requirements of their case-mix with limited access to anaesthetists while trying not to delay procedures. Conclusion: Findings suggest that application of current PSA guidelines may be impractical for CCL nurses and, as a consequence, they are often not followed. Participants were concerned about risks to patient safety as they felt education and training was not commensurable with practice requirements. The findings suggest existing guidelines should be reviewed or new guidelines developed which address nursing practice, education and competency standards for PSA in the CCL
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Background An important potential clinical benefit of using capnography monitoring during procedural sedation and analgesia (PSA) is that this technology could improve patient safety by reducing serious sedation-related adverse events, such as death or permanent neurological disability, which are caused by inadequate oxygenation. The hypothesis is that earlier identification of respiratory depression using capnography leads to a change in clinical management that prevents hypoxaemia. As inadequate oxygenation/ventilation is the most common reason for injury associated with PSA, reducing episodes of hypoxaemia would indicate that using capnography would be safer than relying on standard monitoring alone. Methods/design The primary objective of this review is to determine whether using capnography during PSA in the hospital setting improves patient safety by reducing the risk of hypoxaemia (defined as an arterial partial pressure of oxygen below 60 mmHg or percentage of haemoglobin that is saturated with oxygen [SpO2] less than 90 %). A secondary objective of this review is to determine whether changes in the clinical management of sedated patients are the mediating factor for any observed impact of capnography monitoring on the rate of hypoxaemia. The potential adverse effect of capnography monitoring that will be examined in this review is the rate of inadequate sedation. Electronic databases will be searched for parallel, crossover and cluster randomised controlled trials comparing the use of capnography with standard monitoring alone during PSA that is administered in the hospital setting. Studies that included patients who received general or regional anaesthesia will be excluded from the review. Non-randomised studies will be excluded. Screening, study selection and data extraction will be performed by two reviewers. The Cochrane risk of bias tool will be used to assign a judgment about the degree of risk. Meta-analyses will be performed if suitable. Discussion This review will synthesise the evidence on an important potential clinical benefit of capnography monitoring during PSA within hospital settings. Systematic review registration: PROSPERO CRD42015023740
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Introducción: el dolor postoperatorio supone un reto para todo anestesiólogo, en los últimos años se ha propuesto el Gabapentin preoperatorio como una buena opción paraanalgesia postoperatoria sin efectos secundarios. Metodología: se realizó una revisión sistemática incluyendo ensayos clínicos controlados realizados en pacientes adultos sometidos a diferentes tipos de cirugía. Se hizo una búsqueda en las bases de datos (PUBMED, EMBASE, LILACS, SCIELO), utilizando los términos “gabapentin”, “postoperative pain”, se extrajeron datos con los estudios incluidos. Resultados: se encontraron un total de 155 artículos, 16 de ellos cumplieron criterios de inclusión. Todos fueron evidencia tipo Ib. Las dosis utilizadas de gabapentin estuvieron entre 300 mg y 1200 mg y el intervalo de administración se encontró entre dos y una hora antes de cirugía, Hay una diferencia estadísticamente significativa en el manejo del dolor con el uso de Gabapentin preoperatorio (p<0,01) comparado contra placebo evaluado en el postoperatorio inmediato, a las 12 horas y 24 horas; así como tendencia a menor uso de opioides y menor náusea y vómito postoperatorio, Discusión: los resultados concuerdan con otros estudios similares realizados previamente y soportan el efecto del Gabapentin como analgésico directo y no solo como coadyuvante del manejo del dolor. Aún falta determinar cuál es la dosis más efectiva, aunque hasta la fecha el gabapentin supone menos efectos adversos, igualmente falta determinar si el efecto de menor nausea y vomito postoperatorio se relaciona con un efecto directo del gabapentin o por ahorro en consumo de opioides.Metodología Se realizó una revisión sistemática incluyendo ensayos clínicos controlados realizados en pacientes adultos sometidos a diferentes tipos de cirugía. Se hizo una búsqueda en las bases de datos (PUBMED, EMBASE, LILACS, SCIELO), utilizando los términos “gabapentin”, “postoperative pain”, se extrajeron datos con los estudios incluidos. ResultadosSe encontraron un total de 155 artículos, 16 de ellos cumplieron criterios de inclusión. Todos fueron evidencia tipo Ib. Las dosis utilizadas de gabapentin estuvieron entre 300 mg y 1200 mg y el intervalo de administración se encontró entre dos y una hora antes de cirugía, Hay una diferencia estadísticamente significativa en el manejo del dolor con el uso de Gabapentin preoperatorio (p<0,01) comparado contra placebo evaluado en el postoperatorio inmediato, a las 12 horas y 24 horas; así como tendencia a menor uso de opioides y menor náusea y vómito postoperatorio, DiscusiónLos resultados concuerdan con otros estudios similares realizados previamente y soportan el efecto del Gabapentin como analgésico directo y no solo como coadyuvante del manejo del dolor. Aún falta determinar cual es la dosis más efectiva, aunque hasta la fecha el gabapentin supone menos efectos adversos, igualmente falta determinar si el efecto de menor nausea y vomito postoperatorio se relaciona con un efecto directo del gabapentin o por ahorro en consumo de opioides.
