Adenanthera pavonina TRYPSIN INHIBITOR RETARD GROWTH OF Anagasta kuehniella (LEPIDOPTERA: PYRALIDAE)

Anagasta kuehniella is a polyphagous pest that feeds on a wide variety of stored products. The possible roles suggested for seed proteinase inhibitors include the function as a part of the plant defensive system against pest via inhibition of their proteolytic enzymes. In this study, a trypsin inhibitor (ApTI) was purified from Adenanthera pavonina seed and was tested for insect growth regulatory effect. The chronic ingestion of ApTI did result in a significant reduction in larval survival and weight. Larval and pupal developmental time of larvae fed on ApTI diet at 1% was significantly longer; the larval period was extended by 5 days and pupal period was 10 days longer, therefore delaying by up to 20 days and resulting in a prolonged period of development from larva to adult. As a result, the ApTI diet emergence rate was only 28% while the emergence rate of control larvae was 80%. The percentage of surviving adults (%S) decreased to 62%. The fourth instar larvae reared on a diet containing 1% ApTI showed a decrease in tryptic activity of gut and that no novel proteolytic form resistant to ApTI was induced. In addition, the tryptic activity in ApTI -fed larvae was sensitive to ApTI. These results suggest that ApTI have a potential antimetabolic effect when ingested by A. kuehniella. (C) 2010 Wiley Periodicals, Inc.

Evaluation of the Adenanthera pavonina seed proteinase inhibitor (ApTI) as a bioinsecticidal tool with potential for the control of Diatraea saccharalis

Diatraea saccharalis, is a major sugarcane pest, causing damage to the stalks of sugarcane plants. In this study, a trypsin inhibitor (ApTI) was purified from Adenanthera pavonina seeds and was tested for its insect growth regulatory effect. ApTI showed a dose-dependent effect on average larval weight and survival. 0.1% ApTI produced approximately 67% and 50% decreases in weight and survival larval, respectively. The results from dietary utilization experiments with D. saccharalis larvae showed a reduction in the efficiency of conversion of ingested food and digested food, and an increase in approximate digestibility and metabolic cost. The level of trypsin was significantly decreased (ca. 55%) in the midgut of larvae reared on a diet containing 0.05% ApTI and the trypsin activity in ApTI-fed larvae demonstrated sensitivity to ApTI. The action of ApTI on the development of D. saccharalis larvae shows that this protein may have great toxic potential. (C) 2011 Elsevier Ltd. All rights reserved.

Amniotic fluid insulin-like growth factor binding-protein 3 concentration as early indicator of fetal growth restriction

