16 resultados para Frescoes
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The object of this study is Jacopo Bassano (c. 1510 1592) as a fresco painter and the significance of frescoes in his late production. The research focuses on the only surviving cycle of frescoes of his later years in the Cartigliano parish church, bearing the date 1575. The other cycle studied here was painted for the 16th century parish church of Enego. It contained one of the most extensive fresco decorations executed by Jacopo Bassano together with his eldest son Francesco. However, nothing has survived of the fresco cycle and the ceiling paintings of the church, nor is any visual documentation of them left. Only the small altarpiece attributed to Jacopo Bassano and depicting Saints Justine, Sebastian, Anthony Abbott, and Roch (dated to c. 1555/1560) has been preserved. I have suggested that the frescoes of the Cartigliano parish church should be examined in the interpretational context of the spirituality of the post-Tridentine period. This period frames the historical context for the frescoes and functions as a basis for the iconographical interpretation that I have proposed. I have shown that the iconographic programme of the frescoes in the choir of the Cartigliano parish church has obvious points of contact with the Catholic doctrines reconfirmed by the Council of Trent (1545 1563). I also argue that the fresco cycle and the ceiling paintings of the Enego church should be placed in the same interpretational context as the frescoes of Cartigliano. I present a reconstruction of the frescoes in the choir attributed to Jacopo Bassano and of those on the walls of the nave attributed to his son Francesco Bassano. According to my reconstruction, the frescoes in the choir and nave walls formed a coherent cycle with a unitary iconographic programme which included the 28 paintings with Old Testament subjects in the nave ceiling. The reconstruction includes the dating and the iconography of the fresco programme and its interpretative basis. The reconstruction is based on visitation records and inventories from the 16th and 17th centuries as well as on the oldest relevant literature, namely the descriptions offered by Carlo Ridolfi (1648) and G. B. Verci (1775). I also consider the relationship of the large compositional sketches attributed to Jacopo Bassano and depicting Christological subjects to the lost frescoes in Enego. These studies have been executed with coloured chalks, and many of them are also dated 1568 or 1569 by the painter. I suggest in this study that these large studies in coloured chalks were preparatory drawings for the fresco cycle in Enego, depicting scenes from the life and suffering of Christ. All the subjects of the aforesaid drawings were included in the Enego cycle.
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Esta tese procura defender a ideia de que foi a vinda para Portugal, nos anos 30 do século XIX, dos arquitectos, cenógrafos, e pintores decoradores de origem italiana, Cinatti e Rambois, que permitiu o retomar do fio perdido da pintura decorativa no País. Na década de 1830, dava-se, assim, início a uma nova etapa, na qual se concretizam uma série de encomendas de decoração de interiores que procuram satisfazer uma burguesia emergente, que assim sublinha o seu status social ao restaurar e transformar palácios antigos, ou ao mandar construir novos palácios e palacetes, que irão ser profusamente decorados por uma nova geração de pintores-decoradores. Era inaugurado o ressurgimento da pintura decorativa em Portugal. Esta dissertação tem também como um dos seus objectivos principais dar a conhecer e divulgar o património ímpar que constitui a pintura decorativa, para assim o poder depois proteger, num País em que o “fachadismo” faz escola, permitindo-se que os interiores sejam demolidos, e em que as artes decorativas são ainda tão esquecidas ou menosprezadas Este trabalho constitui – esperamos- uma primeira aproximação científica ao estudo de todo um conjunto de edifícios de valor patrimonial inestimável e à realidade que albergam no seu interior.
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There are many paths to reach Rome, immense field open to the eye through the centuries and days, where the presence of the story is haunting. All the artists came to Rome: Italians of various Italian and also French, Dutch, Flemish, Spanish, English and Americans. These painters whose works tell its long history for having lived in the glare of light forever are the Roman pantheon of arts: what are all the anonymous authors of the frescoes of ancient Rome and medieval, but Fabriano, Cimabue , Giotto, Botticelli, Raphael, Giulio Romano, Michelangelo, Caravaggio, Guido Reni, Guercino, Titian, Vasari, Velasquez, Le Nain, Poussin, Zuccari, Van Wittel, Eckersberg, Giraudet, David, Panini, Hubert Robert, Reynolds, Fuseli, Ingres, Sargent, Caffi, Vernet, Turner, Corot, Caffi, De Chirico, etc..
