815 resultados para Entraînement parental


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Le trouble d’anxiété de séparation (TAS) est le trouble anxieux le plus prévalent chez les enfants. Il apparaît tôt et entraîne plusieurs conséquences négatives. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) a été reconnue efficace pour traiter les troubles anxieux. Toutefois, peu d’études ont vérifié son efficacité pour le traitement spécifique du TAS et très peu en ont examiné l’effet auprès d’enfants de moins de 7 ans. Les quelques interventions étudiées visant les moins de 7 ans ont en commun d’inclure le parent dans le traitement ou de l’offrir directement à celui-ci. L’objectif principal de cette thèse est de vérifier l’efficacité d’un programme d’entraînement parental de type TCC, adapté pour les parents d’enfants de 4 à 7 ans souffrant de TAS. Cette étude vise également deux objectifs spécifiques : observer la fluctuation des symptômes de TAS de l’enfant pendant le traitement et examiner l’impact du programme sur les variables parentales. Un devis à cas unique à niveaux de base multiples a été utilisé. Six familles ont pris part à l’étude. Des entrevues semi-structurées, des questionnaires auto-administrés et des calepins d’auto-observations quotidiennes ont été utilisés auprès des parents pour mesurer les symptômes anxieux des enfants, leurs pratiques parentales, le stress parental et leurs symptômes anxieux et dépressifs. Des questionnaires sur les difficultés de l’enfant incluant l’anxiété ont aussi été envoyés à l’éducatrice ou à l’enseignante. Tous les questionnaires ont été administrés aux trois temps de mesure (prétraitement, post-traitement et relance 3 mois). Les calepins d’auto-observations ont été remplis quotidiennement durant le niveau de base, pour toute la durée de l’intervention et pendant une à deux semaines à la relance. Les résultats de l’étude indiquent que cinq enfants sur six ne répondent plus au diagnostic de TAS suite au traitement ainsi que trois mois plus tard. Les résultats des calepins d’auto-observations montrent une amélioration claire des manifestations principales de TAS pour la moitié des enfants et plus mitigée pour l’autre moitié, de même qu’une amélioration systématique de la fréquence hebdomadaire totale de manifestations de TAS suite à l’intervention pour quatre enfants. Les résultats aux questionnaires remplis par les parents montrent une amélioration des symptômes d’anxiété et de TAS chez quatre enfants au post-test et/ou à la relance, tandis que les questionnaires de l’éducatrice (ou enseignante) suggèrent que les symptômes anxieux des enfants se manifestaient peu dans leur milieu scolaire ou de garde. L’impact du programme sur le stress parental et les pratiques parentales est également mitigé. Ces résultats suggèrent que le Programme d’entraînement parental pour les enfants souffrant d’anxiété de séparation (PEP-AS) est efficace pour réduire les symptômes de TAS chez les enfants d’âge préscolaire ou en début de parcours scolaire et appuient la pertinence d’offrir le traitement aux parents et d’inclure un volet relationnel. D’autres études seront cependant nécessaires pour répliquer ces résultats auprès d’un plus vaste échantillon. Il serait également intéressant de vérifier les effets indépendants des différentes composantes du traitement et d’évaluer les effets du programme sur davantage de pratiques parentales associées spécifiquement à l’anxiété.

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Selon l'American Psychiatric Association (APA, 2004), les troubles du comportement perturbateur (TCP) se divisent en trois diagnostics : le trouble d'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H), le trouble d'opposition avec ou sans provocation (TOP) et le trouble des conduites (TC). Les programmes d'entraînement aux habiletés parentales (PEHP) sont reconnus comme étant des pratiques probantes dans le traitement de ces troubles (Hartman, Stage et Webster-Stratton, 2003; Kazdin, 2001; Nock & Kazdin, 2001; Webster-Stratton, 2007; Weersing & Weisz, 2000). Toutefois, les pères s'impliquent généralement moins que les mères dans ce type d'intervention alors que leur implication dans la vie de l'enfant est associée à de nombreux bénéfices (Coplin & Houts, 1991; Lamb, 2004). Les objectifs de cette étude sont de vérifier si la participation des pères au programme est similaire à celle des mères et de vérifier quel est l'effet ajouté de leur participation à l'efficacité d'un PEHP sur l'enfant, les parents et la famille. Au total, 33 familles ont participé au programme et leur présence est justifiée par le TDA/H de leur enfant. Le groupe "sans père" (SP) est formé de 9 mères qui sont venues seules aux rencontres et le groupe "avec pères" (AP) est formé de 24 pères et mères venus ensemble. Ils ont participé au programme Ces années incroyables qui inclut 16 rencontres de groupe de deux heures chacune. L'évaluation est faite avant le programme (pré-test, Tl), à la fin (post-test, T2) et 6 mois plus tard (suivi, T3) et inclut des mesures du comportement de l'enfant, des pratiques éducatives parentales, du stress parental, du sentiment d'autoefficacité parental et du fonctionnement familial. Les résultats démontrent que les pères accompagnés sont moins assidus que les mères accompagnées, mais ne se distinguent pas des mères qui sont venues seules. Leur engagement dans les rencontres est toutefois similaire à celui des mères. Les analyses de variance à mesures répétées démontrent une amélioration plus immédiate des comportements extériorisés chez l'enfant dont le père était présent au programme. Suite au programme (post-test), sa présence n'a pas d'effet sur le stress parental, mais six mois après la fin de ce dernier (suivi), les mères qui y étaient seules se sentent plus stressée [i.e. stressées] que celles qui étaient accompagnées du père. Toutefois, très peu d'effets ont été décelés sur les pratiques éducatives parentales et le fonctionnement familial. La discussion analyse ces résultats et y fait suivre des retombées cliniques.

