949 resultados para Effet placebo


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La douleur est une expérience subjective multidimensionnelle pouvant être modulée par plusieurs facteurs cognitifs. L’impact des attentes liées à une expérience douloureuse imminente a été largement étudié dans un contexte d’analgésie placebo et il a été suggéré que la présence d’attentes conscientes de soulagement est nécessaire à la production d’une réduction de douleur. Par ailleurs, certaines études cliniques ont observé une amélioration thérapeutique après l’administration d’un placebo, même lors du sommeil, ce qui suggère qu’un effet placebo peut être rencontré même en absence d’attentes explicites de soulagement. La première étude de cette thèse vise donc à examiner si une réduction de douleur, ainsi qu’une diminution des perturbations du sommeil associées à des stimulations nociceptives expérimentales, peuvent être rencontrées suite à l’induction d’attentes de soulagement nocturne. Les résultats démontrent qu’une réduction de douleur et des perturbations du sommeil a effectivement été rapportée rétrospectivement suite à l’application d’un placebo, De plus, le traitement placebo semble moduler la réactivité à la douleur expérimentale durant le sommeil, en fonction des stades de sommeil dans lesquelles les stimulations sont présentées. Bien que le développement d’une analgésie placebo repose sur la génération d’attentes de soulagement, il semble que l’exposition préalable à un traitement efficace augmente l’ampleur de l’effet, ce qui suggère que des phénomènes d’apprentissage associatif puissent également être impliqués dans la genèse de ces effets. Comme un rôle du sommeil à été montré dans l’apprentissage et la mémorisation de plusieurs aptitudes, l’objectif de la seconde étude était d’examiner la possibilité que la présence d’un épisode de sommeil entre l’induction et l’évaluation d’un effet placebo puisse renforcer l’intégration des attentes et par conséquent, favoriser la production d’effets dépendants des attentes. Les résultats ont effectivement montré que le sommeil augmente l’association entre les attentes et le soulagement, et que celles-ci semblent liées à la durée relative de sommeil REM mesurée suite à l’induction. Dans l’ensemble cette thèse démontre que le sommeil peut influencer la production d’une analgésie placebo, et ce, à plusieurs niveaux.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Même si de plus en plus de psychoéducateurs utilisent des approches appuyées sur des données probantes, ils sont également confrontés dans leur pratique quotidienne à des approches dites alternatives dont la validité, dans la majorité des cas, reste à démontrer. Parmi celles-ci, l’homéopathie prétend traiter un ensemble de problèmes psychosociaux dont le TDAH, les troubles d’apprentissage, l’anxiété, la peur, etc. L’objectif de cet article est de considérer la pertinence de cette approche non seulement pour traiter les problèmes psychosociaux mais également l’ensemble des troubles qu’elle prétend soigner. Cet article comprend cinq parties. Dans la première, nous situons l’histoire de l’homéopathie dans le cadre de la chimie et de la pharmacologie modernes. La deuxième est consacrée à ce qu’il est convenu maintenant d’appeler « l’affaire de la mémoire de l’eau » que des homéopathes ont tenté de récupérer à leur profit pour justifier l’activité de leurs produits même lorsque la dilution de ceux-ci est telle qu’ils ne contiennent plus de molécule active. Au cours de la troisième partie, nous faisons état de la recherche concernant l’efficacité des traitements homéopathiques. Dans la quatrième partie, nous montrons brièvement que l’homéopathie vétérinaire n’est pas plus efficace que l’homéopathie appliquée aux humains. Dans la cinquième partie, nous soulevons quelques aspects éthiques en soulignant entre autres éléments que la prescription des produits homéopathiques et l’utilisation des « vaccins » de même nature ne sont pas sans conséquences.

