7 resultados para Existentialisme


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La création cinématographique de l’étudiant qui accompagne ce mémoire sous la forme d’un DVD est disponible à la Médiathèque de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines sous le titre : Exilio o transhumancia.(http://atrium.umontreal.ca/notice/UM-ALEPH002343890)

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Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo?

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On analyse une expérience de l enseignement de philosophie dans l enseignement secondaire par la littérature. La scène d intervention a été l Institut Fédéral d Éducation, Science et Technologie du Rio Grande do Norte (IFRN), dans l année 2008. L étude à caractère qualitatif a adopté un modèle de recherche participant, dans laquelle le chercheur a intervenu dans son propre contexte de classe. On a utilisé l investigation d un ouvrage existentialiste de Jean-Paul Sartre, le roman La Nausée, comme contribution méthodologique pour l enseignement de philosophie. On a adopté le recours de la littérature avec contenu philosophique à partir de la proposition apportée para les Paramètres Curriculaires Nationaux pour l Enseignement Secondaire (PCNEM) : celle qu on ne doit ni avoir la prétention de former de philosophes professionnels ni banaliser la philosophie auprès des élèves. En partant du principe que l existentialisme a été un courant philosophique qui a utilisé la littérature entant qu expression d idées philosophiques, on a envisagé le potentiel pédagogique du voisinage communicant entre la philosophie et la littérature que lie l expérience littéraire avec les textes qui montrent aussi la discussion philosophique. L idée force a été celle de traiter concepts philosophiques a partir de la littérature comme invitation à la réflexion, en analysant l élément ludique dans la littérature comme jeu de la pensée. La pensée considérée comme action ludique arriverait parmi l idéal d en chercher de meilleures manières à comprendre la réalité en étant cet idéal esthétique assumé dans l effort d imprimer sens au chaos des expériences. Les situations pédagogiques en classe comptent fréquemment avec moment de dialogue a propos des problèmes existentiels affrontés par le protagoniste du roman, Antoine Roquentin, considérés comme questions philosophiques et débattues par l investigation dialogique tout suite après la lecture des parties du livre. Dans ce sens, on a cherché à suivre les marches de la méthode socratique dans lequel questionner e questionner à soi même soient les moles propulseurs de la réflexion philosophique. L investigation dialogique a été étendue pendant cinq rencontres de quatre-vingt-dix minutes interprétés par une analyse discursive qui a essayé d établir des rapports entre le discours de l enseignant et des élèves avec le discours de la tradition philosophique. Cette recherche a aussi envisagé à produire une réflexion sur la pratique de l auteur lui-même de l étude. Celui-ci peut-être soit l objectif le plus largement atteint : prendre conscience de l importance de la formation d un enseignant réflexif qui associe dans sa praxis le savoir faire avec la critique honnête de sa propre capacité professionnel

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Dans sa Conférence prononcée au Brésil, à Araraquara, Sartre, dans la même ligne de pensée de Question de Méthode, reprend le thème - que la Résistance avait mis à l'ordre du jour - des rapports entre la théorie et la pratique. Or, on pourrait se demander pourquoi l'auteur, au seuil des années 60, reprend, d'une manière si décisive, un sujet qu'il avait privilegié dans les années de l'après-guerre. La réponse à cette question, à notre avis, doit être cherchée dans les développements de la célèbre polémique des années 50 autour des essais de Sartre Les Communistes et la Paix et, par conséquent, dans le cadre politique et philosophique de l'époque.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Cette thèse propose de suivre la lecture deleuzienne de Spinoza afin de montrer comment Deleuze inscrit sa philosophie de la différence dans l’histoire de la philosophie et de la métaphysique. Loin d’être condescendant envers l’histoire de cette discipline, Deleuze légitime sa conception bi-univoque de la différence à l’aide du parallélisme entre la Nature naturante et la Nature naturée de Spinoza. La différenciation de l’actuel (les modes, l’événement) se fait dans la différentiation du virtuel et c’est en procédant de la sorte que Deleuze participe de plain-pied à la tradition immanentiste de la philosophie où l’être se dit seulement de la différence qu’il exprime. Plus encore, cette thèse explique comment Deleuze reprend les principes de cette métaphysique immanentiste pour établir sa conception de la subjectivité. Là aussi, sa lecture de Spinoza est essentielle, car en affirmant la non-substantialisation de l’âme comme le fait Spinoza, Deleuze peut attaquer, à la racine, les fondements épistémologiques des philosophies du sujet de son époque (existentialisme et phénoménologie en tête). Pour Deleuze, cette conception modale de l’âme et de la subjectivité appuie, métaphysiquement parlant, une épistémologie fondée sur la passivité du sujet. Loin d’être le fondement de la vérité des idées, la conscience d’un moi dans l’âme est, pour Deleuze, un résultat synthétisé, jamais une fonction synthétisante. En ce sens, l’ultime réduction de la philosophie n’est plus l’ego cogito cartésien, mais consiste à reconnaître la fêlure du Je. Deleuze construit ainsi, en envisageant la place de l’imagination dans la puissance de connaître l’âme, une autre épistémologie que celle du sujet fondateur transcendantal ou transcendant. Pour lui, le constat est clair : comment pouvons-nous croire que nous sommes responsables de l’idée que nous formons de nous-mêmes (et s’établir sur celle-ci pour fonder, épistémologiquement, nos idées sur les choses) si nous ne savons même pas ce que peut notre corps, ni comment celui-ci peut affecter et être affecté par notre âme ? Ce principe de « l’inconnu du corps » relativise l’éminence de l’âme et inscrit Deleuze à la fois dans l’une des plus importantes batailles philosophiques de la Modernité (celle de Spinoza contre Descartes) et dans la crise de la subjectivité qui caractérise la pensée française au moment des années soixante. Mots clés : Deleuze ; Spinoza ; Descartes ; histoire de la philosophie ; métaphysique ; épistémologie ; subjectivité ; différence ; actuel ; virtuel ; Je fêlé ; corps ; imagination ; éthologie.