Rapport de synthèse : Introduction : La croissance foetale infra-utérine dépend d'un grand nombre de facteurs maternels, placentaires et foetaux. Une inadéquation d'un ou plusieurs de ces facteurs peut induire un retard de croissance infra-utérin (RCIU) ou au contraire une macrosomie. Les principales causes de RCIU comprennent les infections maternelles, l'éclampsie, les cardiovasculopathies maternelles, la toxicomanie, les malformations foetales et les insuffisances placentaires. Les facteurs endocriniens constituent un petit pourcentage des causes de RCIU, mais méritent que l'on s'y intéresse de plus près. Les facteurs hormonaux les plus importants pour la croissance fatale sont l'insuline et les insuline-like growth factors (IGFs) et non l'hormone de croissance (GH) qui joue un rôle majeur dans la croissance postnatale. Notre attention s'est portée sur IGF-1 qui joue un rôle important dans la croissance intrautérine. Sa biodisponibilité dépend de plusieurs protéines plasmatiques, les IGF-binding proteins (IGFBP 1 à 9). IGFBP-3 est la principale de ces IGFBPs, autant d'un point de vue quantitatif que fonctionnel. Nous avons cherché à déterminer si les concentrations d'IGF-1 et d'IGFBP-3 dans le liquide amniotique au début du deuxième trimestre étaient prédictives de la croissance infra-utérine. Les gènes codant pour IGF-1 et IGFBP-3 contenant certaines séquences polymorphiques, nous avons également étudié leur influence sur la croissance foetale. L'analyse du liquide amniotique présente l'avantage de pouvoir être effectuée dès la 14ème semaine d'aménorrhée alors que la biométrie foetale échographique ne permet pas à ce stade de déceler des anomalies de la croissance infra-utérine. Méthode : Nous avons analysé des échantillons de liquide amniotique prélevés entre la 14ème et la 18ème semaine de grossesse chez 196 patientes. Les concentrations d'IGF-1 et d'IGFBP-3 ont été dosées par ELISA, les polymorphismes analysés par PCR. Ces résultats ont été ensuite analysés en fonction du poids de naissance des nouveaux-nés, répartis en trois groupes normal pour l'âge gestationnel (AGA), petit pour l'âge gestationnel (SGA) et grand pour l'âge gestationnel (LGA). Résultats : Les concentrations d'IGFBP3 dans le liquide amniotique sont significativement plus élevées (p = 0.030) dans le groupe SGA par rapport au groupe AGA, d'autant plus quand les taux sont ajustés en fonction de paramètres tels que l'âge gestationnel lors de l'amniocentèse (ANCOVA analysis : p = 0.009). La distribution du polymorphisme VNTR (variable number of tandem repeat) dans la région promotrice d'IGF-1 au sein du groupe SGA est significativement différente de celle du groupe AGA (p = 0.029). En effet, la fréquence de l'association allélique 19CA/20CA est diminuée dans le groupe SGA. Nous n'avons pas identifié de différence de distribution des séquences polymorphiques d'IGFBP-3 entre les différents groupes. Conclusion : Une concentration élevée d'IGFBP-3 dans le liquide amniotique au début du deuxième trimestre est associée à un risque plus élevé de retard de croissance alors que l'association allélique 19CA/20CA dans la région polymorphique IGF-1 VNTR est un facteur protecteur.

EFFECT OF TRINEXAPAC-ETHYL ON GROWTH AND YIELD OF SUGARCANE

ABSTRACT Growth regulators can be used to further retard or inhibit vegetative growth. In this sense, the objective of this study was to determine the effects of age and number of trinexapac-ethyl applications on the growth and yield of sugarcane. The experiment was in a randomized complete block design with four replications. The treatments were in a 3 x 2 + 2 factorial arrangement, where factor A corresponded to the application times of the plant growth regulator (120, 200 and 240 days after bud burst (DAB) of sugarcane) and factor B to the number of applications (one or two applications). In addition, two controls (one with three applications and another application without the regulator) were added. The application of trinexapac-ethyl decreased the number and the distance between buds, height, root volume and sugarcane yield. The sequential application (2 or 3 times) induced an increase in stem diameter and three applications of the product increased the number of plant tillers. The use of growth regulators applied at 240 DAB has reduced plant height, however without changing the number of buds. It can be concluded that trinexapac-ethyl changes sugarcane growth and yield, regardless of season and number of applications.

L’utilisation des corticostéroïdes et le retard de croissance linéaire chez les enfants atteints de la maladie de Crohn

