30 resultados para PHQ


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PURPOSE. This study aimed to assess the discriminative validity of the Brazilian version of the Patient Health Questionnaire (PHQ-9) and of its reduced version (PHQ-2). DESIGN AND METHODS. The sample consisted of 177 women (60 cases of depression and 117 noncases). The SCID-IV was used as the gold standard. FINDINGS. For the PHQ-9, a cutoff score equal to or higher than 10 proved to be the most adequate for the screening of depression, whereas the best cutoff score for the PHQ-2 was found to lie between 3 and 4. PRACTICE IMPLICATIONS. The systematic use of these instruments in nursing and in the context of primary health care could favor the early detection of depression.

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Background: Many factors have been associated with the onset and maintenance of depressive symptoms in later life, although this knowledge is yet to be translated into significant health gains for the population. This study gathered information about common modifiable and non-modifiable risk factors for depression with the aim of developing a practical probabilistic model of depression that can be used to guide risk reduction strategies. \Methods: A cross-sectional study was undertaken of 20,677 community-dwelling Australians aged 60 years or over in contact with their general practitioner during the preceding 12 months. Prevalent depression (minor or major) according to the Patient Health Questionnaire (PHQ-9) assessment was the main outcome of interest. Other measured exposures included self-reported age, gender, education, loss of mother or father before age 15 years, physical or sexual abuse before age 15 years, marital status, financial stress, social support, smoking and alcohol use, physical activity, obesity, diabetes, hypertension, and prevalent cardiovascular diseases, chronic respiratory diseases and cancer. Results: The mean age of participants was 71.7 +/- 7.6 years and 57.9% were women. Depression was present in 1665 (8.0%) of our subjects. Multivariate logistic regression showed depression was independently associated with age older than 75 years, childhood adverse experiences, adverse lifestyle practices (smoking, risk alcohol use, physical inactivity), intermediate health hazards (obesity, diabetes and hypertension), comorbid medical conditions (clinical history of coronary heart disease, stroke, asthma, chronic obstructive pulmonary disease, emphysema or cancers), and social or financial strain. We stratified the exposures to build a matrix that showed that the probability of depression increased progressively with the accumulation of risk factors, from less than 3% for those with no adverse factors to more than 80% for people reporting the maximum number of risk factors. Conclusions: Our probabilistic matrix can be used to estimate depression risk and to guide the introduction of risk reduction strategies. Future studies should now aim to clarify whether interventions designed to mitigate the impact of risk factors can change the prevalence and incidence of depression in later life.

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BACKGROUND: Mental disorders in primary care patients are frequently associated with physical complaints that can mask the disorder. There is insufficient knowledge concerning the role of anxiety, depression, and somatoform disorders in patients presenting with physical symptoms. Our primary objective was to determine the prevalence of depression, anxiety, and somatoform disorders among primary care patients with a physical complaint. We also investigated the relationship between cumulated psychosocial stressors and mental disorders. METHODS: We conducted a multicentre cross-sectional study in twenty-one private practices and in one academic primary care centre in Western Switzerland. Randomly selected patients presenting with a spontaneous physical complaint were asked to complete the self-administered Patient Health Questionnaire (PHQ) between November 2004 and July 2005. The validated French version of the PHQ allowed the diagnosis of mental disorders (DSM-IV criteria) and the analyses of exposure to psychosocial stressors. RESULTS: There were 917 patients exhibiting at least one physical symptom included. The rate of depression, anxiety, and somatoform disorders was 20.0% (95% confidence interval [CI] = 17.4% to 22.7%), 15.5% (95% CI = 13.2% to 18.0%), and 15.1% (95% CI = 12.8% to 17.5%), respectively. Psychosocial stressors were significantly associated with mental disorders. Patients with an accumulation of psychosocial stressors were more likely to present anxiety, depression, or somatoform disorders, with an increase of 2.2 fold (95% CI = 2.0 to 2.5) for each additional stressor. CONCLUSIONS: The investigation of mental disorders and psychosocial stressors among patients with physical complaints is relevant in primary care. Psychosocial stressors should be explored as potential epidemiological causes of mental disorders.

