5 resultados para Hyperflexion
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This paper reports the occurrence of osteochondrosis in feedlot cattle submitted to a high-caloric diet. About 11.6% of the animals showed symptoms that included lameness, tarsal hyperflexion, muscle fasciculations, reluctance to move and delayed recumbency. Necropsy and radiologic examination showed typical lesion of osteochondrosis, including cartilage discontinuity and osseous injury. The diet, age and high grow rate of the animals were considered to he factors in the development of osteochondrosis.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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ABSTRACT: Isolated non-skeletal injuries of the cervical spine are rare and frequently missed. Different evaluation algorithms for C-spine injuries, such as the Canadian C-spine Rule have been proposed, however with strong emphasis on excluding osseous lesions. Discoligamentary injuries may be masked by unique clinical situations presenting to the emergency physician. We report on the case of a 28-year-old patient being admitted to our emergency department after a snowboarding accident, with an assumed hyperflexion injury of the cervical spine. During the initial clinical encounter the only clinical finding the patient demonstrated, was a burning sensation in the palms bilaterally. No neck pain could be elicited and the patient was not intoxicated and did not have distracting injuries. Since the patient described a fall prevention attempt with both arms, a peripheral nerve contusion was considered as a differential diagnosis. However, a high level of suspicion and the use of sophisticated imaging (MRI and CT) of the cervical spine, ultimately led to the diagnosis of a traumatic disc rupture at the C5/6 level. The patient was subsequently treated with a ventral microdiscectomy with cage interposition and ventral plate stabilization at the C5/C6 level and could be discharged home with clearly improving symptoms and without further complications.This case underlines how clinical presentation and extent of injury can differ and it furthermore points out, that injuries contracted during alpine snow sports need to be considered high velocity injuries, thus putting the patient at risk for cervical spine trauma. In these patients, especially when presenting with an unclear neurologic pattern, the emergency doctor needs to be alert and may have to interpret rigid guidelines according to the situation. The importance of correctly using CT and MRI according to both - standardized protocols and the patient's clinical presentation - is crucial for exclusion of C-spine trauma.
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Cette étude vise à caractériser le «crampage», une entité relativement nouvelle dans l’industrie ovine au Québec. Les signes cliniques se manifestent au pas, par une hyperflexion (hanche, grasset, jarret), d’un ou des deux membres pelviens. Cinq agneaux naturellement affectés et cinq agneaux appariés cliniquement normaux ont été soumis à des examens physique, neurologique et orthopédique, à des techniques d’imagerie avancée (tomodensitométrie, résonance magnétique), à des tests électrodiagnostiques (électromyogramme, vitesses de conduction nerveuse motrice et sensitive) puis à une nécropsie. Des hématologies, biochimies ainsi que des analyses du liquide céphalorachidien ont également été réalisées. Les résultats ont été comparés entre les groupes (affectés/cliniquement normaux). Il a été constaté à la tomodensitométrie que la surface du canal vertébral mesurée au niveau de la deuxième vertèbre lombaire était inférieure dans le groupe des agneaux affectés (p=0.045). Aucune répercussion n’a été constatée sur le segment de moelle épinière correspondant. La racine S2, quant à elle, était plus grêle dans le groupe des agneaux affectés (p=0.01). À l’issue de cette étude, une cause orthopédique, musculaire ou neurologique consécutive à une lésion structurale de la moelle épinière a été écartée. Il pourrait s‘agir d’une atteinte sensitive de la racine S2 altérant la sensation dans le membre affecté, toutefois, une anomalie fonctionnelle cérébrale ou de la moelle épinière dans le renflement lombaire, est également à considérer. Sans anomalie musculaire, l’appellation «crampage» est inexacte. Nous proposons de la remplacer par des termes plus descriptifs comme «syndrome d’hyperflexion» ou «high stepping gait».
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Cette étude vise à caractériser le «crampage», une entité relativement nouvelle dans l’industrie ovine au Québec. Les signes cliniques se manifestent au pas, par une hyperflexion (hanche, grasset, jarret), d’un ou des deux membres pelviens. Cinq agneaux naturellement affectés et cinq agneaux appariés cliniquement normaux ont été soumis à des examens physique, neurologique et orthopédique, à des techniques d’imagerie avancée (tomodensitométrie, résonance magnétique), à des tests électrodiagnostiques (électromyogramme, vitesses de conduction nerveuse motrice et sensitive) puis à une nécropsie. Des hématologies, biochimies ainsi que des analyses du liquide céphalorachidien ont également été réalisées. Les résultats ont été comparés entre les groupes (affectés/cliniquement normaux). Il a été constaté à la tomodensitométrie que la surface du canal vertébral mesurée au niveau de la deuxième vertèbre lombaire était inférieure dans le groupe des agneaux affectés (p=0.045). Aucune répercussion n’a été constatée sur le segment de moelle épinière correspondant. La racine S2, quant à elle, était plus grêle dans le groupe des agneaux affectés (p=0.01). À l’issue de cette étude, une cause orthopédique, musculaire ou neurologique consécutive à une lésion structurale de la moelle épinière a été écartée. Il pourrait s‘agir d’une atteinte sensitive de la racine S2 altérant la sensation dans le membre affecté, toutefois, une anomalie fonctionnelle cérébrale ou de la moelle épinière dans le renflement lombaire, est également à considérer. Sans anomalie musculaire, l’appellation «crampage» est inexacte. Nous proposons de la remplacer par des termes plus descriptifs comme «syndrome d’hyperflexion» ou «high stepping gait».