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Outre les facteurs métaboliques et hémodynamiques, l’inflammation est actuellement considérée comme un facteur pathogénique potentiel de la néphropathie diabétique (ND), pouvant contribuer à l’initiation et à la progression de la maladie. Les mécanismes menant au développement de l’inflammation rénale dans la ND sont encore peu connus, bien qu’une augmentation d’activité des systèmes rénine angiotensine (RAS) et de l’endothéline (ET) semble y contribuer. L’objectif général de cette étude mono-centre, à double aveugle, randomisée et incluant un groupe placebo était de démontrer que l’inhibition simultanée du RAS et du système de l’ET chez des patients avec ND induisait des effets rénoprotecteurs et anti-inflammatoires supérieurs à ceux observés par blocage du RAS seul. L’objectif spécifique de notre étude était d’évaluer la possibilité que l’administration d’un bloqueur des récepteurs de l’ET-1, le bosentan, à des patients atteints de ND et traités par bloqueurs des récepteurs de l’angiotensine II (BRA), réduisait, chez ces derniers, la protéinurie et les marqueurs inflammatoires systémiques et rénaux. Ce travail constitue un rapport d’un cas clinique et illustre les résultats obtenus suite à l’administration pendant 16 semaines du bosentan chez un patient diabétique de type 2 avec néphropathie clinique traité au long cours par BRA. Le protocole de recherche comprenait 6 visites médicales à 4 semaines d’intervalle, la première visite (V1) correspondant au recrutement du patient, la deuxième visite (V2) constituant le temps 0 de l’étude et la dernière visite (V6) représentant la fin de l’étude. Des échantillons de sang et d’urine étaient prélevés à 3 reprises soit à V2, V4 c’est-à-dire 8 semaines après le début du traitement et à V6 soit 16 semaines après le début du traitement pour mesure des taux sériques et urinaires de divers facteurs pro-inflammatoires incluant l’ET-1, le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), l’interleukine-6 (IL-6), le facteur chémoattractant des monocytes-1 (MCP-1), la molécule d’adhésion intracellulaire-1 (ICAM-1), la molécule d’adhésion vasculaire-1 (VCAM-1) et la protéine C-réactive (CRP). Un profil lipidique était aussi déterminé au début et à la fin de l’étude. La fonction rénale était mesurée aux visites V1, V2, V4 et V6 par détermination du taux de filtration glomérulaire (TFG) et de l’excrétion urinaire d’albumine (UAE). Des tests biochimiques de routine étaient aussi faits à chaque visite. La corrélation entre les paramètres inflammatoires et rénaux sous étude et la filtration glomérulaire était enfin déterminée. Nos résultats chez ce sujet ont démontré que le bosentan réduisait l’UAE de 32 % et 35% aux semaines 8 et 16, et ce, sans affecter la pression artérielle ou la filtration glomérulaire. L'effet anti-protéinurique du bosentan était associé à une réduction des concentrations urinaires de VCAM-1, ICAM-1, IL-6, TNF-α et d’ET-1 ainsi qu’à une diminution des concentrations sériques de TNF-α. Le changement dans la protéinurie était corrélé de manière positive avec les changements des niveaux urinaires de VCAM-1 (r=0.86), ICAM-1 (r=0.88), ET-1 (r=0.94), et du TNF-α (r=0.96) ainsi qu’avec les changements des niveaux sériques de TNF-α (r=0.98). Ces données suggèrent que l’inhibition du système de l’ET induit dans la ND des effets rénoprotecteurs additifs à ceux observés par blocage du RAS seul. Ils supportent le concept que l’activation du système de l’ET au niveau rénal, par ses effets inflammatoires, puisse jouer un rôle important dans la pathogenèse de la ND. L’effet anti-inflammatoire et anti-protéinurique du bosentan constitue une découverte intéressante susceptible d’engendrer dans le futur une alternative thérapeutique et préventive dans la prise en charge de la ND.

