1000 resultados para French teaching
Resumo:
Este relatório surge no âmbito da minha Prática do Ensino Supervisionada e representa uma reflexão sobre a minha iniciação como professora de Inglês e de Francês no 3º ciclo do Ensino Básico e no Ensino Secundário. A reflexão teve como objeto o conceito de ‘aprendizagem criativa’ na teoria do ensino da língua estrangeira e a sua aplicação na prática letiva, nas duas escolas onde desenvolvi o meu estágio, a Escola Secundária de Sebastião da Gama e a Escola Básica do 2º e 3º Ciclos de Aranguez, ambas em Setúbal. Para além de uma tentativa de sistematização das abordagens teóricos, de modo a tornar a noção de ‘criatividade’ mais aplicável na prática da docência da língua estrangeira, a nossa reflexão procura evidenciar como e em que situações a aprendizagem se revela criativa e demonstra a sua utilidade para a aula de língua estrangeira.
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Résumé: Notre étude chevauche deux domaines de recherche quasi indissociables : ceux de la linguistique et de la didactique des langues. Comme l'indique le sujet, elle examine la conceptualisation et l'emploi de deux notions aspecto-temporelles du français (le passé composé et l'imparfait), sous l'impact des connaissances grammaticales déjà acquises sur deux autres langues : le singhalais et l'anglais. Notre recherche relève des domaines de la psycholinguistique, de la linguistique acquisitionnelle et de la linguistique comparative. Toutefois, dans le cadre de cette étude, nous examinons ces notions grammaticales françaises et leurs équivalents présumés dans les deux autres langues comme étant des concepts relevant des langues à statuts sociaux spécifiques [à savoir, langue maternelle (L1), langue seconde (L2) et langue étrangère (L3)], dans un contexte particulier d'enseignement/apprentissage et d'acquisition de langue [à savoir, le contexte d'enseignement/apprentissage et d'acquisition du français langue étrangère (FLE) au Sri Lanka]. En ce sens, notre étude est également liée aux domaines de la sociolinguistique et de la didactique des langues, notamment, étrangères. Ce qui pourrait probablement distinguer cette recherche des autres, c'est qu'elle aborde certaines questions linguistiques et didactiques peu étudiées jusqu'ici. Entre autres, l'influence de deux langues sur l'enseignement/apprentissage d'une L3, l'enseignement/apprentissage des langues dans des contextes exolingues et le rôle des transferts dans la conceptualisation des notions grammaticales. Pourtant, lorsque nous avons choisi le contexte d'apprentissage du FLE au Sri Lanka comme terrain de recherche, nous avons également visé d'autres objectifs : examiner les systèmes verbaux de trois langues dont l'imbrication n'a pas encore été objet d'étude ; examiner le système verbal aspecto-temporel peu explicité du singhalais à la lumière des descriptions linguistiques occidentales ; vérifier certains préjugés concernant les liens de proximité et de distance entre les trois langues choisies et étudier les causes de ces préjugés. Notre corpus provient de plusieurs classes de FLE au Sri Lanka. Le public observé était constitué d'adolescents ou d'adultes bilingues ayant le singhalais en L1 et l'anglais en L2. Les cours choisis se distinguaient les uns des autres par plusieurs critères, mais travaillaient tous sur les notions du passé composé et de l'imparfait. A la conclusion de notre étude, nous avons constaté qu'un nombre important de nos hypothèses initiales se sont avérées véridiques. A titre d'exemples, les transferts entre les langues premières et la langue cible sont récurrents et non négligeables chez l'écrasante majorité des apprenants exolingues observés, et parfois, même chez leurs enseignants; si ces apprenants recourent à ces langues pour étayer leur apprentissage, ni leurs enseignants ni leurs manuels provenant de l'étranger ne les guident dans ce travail; les transferts ayant l'anglais pour origine l'emportent considérablement sur ceux provenant du singhalais. De même, suite à l'analyse contrastive des trois systèmes verbaux aspecto-temporels et à l'analyse du corpus, nous avons également eu un résultat imprévu : contrairement à une représentation répandue chez les apprenants singhalais, il existe des points convergents entre leur L1 et le français ; du moins, au niveau de l'emploi de certains temps du passé. Un fait dont on était jusqu'ici ignorants mais dont on peut sûrement profiter dans les cours de FLE