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RAPPORT DE SYNTHÈSE Introduction En médecine de premier recours, les plaintes physiques sont fréquemment associées à des troubles dépressifs, anxieux et somatoformes et peuvent les masquer. Il est fréquemment reporté que ces troubles mentaux ont tendance à être insuffisamment diagnostiqués. Par ailleurs, peu d'études ont été conduites en médecine de premier recours concernant la possible association entre facteurs de stress psychosociaux et troubles dépressifs, anxieux et somatoformes. Objectifs Les objectifs étaient de déterminer la prévalence des troubles dépressifs, anxieux et somatoformes chez des patients consultant avec une plainte physique en médecine de premier recours, ainsi que d'explorer la possible association entre ces troubles mentaux et des facteurs de stress psychosociaux. Méthodes Nous avons conduit une étude transversale, multicentrique parmi vingt et un cabinets médicaux en Suisse Romande et la Policlinique Médicale Universitaire de Lausanne. Les sujets étaient sélectionnés aléatoirement parmi des patients qui avaient présenté spontanément au moins une plainte physique et qui avaient consulté lors d'une demi- journée de consultation considérée pour l'étude. Les patients inclus ont rempli l'auto- questionnaire Patient Health Questionnaire (PHQ) entre novembre 2004 et juillet 2005. Nous avons utilisé la version française et validée du PHQ qui permet le diagnostic des principaux troubles mentaux selon les critères du DSM-IV et l'analyse de l'exposition aux facteurs de stress psychosociaux. Résultats Neuf cent dix-sept patients se présentant avec au moins une plainte physique ont été inclus. Le taux de troubles dépressifs, anxieux et somatoformes a été de 20,0% (intervalle de confiance [IC] à 95% = 17,4%-22,7%), 15,5% (IC 95% = 13,2%- 18,0%) et 15,1% (IC 95% = 12,8%~17,5%), respectivement. Les facteurs de stress psychosociaux ont été significativement associés aux troubles mentaux. Les patients avec une accumulation de facteurs de stress psychosociaux ont été le plus souvent déprimés, anxieux ou ont manifesté des troubles somatoformes, avec une augmentation par un facteur 2,2 (IC 95% = 2,0-2,5) pour chaque facteur additionnel. Conclusions Bien que la relation entre facteurs de stress psychosociaux et trouble dépressif soit bien établie, cette étude montre qu'il existe un lien entre ces facteurs de stress et les troubles dépressifs, anxieux et somatoformes. L'investigation de ces troubles mentaux chez des patients consultant avec un symptôme physique en médecine de premier recours est pertinente. D'autres explorations sont nécessaires pour investiguer le bénéfice potentiel d'une prise en charge intégrée des facteurs de stress psychosociaux sur la diminution des plaintes physiques et des troubles mentaux chez les patients que suivent les médecins de premier recours.

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Introduction¦La dépression est une maladie fréquente à travers le monde. D'un point de vue épidémiologique, une différence entre hommes et femmes a été observée, un diagnostic de dépression étant attribué à deux fois plus de femmes que d'hommes. Le médecin de famille est souvent le premier¦professionnel sollicité face à une dépression, cependant un grand nombre patients atteints de dépression consultent leur médecin de famille pour une plainte physique.¦Objectifs et méthodes¦L'objectif de ce travail est de déterminer s'il existe une différence entre hommes et femmes dans la prévalence de la dépression dépistée chez des patients consultant leur médecin de famille exclusivement pour une plainte d'ordre physique en Suisse romande. Afin d'y parvenir, nous avons effectué une sous-analyse de l'étude SODA (SOmatoform, Depression, Anxiety dont nous disposons de la base de données). Il s'agit d'une étude menée en Suisse romande qui a pour but de d'évaluer la prévalence des troubles anxieux, dépressif et somatoforme, à une année d'intervalle, chez des patients consultant leur médecin de famille exclusivement pour une plainte physique. Le Patient Health Questionnaire (PHQ) est le questionnaire utilisé dans l'étude SODA afin de déterminer le diagnostic de dépression.¦Résultats¦L'analyse statistique effectuée n'a pas permis de mettre en évidence une différence entre hommes et femmes dans la prévalence de la dépression au sein de l'étude SODA, que ce soit au moment de¦l'inclusion (t0, p=0.764), à une année d'intervalle (t1, p=0.9) ou dans l'évolution de la dépression.¦Conclusion¦Nous nous attendions à trouver une différence significative dans la prévalence de la dépression avec¦une prépondérance féminine comme le suggère la littérature. L'absence de différence significative¦entre hommes et femmes dans la prévalence de la dépression au sein de l'étude SODA pourrait provenir de certaines modalités de l'étude telles que le PHQ par exemple et du choix de ne considérer que les patients se présentant pour une plainte somatique. Ceci a peut être contribué à une meilleure détection de la dépression chez les hommes et ceci, peut-être, au détriment des femmes.

