995 resultados para French teaching


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Este relatório surge no âmbito da minha Prática do Ensino Supervisionada e representa uma reflexão sobre a minha iniciação como professora de Inglês e de Francês no 3º ciclo do Ensino Básico e no Ensino Secundário. A reflexão teve como objeto o conceito de ‘aprendizagem criativa’ na teoria do ensino da língua estrangeira e a sua aplicação na prática letiva, nas duas escolas onde desenvolvi o meu estágio, a Escola Secundária de Sebastião da Gama e a Escola Básica do 2º e 3º Ciclos de Aranguez, ambas em Setúbal. Para além de uma tentativa de sistematização das abordagens teóricos, de modo a tornar a noção de ‘criatividade’ mais aplicável na prática da docência da língua estrangeira, a nossa reflexão procura evidenciar como e em que situações a aprendizagem se revela criativa e demonstra a sua utilidade para a aula de língua estrangeira.

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Cette recherche vise à décrire 1) les erreurs lexicales commises en production écrite par des élèves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français (conception de l’erreur lexicale, pratiques d’évaluation du vocabulaire en production écrite, modes de rétroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse d’erreurs à trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs à l’aide d’une typologie, 2) une évaluation de la gravité des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analysé est constitué de 300 textes rédigés en classe de français par des élèves de 3e secondaire. L’analyse a révélé 1144 erreurs lexicales. Les plus fréquentes sont les problèmes sémantiques (30%), les erreurs liées aux propriétés morphosyntaxiques des unités lexicales (21%) et l’utilisation de termes familiers (17%). Cette répartition démontre que la moitié des erreurs lexicales sont attribuables à une méconnaissance de propriétés des mots autres que le sens et la forme. L’évaluation de la gravité des erreurs repose sur trois critères : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la compréhension et leur degré d’intégration à l’usage. Les problèmes liés aux registres de langue sont généralement ceux qui sont considérés comme les moins graves et les erreurs sémantiques représentent la quasi-totalité des erreurs graves. Le troisième axe d’analyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : l’influence de la langue orale, la proximité sémantique et la parenté formelle entre le mot utilisé et celui visé. Le second volet de la thèse concerne le rapport des enseignants de français à l’erreur lexicale et repose sur l’analyse de 224 rédactions corrigées ainsi que sur une série de huit entrevues menées avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relèvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des propriétés morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilité, régime), qu’ils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, c’est-à-dire les erreurs sémantiques, l’emploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu relevées, et les annotations des enseignants concernant ces types d’erreurs sont vagues et peu systématiques, donnant peu de pistes aux élèves pour la correction. L’évaluation du vocabulaire en production écrite est toujours soumise à une appréciation qualitative, qui repose sur l’impression générale des enseignants plutôt que sur des critères précis, le seul indicateur clair étant la répétition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur l’intuition, ce qui témoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner très peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et d’outils adéquats. L’enseignement du vocabulaire est toujours subordonné à des tâches d’écriture ou de lecture et vise davantage l’acquisition de mots précis que le développement d’une réelle compétence lexicale.

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Thèse dirigée sous la direction conjointe de Lise Lamarche et Jean Trudel.

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Depuis quelques années, plusieurs didacticiens du français se penchent sur l’enseignement et l’évaluation de l’oral, mais peu d’informations sont encore disponibles concernant les pratiques effectives des enseignants à cet égard. Notre recherche vise à décrire les croyances de deux enseignants de français au secondaire et leurs pratiques au sujet de l’évaluation de l’oral, plus particulièrement de l’oral dans une situation d’interaction entre pairs. Une entrevue dirigée a permis d’avoir accès à leurs croyances et à leurs pratiques déclarées, alors que le think-aloud a été employé pour observer leur pratique d’évaluation, à l’étape du jugement, d’une situation d’interaction entre pairs. Nos résultats montrent que, du point de vue de leurs croyances, les enseignants ont tous deux des préoccupations concernant les tâches et les instruments d’évaluation, et que leurs pratiques d’évaluation déclarées sont assez semblables en ce qui a trait aux tâches retenues, à leur fréquence et à l’intention poursuivie. Du côté de leurs pratiques d’évaluation observées à l’étape du jugement, nous exposons de façon détaillée les gestes d’enseignants en situation authentique, en identifiant les principaux processus cognitifs et métacognitifs impliqués dans cette tâche complexe. Des divergences entre les deux enseignants ont été observées relativement à leurs croyances, pratiques déclarées et pratiques observées durant le jugement. Tout d’abord, les critères retenus pour l’évaluation (pratique déclarée) ne tiennent pas toujours compte de ce qu’ils croient important d’enseigner en classe (croyance). De plus, malgré une pratique déclarée positive concernant l’autoévaluation, ces enseignants n’y ont peu ou pas eu recours durant leur jugement. Enfin, les gestes de l’un, durant le jugement, tendaient vers la posture d’instructeur-contrôleur, alors que ceux de l’autre s’inscrivaient davantage dans la posture de conseiller-didacticien. De façon générale, nous constatons que les pratiques de ces enseignants sont plus influencées par les situations rencontrées en tant qu’élèves et les traditions d’enseignement de la discipline que par le programme en vigueur.