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Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Dès les débuts du christianisme, l’Église s’est servie de l’art. Au Moyen âge, en particulier, la décoration des cathédrales (sculptures, fresques vitraux) avait une valeur esthétique, mais plus encore, une valeur didactique. Moyens matériels pour faire la catéchèse, voire évangéliser, les crèches du Musée de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal s’inscrivent dans cette perspective. Tenant compte de cette mission d’évangélisation qui incombe à l’Église et de l’importance que prend de plus en plus le visuel dans la culture et la société actuelles, nous voulons partir de l’exposition des crèches de Noël à l’Oratoire Saint-Joseph, de l’année 2009, pour découvrir en quoi elle pourrait contribuer à l’évangélisation et à la croissance du christianisme et des chrétiens. En effet, les crèches de Noël sont essentiellement œuvre de foi, – non pas liée à la foi de l’auteur mais plutôt à l’effet que cette oeuvre peut avoir sur celui qui la regarde, – dont la dévotion à la sainte Famille. Ce moyen d’évangélisation dans ce monde en mutation où l’art visuel s’est avéré d’une extrême importance convient bien au contexte de la déchristianisation et peut offrir une complémentarité aux méthodes traditionnelles d’évangélisation basées surtout sur le discours. Ils sont complémentaires, dans le sens où il ne s’agit pas de « cheminer à travers villes et villages, prêchant et annonçant la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu » (Lc 8,1) aux personnes qui n’ont pas encore entendu parler du Christ, mais d’éveiller la curiosité chez les visiteurs non-chrétiens (Evangelii Nuntiandi 53), de stimuler l’intérêt à l’égard de la religion chez les non-pratiquants (EN 56) et, de soutenir et approfondir la foi des fidèles. Mots-clés : Christianisme – Église – transmission – évangélisation – éducation de la foi – musée – crèches – Oratoire Saint-Joseph.
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En 1993, l’église du monastère Humor et six autres églises du nord de la Moldavie (Roumanie) ont été classifiés comme patrimoine de l'UNESCO, en particulier en raison de leurs caractéristiques iconographiques et architecturales uniques. Construit au seizième siècle, le monastère Humor est devenu un riche centre religieux et culturel sous le patronage du prince Petru Rares de Moldavie. Ce centre a encouragé les innovations architecturales ecclésiales, ainsi qu’un programme très prolifique de fresques, extérieures et intérieures, exprimant une créativité au-delà du canon de la peinture de l'époque. La présente thèse est concentrée sur ces innovations architecturales et iconographiques, comprises à la lumière du contexte historique de ce moment unique dans l'histoire de la Moldavie, dans le siècle qui suivit la chute de Constantinople (1453). Tandis que la première partie de la thèse est concentrée sur ces circonstances historiques, et plus précisément sur l'impact du patronage du Prince Rares, la deuxième partie de la recherche est concentrée sur l'analyse des sources littéraires et de la théologie d’une série unique de fresques, placé dans la gropnita (chambre funéraire) de l’église monastique d’Humor, évoquant la vie de la Mère de Dieu. La série est un exemple extraordinaire d’interaction des textes, le Protévangile de Jacques et le Synaxarion, avec l'iconographie. Une attention particulière à l'iconographie du monastère Humor démontre le besoin de la corrélation entre texte et icône d'une part, ainsi que la nécessité d’une corrélation entre les études théologiques, l'art et l’histoire d’autre part. Un autre avantage de la recherche est de contribuer à une appréciation plus riche des trésors culturels et religieux des communautés chrétiennes de l'Europe de l'Est aux points de vue religieux et culturel, en réponse à leur reconnaissance comme patrimoine de l’UNESCO.
