925 resultados para Pure reason
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Tr. of: Kritik der reinen Vernunft.
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Photocopy.
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"First edition printed 1881. Reprinted with alterations, 1896."
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Le but de ce mémoire est d’effectuer une analyse détaillée de ce chapitre de la Critique de la raison pure de Kant à partir de l’idée qu’il présente les « résultats » de la démarche critique menée jusque-là concernant les limites de la connaissance. Le mémoire sera divisé en deux parties. Dans la première partie, nous montrerons que ce chapitre dresse un bilan provisoire et que pour cette raison il soulève deux enjeux : 1 – montrer que les concepts purs de l'entendement – en dépit de leur caractère a priori et de leur origine dans l'entendement pur – ne sont susceptibles d'un usage objectif qu'appliqués aux données de la sensibilité (A 246/B 303 : « L'Analytique transcendantale a donc cet important résultat... ») ; 2 – montrer que, à son tour, la sensibilité est elle-même limitée par l'entendement et qu'elle ne renferme pas la totalité des objets possibles (A 251 : « Tel a été le résultat de toute l'Esthétique transcendantale... »). Dans la seconde partie, nous analyserons les différences entre les deux éditions de la Critique de la raison pure concernant ce chapitre en insistant tout particulièrement sur la distinction faite dans la deuxième édition entre noumène au sens positif et noumène au sens négatif.
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Chacune des éditions de la Critique de la raison pure contient une preuve de la réalité du monde externe : la première se trouve dans le « quatrième paralogisme » et la deuxième dans la « Réfutation de l’idéalisme ». Ce travail examine l’évolution du premier argument vers le deuxième, en rendant compte de deux critiques importantes de la première édition qui ont influencé le second travail de Kant. La deuxième partie de ce travail se concentre sur des problèmes propres à la Réfutation, où sont traités des sujets particulièrement problématiques, tel que la structure de la conscience empirique déterminée, le rôle du permanent dans l’établissement de l’objectivité, ainsi qu’un argument secondaire présenté dans les notes de bas de page du texte principal et de la préface.
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Dans ce mémoire, nous nous proposons de montrer que le concept kantien de chose en soi est à la fois un concept métaphysique et un concept critique. En ce sens, la chose en soi doit être comprise comme un objet transcendantal réel qui existe à titre de cause des phénomènes. Si, contrairement à ce que soutenaient F.H. Jacobi (1787) et G.E. Schulze (1791), cela ne suppose pas de sortir du criticisme, c'est qu'une telle affirmation prend la forme d'une connaissance analogique qui respecte les limites de la connaissance humaine. De fait, la connaissance analogique permet de pointer en direction de quelque chose dont la nature (Beschaffenheit) peut demeurer problématique, tout en permettant d'affirmer son existence (Dasein). Nous serons dès lors conduite à montrer que la Critique de la raison pure fournit bel et bien les outils nécessaires permettant de rendre compte de l’existence des choses en soi à titre de causes des phénomènes.
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Cette analyse porte sur le schématisme des concepts purs de l’entendement, tel que présenté par Emmanuel Kant dans la Critique de la raison pure et interprété par Martin Heidegger. La lecture proposée par Heidegger est critiquée par un bon nombre de commentateurs dans la mesure où ils considèrent que son interprétation ne lui sert qu’à faire valoir ses propres théories philosophiques au sujet du Dasein et de l’ontologie fondamentale. Notre approche se distingue de la leur dans la mesure où nous tentons de comprendre les raisons qui ont poussé Heidegger à défendre l’interprétation du schématisme qui est la sienne. Notre étude s’attarde au texte de Kant de manière à en souligner les éléments qui ont permis à Heidegger d’établir sa lecture, telle qu’il la présente dans son ouvrage de 1929, ayant pour titre Kant et le problème de la métaphysique. La méthode utilisée est comparative, car notre but est de démontrer la valeur de l’interprétation heideggérienne contre celle des commentateurs qui le critiquent pour des raisons insuffisantes. Bref, le thème du schématisme kantien est analysé de long en large et la conclusion à laquelle nous parvenons est que Heidegger a permis des avancées philosophiques considérables par son herméneutique de la Critique et qu’il est nécessaire de leur accorder l’attention qui leur est due.