au Sri Lanka. Suite à ces observations et à la fin de notre thèse, nous avons fait quelques recommandations didactiques afin d'améliorer les conditions d'enseignement/apprentissage des langues étrangères, au Sri Lanka et ailleurs. Abstract: Our research is related to the fields of both linguistics and didactics, two research areas which are almost inseparable. As the title shows, the thesis examines the issue of conceptualizing and using of two grammatical (aspectual and temporal) concepts of the French language (le passé composé and l'imparfait), under the influence of previously acquired grammatical knowledge of two other languages: Sinhalese and English. Thus, our research is linked to the domains of psycholinguistics, acquisitional linguistics and comparative linguistics. However, within the framework of this study, we will consider the above-mentioned two French grammatical concepts and their presumed equivalents in the other two languages as concepts belonging to three languages with specific social status [i.e. first language (L1), second language (L2) and foreign language (L3)], taught/learnt/acquired in a particular language teaching/learning context [the context of teaching/learning of French as a foreign language (FFL) in Sri Lanka]. In that sense, our study is also associated with the fields of sociolinguistics and language teaching, especially foreign language teaching. What could probably make this study outstanding is that it studies certain linguistic and didactic issues which have not yet been studied. For example, it examines, among other issues, the following: the influence of two languages (i.e. mother tongue -L1 & second language -L2) on the teaching/learning process of a third language (i.e. foreign language- L3); foreign language teaching and learning in an exolingual context (where the target language is not spoken outside the classroom); the role of language transfers in the process of grammatical notion conceptualization. However, in selecting the FFL teaching/learning context in Sri Lanka as our field of research, we had further objectives in mind : i.e. 1) studying the verb systems of three languages whose combination has never been studied before ; 2) studying the aspectual-temporal formation of the Sinhalese verb system (which is hardly taught explicitly) in the light of the linguistic descriptions of dominant European languages; 3) verifying certain preconceived ideas regarding the proximity and the distance between the three chosen languages, and 4) studying the causes for these preconceptions. Our corpus is obtained from a number of FFL classes in Sri Lanka. The observed student groups consisted of bilingual adolescents and adults whose first language (L1) was Sinhalese and the second language (L2) was English. The observed classes differed in many ways but in each of those classes, a common factor was that the students had been learning some aspect of the two grammatical concepts, le passé composé and l'imparfait. Having completed our study, we now see that a considerable number of our initial hypotheses are proven correct. For example, in the exolingual French language teaching/learning context in Sri Lanka where we carried out our research, language transfers between the first and target languages were recurrent and numerous in the work of the greater majority of the observed language learners, and even their teachers; these transfers were so frequent that they could hardly be ignored during the teaching/learning process ; although learners turned to their first languages to facilitate the learning process of a new language, neither their teachers, nor their text books helped them in this task; the transfers originating from English were far too numerous than those originating from Sinhalese; however, contrary to the popular belief among many Sinhalese learners of French, the contrastive analysis of the three aspectual-temporal verb systems and the study of our corpus helped us in proving that there are common linguistic features between the Sinhalese and the French languages ; at least, when it comes to using some of their past tenses. This is a fact which had been ignored up to now but which could probably be used to improve French teaching/learning in Sri Lanka. Taking all observations into account, we made some pedagogical recommendations in the concluding part of our thesis with the view of improving foreign language teaching/learning in Sri Lanka, and elsewhere.