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Background: Treatment of depression, the most prevalent and costly mental disorder, needs to be improved. Non-concordance with clinical guidelines and non-adherence can limit the efficacy of pharmacological treatment of depression. Through pharmaceutical care, pharmacists can improve patients' compliance and wellbeing. The aim of this study is to evaluate the effectiveness and costeffectiveness of a community pharmacist intervention developed to improve adherence and outcomes of primary care patients with depression. Methods/design: A randomized controlled trial, with 6-month follow-up, comparing patients receiving a pharmaceutical care support programme in primary care with patients receiving usual care. The total sample comprises 194 patients (aged between 18 and 75) diagnosed with depressive disorder in a primary care health centre in the province of Barcelona (Spain). Subjects will be asked for written informed consent in order to participate in the study. Diagnosis will be confirmed using the SCID-I. The intervention consists of an educational programme focused on improving knowledge about medication, making patients aware of the importance of compliance, reducing stigma, reassuring patients about side-effects and stressing the importance of carrying out general practitioners' advice. Measurements will take place at baseline, and after 3 and 6 months. Main outcome measure is compliance with antidepressants. Secondary outcomes include; clinical severity of depression (PHQ-9), anxiety (STAI-S), health-related quality of life (EuroQol-5D), satisfaction with the treatment received, side-effects, chronic physical conditions and sociodemographics. The use of healthcare and social care services will be assessed with an adapted version of the Client Service Receipt Inventory (CSRI). Discussion: This trial will provide valuable information for health professionals and policy makers on the effectiveness and cost-effectiveness of a pharmaceutical intervention programme in the context of primary care. Trial registration: NCT00794196

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BACKGROUND: Mental disorders, common in primary care, are often associated with physical complaints. While exposure to psychosocial stressors and development or presence of principal mental disorders (i.e. depression, anxiety and somatoform disorders defined as multisomatoforme disorders) is commonly correlated, temporal association remains unproven. The study explores the onset of such disorders after exposure to psychosocial stressors in a cohort of primary care patients with at least one physical symptom. METHOD: The cohort study SODA (SOmatization, Depression and Anxiety) was conducted by 21 private-practice GPs and three fellow physicians in a Swiss academic primary care centre. GPs included patients via randomized daily identifiers. Depression, anxiety or somatoform disorders were identified by the full Patient Health Questionnaire (PHQ), a validated procedure to identify mental disorders based on DSM-IV criteria. The PHQ was also used to investigate exposure to psychosocial stressors (before the index consultation and during follow up) and the onset of principal mental disorders after one year of follow up. RESULTS: From November 2004 to July 2005, 1020 patients were screened for inclusion. 627 were eligible and 482 completed the PHQ one year later and were included in the analysis (77%). At one year, prevalence of principal mental disorders was 30/153 (19.6% CI95% 13.6; 26.8) for those initially exposed to a major psychosocial stressor and 26/329 (7.9% CI95% 5.2; 11.4) for those not. Stronger association exists between psychosocial stressors and depression (RR = 2.4) or anxiety (RR = 3.5) than multisomatoforme disorders (RR = 1.8). Patients who are "bothered a lot" (subjective distress) by a stressor are therefore 2.5 times (CI95% 1.5; 4.0) more likely to experience a mental disorder at one year. A history of psychiatric comorbidities or psychological treatment was not a confounding factor for developing a principal mental disorder after exposure to psychosocial stressors. CONCLUSION: This primary care study shows that patients with physical complaints exposed to psychosocial stressors had a higher risk for developing mental disorders one year later. This temporal association opens the field for further research in preventive care for mental diseases in primary care patients.