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Nous avons déjà démontré que les probiotiques réduisaient l'apoptose observée dans le système limbique après un infarctus du myocarde (IM), suggérant un rôle anti-dépresseur potentiel des probiotiques. Cette étude a été conçue pour déterminer si les probiotiques pouvaient atténuer le comportement dépressif observé après un infarctus du myocarde. Un autre objectif visait à démontrer qu’une altération de la barrière intestinale pourrait avoir lieu lors d’un IM et que les probiotiques pourraient empêcher cette altération de la perméabilité intestinale. Méthodes: Des rats mâles Sprague-Dawley ont reçu des probiotiques (1 milliard de cellules bactériennes vivantes de Lactobacillus helveticus R0052 et Bifidobacterium longum R0175) ou le véhicule tous les jours en dilution dans leur eau, débutant 1 semaine avant l'induction d'une ischémie myocardique. Un infarctus a ensuite été induit chez la moitié des rats, par l'occlusion de l'artère coronaire antérieure gauche (40 minutes) suivie d'une reperfusion. Les rats témoins, l'autre moitié de la cohorte, ont été soumis à la même procédure sans occlusion coronarienne. Une semaine après l'infarctus, les animaux ont été resoumis au traitement préalable jusqu'au moment du sacrifice. Le comportement dépressif a été évalué par trois tests soit: l'interaction sociale, le test de nage forcée et le test d'évitement passif. Résultats: Les résultats obtenus indiquent qu'en absence d'infarctus, les probiotiques n'ont pas d'effet significatif. Toutefois, en dépit de taille similaire IM, des rats traités avec des probiotiques, ont démontré davantage d'interactions sociales et une meilleure performance dans le test de nage forcée et d'évitement passif, comparativement à des rats du groupe IM sans probiotique (p<0,05). Conclusion: Les probiotiques atténuent le comportement dépressif observé après infarctus du myocarde par un mécanisme qui pourrait impliquer l'intégrité des intestins.

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La vitamine E (VE) est parfois préconisée pour le traitement de l’arthrose chez le chien, par contre aucune étude n’a documenté cette efficacité. L’objectif de cette étude était de déterminer l’effet d’une forte dose de VE alimentaire sur l’inflammation et la douleur arthrosique chez le chien. Deux groupes de chiens avec arthrose provoquée par section du ligament croisé crânial du membre postérieur droit ; un groupe contrôle (n=8) et un groupe supplémenté avec la VE (n=7), ont été suivis selon un design parallèle, randomisé et en aveugle. La supplémentation a été commencée 1 jour après la chirurgie avec une dose de 400 UI/animal/jour par voie orale pendant 56 jours. Les évaluations objectives (activité électrodermique, EDA) et subjectives (VAS, NRS) de la douleur ont été faites avant la chirurgie J0, à J28 et à J55 après chirurgie. La détermination de la concentration synoviale des marqueurs de l’inflammation (IL-1β, PGE2 et NOx) et l’étude lésionnelle ont été faites après l’euthanasie à J56. Une comparaison unilatérale avec un seuil alpha de 10% a été réalisée. Les concentrations synoviales de PGE2 et de NOx étaient faibles chez le groupe supplémenté en VE par rapport au contrôle (P=0,03 et P<0,0001 respectivement). Les valeurs de VAS, NRS et EDA ont montré une tendance constante à l’amélioration de la douleur dans le groupe traité, avec des résultats significatifs obtenus pour VAS à J55 et pour EDA à J28 (P ajusté = 0,07 dans les deux cas). L’analyse histologique du cartilage articulaire a montré une réduction significative des scores lésionnels dans le groupe traité. C’est la première fois qu’une étude menée chez le chien avec arthrose, a montré qu’une forte dose en VE alimentaire permet de réduire les marqueurs de l’inflammation articulaire, les lésions histologiques cartilagineuses et permet aussi d’améliorer les signes de la douleur associe à l’arthrose.