La maladie de Crohn (MC) est une maladie chronique et récidivante du tractus gastro-intestinal. Dans la population pédiatrique, elle est très souvent accompagnée d'un retard de croissance (jusqu'à 88%). La MC se manifeste souvent autour de la puberté d’où l’importance du retard de croissance linéaire à ce stade crucial du développement de l’enfant. Une des questions essentielles est de savoir si le retard de croissance peut persister à l'âge adulte. La littérature est inconsistante sur ce point. En ce qui concerne les facteurs de risque potentiels, les corticostéroïdes (CS) qui sont la première ligne de traitement pour la majorité des patients, ont été largement impliqués. Bien qu'il existe des explications démontrant le mécanisme d’action des corticostéroïdes sur la croissance linéaire, les études cliniques impliquant l'utilisation CS soit à un retard de croissance temporaire ou permanent restent controverser et limiter. Nous avons examiné cette relation importante dans notre étude présente. Les principaux objectifs de l'étude sont les suivants: 1. D’évaluer la fréquence du retard de croissance chez le jeune atteint de la maladie de Crohn et qui a reçu des corticostéroïdes (CS) au cours de son traitement et 2. D’évaluer les facteurs de risque associés au retard de croissance temporaire ou permanent dans cette population. Méthodes : Afin d’atteindre nos objectifs, on a mené une étude de cohorte rétrospective. Cette cohorte comprend des patients qui ont été diagnostiqués de la MC (avant l’âge de 18 ans) à la clinique de gastroentérologie du Centre Hospitalier-Universitaire Sainte-Justine (CHUSJ) à Montréal. Ces patients ont tous reçus des CS en traitement initial(en excluant les rechutes). Les dossiers médicaux des patients ont été examinés de façon prospective afin de d’acquérir des informations sur : 1. La taille à chaque visite médicale; 2. La durée du traitement des CS; 3. L’administration de médication concomitante; 4. D’autres variables cliniques telles que l’âge au diagnostic, le sexe, la localisation et le comportement de la maladie. Pour ceux qui avaient atteints l’âge de 18 ans et qui ne fréquentaient plus la clinique, leur taille finale a été obtenue en les contactant par téléphone. Leurs parents ont aussi été contactés afin d’obtenir leur taille. On a converti nos résultats en scores de Z ou scores-Z ajustée pour l’âge et le sexe en utilisant la classification 2007 de l’Organisation Mondiale de la Santé(OMS). On a aussi calculé les tailles adultes cibles avec les données que nous avons récoltées. La raison de tout cela était de rendre nos résultats comparables aux études antérieures et renforcer ainsi la validité de nos trouvailles. Les enfants avec un score de Z<-1.64 (qui correspond au 5ème percentile) ont été considérés comme ayant un retard de croissance temporaire. Les scores-Z pour les tailles adultes finales ont été calculés en utilisant les mêmes normes de référence selon le sexe pour les personnes âgées de 17,9 ans. Un z-score <-1,64 a aussi été utilisé pour classer les individus avec un retard permanent. Ajouter à cela, ceux ayant une taille adulte finale <8,5cm de leur taille adulte cible (estimée à partir des hauteurs parentales) étaient considérés comme ayant un retard de croissance permanent. Des analyses de régression logistiques ont été faites pour examiner les facteurs associés à un retard de croissance temporaire et/ou permanent. Résultats : 221 patients ont été retenus. L’âge moyen de diagnostic était de 12.4 années et l’âge moyen de prise de CS était de 12.7 années. La répartition par sexe avait une légère prédominance masculine 54.3% contre 45.7% pour le sexe féminin. La majorité des patients étaient d’âge pubère (62.9%). On a surtout des patients avec une prédominance de maladie de type inflammatoire (89.1%) et localisé au niveau de l’iléo-colon (60.2%). Presque tous avaient pris une médication concomitante (88.7%) et n’avaient subi aucune chirurgie (95.9%). 19% des patients avaient un retard de croissance temporaire. L'analyse univariée a suggéré que le plus jeune âge au moment du diagnostic de la maladie et l'âge précoce à l'administration de stéroïdes étaient associés à un risque accru de retard de croissance temporaire. L’administration de CS à un jeune âge a été la seule variable (dans l’analyse multivariée) associée à un risque élevé de retard de croissance temporaire. En comparant à ceux ayant reçu des CS après l’âge de 14 ans (tertile 3), l’administration de CS à un âge précoce est fortement associé à un risque de retard de croissance (<11.6ans, OR: 6.9, 95% CI: 2.2-21.6, p-value: 0.001; 11.8ans-14ans, OR: 5.4, 95% CI: 1.7-17.1, p-value: 0.004). 8 (5.8%) sur 137 des sujets avaient une taille adulte finale <8,5cm de leur taille adulte cible. Dans l’analyse de régression linéaire multivariée, seul la variable de la taille adulte cible était associé à un changement de la taille adulte finale. Conclusion : Nos résultats suggèrent que la fréquence du retard de croissance permanent chez les enfants atteint de la MC est très faible. Un retard temporaire ou permanent de la croissance n’ont pas été associés à une augmentation de la quantité de CS administrée bien que l'administration de CS à un âge précoce soit associée à un retard de croissance temporaire.