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Background: Treatment of depression, the most prevalent and costly mental disorder, needs to be improved. Non-concordance with clinical guidelines and non-adherence can limit the efficacy of pharmacological treatment of depression. Through pharmaceutical care, pharmacists can improve patients' compliance and wellbeing. The aim of this study is to evaluate the effectiveness and costeffectiveness of a community pharmacist intervention developed to improve adherence and outcomes of primary care patients with depression. Methods/design: A randomized controlled trial, with 6-month follow-up, comparing patients receiving a pharmaceutical care support programme in primary care with patients receiving usual care. The total sample comprises 194 patients (aged between 18 and 75) diagnosed with depressive disorder in a primary care health centre in the province of Barcelona (Spain). Subjects will be asked for written informed consent in order to participate in the study. Diagnosis will be confirmed using the SCID-I. The intervention consists of an educational programme focused on improving knowledge about medication, making patients aware of the importance of compliance, reducing stigma, reassuring patients about side-effects and stressing the importance of carrying out general practitioners' advice. Measurements will take place at baseline, and after 3 and 6 months. Main outcome measure is compliance with antidepressants. Secondary outcomes include; clinical severity of depression (PHQ-9), anxiety (STAI-S), health-related quality of life (EuroQol-5D), satisfaction with the treatment received, side-effects, chronic physical conditions and sociodemographics. The use of healthcare and social care services will be assessed with an adapted version of the Client Service Receipt Inventory (CSRI). Discussion: This trial will provide valuable information for health professionals and policy makers on the effectiveness and cost-effectiveness of a pharmaceutical intervention programme in the context of primary care. Trial registration: NCT00794196

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La depressió major és una patologia mental que afecta a persones de qualsevol edat, condició econòmica, nivell educatiu, cultural i suposen un gran cost per l’individu, la família, el sistema sanitari i la comunitat en general. Es creu que una de cada cinc persones arribarà a desenvolupar un trastorn depressiu al llarg de la seva vida i que al 2020 serà la segona causa de discapacitat i de pèrdua d’anys de vida saludables a escala mundial i la primera en països desenvolupats. L’objectiu d’aquest estudi quasi experimental és millorar la detecció precoç de la simptomatologia depressiva en adolescents, descriure els factors de risc i atendre les necessitats d’aquests joves. Utilitzarem el Test de Beck Depression Inventory-2nd (BDI-II) i el Patient Health Questionnaire-Adolescent version (PHQ-9) per detectar l’estat de salut mental dels alumnes. No tenim la certesa de que la mostra sigui representativa, ja que escollim un grup intacte d’alumnes de 1r d’ ESO, del municipi de Cardedeu, amb una edat per norma general de 12 -13 anys i per tant, potser una amenaça per la nostra validació ja que el factor entorn influeix directament en la situació sociodemografica de la població escollida, la situació econòmica i familiar.

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Major depression is associated with high burden, disability and costs. Non-adherence limits the effectiveness of antidepressants. Community pharmacists (CP) are in a privileged position to help patients cope with antidepressant treatment. The aim of the study was to evaluate the impact of a CP intervention on primary care patients who had initiated antidepressant treatment. Newly diagnosed primary care patients were randomised to usual care (UC) (92) or pharmacist intervention (87). Patients were followed up at 6 months and evaluated three times (Baseline, and at 3 and 6 months). Outcome measurements included clinical severity of depression (PHQ-9), health-related quality of life (HRQOL) (Euroqol-5D) and satisfaction with pharmacy care. Adherence was continuously registered from the computerised pharmacy records. Non-adherence was defined as refilling less than 80% of doses or having a medication-free gap of more than 1 month. Patients in the intervention group were more likely to remain adherent at 3 and 6 months follow-up but the difference was not statistically significant. Patients in the intervention group showed greater statistically significant improvement in HRQOL compared with UC patients both in the main analysis and PP analyses. No statistically significant differences were observed in clinical symptoms or satisfaction with the pharmacy service. The results of our study indicate that a brief intervention in community pharmacies does not improve depressed patients' adherence or clinical symptoms. This intervention helped patients to improve their HRQOL, which is an overall measure of patient status.