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La Critique de la raison pure est traversée de part en part par une analogie juridique dont l’étude peut enrichir la compréhension de l’œuvre. Il est ainsi question, dès la préface, d’une raison qui se juge elle-même devant son propre tribunal, ce qui constituera le point de départ de notre analyse. Or, ce tribunal très particulier doit se fonder sur une connaissance de soi approfondie de la raison. Cette entreprise est de fait réalisée au fil des développements de la Critique. Le rôle bien particulier joué à cet égard par les trois déductions présentes dans l’œuvre sera dûment examiné. On verra par ailleurs que la déduction doit elle-même être considérée plutôt comme procédure d’inspiration juridique que comme inférence, tout en conservant pourtant un statut de preuve philosophique. Les nombreuses allusions juridiques effectuées par Kant au fil de l’œuvre seront ainsi mises à profit dans le cadre de cette interprétation.
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Resumen: La vera intenzione teologica di Anselmo d’Aosta nello scrivere il Proslogion e il vero significato del suo celebre unum argumentum vanno visti nella funzione che la ragione svolge necessariamente all’interno della vita di fede del cristiano. Anselmo, come Tommaso d’Aquino, non sostiene che l’esistenza di Dio sia un “articulus fidei” ma piuttosto uno dei “praeambula fidei”. La ragione naturale ha la certezza che Dio esiste, ancora prima della dimostrazione metafisica, e questo non fa che confermare l’assurdità di pensare che non esista il fondamento reale di tutte le cose esistenti.
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El Monismo Anómalo que Donald Davidson postuló como posible derrotero a propósito de los problemas latentes en filosofía de la mente contemporánea ha sido víctima de serias críticas, en especial aquellas planteadas por Jaegwon Kim. Sin embargo, una lectura que incluya las referencia que Davidson hizo del proyecto que Kant desarrolló en la Tercera Antinomia de la Razón Pura puede servir para ofrecer una lectura a favor de su proyecto.
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This work s objective is to make a literal interpretation of Kant s Aesthetic transcendental, the first pilaster of sustentation of the epistemology of Kant and to interpret it at Strawson s light. It contains the doctrine of sensitivity responsible for the intuitions, which rests on the concepts of space and time, and, with this, the tematização of two important questions. For Kant s philosophy in its epistemologic source what s the importance of the concepts of and time? How these concepts of space and time inscribe themselves with such statute as an investigatory task of metaphysics? The specification of the concepts of space and time as ingredients of the theories treated and enrolled in this work are segmented of the Aesthetic transcendental of Kant, and interpreted under Strawson s light. The research is divided in two chapter; first, constituted of two parts, the first part presents an introduction to the Aesthetic transcendental of Kant, to show the doctrine of the sensitivity which is part of with its forms space and time, authentic forms of the intuition. The second chapter, is constituted of four parts, that deal with the interpretation of the austere model of Strawson and related with Kant s transcendental Aesthetic. The conclusion of our work, about the declared objection of Strawson in its austere interpretation that refuses the idea of space and time, even keeping its a priori character, cannot be accepted. The apriority, the intuitivity and the ideality are theories non-separable in a coherent boarding of space and time of Kant s model of epistemology
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Trata-se de uma abordagem introdutória à doutrina do esquematismo, segundo o contexto de seu surgimento na Crítica da Razão Pura.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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El artículo analiza los argumentos en torno de los cuales se plantea el conflicto entre causalidad natural y causalidad por libertad en la obra Crítica de la Razón Pura /Kritik der reinen Vernunft/ del filósofo alemán Immanuel Kant. Específicamente, interesa desarrollar la solución kantiana a uno de los conflictos que los resultados de la crítica han generado, a partir de la Dialéctica Trascendental y su presentación del problema como antinomia de la razón y de la Doctrina Trascendental del Método, donde la noción de libertad es anunciada como núcleo del pensamiento moral. Se trata de la dificultad que enfrenta la razón al compaginar la necesidad en la naturaleza (sin la cual no es posible la ciencia) con la libertad humana (sin la cual no es posible la moral). La libertad inquirida por el examen crítico de la razón en su uso teórico, es restaurada desde la perspectiva de la razón práctica. Gracias a la restricción crítica del conocimiento humano, Kant abre el camino para la libertad humana, no tanto en los términos negativos de encontrarse “libre de coacción" sino en el sentido positivo de iniciar algo nuevo o no previsto en decurso de la historia fenoménica.