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Cette recherche vise à décrire 1) les erreurs lexicales commises en production écrite par des élèves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français (conception de l’erreur lexicale, pratiques d’évaluation du vocabulaire en production écrite, modes de rétroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse d’erreurs à trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs à l’aide d’une typologie, 2) une évaluation de la gravité des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analysé est constitué de 300 textes rédigés en classe de français par des élèves de 3e secondaire. L’analyse a révélé 1144 erreurs lexicales. Les plus fréquentes sont les problèmes sémantiques (30%), les erreurs liées aux propriétés morphosyntaxiques des unités lexicales (21%) et l’utilisation de termes familiers (17%). Cette répartition démontre que la moitié des erreurs lexicales sont attribuables à une méconnaissance de propriétés des mots autres que le sens et la forme. L’évaluation de la gravité des erreurs repose sur trois critères : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la compréhension et leur degré d’intégration à l’usage. Les problèmes liés aux registres de langue sont généralement ceux qui sont considérés comme les moins graves et les erreurs sémantiques représentent la quasi-totalité des erreurs graves. Le troisième axe d’analyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : l’influence de la langue orale, la proximité sémantique et la parenté formelle entre le mot utilisé et celui visé. Le second volet de la thèse concerne le rapport des enseignants de français à l’erreur lexicale et repose sur l’analyse de 224 rédactions corrigées ainsi que sur une série de huit entrevues menées avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relèvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des propriétés morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilité, régime), qu’ils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, c’est-à-dire les erreurs sémantiques, l’emploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu relevées, et les annotations des enseignants concernant ces types d’erreurs sont vagues et peu systématiques, donnant peu de pistes aux élèves pour la correction. L’évaluation du vocabulaire en production écrite est toujours soumise à une appréciation qualitative, qui repose sur l’impression générale des enseignants plutôt que sur des critères précis, le seul indicateur clair étant la répétition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur l’intuition, ce qui témoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner très peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et d’outils adéquats. L’enseignement du vocabulaire est toujours subordonné à des tâches d’écriture ou de lecture et vise davantage l’acquisition de mots précis que le développement d’une réelle compétence lexicale.
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Thèse dirigée sous la direction conjointe de Lise Lamarche et Jean Trudel.
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Depuis quelques années, plusieurs didacticiens du français se penchent sur l’enseignement et l’évaluation de l’oral, mais peu d’informations sont encore disponibles concernant les pratiques effectives des enseignants à cet égard. Notre recherche vise à décrire les croyances de deux enseignants de français au secondaire et leurs pratiques au sujet de l’évaluation de l’oral, plus particulièrement de l’oral dans une situation d’interaction entre pairs. Une entrevue dirigée a permis d’avoir accès à leurs croyances et à leurs pratiques déclarées, alors que le think-aloud a été employé pour observer leur pratique d’évaluation, à l’étape du jugement, d’une situation d’interaction entre pairs. Nos résultats montrent que, du point de vue de leurs croyances, les enseignants ont tous deux des préoccupations concernant les tâches et les instruments d’évaluation, et que leurs pratiques d’évaluation déclarées sont assez semblables en ce qui a trait aux tâches retenues, à leur fréquence et à l’intention poursuivie. Du côté de leurs pratiques d’évaluation observées à l’étape du jugement, nous exposons de façon détaillée les gestes d’enseignants en situation authentique, en identifiant les principaux processus cognitifs et métacognitifs impliqués dans cette tâche complexe. Des divergences entre les deux enseignants ont été observées relativement à leurs croyances, pratiques déclarées et pratiques observées durant le jugement. Tout d’abord, les critères retenus pour l’évaluation (pratique déclarée) ne tiennent pas toujours compte de ce qu’ils croient important d’enseigner en classe (croyance). De plus, malgré une pratique déclarée positive concernant l’autoévaluation, ces enseignants n’y ont peu ou pas eu recours durant leur jugement. Enfin, les gestes de l’un, durant le jugement, tendaient vers la posture d’instructeur-contrôleur, alors que ceux de l’autre s’inscrivaient davantage dans la posture de conseiller-didacticien. De façon générale, nous constatons que les pratiques de ces enseignants sont plus influencées par les situations rencontrées en tant qu’élèves et les traditions d’enseignement de la discipline que par le programme en vigueur.