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Las cirugías reconstructivas múltiples de miembros inferiores son intervenciones quirúrgicas que implican un difícil manejo analgésico en el postoperatorio, actualmente la técnica analgésica usada es la analgesia peridural; sin embargo los efectos adversos asociados a esta no la hacen una técnica ideal para manejo de dolor. Los bloqueos de nervio periférico han aparecido como una alternativa para el manejo del dolor; pero no se ha difundido ampliamente su uso. Se pretende evaluar la disminución de efectos adversos con el uso de bloqueos de nervio periférico sobre la analgesia epidural. Este estudio piloto inicial se realizo para verificar efectividad técnicas a usar y problemas que se pudieran presentar. Se aplico el protocolo en 23 pacientes que fueron llevados a cirugía de miembros inferiores, se dividieron en 2 grupos 11 recibieron bloqueos de nervio periférico y 12 analgesia epidural. Se les realizo seguimiento por 48 horas y se evaluó el control del dolor, consumo de opioides y efectos adversos. El tiempo de colocación del bloqueo fue similar en ambos grupos, el grupo de bloqueos presento menos episodios de dolor y menos episodios de dolor severo. No se presento retención urinaria en ningún paciente pero en el grupo de epidural se presento mayor incidencia de nausea y vomito (60% vs 45%). Se encontró que los bloqueos de nervio periférico son una adecuada opción para el manejo del dolor en este tipo de cirugías; y al parecer disminuye la incidencia de eventos adversos asociados a la analgesia epidural.
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JUSTIFICATIVA E OBJETIVO: Cirurgias artroscópicas do ombro cursam com intensa dor pós-operatória. Diversas técnicas analgésicas têm sido preconizadas. O objetivo deste estudo foi comparar o bloqueio dos nervos supraescapular e axilar nas cirurgias artroscópicas de ombro com a abordagem interescalênica do plexo braquial. MÉTODO: Sessenta e oito pacientes foram alocados em dois grupos de 34, de acordo com a técnica utilizada: grupo interescalênico (GI) e grupo seletivo (GS), sendo ambas as abordagens realizadas com neuroestimulador. No GI, após resposta motora adequada foram injetados 30 mL de levopubivacaína em excesso enantiomérico de 50% a 0,33% com adrenalina 1:200.000. No GS, após resposta motora do nervo supraescapular e axilar, foram injetados 15 mL da mesma substância em cada nervo. em seguida, realizada anestesia geral. Variáveis avaliadas: tempo para realização dos bloqueios, analgesia, consumo de opioide, bloqueio motor, estabilidade cardiocirculatória, satisfação e aceitabilidade pelo paciente. RESULTADOS: Tempo para execução do bloqueio interescalênico foi significativamente menor que para realização do bloqueio seletivo. Analgesia foi significativamente maior no pós-operatório imediato no GI e no pós-operatório tardio no GS. Consumo de morfina foi significativamente maior na primeira hora no GS. Bloqueio motor foi significativamente menor no GS. Estabilidade cardiocirculatória, satisfação e aceitabilidade da técnica pelo paciente não diferiram entre os grupos. Ocorreu uma falha no GI e duas no GS. CONCLUSÕES: Ambas as técnicas são seguras, eficazes com mesmo grau de satisfação e aceitabilidade. O bloqueio seletivo de ambos os nervos apresentou analgesia satisfatória, com a vantagem de proporcionar bloqueio motor restrito ao ombro.
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Background and Objectives - Bupivacaine has been a very useful local anesthetic in Obstetrics in spite of its potential cardiotoxicity. In obstetric analgesia, ropivacaine is preferred to bupivacaine, and levobupivacaine is less cardiotoxic than the racemic mixture. The aim of this study was to compare the maternal-fetal effects of bupivacaine, ropivacaine and levobupivacaine in obstetric analgesia and anesthesia. Methods - Participated in this study 33 term pregnant women, physical status ASA I and II submitted to epidural anesthesia who received 18.75 mg (in 15 ml completed with 9% saline) of: GI - bupivacaine, GII - ropivacaine, and GIII - levobupivacaine. Pain intensity, sensory block level, onset time, quality of analgesia, motor block intensity, analgesia duration and time for labor resolution were evaluated. For vaginal delivery, 40 mg (in 8 ml of saline) of the same local anesthetic were used; for cesarean delivery, the dose has been mg in 20 ml solution. Newborns of these mothers were evaluated through the Apgar score in minutes 1, 5 and 10, and through the Amiel-Tison method (neurologic and adaptative capacity score - NACS) at 30 min, 2 h, and 24 h. Results - There were no significant statistical differences among groups as to sensory block level, onset time, quality of analgesia, labor analgesia duration, time for labor resolution, and Apgar scores at minute 1. Ast to motor block, GIII > GII and GI was intermediary. In relation to pain intensity, there was a trend for GI > GIII. For Apgar scores in minute 5, GII > (GI = GIII), and in minute 10 (GI = GII) < GIII. NACS at 2 h showed, GII > GI > GIII, and at 24 h, GII > GIII > GI. Conclusions - Ropivacaine has relieved maternal pain with less motor block. Newborns of GII mothers (ropivacaine) showed the best Apgar and NACS scores.
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A major concern with the use of continuous peripheral nerve block is the difficulty encountered in placing the catheters close enough to the nerves to accomplish effective analgesia. The aim of this study was to investigate if a self-coiling catheter would remain close to the sciatic nerve once introduced through needles placed under ultrasound guidance and if contrast dye injected through the pigtail catheter made direct contact to the nerves.