Study of the evolution of the placenta and fetal pancreas in the pathophysiology of growth retardation intrauterine due to restricted maternal diet

CONTEXTO: O retardo do crescimento intra-uterino (RCIU) continua sendo importante problema em perinatologia neste final de século. A natureza do agente etiológico, o período da gestação em que ocorreu o insulto e a sua duração influenciam o tipo de RCIU. OBJETIVO: Estudar a fisiopatologia do retardo de crescimento intrauterino (RCIU) em ratas, decorrente da restrição protéico-calórica materna, em relação à evolução do pâncreas fetal e placenta entre o 18o e 21o dias de prenhez. TIPO DE ESTUDO: Ensaio clínico randomizado em animal de laboratório. PARTICIPANTES: 41 ratas prenhes, normoglicêmicas, da raça Wistar. INTERVENÇÃO: Constituíram-se seis grupos experimentais: controle, com dieta ad libitum e cesárea, respectivamente, no 18º e 21º dias; grupos dieta restritiva a 25% introduzida no 1o dia da prenhez e cesárea no 18o e 21o dias; grupos com a mesma restrição, porém iniciada no 3o dia, com cesárea no 18o e 21o dias. VARIÁVEIS ESTUDADAS: Os recém-nascidos foram classificados, em relação à média mais ou menos um desvio padrão do grupo controle, em peso pequeno (PIP), adequado (AIP) e grande (GIP) para a idade de prenhez; as placentas foram pesadas e processadas para estudo histopatológico, incluindo morfologia e histoquímica, e os pâncreas fetais, para estudo morfológico. RESULTADOS: A desnutrição protéico-calórica materna causou RCIU após o 18o dia da prenhez. Antes desse período não ocorreu RCIU, porque a desnutrição materna diminuiu o número da prole e a placenta tornou-se vicariante. A restrição alimentar não interferiu com a morfologia do pâncreas fetal, e o estudo imunohistoquímico da placenta mostrou que, quando a restrição é introduzida no 1o dia de prenhez, os estoques de glicogênio também não sofrem alterações, diminuindo entre o 18o e 21o dias, como na prenhez normal. A restrição no 3o dia cursou com baixas concentrações de glicogênio placentário no 18o dia e desaparecimento no 21o dia. CONCLUSÃO: A fisiopatologia do RCIU, decorrente da restrição protéico-calórica materna em ratas, está relacionada com menor peso placentário e baixos estoques de glicogênio placentário.

Growth response to antiretroviral treatment in HIV-infected children: a cohort study from Lilongwe, Malawi

Objective  Malnutrition is common in HIV-infected children in Africa and an indication for antiretroviral treatment (ART). We examined anthropometric status and response to ART in children treated at a large public-sector clinic in Malawi. Methods  All children aged <15 years who started ART between January 2001 and December 2006 were included and followed until March 2008. Weight and height were measured at regular intervals from 1 year before to 2 years after the start of ART. Sex- and age-standardized z-scores were calculated for weight-for-age (WAZ) and height-for-age (HAZ). Predictors of growth were identified in multivariable mixed-effect models. Results  A total of 497 children started ART and were followed for 972 person-years. Median age (interquartile range; IQR) was 8 years (4–11 years). Most children were underweight (52% of children), stunted (69%), in advanced clinical stages (94% in WHO stages 3 or 4) and had severe immunodeficiency (77%). After starting ART, median (IQR) WAZ and HAZ increased from −2.1 (−2.7 to −1.3) and −2.6 (−3.6 to −1.8) to −1.4 (−2.1 to −0.8) and −1.8 (−2.4 to −1.1) at 24 months, respectively (P < 0.001). In multivariable models, baseline WAZ and HAZ scores were the most important determinants of growth trajectories on ART. Conclusions  Despite a sustained growth response to ART among children remaining on therapy, normal values were not reached. Interventions leading to earlier HIV diagnosis and initiation of treatment could improve growth response.