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Le travail actuel a été rédigé dans le but d’éclaircir en quoi consiste le rôle de l’image comme outil didactique aux cours de français aux collèges et aux lycées suédois. Nous avons abordé notre thème sous des perspectives différentes : d’un côté, nous avons analysé les images dans deux livres, puisque les manuels font souvent partie de chaque leçon de français ; de l’autre côté, nous avons fait un questionnaire que nous avons distribué aux professeurs à travers les médias sociaux et par email. Nous avons également étudié les données récoltées aux cours des entretiens avec trois professeurs de français au lycée suédois, pour savoir comment les professeurs intègrent des images dans la pratique. Selon les résultats de notre étude, il nous a été possible d’affirmer que l’image est un outil qui n’est pas omniprésent, mais qui est parfois utilisé afin de rendre les leçons plus variées. La photographie est le type d’image le plus répandu dans la pratique des professeurs et dans les manuels ; le format numérique est le plus fréquent en tenant en compte de la révolution technologique et de l’habitude des jeunes à travailler avec les ordinateurs. Cependant, l’image n’est pas un outil indépendant. Elle est très souvent complétée par d’autres outils didactiques et sert principalement à accompagner la lecture, à développer l’expression orale et le vocabulaire et aussi à illustrer des phénomènes culturels. En conclusion, il ressort de notre mémoire, qu’il est important que le professeur accompagne le travail avec des images avec des instructions et des commentaires, afin de rendre l’apprentissage plus efficace.

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The past decade has seen a drive to give all pupils the opportunity to study a Modern Foreign Language (MFL) in schools in England, making the teaching and learning of foreign languages part of the primary school curriculum. The Languages for All: Languages for Life (DfES, 2002) policy was introduced through the National Languages Strategy with an objective to increase the nation’s language capability. Raising the educational standard for all pupils is another government initiative with a strong emphasis on inclusion. As the Languages for All policy stresses the importance and benefits of language learning, and inclusion suggests equality and provision for all, this study examines the inclusion of all key stage 2 pupils in foreign language learning and describes perceptions and experiences of pupils, particularly those identified as having special educational needs (SEN) in their performances and negotiations in learning French. As a small scale, qualitative and ethnographically informed, this research is based on participant observation and semi-structured interviews with pupils, teachers of French, teaching assistants and parents. This study draws upon Nussbaum’s capabilities approach and Bourdieu’s concepts as theoretical foundations to analyse the ‘inclusive’ French classroom. As the capabilities approach takes people as ends not means, and goes beyond a focus on resources, it lends itself to critical thinking on issues around inclusion in education. In this context, this researcher investigates the experiences of pupils who struggle with foreign language learning because of their abilities or disabilities, and frames the discussion around the capabilities approach. The study also focuses on motivation and identity in foreign language learning, and draws upon Bourdieu’s concepts of capital, habitus and field to analyse how the participants make sense of and respond to their own circumstances in relation to their performances in the language learning process. This research thus considers Bourdieu’s concepts for a deeper understanding of issues of inequality in learning French and takes up Nussbaum’s insight that pupils may differ in what learning French means to them, and it is not how they differ, but the difference between their capability to choose and achieve what they value that should matter. The findings indicate that although, initially, the French classroom appears ‘inclusive’ due to the provision and practices of inclusion, a closer look shows it to be exclusionary. In addition, responses from the participants on the usefulness and benefits of foreign language learning are contradictory to the objectives of the Languages for All policy, illustrating the complexity of the ‘inclusive’ MFL classroom. This research concludes that structural and interpersonal practices of inclusion contribute to the disguising of exclusion in a classroom deemed ‘inclusive’. Implications are that an understanding and consideration of other aspect of life such as well-being, interests, needs and values should form a necessary part of the language policy.

