847 resultados para Protest policing
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This paper examines the use of visual technologies by political activists in protest situations to monitor police conduct. Using interview data with Australian video activists, this paper seeks to understand the motivations, techniques and outcomes of video activism, and its relationship to counter-surveillance and police accountability. Our data also indicated that there have been significant transformations in the organization and deployment of counter-surveillance methods since 2000, when there were large-scale protests against the World Economic Forum meeting in Melbourne accompanied by a coordinated campaign that sought to document police misconduct. The paper identifies and examines two inter-related aspects of this: the act of filming and the process of dissemination of this footage. It is noted that technological changes over the last decade have led to a proliferation of visual recording technologies, particularly mobile phone cameras, which have stimulated a corresponding proliferation of images. Analogous innovations in internet communications have stimulated a coterminous proliferation of potential outlets for images Video footage provides activists with a valuable tool for safety and publicity. Nevertheless, we argue, video activism can have unintended consequences, including exposure to legal risks and the amplification of official surveillance. Activists are also often unable to control the political effects of their footage or the purposes to which it is used. We conclude by assessing the impact that transformations in both protest organization and media technologies might have for counter-surveillance techniques based on visual surveillance.
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Cette thèse poursuit la réflexion de Foucault sur les « sociétés de sécurité » en abordant le thème de l’inflexion des (in)conduites des « sujets interstitiels » : les individus qui s’inscrivent en marge du pouvoir politique et qui par leurs revendications et leurs présences suscitent des inquiétudes, provoquent des dérangements. Plus précisément, elle interroge l’histoire de la police et les stratégies de gestion des manifestations pour dégager les facteurs menant, dans la foulée des grandes mobilisations altermondialistes, à l’adoption de l’incapacitation stratégique. Sur le plan méthodologique et théorique, elle convoque les réflexions de Foucault sur la police, la loi et la communication pour élaborer un cadre à partir duquel les travaux des sociologues des manifestations et des historiens de la police, portant sur l’évolution du contrôle des foules, seront interrogés dans l’objectif de dégager les tendances « lourdes » et la rationalité policière (et étatique) marquant le maintien de l’ordre contemporain. De même, elle examine des lois encadrant les manifestations pour mettre en lumière que celles-ci sont le fruit de tactiques permettant d’accroître la puissance d’action de leurs « convocateurs ». En parallèle à cette réflexion sur les caractéristiques de la ratio sécuritaire actuelle et sur les tactiques de contrôle, cette thèse identifie les principaux objets utilisés pour circonscrire les pratiques manifestantes afin d’en dégager leurs « fonctions », mais aussi, de relever les indices permettant de schématiser les relations constitutives du dispositif policier. Ainsi, en plus de réaliser une « analytique du présent », cette thèse explicite un diagramme de pouvoir.
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El artículo que aquí presentamos constituye una reflexión en torno a las acciones colectivas de protesta llevadas adelante con motivo del asesinato de Damián Lucero a manos de efectivos de la Policía de la Provincia de Buenos Aires, en un barrio de la zona sur de la Ciudad de La Plata en el año 2007. El trabajo aborda las sucesivas acciones de protesta en reclamo de "justicia" que tuvieron lugar con posterioridad a la muerte de Damián, a los fines de identificar a los actores presentes y las diferentes significaciones que estos le otorgan a su presencia en el espacio público, a los horizontes de politización del reclamo y a las concepciones sobre el accionar policial que subyacen. Identificando la tensión presente entre "familiares" y "militantes de organizaciones de derechos humanos", este artículo se nutre de una doble vertiente analítica: las teorías de la acción colectiva (o movimientos sociales) y los estudios en torno las conformaciones institucionales de las policías en la Argentina democrática.
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El artículo que aquí presentamos constituye una reflexión en torno a las acciones colectivas de protesta llevadas adelante con motivo del asesinato de Damián Lucero a manos de efectivos de la Policía de la Provincia de Buenos Aires, en un barrio de la zona sur de la Ciudad de La Plata en el año 2007. El trabajo aborda las sucesivas acciones de protesta en reclamo de "justicia" que tuvieron lugar con posterioridad a la muerte de Damián, a los fines de identificar a los actores presentes y las diferentes significaciones que estos le otorgan a su presencia en el espacio público, a los horizontes de politización del reclamo y a las concepciones sobre el accionar policial que subyacen. Identificando la tensión presente entre "familiares" y "militantes de organizaciones de derechos humanos", este artículo se nutre de una doble vertiente analítica: las teorías de la acción colectiva (o movimientos sociales) y los estudios en torno las conformaciones institucionales de las policías en la Argentina democrática.