Job Matching and Wage Growth in the U.S. and Germany

This paper examines the contribution of job matching to wage growth in the U.S. and Germany using data drawn from the Panel Study of Income Dynamics and the German Socio-Economic Panel from 1984 through 1992. Using a symmetrical set of variables and data handling procedures, real wage growth is found to be higher in the U.S. than in Germany during this period. Also, using two different estimators, job matches are found to enhance wage growth in the U.S. and retard it in Germany. The relationship of general skills to employment in each country appears responsible for this result.

Effects of exercise training on intrauterine growth restriction in an animal model

Résumé Selon l'OMS, la retard de croissance intra-utérine (RCIU; 10% en dessous du poids normal pendant la grossesse) affecte 5-10% des grossesses et est une cause principale de la morbidité et de la mortalité périnatales. Dans notre étude précédente sur un modèle de souris transgénique de prééclampsie (R+A+), nous avons constaté que l’entraînement physique (ExT) avant et pendant la grossesse réduisait la pression artérielle maternelle et empêchait la RCIU en améliorant le développement placentaire. Dans le cadre de mon projet, nous avons confirmé les bénifices de l’ExT dans un modèle de RCIU (souris déficiente en p57Kip2 (p57-/+). Ainsi, nous avons observé la présence de RCIU, d’une masse placentaire réduite, d’une augmentation de la pathologie placentaire ainsi qu’une plus petite taille des portées chez les souris p57-/+ sédentaire. L’ExT prévient la RCIU ainsi que tous les paramètres mentionnés ci-haut. Nous avons observé que l'expression du facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, un régulateur clé de l'angiogenèse lors de la croissance placentaire, était réduite dans le placenta des souris p57-/+ et normalisée par l’ExT. Nous avons également trouvé que l'expression en ARN dans le placenta de 2 facteurs inflammatoires (interleukine-1β et MCP-1) était augmenté chez les souris sédentaires p57-/+ alors que ceci n’était pas présent chez les souris entraînées, ce qui suggère que l'inflammation placentaire peut contribuer à la pathologie placentaire. Toutefois, contrairement aux souris R+A+, le système rénine-angiotensine placentaire chez les souris p57-/+ était normale et aucun effet de l’ExT a été observé. Ces résultats suggèrent que l’ExT prévient la RCIU en normalisant la pathologie placentaire, l’angiogenèse et l’inflammation placentaire.

Effects of exercise training on intrauterine growth restriction in an animal model

Résumé Selon l'OMS, la retard de croissance intra-utérine (RCIU; 10% en dessous du poids normal pendant la grossesse) affecte 5-10% des grossesses et est une cause principale de la morbidité et de la mortalité périnatales. Dans notre étude précédente sur un modèle de souris transgénique de prééclampsie (R+A+), nous avons constaté que l’entraînement physique (ExT) avant et pendant la grossesse réduisait la pression artérielle maternelle et empêchait la RCIU en améliorant le développement placentaire. Dans le cadre de mon projet, nous avons confirmé les bénifices de l’ExT dans un modèle de RCIU (souris déficiente en p57Kip2 (p57-/+). Ainsi, nous avons observé la présence de RCIU, d’une masse placentaire réduite, d’une augmentation de la pathologie placentaire ainsi qu’une plus petite taille des portées chez les souris p57-/+ sédentaire. L’ExT prévient la RCIU ainsi que tous les paramètres mentionnés ci-haut. Nous avons observé que l'expression du facteur de croissance de l’endothélium vasculaire, un régulateur clé de l'angiogenèse lors de la croissance placentaire, était réduite dans le placenta des souris p57-/+ et normalisée par l’ExT. Nous avons également trouvé que l'expression en ARN dans le placenta de 2 facteurs inflammatoires (interleukine-1β et MCP-1) était augmenté chez les souris sédentaires p57-/+ alors que ceci n’était pas présent chez les souris entraînées, ce qui suggère que l'inflammation placentaire peut contribuer à la pathologie placentaire. Toutefois, contrairement aux souris R+A+, le système rénine-angiotensine placentaire chez les souris p57-/+ était normale et aucun effet de l’ExT a été observé. Ces résultats suggèrent que l’ExT prévient la RCIU en normalisant la pathologie placentaire, l’angiogenèse et l’inflammation placentaire.