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Afin de comprendre et d’expliquer le malaise actuel vis-à-vis de l’enseignement de la poésie au secondaire, la thèse remonte à la publication du Rapport Parent (1963-1966), document fondateur de l’école québécoise moderne, et à la création du ministère de l’Éducation du Québec (1964) pour suivre, à travers les documents, l’histoire de l’enseignement de la poésie au secondaire au cours des 50 dernières années. Cette période se divise en trois grandes étapes : une révolution en éducation marquée par la publication du Rapport Parent et de deux programmes; le retour aux sources amorcé par L’école québécoise qui verra deux programmes et deux séries de manuels scolaires; la réforme articulée autour de L’école, tout un programme dont les programmes et les manuels sont actuellement en vigueur. C’est à travers ces trois types de documents (documents d’orientation, programmes d’enseignement et manuels scolaires) que je retracerai le parcours de l’enseignement de la poésie à l’école secondaire avec comme toile de fond les grands courants qui ont marqué l’éducation et l’enseignement du français au Québec depuis les années 1960. L’enseignement de la poésie ne peut se détacher du contexte dans lequel il se fait. Ce contexte comprend diverses facettes qui lui sont internes et d’autres qui lui sont externes. Les facettes externes dans ce travail sont la vision de la culture et de l’enseignement ainsi que la place faite à la littérature et à la poésie. L’idée de culture a beaucoup évolué depuis 50 ans. Le Rapport Parent abandonne la vision traditionnelle de la culture au profit d’une vision plus large qui englobe l’ensemble des activités humaines. Nuancée et actualisée, cette vision large de la culture restera la référence. La littérature qui détenait une place importante dans la culture traditionnelle perd ainsi de l’influence. Sa place et son importance, malgré les discours qui la valorisent, vont diminuer jusqu’à ne devenir qu’un adjuvant à l’enseignement de la technique de la langue et des types de textes. L’évolution de l’enseignement transformera la classe traditionnelle bien ordonnée sous l’autorité du maitre en lieu qui doit permettre à l’élève de construire ses connaissances. Les éléments reliés directement à l’enseignement de la poésie comprennent les programmes, les manuels, l’enseignement de la lecture et de l’écriture et le travail du professeur et de l’élève. Les programmes subiront d’importantes modifications. Le programme-cadre de 1969 marque la fin des programmes à visées littéraires. Le seul vrai but des programmes depuis, c’est de parfaire l’apprentissage technique de la langue. Le programme de 1980 marque l’abandon des genres littéraires comme base de l’enseignement des textes au profit de la notion de discours. Comme le discours poétique n’y apparait pas, la poésie peine à se trouver une place. Les programmes de 1995 et de la réforme optent pour les types de textes plutôt que les discours, mais la poésie n’entre pas dans cette typologie. La place de la poésie en lecture et en écriture est variable selon les époques. Sur un même pied que les autres types de textes dans le programme-cadre, elle apparait seulement en lecture dans le programme de 1980. Les programmes subséquents lui redonneront une place en écriture. Depuis 1980, elle reste un genre marginal qui souvent ne sert qu’à illustrer des notions utiles aux discours ou types de textes utilisés par le programme. La relation professeur/élève s’est considérablement modifiée au cours de cette période. De maitre, le professeur est devenu guide et médiateur. L’élève évolue en sens inverse : de passif récepteur de la connaissance, il devient responsable de construire ses connaissances. Le professeur, compte tenu du peu de place qu’occupe la poésie dans les programmes et du fait qu’elle ne fait pas partie de la typologie des textes adoptée par ceux-ci, ne peut compter que sur ses connaissances pour en assurer un enseignement valable. Les manuels accompagnent les programmes sauf pour le programme-cadre. Depuis 1980, les manuels de français ont une visée autoéducative parce qu’ils s’adressent directement à l’étudiant. Ils se présentent comme des préparations de cours que l’élève n’a qu’à suivre pour acquérir les connaissances au programme. La place de la poésie en lecture et en écriture y est variable selon les époques et les manuels.

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Includes music.

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Bibliography: p. 243-245.

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"Answers to Mr. A. Bolmar's criticisms, and a few of his errors corrected"--30 p. at end of vol.

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At head of title: Public schools of the District of Columbia.

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Introduction: The research and teaching of French linguistics in UK higher education (HE) institutions have a venerable history; a number of universities have traditionally offered philology or history of the language courses, which complement literary study. A deeper understanding of the way that the phonology, syntax and semantics of the French language have evolved gives students linguistic insights that dovetail with their study of the Roman de Renart, Rabelais, Racine or the nouveau roman. There was, in the past, some coverage of contemporary French phonetics but little on sociolinguistic issues. More recently, new areas of research and teaching have been developed, with a particular focus on contemporary spoken French and on sociolinguistics. Well supported by funding councils, UK researchers are also making an important contribution in other areas: phonetics and phonology, syntax, pragmatics and second-language acquisition. A fair proportion of French linguistics research occurs outside French sections in psychology or applied linguistics departments. In addition, the UK plays a particular role in bringing together European and North American intellectual traditions and methodologies and in promoting the internationalisation of French linguistics research through the strength of its subject associations, and that of the Journal of French Language Studies. The following sections treat each of these areas in turn. History of the French Language There is a long and distinguished tradition in Britain of teaching and research on the history of the French language, particularly, but by no means exclusively, at the universities of Cambridge, Manchester and Oxford.

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The Action Lecture program is an innovative teaching method run in some nursery and primary schools in Paris and designed to improve pupils’ literacy. We report the results of an evaluation of this program. We describe the experimental protocol that was built to estimate the program’s impact on several types of indicators. Data were processed following a Differences-in-Differences (DID) method. Then we use the estimation of the impact on academic achievement to conduct a cost-effectiveness analysis and take a reduction of the class size program as a benchmark. The results are positive for the Action Lecture program.