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El artículo que aquí presentamos constituye una reflexión en torno a las acciones colectivas de protesta llevadas adelante con motivo del asesinato de Damián Lucero a manos de efectivos de la Policía de la Provincia de Buenos Aires, en un barrio de la zona sur de la Ciudad de La Plata en el año 2007. El trabajo aborda las sucesivas acciones de protesta en reclamo de "justicia" que tuvieron lugar con posterioridad a la muerte de Damián, a los fines de identificar a los actores presentes y las diferentes significaciones que estos le otorgan a su presencia en el espacio público, a los horizontes de politización del reclamo y a las concepciones sobre el accionar policial que subyacen. Identificando la tensión presente entre "familiares" y "militantes de organizaciones de derechos humanos", este artículo se nutre de una doble vertiente analítica: las teorías de la acción colectiva (o movimientos sociales) y los estudios en torno las conformaciones institucionales de las policías en la Argentina democrática.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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There has been an extended engagement with how young people experience policing, with a focus on the intersection between policing and indigeneity, ethnicity, gender, and social class. Interestingly, sexuality and/or gender diversity has been almost completely overlooked, both nationally and internationally. This paper reports on LGBT youth service providers’ accounts about police and LGBT young people interactions. It overviews the outcomes of semi-structured interviews with key LGBT youth service providers in different regions of Brisbane, Queensland. As the first qualitative engagement with these issues from the perspective of service providers, it highlights not only how LGBT young people experience policing, but also how service providers need to ‘work the system’ of policing to produce the best outcomes for LGBT young people.
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This paper explores how visibly non-heteronormative bodies mediate policing experiences of LGBT (lesbian, gay, bisexual, transgender) young people, an area that has been mostly ignored in research about policing young people. Informed by interviews with 35 LGBT young people in Brisbane, Queensland, this paper addresses this gap by exploring how the non-heteronormative body mediates policing experiences of LGBT young people. Drawing on Foucault (1984), Butler (1990a), and other queer theory, the paper argues young non-heteronormative bodies visibly perform ‘queerness’, are read by police, and shape police-LGBT youth interactions. While this is complicated by looking at-risk (in terms of risk factors like homelessness, substance abuse), and looking risky (in terms of risk-taking or criminalised activities), the paper concludes noting how youthful LGBT bodies are regulated by police as non-heteronormative and deviant.
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The misuse of alcohol is well documented in Australia and has been associated with disorders and harms that often require police attention. The extent of alcohol-related incidents requiring police attention has been recorded as substantial in some Australian cities (Arro, Crook, & Fenton, 1992; Davey & French, 1995; Ireland & Thommeny, 1993). A significant proportion of harmful drinking occurs in and around licensed premises (Jochelson, 1997; Stockwell, Masters, Phillips, Daly, Gahegan, Midford, & Philp, 1998; Borges, Cherpitel, & Rosovsky, 1998) and most of these incidents are not reported to police (Bryant & Williams, 2000; Lister, Hobbs, Hall, & Winlow, 2000). Alcohol-related incidents have also been found to be concentrated in certain places at certain times (Jochelson, 1997) and therefore manipulating the context in which these incidents occur may provide a means to prevent and reduce the harm associated with alcohol misuse. One of the major objectives of the present program of research was to investigate the occurrence and resource impact of alcohol-related incidents on operational (general duties) policing across a large geographical area. A second objective of the thesis was to examine the characteristics and temporal/spatial dynamics of police attended alcohol incidents in the context of Place Based theories of crime. It was envisaged that this approach would reveal the patterns of the most prevalent offences and demonstrate the relevance of Place Based theories of crime to understanding these patterns. In addition, the role of alcohol, time and place were also explored in order to examine the association between non criminal traffic offences and other types of criminal offences. A final objective of the thesis was to examine the impact of a situational crime prevention strategy that had been initiated to reduce the violence and disorder associated with late-night liquor trading premises. The program of research in this doctorate thesis has been undertaken through the presentation of published papers. The research was conducted in three stages which produced six manuscripts, five of which were submitted to peer reviewed journals and one that was published in a peer reviewed conference proceedings. Stage One included two studies (Studies 1 & 2) both of which involved a cross sectional approach to examine the prevalence and characteristics of alcohol-related incidents requiring police attendance across three large geographical areas that included metropolitan cities, provincial regions and rural areas. Stage Two of the program of research also comprised two cross sectional quantitative studies (Studies 3 & 4) that investigated the temporal and spatial dynamics of the major offence categories attended by operational police in a specific Police District (Gold Coast). Stage Three of the program of research involved two studies (Studies 5 & 6) that assessed the effectiveness of a situational crime prevention strategy. The studies employed a pre-post design to assess the impact on crime, disorder and violence by preventing