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Le travail actuel a été rédigé dans le but d’éclaircir en quoi consiste le rôle de l’image comme outil didactique aux cours de français aux collèges et aux lycées suédois. Nous avons abordé notre thème sous des perspectives différentes : d’un côté, nous avons analysé les images dans deux livres, puisque les manuels font souvent partie de chaque leçon de français ; de l’autre côté, nous avons fait un questionnaire que nous avons distribué aux professeurs à travers les médias sociaux et par email. Nous avons également étudié les données récoltées aux cours des entretiens avec trois professeurs de français au lycée suédois, pour savoir comment les professeurs intègrent des images dans la pratique. Selon les résultats de notre étude, il nous a été possible d’affirmer que l’image est un outil qui n’est pas omniprésent, mais qui est parfois utilisé afin de rendre les leçons plus variées. La photographie est le type d’image le plus répandu dans la pratique des professeurs et dans les manuels ; le format numérique est le plus fréquent en tenant en compte de la révolution technologique et de l’habitude des jeunes à travailler avec les ordinateurs. Cependant, l’image n’est pas un outil indépendant. Elle est très souvent complétée par d’autres outils didactiques et sert principalement à accompagner la lecture, à développer l’expression orale et le vocabulaire et aussi à illustrer des phénomènes culturels. En conclusion, il ressort de notre mémoire, qu’il est important que le professeur accompagne le travail avec des images avec des instructions et des commentaires, afin de rendre l’apprentissage plus efficace.
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The past decade has seen a drive to give all pupils the opportunity to study a Modern Foreign Language (MFL) in schools in England, making the teaching and learning of foreign languages part of the primary school curriculum. The Languages for All: Languages for Life (DfES, 2002) policy was introduced through the National Languages Strategy with an objective to increase the nation’s language capability. Raising the educational standard for all pupils is another government initiative with a strong emphasis on inclusion. As the Languages for All policy stresses the importance and benefits of language learning, and inclusion suggests equality and provision for all, this study examines the inclusion of all key stage 2 pupils in foreign language learning and describes perceptions and experiences of pupils, particularly those identified as having special educational needs (SEN) in their performances and negotiations in learning French. As a small scale, qualitative and ethnographically informed, this research is based on participant observation and semi-structured interviews with pupils, teachers of French, teaching assistants and parents. This study draws upon Nussbaum’s capabilities approach and Bourdieu’s concepts as theoretical foundations to analyse the ‘inclusive’ French classroom. As the capabilities approach takes people as ends not means, and goes beyond a focus on resources, it lends itself to critical thinking on issues around inclusion in education. In this context, this researcher investigates the experiences of pupils who struggle with foreign language learning because of their abilities or disabilities, and frames the discussion around the capabilities approach. The study also focuses on motivation and identity in foreign language learning, and draws upon Bourdieu’s concepts of capital, habitus and field to analyse how the participants make sense of and respond to their own circumstances in relation to their performances in the language learning process. This research thus considers Bourdieu’s concepts for a deeper understanding of issues of inequality in learning French and takes up Nussbaum’s insight that pupils may differ in what learning French means to them, and it is not how they differ, but the difference between their capability to choose and achieve what they value that should matter. The findings indicate that although, initially, the French classroom appears ‘inclusive’ due to the provision and practices of inclusion, a closer look shows it to be exclusionary. In addition, responses from the participants on the usefulness and benefits of foreign language learning are contradictory to the objectives of the Languages for All policy, illustrating the complexity of the ‘inclusive’ MFL classroom. This research concludes that structural and interpersonal practices of inclusion contribute to the disguising of exclusion in a classroom deemed ‘inclusive’. Implications are that an understanding and consideration of other aspect of life such as well-being, interests, needs and values should form a necessary part of the language policy.