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Tämä tutkimuksen tarkoituksena oli kuvata, kuinka yleisiä työuupumus ja masennus ovat työterveyshuollon piirissä olevilla, sekä mitkä tekijät ovat yhteydessä työuupumukseen ja masennukseen. Lisäksi tutkimuksen tarkoituksena oli kuvata, minkä tasoista masennusta ja työuupumusta työterveyspalveluja käyttävillä esiintyy. Aineistonkeruumenetelmänä oli sähköinen kyselylomake, joka sisälsi Työuupumus BBI-15-mittarin (©Näätänen ym. 2003) ja masennus PHQ-mittarin (©Kroenke ym. 2001) sekä lisäksi taustatietokysymyksiä. Aineisto kerättiin keväällä 2011 osana laajempaa työkuormituksesta palautuminen -tutkimusta. Tutkimukseen osallistui 1415 työssäkäyvää, kokonaisvastausprosentti oli 37 %. Aineisto analysoitiin tilastollisesti. Tutkimustulokset osoittivat, että jonkin asteista työuupumusta oli kolmasosalla tutkituista. Työuupumuksen osa-alueista kyynistyminen oli tutkituilla yleisin, sitä oli kolmasosalla. Uupumusasteinen väsymys oli tutkituilla harvinaisin. Jonkin asteista masennusta oli 40 %:lla tutkituista. Tutkimus vahvistaa ne aikaisemmat tutkimustulokset, joiden mukaan työuupumus ja masennus korreloivat selkeästi. Kun tässä tutkimuksessa lähes 80 %:lla niistä, joilla ei ollut työuupumusta, ei ollut masennustakaan, oli vakavasti uupuneista 14 % vakavasti masentuneita. Tutkimustulosten mukaan masentuneisuudella ei ollut yhteyttä työtuntien määrää. Sen sijaan työtuntien ollessa 45 tai enemmän työuupumus lisääntyi. F-diagnooseja oli suhteessa suurempi määrä sekä työuupumuksen että masennuksen vakavimmissa luokissa. Tutkimukseen osallistuneista kaksi kolmasosaa oli käyttänyt työterveyspalveluita alle kolme kertaa vuoden seurantajaksolla. Työssä käyvien työuupumuksen tai masennuksen asteen ja työterveyspalvelujen käytön kokonaismäärissä ei ollut tilastollisesti merkitseviä eroja. Työuupuneet kävivät työterveyslääkärin vastaanotolla useammin kuin muiden työterveyshuollon ammattilaisten. Masentuneet puolestaan kävivät eniten psykologin vastaanotolla. Työpsykologin lisäksi masentuneet kävivät usein myös työterveyslääkärin luona. Näin ennen kaikkea silloin, kun masennus oli muuttunut vakavammaksi. Tutkimustuloksia voidaan hyödyntää kehitettäessä työyerveyspalveluissa työuupumuksen ja masennuksen diagnosointia, hoitoonohjausta ja interventioita.