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Objective - We report the first randomised controlled trial (RCT) using a combination of St. John’s wort (SJW) and Kava for the treatment of major depressive disorder (MDD) with comorbid anxiety. Methods - Twenty-eight adults with MDD and co-occurring anxiety were recruited for a double-blind RCT. After a placebo run-in of 2 weeks, the trial had a crossover design testing SJW and Kava against placebo over two controlled phases, each of 4 weeks. The primary analyses used intention-to-treat and completer analyses. Results - On both intention-to-treat ( p¼0.047) and completer analyses ( p¼0.003), SJW and Kava gave a significantly greater reduction in self-reported depression on the Beck Depression Inventory (BDI-II) over placebo in the first controlled phase. However, in the crossover phase, a replication of those effects in the delayed medication group did not occur. Nor were there significant effects on anxiety or quality of life. Conclusion - There was some evidence of antidepressant effects using SJW and Kava in a small sample with comorbid anxiety. Possible explanations for the absence of anxiolysis may include a potential interaction with SJW, the presence of depression, or an inadequate dose of Kava.

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Rationale: Piper methysticum (Kava) has been withdrawn in European, British, and Canadian markets due to concerns over hepatotoxic reactions. The WHO recently recommended research into “aqueous” extracts of Kava. Objective: The objective of this study was to conduct the first documented human clinical trial assessing the anxiolytic and antidepressant efficacy of an aqueous extract of Kava. Design and participants: The Kava Anxiety Depression Spectrum Study was a 3-week placebo-controlled, double-blind crossover trial that recruited 60 adult participants with 1 month or more of elevated generalized anxiety. Five Kava tablets per day were prescribed containing 250 mg of kavalactones/day. Results: The aqueous extract of Kava reduced participants' Hamilton Anxiety Scale score in the first controlled phase by −9.9 (CI = 7.1, 12.7) vs. −0.8 (CI = −2.7, 4.3) for placebo and in the second controlled phase by −10.3 (CI = 5.8, 14.7) vs. +3.3 (CI = −6.8, 0.2). The pooled effect of Kava vs. placebo across phases was highly significant (p < 0.0001), with a substantial effect size (d = 2.24, η² [sub]p[sub] = 0.428). Pooled analyses also revealed highly significant relative reductions in Beck Anxiety Inventory and Montgomery–Asberg Depression Rating Scale scores. The aqueous extract was found to be safe, with no serious adverse effects and no clinical hepatotoxicity. Conclusions: The aqueous Kava preparation produced significant anxiolytic and antidepressant activity and raised no safety concerns at the dose and duration studied. Kava appears equally effective in cases where anxiety is accompanied by depression. This should encourage further study and consideration of globally reintroducing aqueous rootstock extracts of Kava for the management of anxiety.

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Many randomised controlled trials (RCT) have been conducted using Piper methysticum (kava), however no qualitative research exploring the experience of taking kava during a clinical trial has previously been reported. ---------- Patients and methods: A qualitative research component (in the form of semi structured and open ended written questions) was incorporated into an RCT to explore the experiences of those participating in a clinical trial of kava. The written questions were provided to participants at weeks 2 and 3 (after randomisation, after each controlled phase). The researcher and participants were blinded as to whether they were taking kava or placebo. Two open ended questions were posed to elucidate their experiences from taking either kava or placebo. Thematic analysis was undertaken and researcher triangulation employed to ensure analytical rigour. Key themes after the kava phases were a reduction in anxiety and stress, and calming or relaxing mental effects. Other themes related to improvement in sleep and in somatic anxiety symptoms. ---------- Results: Kava use did not cause any serious adverse reactions although a few respondents reported nausea or other gastrointestinal side effects. This represents the first documented qualitative investigation of the experience of taking kava during a clinical trial. The primary themes involved anxiolytic and calming effects, with only a minor theme reflecting side effects. Our exploratory qualitative data was consistent with the significant quantitative results revealed in the study and provides additional support to suggest the trial results did not exclude any important positive or negative effects (at least as experienced by the trial participants).