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Au moment où se poursuit l’établissement des princes de l’Église dans la campagne romaine par la construction de somptueuses villas, le Concile de Trente (1545-1563) adopte une série de décrets qui entendent réaffirmer les dogmes catholiques et réformer les mœurs du clergé, critiqués par les protestants. Puisque la villa est perçue au 16e siècle comme un lieu où le fidèle peut faire l’expérience d’une retraite spirituelle, ce mémoire souhaite lever le voile sur les pratiques dévotionnelles suburbaines post-tridentines. Pour ce faire, les cycles picturaux de trois chapelles de villas romaines dont la décoration a été réalisée à la suite de cet important concile sont examinés : la chapelle du palazzo Farnese à Caprarola, appartenant au cardinal Alessandro Farnese (1520-1589), la chapelle de la villa d’Este à Tivoli, construite pour le cardinal Ippolito II d’Este (1509-1572), et la chapelle de la villa Mondragone à Frascati, commanditée par le cardinal Marco Sittico Altemps (1533-1595) pour le pape Grégoire XIII (1502-1585). Il s’agit de vérifier l’impact des pratiques dévotionnelles sur le choix des décors dans ces lieux de culte privés. S’attarder à la perception du regardeur de l’époque et au rapport spirituel du public à l’image implique que nous analysions notre corpus à l’aide d’un cadre anthropologique.
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Pós-graduação em Artes - IA
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Este artículo analiza la función de la figura de san Vicente Ferrer en la política de afianzamiento y expansión de la Corona de Aragón en la Italia de mediados del siglo XV y hasta el siglo XVIII. San Vicente Ferrer, clásico innegable de la cultura de la Corona de Aragón, ejerció una extraordinaria influencia en el pensamiento, la predicación y la ortodoxia católicas, así como también, en el tablero de ajedrez de la alta política de fines del siglo XIV y principios del XV. Su influencia fue prácticamente ubicua y omnímoda: predicaba a las masas de casi toda Europa occidental, enfervorizadas por sus dotes oratorias y su dominio de las artes de la predicación, al mismo tiempo que ejercía de consejero de máxima confianza de papas, reyes y gobernantes, escribía densos tratados de teología y filosofía moral, y obraba milagros (más de 900 registrados en su Causa de Canonización). Caló muy hondo, también después de su muerte y durante siglos, en toda Italia, que era el gran escenario de la política y de la cultura humanística y del Renacimiento. Ello se aprovechó por parte de la Corona de Aragón para su expansión en Italia, desde la conquista de Nápoles por Alfonso el Magnánimo. Todo ello se analiza en este estudio a partir de obras de arte (capillas, cuadros, retablos, frescos y mosaicos), nunca tenidas en cuenta en este sentido, pero que, como queda demostrado, son muestra y prueba de esa influencia tanto religiosa como también política de la “figura” de este santo valenciano. Se trata en definitiva del análisis de la poliédrica función de los clásicos.
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Se ha localizado en el margen de la carretera comarcal CV 795 en su kilómetro 17 próximo a Ulls de Canals y dentro del término de Banyeres de Mariola, una buena población asilvestrada de Rosa gallica L. var. officinalis (hort. ex Andrews) Ser., que corresponde a la segunda población localizada en Alicante, puesto que se conocía una población pero situada próxima al litoral en la comarca de la Marina Alta. La llamada rosa de Provins o provincialis (de Provenza) es una de las rosas cultivadas en Europa desde más antiguo, probablemente la primera. Aparece dibujada en los frescos de Pompeya, fue también la rosa de las boticas (“Officinalis”) y se corresponde con la famosa rosa roja o Rosa de Lancanster, símbolo de este bando en la Guerra de civil inglesa llamada de “las dos rosas”. Su cultivo en España fue muy importante y era frecuentemente citada en la literatura botánica antigua, fue llamada “rosa de Castilla” pero con el tiempo y el abandono del campo, su presencia fue disminuyendo y de forma asilvestrada solo aparece en unas pocas provincias españolas, aunque se sigue manteniendo su cultivo a pequeña escala en colecciones particulares y rosaledas. Precisamente, en la Rosaleda “Pere Dot” del Jardín Botánico de Torretes (Ibi) mantenemos en cultivo dos de las variedades botánicas reconocidas y muchos de los cultivares e híbridos de este rosal, que hemos adquirido de colecciones extranjeras. El hallazgo de este material asilvestrado probablemente procedente de antiguos cultivos en la zona, tiene gran valor etnobotánico y puede tener valor genético. Aunque en su morfología no se han encontrado diferencias relevantes, se ha procedido a su multiplicación vegetativa y será próximamente incluido en la rosaleda del Jardín Botánico, junto con pliegos de herbario y semillas.
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Cavalieri has engraved reproductions of Circignano's frescoes in S. Stefano Rotondo in Rome.