998 resultados para Minimum income protection
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Dissertação de mestrado em Economia Monetária, Bancária e Financeira
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Dissertação de mestrado em Economia Monetária, Bancária e Financeira
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Objectives: We sought to estimate the costs of implementing the current recommendations for healthy choices for a mother with two young children in Atlanta, Georgia. ^ Methods: Current recommendations for healthy choices promoted by the federal government or other credible source were compiled and operationalized into specific conditions or behaviors. The costs of implementing these choices in Atlanta were estimated by using internet searches of retailers/suppliers, phone interviews, and direct observation. The least expensive option was chosen when options were available. ^ Results: Recommendations for choosing a healthy neighborhood, home, school, child care, food, physical activity, and maintaining healthy relationships as well as access to health care were considered. Total costs for this family of three totaled $38,181. Housing, child care, and health insurance contributed to 78% of the total costs. ^ Conclusions: The minimum income needed to choose healthy choices falls short of current wages, and eligibility levels and benefits for income support. ^
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Written by Mamoru Ishikawa.
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L’objectif de ce mémoire est d’identifier les déterminants de la générosité de l’aide sociale au Canada. Plus précisément, quels sont les facteurs qui expliquent les variations entre les montants d’aide sociale entre les provinces canadiennes de 1990 à 2009? Pourquoi le Québec, la Saskatchewan et Terre-Neuve-Labrador sont plus généreux que le Nouveau-Brunswick et l’Alberta? L’analyse de ces 10 politiques distinctes est produite à partir d’un cadre théorique quadripartite qui inclut le rôle des acteurs (partis politiques et syndicats), les traits institutionnels (dépenses publiques et engagement à la redistribution), les contraintes budgétaires (taux d’assistance sociale, dette, économie) et le rôle du gouvernement fédéral (montant et type de transfert). Les résultats démontrent que l’aide sociale est une politique hautement dépendante au sentier et incrémentale. Des transferts fédéraux à coût partagé et un taux de syndicalisation élevé sont des facteurs qui exercent une influence positive sur la générosité des provinces. À l’inverse, les partis de droite ainsi qu’une situation budgétaire difficile ont un impact négatif. Il faut noter que la richesse économique des provinces n’est pas associée à une plus grande générosité de l’aide sociale, au contraire les prestations d’aide sociale étaient plus faibles en 2009 qu’en 1990 malgré un PIB qui a presque doublé. De plus, des provinces riches comme l’Alberta et la Colombie-Britannique sont peu généreuses. Finalement, il faut noter que les partis politiques de gauche n’ont pas l’effet positif escompté sur la générosité des politiques de revenu minimum.
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L’objectif de ce mémoire est d’identifier les déterminants de la générosité de l’aide sociale au Canada. Plus précisément, quels sont les facteurs qui expliquent les variations entre les montants d’aide sociale entre les provinces canadiennes de 1990 à 2009? Pourquoi le Québec, la Saskatchewan et Terre-Neuve-Labrador sont plus généreux que le Nouveau-Brunswick et l’Alberta? L’analyse de ces 10 politiques distinctes est produite à partir d’un cadre théorique quadripartite qui inclut le rôle des acteurs (partis politiques et syndicats), les traits institutionnels (dépenses publiques et engagement à la redistribution), les contraintes budgétaires (taux d’assistance sociale, dette, économie) et le rôle du gouvernement fédéral (montant et type de transfert). Les résultats démontrent que l’aide sociale est une politique hautement dépendante au sentier et incrémentale. Des transferts fédéraux à coût partagé et un taux de syndicalisation élevé sont des facteurs qui exercent une influence positive sur la générosité des provinces. À l’inverse, les partis de droite ainsi qu’une situation budgétaire difficile ont un impact négatif. Il faut noter que la richesse économique des provinces n’est pas associée à une plus grande générosité de l’aide sociale, au contraire les prestations d’aide sociale étaient plus faibles en 2009 qu’en 1990 malgré un PIB qui a presque doublé. De plus, des provinces riches comme l’Alberta et la Colombie-Britannique sont peu généreuses. Finalement, il faut noter que les partis politiques de gauche n’ont pas l’effet positif escompté sur la générosité des politiques de revenu minimum.