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Afin de comprendre et d’expliquer le malaise actuel vis-à-vis de l’enseignement de la poésie au secondaire, la thèse remonte à la publication du Rapport Parent (1963-1966), document fondateur de l’école québécoise moderne, et à la création du ministère de l’Éducation du Québec (1964) pour suivre, à travers les documents, l’histoire de l’enseignement de la poésie au secondaire au cours des 50 dernières années. Cette période se divise en trois grandes étapes : une révolution en éducation marquée par la publication du Rapport Parent et de deux programmes; le retour aux sources amorcé par L’école québécoise qui verra deux programmes et deux séries de manuels scolaires; la réforme articulée autour de L’école, tout un programme dont les programmes et les manuels sont actuellement en vigueur. C’est à travers ces trois types de documents (documents d’orientation, programmes d’enseignement et manuels scolaires) que je retracerai le parcours de l’enseignement de la poésie à l’école secondaire avec comme toile de fond les grands courants qui ont marqué l’éducation et l’enseignement du français au Québec depuis les années 1960. L’enseignement de la poésie ne peut se détacher du contexte dans lequel il se fait. Ce contexte comprend diverses facettes qui lui sont internes et d’autres qui lui sont externes. Les facettes externes dans ce travail sont la vision de la culture et de l’enseignement ainsi que la place faite à la littérature et à la poésie. L’idée de culture a beaucoup évolué depuis 50 ans. Le Rapport Parent abandonne la vision traditionnelle de la culture au profit d’une vision plus large qui englobe l’ensemble des activités humaines. Nuancée et actualisée, cette vision large de la culture restera la référence. La littérature qui détenait une place importante dans la culture traditionnelle perd ainsi de l’influence. Sa place et son importance, malgré les discours qui la valorisent, vont diminuer jusqu’à ne devenir qu’un adjuvant à l’enseignement de la technique de la langue et des types de textes. L’évolution de l’enseignement transformera la classe traditionnelle bien ordonnée sous l’autorité du maitre en lieu qui doit permettre à l’élève de construire ses connaissances. Les éléments reliés directement à l’enseignement de la poésie comprennent les programmes, les manuels, l’enseignement de la lecture et de l’écriture et le travail du professeur et de l’élève. Les programmes subiront d’importantes modifications. Le programme-cadre de 1969 marque la fin des programmes à visées littéraires. Le seul vrai but des programmes depuis, c’est de parfaire l’apprentissage technique de la langue. Le programme de 1980 marque l’abandon des genres littéraires comme base de l’enseignement des textes au profit de la notion de discours. Comme le discours poétique n’y apparait pas, la poésie peine à se trouver une place. Les programmes de 1995 et de la réforme optent pour les types de textes plutôt que les discours, mais la poésie n’entre pas dans cette typologie. La place de la poésie en lecture et en écriture est variable selon les époques. Sur un même pied que les autres types de textes dans le programme-cadre, elle apparait seulement en lecture dans le programme de 1980. Les programmes subséquents lui redonneront une place en écriture. Depuis 1980, elle reste un genre marginal qui souvent ne sert qu’à illustrer des notions utiles aux discours ou types de textes utilisés par le programme. La relation professeur/élève s’est considérablement modifiée au cours de cette période. De maitre, le professeur est devenu guide et médiateur. L’élève évolue en sens inverse : de passif récepteur de la connaissance, il devient responsable de construire ses connaissances. Le professeur, compte tenu du peu de place qu’occupe la poésie dans les programmes et du fait qu’elle ne fait pas partie de la typologie des textes adoptée par ceux-ci, ne peut compter que sur ses connaissances pour en assurer un enseignement valable. Les manuels accompagnent les programmes sauf pour le programme-cadre. Depuis 1980, les manuels de français ont une visée autoéducative parce qu’ils s’adressent directement à l’étudiant. Ils se présentent comme des préparations de cours que l’élève n’a qu’à suivre pour acquérir les connaissances au programme. La place de la poésie en lecture et en écriture y est variable selon les époques et les manuels.
