19 resultados para Hmong
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This brochure describes the textile folk art and needlework of the Hmong tribes who are from Northern China. It is a colorful and exciting addition for American admirers of fine stitching. It also tells of the history of the Hmong tribes.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La mobilité rurale-urbaine est sans contredit l’un des phénomènes les plus marquants que la Chine a connus depuis ses réformes des années 1980. D’une ampleur colossale, elle a constitué un fondement essentiel de sa transition et de son développement économiques. Or, si l’impact social de cette mobilité a été abondamment étudié dans les villes où séjournent les paysans, il demeure peu connu dans leur communauté d’origine, et encore moins en contexte de « nationalité minoritaire ». Reposant sur une enquête de terrain de plus d’une année, cette thèse en géographie sociale examine la (re)construction sociale dans une communauté rurale et minoritaire (c.àd. Hmong ou Miao) de Chine en lien avec le phénomène de la mobilité de travail. D’une intensité croissante, la pratique de la mobilité de travail par les membres de cette communauté est double. Les migrants sont soit des herboristes ambulants dans les villes de l’espace régional, soit des travailleurs salariés dans les villes orientales du pays. L’utilisation d’une approche du changement social intégrant les sphères du réel et de l’imagination et prenant en compte les dimensions territoriale et économique du phénomène migratoire est originale. De même, l’importance égale portée aux discours et aux actions des migrants et des non-migrants dans le processus de transformation sociale se veut novatrice. Dans ses résultats, cette thèse fait état, premièrement, d’une refonte des logiques territoriales et économiques de la communauté étudiée sous l’effet du phénomène migratoire. De toute évidence, les fondements géographiques de son territoire se sont récemment complexifiés et multipliés. Désormais, une variété de lieux, de frontières, de réseaux sociaux et d’échelles se dessine dans les configurations territoriales de ses membres. Les implications économiques sont tout aussi patentes. Outre la forte dominance des transferts d’argent des migrants dans les budgets familiaux, les questions du développement et des inégalités aux différentes échelles de la communauté renvoient aujourd’hui essentiellement au fait migratoire. Deuxièmement, cette thèse montre la forte empreinte laissée par la mobilité dans la sphère sociale. Nécessitant soutien aux extrémités de leur parcours, les migrants sollicitent de plus en plus l’aide de leurs réseaux lignagers, claniques, villageois et matrilinéaires. Et dans ce processus, il n’est pas rare qu’ils enfreignent consciemment les principes hiérarchiques traditionnels de leurs rapports familiaux. Aussi, au travers de la mobilité, des groupes longtemps marginalisés, tels les femmes et les jeunes adultes, ont acquis estime, autonomie et pouvoir décisionnel. Parallèlement, l’ordre social s’est bouleversé. Ce n’est plus le volume de la production agricole, mais le nombre de travailleurs migrants qui détermine aujourd’hui les différentes classes sociales de la communauté. Finalement, dans le contexte plus large des populations rurales et minoritaires de Chine et du Massif sud-est asiatique, cette thèse fait ressortir l’importance d’aborder la question de l’impact social de la mobilité au-delà des paradigmes de la modernisation et de l’intégration. Contrairement à la plupart des écrits touchant à cette question, il ne suffit pas de porter le regard sur l’influence que les urbains et leur mode de vie soi-disant moderne exercent sur les migrants. Il est également nécessaire de reconnaître les capacités d’initiative et d’innovation sociale des membres de ces populations, migrants et non-migrants. Mais aussi, cette recherche démontre que la question identitaire se doit d’être prise en compte. Les sentiments de marginalité et de subordination demeurent vivaces au travers du phénomène migratoire. Et de tels sentiments semblent se traduire, le plus souvent, par un renforcement des liens sociaux et intracommunautaires au sein même de ces populations minoritaires.
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"Submitted by Northwest Regional Educational Laboratory, Literacy & Language Program ... Stephen Reder, Project Director."--T.p.
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"April 30, 1984 [cover, October 1984]"
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"June 1984 [cover, October 1984]"
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"April 30, 1984"
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06
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Premios a la Innovación Educativa, 1993
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A polyphyletic understanding of Asian linguistic diversity was first propagated in 1823. Since 1901, various scholars have proposed larger linguistic phyla uniting two or more recognised Asian language families. The most recent proposal in this tradition, Starosta’s 2001 East Asian phylum, comprising the Trans-Himalayan, Hmong-Mien, Austroasiatic, Austronesian and Kradai language families, is reassessed in light of linguistic and non-linguistic evidence. Ethnolinguistically informed inferences based on Asian Y chromosomal phylogeography lead to a reconstruction of various episodes of ethnolinguistic prehistory which lie beyond the linguistic event horizon, i.e. at a time depth empirically inaccessible to historical linguistics. The Father Tongue correlation in population genetics, the evidence for refugia during the Last Glacial Maximum and the hypothesis of language families having arisen as the result of demographic bottlenecks in prehistory are shown to be crucial to an understanding of the ethnogenesis of East Asian linguistic phyla. The prehistory of several neighbouring Asian language families is discussed, and the Centripetal Migration model is opposed to the Farming Language Dispersal theory.
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Linguistic palaeontology permits the identification of two language families whose linguistic ancestors pose the likeliest candidates for the original domesticators of rice, viz. Hmong-Mien and Austroasiatic. In the 2009 model, the ancient Hmong-Mien was identified as the primary domesticators of Asian rice, and the ancient Austroasiatics as the secondary domesticators. Recent rice genetic research leads to the modification of this model for rice domestication, but falls short of identifying the original locus of rice domestication. At the same time, the precise whereabouts of the Austroasiatic homeland remains disputed. Linguistic evidence unrelated to rice agriculture has been adduced to support a southern homeland for Austroasiatic somewhere within the Bay of Bengal littoral. The implications of new rice genetic research are discussed, the linguistic palaeontological evidence is reassessed, and an enduring problem with the archaeology of rice agriculture is highlighted.
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Without the music.
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"Prepared for Advanced Research Projects Agency."