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Ce mémoire vise à comprendre la détermination des droits et des obligations relatifs aux individus seuls aptes à l’emploi bénéficiant de l’aide sociale allemande entre 1990 et 2012. Tout d’abord, il passe en revue les principaux mécanismes formels de fixation et d’actualisation des droits monétaires présents dans la plupart des pays de l’OCDE et montre par quels moyens l’Allemagne détermine la générosité des revenus de l’aide sociale. Soulevant le caractère plutôt arbitraire de ces mécanismes, il poursuit en soutenant que la générosité relative des droits et des obligations des individus seuls aptes à l’emploi peut principalement s’expliquer en des termes de conditionnalité et de mérite. Par le biais d’une revue de la littérature sur le sujet, le mémoire illustre comment les dynamiques catégorielles et la construction des programmes de dernier recours allemands en viennent à refléter une hiérarchie implicite du mérite expliquant à la fois la générosité plus faible des droits monétaires et la plus grande conditionnalité des droits sociaux visant les bénéficiaires seuls aptes à l’emploi. Finalement, il soutient que la construction du régime concernant les individus aptes à l’emploi en Allemagne doit se comprendre selon l’utilisation des droits et des obligations en tant que levier de régulation de l’individu et du marché du travail. Dans cette optique, le mémoire montre que les réformes Hartz du marché du travail ont non seulement formalisé le tournant pris vers l’activation du sans-emploi en Allemagne, mais que la construction particulière du nouveau régime de droits et d’obligations visant les individus aptes reflète ultimement l’objectif de diminution du chômage via la création d’emplois dans le secteur des bas salaires.
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Ce mémoire vise à comprendre la détermination des droits et des obligations relatifs aux individus seuls aptes à l’emploi bénéficiant de l’aide sociale allemande entre 1990 et 2012. Tout d’abord, il passe en revue les principaux mécanismes formels de fixation et d’actualisation des droits monétaires présents dans la plupart des pays de l’OCDE et montre par quels moyens l’Allemagne détermine la générosité des revenus de l’aide sociale. Soulevant le caractère plutôt arbitraire de ces mécanismes, il poursuit en soutenant que la générosité relative des droits et des obligations des individus seuls aptes à l’emploi peut principalement s’expliquer en des termes de conditionnalité et de mérite. Par le biais d’une revue de la littérature sur le sujet, le mémoire illustre comment les dynamiques catégorielles et la construction des programmes de dernier recours allemands en viennent à refléter une hiérarchie implicite du mérite expliquant à la fois la générosité plus faible des droits monétaires et la plus grande conditionnalité des droits sociaux visant les bénéficiaires seuls aptes à l’emploi. Finalement, il soutient que la construction du régime concernant les individus aptes à l’emploi en Allemagne doit se comprendre selon l’utilisation des droits et des obligations en tant que levier de régulation de l’individu et du marché du travail. Dans cette optique, le mémoire montre que les réformes Hartz du marché du travail ont non seulement formalisé le tournant pris vers l’activation du sans-emploi en Allemagne, mais que la construction particulière du nouveau régime de droits et d’obligations visant les individus aptes reflète ultimement l’objectif de diminution du chômage via la création d’emplois dans le secteur des bas salaires.
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Bien qu'il soit désormais établi que les institutions du travail (tel que la syndicalisation et le salaire minimum) aient eu pour effet de réduire l'inégalité des salaires entre les travailleurs au Canada et dans d'autres pays industrialisés, leur impact sur l'inégalité des revenus entre les familles ou les ménages reste incertain. Cette étude a pour but d'estimer l'impact de la densité syndicale et du salaire minimum réel sur l'évolution de l'inégalité des revenus de marché entre les ménages canadiens durant les années 1981 à 2008. À partir d'une base de données qui intègre des données annuelles agrégées par province, et en maintenant constant un ensemble de facteurs, les estimations par effets fixes indiquent que la densité syndicale a réduit l'inégalité des revenus mesurée au moyen du coefficient de Gini, alors que le salaire minimum réel a plutôt eu pour effet d'accroître celle-ci. Les résultats d'estimation indiquent également que le taux d'activité et la scolarité moyenne sont les principaux facteurs à avoir réduit l'inégalité des revenus, alors que le taux de chômage, le changement technologique (mesuré de différentes façons) et l'immigration récente ont contribué à l'accroître.
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Les glycosides sont reconnus pour leur potentiel pharmaceutique tels que les antibiotiques, les agents anticancéreux et antiviraux. Ils sont impliqués dans plusieurs processus biologiques entre autres la reconnaissance cellulaire, l’inflammation, la réponse immunitaire, la croissance, le transport cellulaire, l’adhésion cellulaire et les groupes sanguin. Notre groupe excelle dans la glycosidation stéréocontrôlée avec un minimum de protection suivant le concept d’activation à distance d’aglycones hétérocycliques anomériques. La présence d’une quantité sous stoechiométrique d’acide de Lewis, les (2-pyridyl)-β-D-glycosides déprotégés sont d’excellents donneurs permettant de haute sélectivité pour l’anomère- α-D de glycosides simples et complexes. Inversement, (2-pyridyl)-α-D-glycosides donnent les β-D-glycosides avec de bonne sélectivité. Des exemples de formation stéréocontrôlée de glycosides sont présentés dans cette thèse avec des accepteurs tels que les phénols, les stéroïdes, les terpènes et les acides hydroxyaminés. Cette méthodologie de glycosidation a été appliquée sur support solide.