Online teaching of inflammatory skin pathology by a French-speaking international university network
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Introduction: Developments in technology, webbased teaching and whole slide imaging have broadened the teaching horizon in anatomic pathology. Creating online learning material including many types of media like radiologic images, videos, clinical and macroscopic photographs and whole slides imaging is now accessible to almost every university. Unfortunately, a major limiting factor to maintain and update the learning material is the amount of work, time and resources needed. In this perspective, a French national university network was initiated in 2011 to build mutualised online teaching pathology modules with clinical cases and tests. This network has been extended to an international level in 2012-2014 (Quebec, Switzerland and Ivory Coast). Method: One of the first steps of the international project was to build a learning module on inflammatory skin pathology intended for interns and residents of pathology and dermatology. A pathology resident from Quebec spent 6 weeks in France and Switzerland to develop the contents and build the module on an e-learning Moodle platform (http: //moodle.sorbonne-paris-cite.fr) under the supervision of two dermatopathologists (BV, MB). The learning module contains text, interactive clinical cases, tests with feedback, whole slides images (WSI), images and clinical photographs. For that module, the virtual slides are decentralized in 2 universities (Bordeaux and Paris 7). Each university is responsible of its own slide scanning, image storage and online display with virtual slide viewers. Results: The module on inflammatory skin pathology includes more than 50 web pages with French original content, tests and clinical cases, links to over 45 WSI and more than 50 micro and clinical photographs. The whole learning module is currently being revised by four dermatopathologists and two senior pathologists. It will be accessible to interns and residents in spring 2014. The experience and knowledge gained from that work will be transferred to the next international fellowship intern whose work will be aimed at creating lung and breast pathology learning modules. Conclusion: The challenges of sustaining a project of this scope are numerous. The technical aspect of whole-slide imaging and storage needs to be developed by each university or group. The content needs to be regularly updated, completed and its use and existence needs to be promoted by the different actors in pathology. Of the great benefits of that kind of project are the international partnerships and connections that have been established between numerous Frenchspeaking universities and pathologists with the common goals of promoting education in pathology and the use of technology including whole slide imaging. * The Moodle website is hosted by PRES Sorbonne Paris Cité, and financial supports for hardware have been obtained from UNF3S (http://www.unf3s.org/) and PRES Sorbonne Paris Cité. Financial support for international fellowships has been obtained from CFQCU (http://www.cfqcu.org/).
Online teaching of inflammatory skin pathology by a French-speaking International University Network
Resumo:
INTRODUCTION: Developments in technology, web-based teaching and whole slide imaging have broadened the teaching horizon in anatomic pathology. Creating online learning material including many types of media such as radiologic images, whole slides, videos, clinical and macroscopic photographs, is now accessible to most universities. Unfortunately, a major limiting factor to maintain and update the learning material is the amount of resources needed. In this perspective, a French-national university network was initiated in 2011 to build joint online teaching modules consisting of clinical cases and tests. The network has since expanded internationally to Québec, Switzerland and Ivory Coast. METHOD: One of the first steps of the project was to build a learning module on inflammatory skin pathology for interns and residents in pathology and dermatology. A pathology resident from Québec spent 6 weeks in France and Switzerland to develop the contents and build the module on an e-learning Moodle platform under the supervision of two dermatopathologists. The learning module contains text, interactive clinical cases, tests with feedback, virtual slides, images and clinical photographs. For that module, the virtual slides are decentralized in 2 universities (Bordeaux and Paris 7). Each university is responsible of its own slide scanning, image storage and online display with virtual slide viewers. RESULTS: The module on inflammatory skin pathology includes more than 50 web pages with French original content, tests and clinical cases, links to over 45 virtual images and more than 50 microscopic and clinical photographs. The whole learning module is being revised by four dermatopathologists and two senior pathologists. It will be accessible to interns and residents in the spring of 2014. The experience and knowledge gained from that work will be transferred to the next international resident whose work will be aimed at creating lung and breast pathology learning modules. CONCLUSION: The challenges of sustaining a project of this scope are numerous. The technical aspect of whole-slide imaging and storage needs to be developed by each university or group. The content needs to be regularly updated and its accuracy reviewed by experts in each individual domain. The learning modules also need to be promoted within the academic community to ensure maximal benefit for trainees. A collateral benefit of the project was the establishment of international partnerships between French-speaking universities and pathologists with the common goal of promoting pathology education through the use of multi-media technology including whole slide imaging.