patrons from entering late-night liquor trading premises between 3 a.m. and 5 a.m. (lockout policy). Although Study Five was solely quantitative in nature, Study Six included both quantitative and qualitative aspects. The approach adopted in Study Six, therefore facilitated not only a quantative comparison of the impact of the lockout policy on different policing areas, but also enabled the processes related to the implementation of the lockout policy to be examined. The thesis reports a program of research involving a common data collection method which then involved a series of studies being conducted to explore different aspects of the data. The data was collected from three sources. Firstly a pilot phase was undertaken to provide participants with training. Secondly a main study period was undertaken immediately following the pilot phase. The first and second sources of data were collected between 29th March 2004 and 2nd May 2004. Thirdly, additional data was collected between the 1st April 2005 and 31st May 2005. Participants in the current program of research were first response operational police officers who completed a modified activity log over a 9 week period (4 week pilot phase & 5 week survey study phase), identifying the type, prevalence and characteristics of alcohol-related incidents that were attended. During the study period police officers attended 31,090 alcohol-related incidents. Studies One and Two revealed that a substantial proportion of current police work involves attendance at alcohol-related incidents (i.e., 25% largely involving young males aged between 17 and 24 years). The most common incidents police attended were vehicle and/or traffic matters, disturbances and offences against property. The major category of offences most likely to involve alcohol included vehicle/traffic matters, disturbances and offences against the person (e.g., common & serious assaults). These events were most likely to occur in the late evenings and early hours of the morning on the weekends, and importantly, usually took longer for police to complete than non alcohol-related incidents. The findings in Studies Three and Four suggest that serious traffic offences, disturbances and offences against the person share similar characteristics and occur in concentrated places at similar times. In addition, it was found that time, place and incident type all have an influence on whether an incident attended by a police officer is alcohol-related. Alcohol-related incidents are more likely to occur in particular locations in the late evenings and early mornings on the weekends. In particular, there was a strong association between the occurrence of alcohol-related disturbances and alcohol-related serious traffic offences in regards to place and time. In general, stealing and property offences were not alcohol-related and occurred in daylight hours during weekdays. The results of Studies Five and Six were mixed. A number of alcohol-related offences requiring police attention were significantly reduced for some policing areas and for some types of offences following the implementation of the lockout policy. However, in some locations the lockout policy appeared to have a negative or minimal impact. Interviews with licensees revealed that although all were initially opposed to the lockout policy as they believed it would have a negative impact on business, most perceived some benefits from its introduction. Some of the benefits included, improved patron safety and the development of better business strategies to increase patron numbers. In conclusion, the overall findings of the six studies highlight the pervasive nature of alcohol across a range of criminal incidents, demonstrating the tremendous impact alcohol-related incidents have on police. The findings also demonstrate the importance of time and place in predicting the occurrence of alcohol-related offences. Although this program of research did not set out to test Place Based theories of crime, these theories were used to inform the interpretation of findings. The findings in the current research program provide evidence for the relevance of Place Based theories of crime to understanding the factors contributing to violence and disorder, and designing relevant crime prevention strategies. For instance, the results in Studies Five and Six provide supportive evidence that this novel lockout initiative can be beneficial for public safety by reducing some types of offences in particular areas in and around late-night liquor trading premises. Finally, intelligent-led policing initiatives based on problem oriented policing, such as the lockout policy examined in this thesis, have potential as a major crime prevention technique to reduce specific types of alcohol-related offences.
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There is a growing sense of crisis in rural ways of life, which manifests itself in economic decline, depopulation, depleted environments, and a crisis of rural identities. Crime is one potent marker of crisis, the more so as it spoils the image of healthy, cohesive community. The social reaction it elicits, the policing of this ‘other rural’, is also a guide to the dimensions of crisis. The social sciences have witnessed a renewed international interest in the study of ‘other rurals’: the neglected, invisible or excluded aspects of country life. This book brings a fresh approach to the study of crime that challenges the urban-centric assumptions of much western criminology and sociology. It explores rural crime and social reactions to it, in relation to processes and patterns of community formation and change in rural Australia, including the social, economic, cultural and political forces shaping the history, structure and everyday life of rural communities. Policing the Rural Crisis is based on five years of extensive original empirical research in rural and regional Australia. It draws on ideas and debates in contemporary social theory across several disciplines, making the analysis relevant to the study of crime and social change elsewhere.