10 resultados para Mallarme


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O presente trabalho tem como objetivo geral analisar como ocorre a intertextualidade dos escritores T. S. Eliot, James Joyce, Robert Stock, Emily Dickinson, Walt Whitman e Ezra Pound, na obra de Mário Faustino. De acordo com autores como Bosi (1994) e Benedito Nunes (1985), a poesia de Faustino resulta da soma de poetas que ele leu, em diferentes momentos, tais como: Mallarmé, Yeats, Rilke, cummings, Joyce e Pound, deste último se utilizou do lema “repetir para aprender, criar para renovar”. O lema de Pound remete direta ou indiretamente à presença de outros autores em alguns poemas de Faustino. Mas este fato sempre foi tratado com poucas comprovações práticas. Assim, estabelecemos alguns parâmetros para escolher quais autores seriam analisados: utilizaremos somente autores anglófonos e, dentre eles, apenas autores que Faustino traduziu em suplementos literários e em uma revista. Partindo desse princípio, os autores foram distribuídos em dois momentos que definimos como ciclos: o ciclo-norte, o qual abrangeu o suplemento Arte-Literatura e a revista Norte; e o ciclo-sudeste, o qual abrangeu o suplemento Poesia-Experiência. Em ambos os ciclos, procuramos meios que nos permitissem mostrar que determinados autores estão presentes na obra de Faustino, seja por meio da criação de novos poemas com base em um poema de um autor anglófono ou por meio da incorporação de elementos característicos de determinado escritor também anglófono. Para esta pesquisa utilizamos alguns autores como: Chaves (1986) Kristeva (1974) e Bakhtin (2003; 2006), Santiago (1978), Nunes (1985; 1986; 1997; 2009) e Campos (1977; 1992). Percebemos, de acordo com Compagnon (2007), como ocorre o trabalho de reconstrução da escrita, neste caso na análise entre as traduções realizadas por Mário Faustino e os poemas dele, no qual cada etapa é um liame de uma imensa trama que liga este texto a outros lidos e “recortados”, que é manipulado por um indivíduo, ao mesmo tempo, autor e leitor (Faustino). Assim, o autor/leitor, possuiu como prática a tarefa de citar, ou seja, redizer o que já havia sido dito por outros.

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This critical/creative project considers Stéphane Mallarmé’s critical poems in his 1897 Divagations as an invitation to explore the notion of criticism and the relationship between the conceptual and the nonconceptual aspects of writing and thinking. Informed by Emmanuel Levinas’s ethics of the face, Walter Benjamin’s essay “The Task of theTranslator” and the myth of Orpheus, I consider ways to approach that which may not be said or thought by following Mallarmé’s method of combining poetry and criticism to create a wandering, unclassifiable text where we may imagine the nonconceptual as a remoteness, as the presence of an absence.

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An election at the English Academy. Has America produced a poet? The influence of democracy on literature. Is verse in danger? The limits of realism in fiction. Making a name in literature. Shelley in 1892. Symbolism and M. Stéphane Mallarmé. Tennyson-and after. Two pastels: 1. Mr. Robert Louis Stevenson as a poet. 2. Mr. Rudyard Kipling's short stories. The tyranny of the novel. What is a great poet?

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The last chapter, which is not in any sense a profile, was published, in a French translation made by Henry D. Davray, in the Mercure de France and then as a separate brochure. The profiles are reprinted in part from the Fortnightly review, the Contemporary review, the International quarterly review, the Saturday review, the Daily chronicle, and the Cosmopolis. cf. Pref.

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Charles Guerin.--Remy de Gourmont.--Stephane Mallarme.--Jules Laforgue.--Paul Verlaine.

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Stéphane Mallarmé's texts on dance criticism occupy a prominent place in dance literature. They have also been of major interest to the Mallarme specialists who have seen in them the key to a greater understanding of the whole of his work. In this article I determine how his dance writings can be interpreted in the context of the whole of the œuvre, including for example the women's magazine he wrote and produced, La Dernière Mode. I establish to what extent the female presence in Mallarmé's poetry tends towards metaphors, women's bodies absent or negated by the gaze of the poet. As the poet responds to the stimulus of the dance, he divests the female dancer of her womanly characteristics, recasting her in his own imagination both as feminine principle and incarnation of 'l'Idée', and also as mythical being, 'au-delà de toute vie possible', a composite of other female characters inhabiting his œuvre, constantly poised between presence and absence, stillness and movement, a locus for a precarious balance which is endlessly re-enacted in h.is own writing practice.