Impaired Compensatory Beta-cell Function And Growth In Response To High-fat Diet In Ldl Receptor Knockout Mice.

In this study, we investigated the effect of low density lipoprotein receptor (LDLr) deficiency on gap junctional connexin 36 (Cx36) islet content and on the functional and growth response of pancreatic beta-cells in C57BL/6 mice fed a high-fat (HF) diet. After 60 days on regular or HF diet, the metabolic state and morphometric islet parameters of wild-type (WT) and LDLr-/- mice were assessed. HF diet-fed WT animals became obese and hypercholesterolaemic as well as hyperglycaemic, hyperinsulinaemic, glucose intolerant and insulin resistant, characterizing them as prediabetic. Also they showed a significant decrease in beta-cell secretory response to glucose. Overall, LDLr-/- mice displayed greater susceptibility to HF diet as judged by their marked cholesterolaemia, intolerance to glucose and pronounced decrease in glucose-stimulated insulin secretion. HF diet induced similarly in WT and LDLr-/- mice, a significant decrease in Cx36 beta-cell content as revealed by immunoblotting. Prediabetic WT mice displayed marked increase in beta-cell mass mainly due to beta-cell hypertrophy/replication. Nevertheless, HF diet-fed LDLr-/- mice showed no significant changes in beta-cell mass, but lower islet-duct association (neogenesis) and higher beta-cell apoptosis index were seen as compared to controls. The higher metabolic susceptibility to HF diet of LDLr-/- mice may be explained by a deficiency in insulin secretory response to glucose associated with lack of compensatory beta-cell expansion.

Genetic Predictors Of Long-term Response To Growth Hormone (gh) Therapy In Children With Gh Deficiency And Turner Syndrome: The Influence Of A Socs2 Polymorphism.

There is great interindividual variability in the response to GH therapy. Ascertaining genetic factors can improve the accuracy of growth response predictions. Suppressor of cytokine signaling (SOCS)-2 is an intracellular negative regulator of GH receptor (GHR) signaling. The objective of the study was to assess the influence of a SOCS2 polymorphism (rs3782415) and its interactive effect with GHR exon 3 and -202 A/C IGFBP3 (rs2854744) polymorphisms on adult height of patients treated with recombinant human GH (rhGH). Genotypes were correlated with adult height data of 65 Turner syndrome (TS) and 47 GH deficiency (GHD) patients treated with rhGH, by multiple linear regressions. Generalized multifactor dimensionality reduction was used to evaluate gene-gene interactions. Baseline clinical data were indistinguishable among patients with different genotypes. Adult height SD scores of patients with at least one SOCS2 single-nucleotide polymorphism rs3782415-C were 0.7 higher than those homozygous for the T allele (P < .001). SOCS2 (P = .003), GHR-exon 3 (P= .016) and -202 A/C IGFBP3 (P = .013) polymorphisms, together with clinical factors accounted for 58% of the variability in adult height and 82% of the total height SD score gain. Patients harboring any two negative genotypes in these three different loci (homozygosity for SOCS2 T allele; the GHR exon 3 full-length allele and/or the -202C-IGFBP3 allele) were more likely to achieve an adult height at the lower quartile (odds ratio of 13.3; 95% confidence interval of 3.2-54.2, P = .0001). The SOCS2 polymorphism (rs3782415) has an influence on the adult height of children with TS and GHD after long-term rhGH therapy. Polymorphisms located in GHR, IGFBP3, and SOCS2 loci have an influence on the growth outcomes of TS and GHD patients treated with rhGH. The use of these genetic markers could identify among rhGH-treated patients those who are genetically predisposed to have less favorable outcomes.