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Los estudios de esta tesis doctoral muestran la relación estrecha que existe en la Fenomenología del Espíritu entre el concepto hegeliano de experiencia, su concepción del absoluto y el impacto que tiene en ambos el desafío del escepticismo. La tesis general sostenida es que la confrontación de Hegel con el escepticismo es la clave de lectura más importante para la comprensión de la Introducción a la Fenomenología y por lo tanto del programa original de la obra. Más específicamente, se sostiene que la Introducción a la Fenomenología del Espíritu se encuentra filosóficamente constituida en atenta referencia a las objeciones que Gottlob Schulze había dirigido al incipiente idealismo de Jena en sus escritos de 1803 (Aforismos sobre lo Absoluto) y de 1805 (Los momentos principales del modo escéptico de pensar acerca del conocimiento humano). Se afirma aquí que Hegel revalorizó el escepticismo de Schulze, a tal punto que: a) los desafíos de Schulze son la principal provocación para un cambio de rumbo en los planes filosóficos de Hegel, esto es, el de comenzar por el problema del conocimiento antes de presentar su Lógica; b) las objeciones de Schulze constituyen los motivos decisivos que generan la ruptura entre Schelling y Hegel; c) a raíz de tales objeciones, Hegel relativiza en la Fenomenología la distinción tajante que había establecido entre antiguo y nuevo escepticismo en su escrito de 1802 (Relación del escepticismo con la filosofía); d) Hegel no sólo considera las objeciones del escéptico sino que se apropia y reformula algunas de sus ideas.En síntesis: los estudios que se exponen en esta tesis reconstruyen una polémica entre Hegel y Schulze. Esta reconstrucción puede aclarar la teoría de la experiencia que se encuentra en el texto de la Introducción a la Fenomenología.En cuanto al orden de la exposición, este trabajo doctoral comienza con una presentación de la concepción de Kant acerca de la experiencia, del límite del conocimiento humano y del absoluto, tal como aparecen en la Crítica de la Razón Pura, mostrando cómo ya en aquella obra el escepticismo juega un rol determinante (capítulo 1). A continuación, se exponen las ideas y los argumentos fundamentales del escrito hegeliano de 1802 sobre el escepticismo (capítulo 2). En el tercer capítulo se muestra la incertidumbre que tuvieron los lectores académicos, entre ellos Schulze, acerca de la autoría de la Revista Crítica de Filosofía, la cual era editada por Schelling y Hegel sin especificar la autoría de cada artículo, y en la que había sido publicado el escrito de Hegel. A esta situación se debe -según la presente tesis- que Schulze haya dirigido sus críticas a Schelling y no a Hegel. En los capítulos cuarto y quinto se exponen las tesis fundamentales que Schulze sostiene en los escritos mencionados de 1803 y 1805. El capítulo central, el sexto, consiste en un comentario de toda la Introducción a la Fenomenología a la luz del debate velado con Schulze y en atención particular al concepto hegeliano de experiencia. El último capítulo examina a grandes rasgos, a partir de lo demostrado, la concepción de Hegel sobre el escepticismo y sobre el concepto de experiencia en el resto de la Fenomenología del Espíritu. Se distingue un escepticismo estructural, que forma parte de la dinámica de la experiencia, de un escepticismo histórico que constituye una figura puntual del itinerario de la experiencia que hace la conciencia. En el mismo capítulo se considera el destino que tuvo el concepto de experiencia en el resto de la obra de Hegel y se concluye que sigue de cerca el destino de la Fenomenología y se indagan los motivos. También se examina sucintamente el papel del escepticismo en la Ciencia de la Lógica y en las Lecciones de Historia de la Filosofía. En las Conclusiones Finales de este trabajo doctoral se retoman en forma comparada y sintética las concepciones de Kant, de Schulze y de Hegel acerca de la experiencia, el límite, el absoluto y la libertad.