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Given the growing impact of human activities on the sea, managers are increasingly turning to marine protected areas (MPAs) to protect marine habitats and species. Many MPAs have been unsuccessful, however, and lack of income has been identified as a primary reason for failure. In this study, data from a global survey of 79 MPAs in 36 countries were analysed and attempts made to construct predictive models to determine the income requirements of any given MPA. Statistical tests were used to uncover possible patterns and relationships in the data, with two basic approaches. In the first of these, an attempt was made to build an explanatory "bottom-up" model of the cost structures that might be required to pursue various management activities. This proved difficult in practice owing to the very broad range of applicable data, spanning many orders of magnitude. In the second approach, a "top-down" regression model was constructed using logarithms of the base data, in order to address the breadth of the data ranges. This approach suggested that MPA size and visitor numbers together explained 46% of the minimum income requirements (P < 0.001), with area being the slightly more influential factor. The significance of area to income requirements was of little surprise, given its profile in the literature. However, the relationship between visitors and income requirements might go some way to explaining why northern hemisphere MPAs with apparently high incomes still claim to be under-funded. The relationship between running costs and visitor numbers has important implications not only in determining a realistic level of funding for MPAs, but also in assessing from where funding might be obtained. Since a substantial proportion of the income of many MPAs appears to be utilized for amenity purposes, a case may be made for funds to be provided from the typically better resourced government social and educational budgets as well as environmental budgets. Similarly visitor fees, already an important source of funding for some MPAs, might have a broader role to play in how MPAs are financed in the future. (C) 2007 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Pós-graduação em Psicologia - FCLAS
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Pre-requisites for health are equity, minimum income, nutrition, peace, water, sanitation, housing, education, work, political will and public support (WHO, 1986). It has long been known that social disadvantage harms health (Black, 1980, Ettner, 1996). Many researchers have documented that those in lower socio-economic groups are more at risk of developing major chronic diseases such as cardiovascular diseases (Beaglehole and Yach, 2003, WHO, 2003a), diabetes (Wilder et al., 2005), and some cancers (Brunner et al., 1993, Strong et al., 2005), and are at a higher risk of having multiple risk factors associated with these diseases (Lynch et al., 1997). The living standards that many people enjoy and the behavioural choices they make are heavily determined by their access to resources such as income, wealth, goods and services (O’Flynn and Murphy, 2001). The most prominent explanation between disadvantage and health is that lack of resources restricts access to the fundamental conditions of health such as adequate housing (Macintyre et al., 2003, Macintyre et al., 2005), good nutrition (Nelson et al., 2002) and opportunities to participate in society (McDonough et al., 2005). Each of these issues are very much influenced by material and structural factors inherent to and determined by fiscal, social and health policy (Graham and Kelly, 2004, Milio, 1986).
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Evidence Review 6 - Health inequalities and the living wage Briefing 6 - Health inequalities and the living wage This pair of documents, commissioned by Public Health England, and written by the UCL Institute of Health Equity, address the role of a minimum income in improving health. These papers provide a summary of evidence on the health impacts of living on a low income. They assess the evidence around how the living wage addresses low incomes, health and health inequalities. The living wage is an hourly minimum wage, optional for employers, calculated according to the basic cost of living. Local authorities and other organisations that have implemented the living wage for their staff are presented as case study interventions to show how it is possible, the challenges faced and how they were overcome and any reported income, health and business benefits. The full evidence review and a shorter summary briefing are available to download above. This document is part of a series. An overview document which provides an introduction to this and other documents in the series, and links to the other topic areas, is available on the ‘Local Action on health inequalities’ project page. A video of Michael Marmot introducing the work is also available on our videos page.
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The successful expansion of the U.S. crop insurance program has not eliminated ad hoc disaster assistance. An alternative currently being explored by members of Congress and others in preparation of the 2007 farm bill is to simply remove the “ad hoc” part of disaster assistance programs by creating a standing program that would automatically funnel aid to hard-hit regions and crops. One form such a program could take can be found in the area yield and area revenue insurance programs currently offered by the U.S. crop insurance program. The Group Risk Plan (GRP) and Group Risk Income Protection (GRIP) programs automatically trigger payments when county yields or revenues, respectively, fall below a producer-elected coverage level. The per-acre taxpayer costs of offering GRIP in Indiana, Illinois, and Iowa for corn and soybeans through the crop insurance program are estimated. These results are used to determine the amount of area revenue coverage that could be offered to farmers as part of a standing farm bill disaster program. Approximately 55% of taxpayer support for GRIP flows to the crop insurance industry. A significant portion of this support comes in the form of net underwriting gains. The expected rate of return on money put at risk by private crop insurance companies under the current Standard Reinsurance Agreement is approximately 100%. Taking this industry support and adding in the taxpayer support for GRIP that flows to producers would fund a county target revenue program at the 93% coverage level.