Growth And Body Composition In Brazilian Female Rhythmic Gymnastics Athletes.

The aim was to analyse the physical growth and body composition of rhythmic gymnastics athletes relative to their level of somatic maturation. This was a cross-sectional study of 136 athletes on 23 teams from Brazil. Mass, standing height and sitting height were measured. Fat-free and fat masses, body fat percentages and ages of the predicted peak height velocity (PHV) were calculated. The z scores for mass were negative during all ages according to both WHO and Brazilian references, and that for standing height were also negative for all ages according to WHO reference but only until 12 years old according to Brazilian reference. The mean age of the predicted PHV was 12.1 years. The mean mass, standing and sitting heights, body fat percentage, fat-free mass and fat mass increased significantly until 4 to 5 years after the age of the PHV. Menarche was reached in only 26% of these athletes and mean age was 13.2 years. The mass was below the national reference standards, and the standing height was below only for the international reference, but they also had late recovery of mass and standing height during puberty. In conclusion, these athletes had a potential to gain mass and standing height several years after PHV, indicating late maturation.

Growth Curves For Girls With Turner Syndrome.

The objective of this study was to review the growth curves for Turner syndrome, evaluate the methodological and statistical quality, and suggest potential growth curves for clinical practice guidelines. The search was carried out in the databases Medline and Embase. Of 1006 references identified, 15 were included. Studies constructed curves for weight, height, weight/height, body mass index, head circumference, height velocity, leg length, and sitting height. The sample ranged between 47 and 1,565 (total = 6,273) girls aged 0 to 24 y, born between 1950 and 2006. The number of measures ranged from 580 to 9,011 (total = 28,915). Most studies showed strengths such as sample size, exclusion of the use of growth hormone and androgen, and analysis of confounding variables. However, the growth curves were restricted to height, lack of information about selection bias, limited distributional properties, and smoothing aspects. In conclusion, we observe the need to construct an international growth reference for girls with Turner syndrome, in order to provide support for clinical practice guidelines.

The Inadequacy Of The Y-axis Of Growth (sngn) For The Vertical Pattern Assessment In Patients With Sagittal Discrepancies.

The aim of this cephalometric study was to evaluate the influence of the sagittal skeletal pattern on the 'Y-axis of growth' measurement in patients with different malocclusions. Lateral head films from 59 patients (mean age 16y 7m, ranging from 11 to 25 years) were selected after a subjective analysis of 1630 cases. Sample was grouped as follows: Group 1 - class I facial pattern; group 2 - class II facial pattern; and Group 3 - class III facial pattern. Two angular measurements, SNGoGn and SNGn, were taken in order to determine skeletal vertical facial pattern. A logistic regression with errors distributed according to a binomial distribution was used to test the influence of the sagittal relationship (Class I, II, III facial patterns) on vertical diagnostic measurement congruence (SNGoGn and SNGn). RESULTS show that the probability of congruence between the patterns SNGn and SNGoGn was relatively high (70%) for group 1, but for groups II (46%) and III (37%) this congruence was relatively low. The use of SNGn appears to be inappropriate to determine the vertical facial skeletal pattern of patients, due to Gn point shifting throughout sagittal discrepancies. Clinical Significance: Facial pattern determined by SNGn must be considered carefully, especially when severe sagittal discrepancies are present.