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Les personnes atteintes de diabète sont plus à risque de développer la dépression, un fardeau additionnel dans leurs activités quotidiennes. Notre étude auprès d’adultes diabétiques résidant au Québec vise à en déterminer les caractéristiques lorsque la dépression fait partie du tableau clinique. Hypothèse 1: Les adultes québécois atteints de diabète et de dépression (dépression majeure et mineure) seront plus prédisposés à avoir des indicateurs reliés aux habitudes de vie, aux soins du diabète et à l’efficacité personnelle vis-à-vis du contrôle du poids et de la quantité d’aliments consommés, moins favorables que les sujets diabétiques sans dépression. Hypothèse 2: Chez les Québécois atteints de diabète de type 2, l’association entre la dépression et l’obésité sera affectée par les indicateurs de la Variation Cyclique du Poids (VCP) et de l’efficacité personnelle. Hypothèse 3: Chez les Québécois atteints de diabète de type 2, ceux qui auront développé ou maintenu une dépression au cours de 12 mois, seront plus susceptibles de détériorer les indicateurs reliés à leurs habitudes de vie et à leur efficacité personnelle. Des personnes diabétiques au Québec ont été recrutées à l’aide d’un sondage téléphonique. Des adultes, hommes et femmes, âgés de 18 à 80 ans étaient éligibles à participer. La dépression était déterminée par le questionnaire PHQ-9 « Patient Health Questionnaire-9 ». Au total, 3 221 individus ont été contactés au départ de l’étude; 2 003 ont participé à l’étude (93% type 2)et 1 234 ont participé au suivi de 12 mois. La prévalence de dépression mineure et majeure était de 10,9% et 8,7%, respectivement. Cinquante-trois pourcent des sujets avec dépression majeure avaient deux ou trois indicateurs malsains (tabagisme, inactivité ou obésité), 33% des sujets avaient une dépression mineure et 21% des sujets étaient non déprimés. Les résultats des analyses de régression logistique ont révélé que les sujets dépressifs étaient plus susceptibles d’être de sexe féminin, moins instruits, non mariés,sédentaires, fumeurs, percevaient plus souvent avoir une faible maîtrise du contrôle de la quantité d’aliments ingérés et tendaient davantage à mesurer leur glycémie au moins une fois par jour (p<0,05). Chez les patients avec le diabète de type 2, l’association entre la dépression et l’obésité a été affectée par les variables de la VCP et d’efficacité personnelle. Une année après le début de l’étude, 11,5% des sujets ont développé une dépression et 10% ont maintenu leur état dépressif. Les sujets ayant développé une dépression ou persisté dans leur état de dépression étaient plus susceptibles d’avoir été inactifs au début de l’étude ou d’être restés inactifs au suivi de 12 mois, et d’avoir maintenu une perception d’un faible contrôle de leur poids corporel et de la quantité d’aliments ingérés. Cependant, les changements de statut de dépression n’étaient pas associés à des changements de l’indice de masse corporelle. En conclusion, l’inactivité physique et une faible efficacité personnelle sont des facteurs importants dans le développement et la persistance de la dépression chez les patients diabétiques et méritent d’être considérés dans le traitement.

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Problématique : La littérature scientifique ne contient actuellement aucune étude épidémiologique portant sur la relation entre l’exposition à une infestation de punaises de lit (Cimex lectularis) et la santé mentale. L’objectif de cette étude est d’explorer la relation entre le statut d’exposition aux punaises de lit et des mesures de dépression, anxiété et perturbation du sommeil. Méthodes : Cette recherche est une étude transversale basée sur une analyse secondaire des données provenant de N=91 adultes locataires de logements insalubres qui ont répondu à un questionnaire de santé au moment d’interventions médico-environnementales menées par la direction de santé publique de Montréal entre janvier et juin 2010. Le questionnaire de santé inclut le « Questionnaire de santé du patient (QSP-9) », qui est un outil mesurant les symptômes associés à la dépression, l’outil de dépistage d’anxiété généralisée (GAD-7) et les items 1-18 de l’indice de la qualité du sommeil de Pittsburgh (PSQI). L’association entre une exposition autorapportée à une infestation de punaises de lit et le niveau de perturbation du sommeil selon la sous-échelle correspondante du PSQI, les symptômes dépressifs selon le QSP-9 et les symptômes anxieux selon le GAD-7, a été évaluée en utilisant une analyse de régression linéaire multivariée. Des données descriptives relatives aux troubles de sommeil autodéclarés et à des comportements reliés à un isolement social, dus à une exposition aux punaises de lit, sont aussi présentées. Résultats : L’échantillon comprenait 38 hommes et 53 femmes. Parmi les 91 participants, 49 adultes ont signalé une exposition aux punaises de lit et de ce nombre, 53,06% (26/49) ont déclaré des troubles de sommeil et 46,94% (23/49) des comportements d’isolement social, en raison de l’exposition. Les adultes exposés à des punaises de lit ont obtenu des résultats significativement plus élevés sur le QSP-9 (p=0,025), le GAD-7 (p=0,026) et sur la sous-échelle mesurant la perturbation du sommeil (p=0,003) comparativement à ceux qui n’étaient pas exposés. Conclusions : Cette première étude exploratoire met en évidence une association significative entre l’état d’exposition aux punaises de lit et des troubles de sommeil, ainsi que des symptômes anxieux et dépressifs, indiquant que ceux qui sont exposés aux punaises de lit représentent un groupe possiblement à risque de développer des problèmes de santé mentale. Ces résultats viennent en appui aux initiatives des décideurs pour organiser des efforts coordonnés d’éradication au niveau des villes et des provinces.

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Essai doctoral présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l’obtention du grade de Docteur en psychologie, option psychologie clinique (D.Psy.)