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Le mouvement derridien de la différance marque la rupture avec l'affirmation de la métaphysique de la présence, avec l'autorité du signifié transcendantal. Dans cet univers mouvant de signifiants qui se renvoient perpétuellement les uns aux autres, la logique d'univocité se disloque. La "présence" n'est que fantomatique, s'esquissant au sein d'une chaîne ininterrompue de signifiants et se laissant toujours creuser par la marque d'un irréductible manque. Face au logocentrisme, corollaire de l'affirmation de la présence, l'écriture se veut siège et articulation de la trace, d'une origine qui ne peut être que raturée, véhicule d'une irrémédiable fêlure. La volet littéraire de la déconstruction a pour but de mettre en évidence le fonctionnement de l'"indécidabilité" du discours, soit une certaine ambivalence dans la signification qui caractérise tout texte. L'objectif principal de la présente recherche est de fournir une compréhension plus approfondie de la déconstruction en insistant sur l'ancrage langagier de tout texte. Le discours philosophique n'échappe ainsi pas au mécanisme différentiel du langage et de la dérive métaphorique. La parenté entre la perspective déconstructiviste derridienne et la conception mallarméenne du langage poétique semble frappante. La mise en oeuvre, par Mallarmé, d'une dislocation de l'espace textuel, son minutieux "creusement" du vers après renoncement à toute quête d'"Idéal", la mise en relief du leurre de l'appropriation langagière, voilà qui trouve un écho particulier dans les thèses derridiennes. La "mimésis" platonicienne se voit au travers du prisme de la "mimique" mallarméenne. La déconstruction poursuit son travail de "luxation" de l'oreille philosophique, insérant les philosophèmes dans la matrice langagière, les livrant ainsi au hasard du cheminement textuel et les confrontant à l'aporie. La philosophie n'a alors d'autre choix que d'abandonner ses prétentions transcendantales. La marche de la "différance" instaure une inexorable distance qui prive le sujet de tout rapport direct avec une origine assurée et lui ôte toute possibilité de maîtrise sur le monde. Au travers de la langue, se profile la question de l'altérité, de la relation dissymétrique qui nous lie à cet "autre", ce "tout-autre" qui nous fonde et nous constitue. L'accueil inconditionnel de cette altérité nous mènera à l'étude de la "religion", la déconstruction se tournant vers le "religieux" tout en effectuant un "retournement" habile de tout credo essentialiste.

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Le mouvement derridien de la différance marque la rupture avec l'affirmation de la métaphysique de la présence, avec l'autorité du signifié transcendantal. Dans cet univers mouvant de signifiants qui se renvoient perpétuellement les uns aux autres, la logique d'univocité se disloque. La "présence" n'est que fantomatique, s'esquissant au sein d'une chaîne ininterrompue de signifiants et se laissant toujours creuser par la marque d'un irréductible manque. Face au logocentrisme, corollaire de l'affirmation de la présence, l'écriture se veut siège et articulation de la trace, d'une origine qui ne peut être que raturée, véhicule d'une irrémédiable fêlure. La volet littéraire de la déconstruction a pour but de mettre en évidence le fonctionnement de l'"indécidabilité" du discours, soit une certaine ambivalence dans la signification qui caractérise tout texte. L'objectif principal de la présente recherche est de fournir une compréhension plus approfondie de la déconstruction en insistant sur l'ancrage langagier de tout texte. Le discours philosophique n'échappe ainsi pas au mécanisme différentiel du langage et de la dérive métaphorique. La parenté entre la perspective déconstructiviste derridienne et la conception mallarméenne du langage poétique semble frappante. La mise en oeuvre, par Mallarmé, d'une dislocation de l'espace textuel, son minutieux "creusement" du vers après renoncement à toute quête d'"Idéal", la mise en relief du leurre de l'appropriation langagière, voilà qui trouve un écho particulier dans les thèses derridiennes. La "mimésis" platonicienne se voit au travers du prisme de la "mimique" mallarméenne. La déconstruction poursuit son travail de "luxation" de l'oreille philosophique, insérant les philosophèmes dans la matrice langagière, les livrant ainsi au hasard du cheminement textuel et les confrontant à l'aporie. La philosophie n'a alors d'autre choix que d'abandonner ses prétentions transcendantales. La marche de la "différance" instaure une inexorable distance qui prive le sujet de tout rapport direct avec une origine assurée et lui ôte toute possibilité de maîtrise sur le monde. Au travers de la langue, se profile la question de l'altérité, de la relation dissymétrique qui nous lie à cet "autre", ce "tout-autre" qui nous fonde et nous constitue. L'accueil inconditionnel de cette altérité nous mènera à l'étude de la "religion", la déconstruction se tournant vers le "religieux" tout en effectuant un "retournement" habile de tout credo essentialiste.