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Objective. To identify whether a standardised Echinacea formulation is effective in the prevention of respiratory and other symptoms associated with long-haul flights. Methods. 175 adults participated in a randomised, double-blind placebo-controlled trial travelling back from Australia to America, Europe, or Africa for a period of 1–5 weeks on commercial flights via economy class. Participants took Echinacea (root extract, standardised to 4.4 mg alkylamides) or placebo tablets. Participants were surveyed before, immediately after travel, and at 4 weeks after travel regarding upper respiratory symptoms and travel-related quality of life. Results. Respiratory symptoms for both groups increased significantly during travel (

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Objective Bronchiolitis, one of the most common reasons for hospitalisation in young children, is particularly problematic in Indigenous children. Macrolides may be beneficial in settings where children have high rates of nasopharyngeal bacterial carriage and frequent prolonged illness. The aim of our double-blind placebo-controlled randomised trial was to determine if a large single dose of azithromycin (compared to placebo) reduced length of stay (LOS), duration of oxygen (O2) and respiratory readmissions within 6 months of children hospitalised with bronchiolitis. We also determined the effect of azithromycin on nasopharyngeal microbiology. Methods Children aged ≤18 months were randomised to receive a single large dose (30 mg/kg) of either azithromycin or placebo within 24 hrs of hospitalisation. Nasopharyngeal swabs were collected at baseline and 48hrs later. Primary endpoints (LOS, O2) were monitored every 12 hrs. Hospitalised respiratory readmissions 6-months post discharge was collected. Results 97 children were randomised (n = 50 azithromycin, n = 47 placebo). Median LOS was similar in both groups; azithromycin = 54 hours, placebo = 58 hours (difference between groups of 4 hours 95%CI -8, 13, p = 0.6). O2 requirement was not significantly different between groups; Azithromycin = 35 hrs; placebo = 42 hrs (difference 7 hours, 95%CI -9, 13, p = 0.7). Number of children re-hospitalised was similar 10 per group (OR = 0.9, 95%CI 0.3, 2, p = 0.8). At least one virus was detected in 74% of children. The azithromycin group had reduced nasopharyngeal bacterial carriage (p = 0.01) but no difference in viral detection at 48 hours. Conclusion Although a single dose of azithromycin reduces carriage of bacteria, it is unlikely to be beneficial in reducing LOS, duration of O2 requirement or readmissions in children hospitalised with bronchiolitis. It remains uncertain if an earlier and/or longer duration of azithromycin improves clinical and microbiological outcomes for children.

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Background Despite bronchiectasis being increasingly recognised as an important cause of chronic respiratory morbidity in both indigenous and non-indigenous settings globally, high quality evidence to inform management is scarce. It is assumed that antibiotics are efficacious for all bronchiectasis exacerbations, but not all practitioners agree. Inadequately treated exacerbations may risk lung function deterioration. Our study tests the hypothesis that both oral azithromycin and amoxicillin-clavulanic acid are superior to placebo at improving resolution rates of respiratory exacerbations by day 14 in children with bronchiectasis unrelated to cystic fibrosis. Methods We are conducting a bronchiectasis exacerbation study (BEST), which is a multicentre, randomised, double-blind, double-dummy, placebo-controlled, parallel group trial, in five centres (Brisbane, Perth, Darwin, Melbourne, Auckland). In the component of BEST presented here, 189 children fulfilling inclusion criteria are randomised (allocation-concealed) to receive amoxicillin-clavulanic acid (22.5 mg/kg twice daily) with placebo-azithromycin; azithromycin (5 mg/kg daily) with placebo-amoxicillin-clavulanic acid; or placebo-azithromycin with placebo-amoxicillin-clavulanic acid for 14 days. Clinical data and a paediatric cough-specific quality of life score are obtained at baseline, at the start and resolution of exacerbations, and at day 14. In most children, blood and deep nasal swabs are also collected at the same time points. The primary outcome is the proportion of children whose exacerbations have resolved at day 14. The main secondary outcome is the paediatric cough-specific quality of life score. Other outcomes are time to next exacerbation; requirement for hospitalisation; duration of exacerbation; and spirometry data. Descriptive viral and bacteriological data from nasal samples and blood markers will also be reported. Discussion Effective, evidence-based management of exacerbations in people with bronchiectasis is clinically important. Yet, there are few randomised controlled trials (RCTs) in the neglected area of non-cystic fibrosis bronchiectasis. Indeed, no published RCTs addressing the treatment of bronchiectasis exacerbations in children exist. Our multicentre, double-blind RCT is designed to determine if azithromycin and amoxicillin-clavulanic acid, compared with placebo, improve symptom resolution on day 14 in children with acute respiratory exacerbations. Our planned assessment of the predictors of antibiotic response, the role of antibiotic-resistant respiratory pathogens, and whether early treatment with antibiotics affects duration and time to the next exacerbation, are also all novel.