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BACKGROUND: In Switzerland, 30% of HIV-infected individuals are diagnosed late. To optimize HIV testing, the Swiss Federal Office of Public Health (FOPH) updated 'Provider Induced Counseling and Testing' (PICT) recommendations in 2010. These permit doctors to test patients if HIV infection is suspected, without explicit consent or pre-test counseling; patients should nonetheless be informed that testing will be performed. We examined awareness of these updated recommendations among emergency department (ED) doctors. METHODS: We conducted a questionnaire-based survey among 167 ED doctors at five teaching hospitals in French-Speaking Switzerland between 1(st) May and 31(st) July 2011. For 25 clinical scenarios, participants had to state whether HIV testing was indicated or whether patient consent or pre-test counseling was required. We asked how many HIV tests participants had requested in the previous month, and whether they were aware of the FOPH testing recommendations. RESULTS: 144/167 doctors (88%) returned the questionnaire. Median postgraduate experience was 6.5 years (interquartile range [IQR] 3; 12). Mean percentage of correct answers was 59 ± 11%, senior doctors scoring higher (P=0.001). Lowest-scoring questions pertained to acute HIV infection and scenarios where patient consent was not required. Median number of test requests was 1 (IQR 0-2, range 0-10). Only 26/144 (18%) of participants were aware of the updated FOPH recommendations. Those aware had higher scores (P=0.001) but did not perform more HIV tests. CONCLUSIONS: Swiss ED doctors are not aware of the national HIV testing recommendations and rarely perform HIV tests. Improved recommendation dissemination and adherence is required if ED doctors are to contribute to earlier HIV diagnoses.
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INTRODUCTION: Developments in technology, web-based teaching and whole slide imaging have broadened the teaching horizon in anatomic pathology. Creating online learning material including many types of media such as radiologic images, whole slides, videos, clinical and macroscopic photographs, is now accessible to most universities. Unfortunately, a major limiting factor to maintain and update the learning material is the amount of resources needed. In this perspective, a French-national university network was initiated in 2011 to build joint online teaching modules consisting of clinical cases and tests. The network has since expanded internationally to Québec, Switzerland and Ivory Coast. METHOD: One of the first steps of the project was to build a learning module on inflammatory skin pathology for interns and residents in pathology and dermatology. A pathology resident from Québec spent 6 weeks in France and Switzerland to develop the contents and build the module on an e-learning Moodle platform under the supervision of two dermatopathologists. The learning module contains text, interactive clinical cases, tests with feedback, virtual slides, images and clinical photographs. For that module, the virtual slides are decentralized in 2 universities (Bordeaux and Paris 7). Each university is responsible of its own slide scanning, image storage and online display with virtual slide viewers. RESULTS: The module on inflammatory skin pathology includes more than 50 web pages with French original content, tests and clinical cases, links to over 45 virtual images and more than 50 microscopic and clinical photographs. The whole learning module is being revised by four dermatopathologists and two senior pathologists. It will be accessible to interns and residents in the spring of 2014. The experience and knowledge gained from that work will be transferred to the next international resident whose work will be aimed at creating lung and breast pathology learning modules. CONCLUSION: The challenges of sustaining a project of this scope are numerous. The technical aspect of whole-slide imaging and storage needs to be developed by each university or group. The content needs to be regularly updated and its accuracy reviewed by experts in each individual domain. The learning modules also need to be promoted within the academic community to ensure maximal benefit for trainees. A collateral benefit of the project was the establishment of international partnerships between French-speaking universities and pathologists with the common goal of promoting pathology education through the use of multi-media technology including whole slide imaging.
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Mode of access: Internet.