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Objectives: To explore the influence of social support on parental physical activity (PA). Methods: Forty parents (21 mothers, 19 fathers) participated in semistructured individual or group interviews. Data were analyzed using thematic content analysis.---------- Results: Instrumental (eg, providing child care, taking over chores), emotional (eg, encouragement, companionship), and informational support (eg, ideas and advice) as well as reciprocal support (eg, giving as well as receiving support) and autonomy support (eg, respecting one’s choices) are important for parents’ PA behavior. However, having support for being active is not straightforward in that many parents discussed issues that inhibited the facilitative nature of social support for PA performance (eg, guilt in getting help). Conclusions: Results highlight the complex nature of social support in facilitating parental PA.

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Objectives: The research aimed to explore parents’ understandings of physical activity (PA), patterns of PA-related behaviour, and how constructions of social role expectations might influence their PA behaviour. Design and Method: Using a qualitative descriptive design and adopting a social constructionism approach to broaden interpretations of parents’ understandings, 40 adults (21 mothers, 19 fathers; aged 23 to 49 years) living in South East Queensland, Australia participated in semi-structured individual and group interviews. The interviews were analysed using thematic analysis. Results: Parents had clear understandings of what constitutes PA and engaged in various activities which were integrated with or independent of the children. Being active with children, however, was not always constructed favourably in which many parents described the difficulties of being active with their children. All individuals experienced changes in their PA behaviours after having children. For most, a decline in PA level, intensity, and structure was experienced; however, some did experience parenthood as a time to be active. A level of acceptance for the lack of activity performed was also expressed as were feelings of resentment and envy for those who maintained previous activity habits. Parenting and partner roles were considered most influential on PA-related behaviour and were constructed in ways that had both positive and negative influences on activity performance. Parents, however, were empowered to construct strategies to resolve conflicts between social role performance and being active. Conclusion: Results show that parents experience unique difficulties that intervention work should consider when designing programs aimed at increasing parental PA.

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Pedestrian and cyclist injuries are significant public health issues together accounting for 11-30% of road deaths in highly motorised countries. Children are particularly at risk. In Australia in 2009 children 0-16 years comprised 11.4% of pedestrian deaths and 6.4% of cyclist deaths. Parental attitudes and level of supervision are important to children’s road safety. Results from a telephone survey with parents of children 5-9 years (N=147) are reported. Questions addressed beliefs about preventability of injury, appropriate ages for children to cross the road or cycle independently, and the frequency of holding 5-9 year old children’s hands while crossing the road. Results suggest that parents believe most injuries are preventable and that they personally can act to improve their own safety in the home, on the road, at work, as well as in or on the water. Most parents (68%) indicated children should be 10 years or older before crossing the road or cycling independently. Parents were more likely to report holding younger children’s hands (5-6 years) when crossing the road and less likely to do so for 7-9 year olds. There was a small effect of child gender, with parents more likely to hold boy’s hand than a girl’s.

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The focus of this paper is the role of Australian parents in early childhood education and care (ECEC), in particular, their role in shaping ECEC public policy. The paper reports the findings of a study investigating the different ways in which a group of parents viewed and experienced this role. Set against a policy backdrop where parents are positioned as 'consumers' and 'participants' in ECEC, the study employed a phenomenographic research approach to describe this role as viewed and experienced by parents. The study identified four logically related, qualitatively different ways of constituting this role among this group of parents, ranging from 'no role in shaping public policy' (the no role conception) to 'participating in policy decision-making, particularly where policy was likely to affect their child and family (the participating in policy decision-making conception). The study provides an insider-perspective on the role of parents in shaping policy and highlights variation in how this role is constituted by parents. The study also identifies factors perceived by parents as influencing their participation and discusses their implications for both policy and practice.

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Aim: The primary purpose of this meta-analysis was to explore, clarify and report the strength of the relationship between alexithymia, as measured by the Toronto Alexithymia Scale (TAS-20), and parenting style as measured by the Parental Bonding Instrument (PBI). Methods: Web of Science, PsycInfo, PubMed and ProQuest: Dissertations and Theses searches were undertaken, yielding nine samples with sufficient data to be included in the meta-analysis. Results: Evidence indicated moderate to strong relationships between maternal care and alexithymia, and between maternal care and two of the three TAS-20 alexithymia facets (Difficulties Describing Feelings and Difficulties Identifying Feelings, but not Externally Oriented Thinking). Moderate relationships were observed for both maternal- and paternal-overprotection and alexithymia respectively, and for overprotection (both maternal and paternal) and Difficulties Describing Feelings. Conclusion: This study is the first meta-analysis of the relationship between parenting styles and alexithymia, and findings confirm an especially strong association between maternal care and key elements of alexithymia. This review highlights the issues that still remain to be addressed in exploring the link between parenting style and alexithymia.