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Background Preliminary research shows ginger may be an effective adjuvant treatment for chemotherapy-induced nausea and vomiting but significant limitations need to be addressed before recommendations for clinical practice can be made. Methods/Design In a double–blinded randomised-controlled trial, chemotherapy-naïve patients will be randomly allocated to receive either 1.2 g of a standardised ginger extract or placebo per day. The study medication will be administrated as an adjuvant treatment to standard anti-emetic therapy and will be divided into four capsules per day, to be consumed approximately every 4 hours (300 mg per capsule administered q.i.d) for five days during the first three cycles of chemotherapy. Acute, delayed, and anticipatory symptoms of nausea and vomiting will be assessed over this time frame using a valid and reliable questionnaire, with nausea symptoms being the primary outcome. Quality of life, nutritional status, adverse effects, patient adherence, cancer-related fatigue, and CINV-specific prognostic factors will also be assessed. Discussion Previous trials in this area have noted limitations. These include the inconsistent use of standardized ginger formulations and valid questionnaires, lack of control for anticipatory nausea and prognostic factors that may influence individual CINV response, and the use of suboptimal dosing regimens. This trial is the first to address these issues by incorporating multiple unique additions to the study design including controlling for CINV-specific prognostic factors by recruiting only chemotherapy-naïve patients, implementing a dosing schedule consistent with the pharmacokinetics of oral ginger supplements, and independently analysing ginger supplements before and after recruitment to ensure potency. Our trial will also be the first to assess the effect of ginger supplementation on cancer-related fatigue and nutritional status. Chemotherapy-induced nausea and vomiting are distressing symptoms experienced by oncology patients; this trial will address the significant limitations within the current literature and in doing so, will investigate the effect of ginger supplementation as an adjuvant treatment in modulating nausea and vomiting symptoms. Trial registration

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Functional connectivity (FC) analyses of resting-state fMRI data allow for the mapping of large-scale functional networks, and provide a novel means of examining the impact of dopaminergic challenge. Here, using a double-blind, placebo-controlled design, we examined the effect of L-dopa, a dopamine precursor, on striatal resting-state FC in 19 healthy young adults.Weexamined the FC of 6 striatal regions of interest (ROIs) previously shown to elicit networks known to be associated with motivational, cognitive and motor subdivisions of the caudate and putamen (Di Martino et al., 2008). In addition to replicating the previously demonstrated patterns of striatal FC, we observed robust effects of L-dopa. Specifically, L-dopa increased FC in motor pathways connecting the putamen ROIs with the cerebellum and brainstem. Although L-dopa also increased FC between the inferior ventral striatum and ventrolateral prefrontal cortex, it disrupted ventral striatal and dorsal caudate FC with the default mode network. These alterations in FC are consistent with studies that have demonstrated dopaminergic modulation of cognitive and motor striatal networks in healthy participants. Recent studies have demonstrated altered resting state FC in several conditions believed to be characterized by abnormal dopaminergic neurotransmission. Our findings suggest that the application of similar experimental pharmacological manipulations in such populations may further our understanding of the role of dopaminergic neurotransmission in those conditions.