221 resultados para Dion Casio
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Para el estudio de la etapa cultural referente a la conquista militar romana y la posterior romanización del territorio noroccidental de la Península Ibética, que comprende las actuales provincias gallegas, el norte de Portugal desde el Duero y la parte occidental de Asturias desde el río Navia, disponemos de fuentes escritas y arqueológicas. Varios autores - Estrabón, Plinio, Mela, Ptolomeo, Apiano, Tito Livio, Orosio, Floro, Plutarco, Eutropio, Veleyo, Ampelio, Salustio, Dion Casio, César entre otros - nos proporcionan, en sus escritos, noticias dispersas acerca de las luchas sostenidas entre' las tribus galaicas y los ejércitos romanos. Únicamente Plinio, Mela y Ptolomeo nos describen las medidas administrativas llevadas a cabo después de la conquista militar. Las fuentes callan por completo en cuanto se da por finalizado el período de conquista, por lo que el estudio de la etapa siguiente ha de basarse en los datos arqueológicos que permitirán establecer el grado de romanización alcanzado por el territorio. El panorama que nos presentan las fuentes es muy confuso. Las citas de que disponemos son muy breves y de su estudio se deduce que Roma no dio a esta zona la importancia conferida a otras zonas del resto de la Península, como la Celtiberia o Lusitania, de las que se han conservado el recuerdo minucioso de los hechos militares, así como de los caudillos que los protagonizaron.
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El trabajo obtuvo un premio de la modalidad A de los Premios 'Tomás García Verdejo' 2010 a las buenas prácticas educativas de la Comunidad Autónoma de Extremadura
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Mode of access: Internet.
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Le théâtre d'Euripide possède une importance et un statut particuliers à l'époque impériale. Ce travail examine la représentation du Tragique et de son oeuvre dans le corpus attribué au sophiste Dion Chrysostome. Il met en évidence certaines singularités du théâtre euripidéen et de sa réception : importance des personnages féminins, popularité de ce théâtre (qui était également diffusé par les spectacles de pantomimes), dimensions philosophiques et politiques, qui se prêtent à une exploitation pédagogique. La croyance populaire attachée aux mythes véhiculés par Euripide, dotée d'un aspect religieux, en fait un bon instrument pour une communication efficace, qui vise un large public.
Les mythes dans les principaux discours de Dion Chrysostome : une approche de la notion d'hellénisme
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La question de l'identité hellène dans le contexte de l'Empire apparaît sous ses aspects politique et culturel dans les discours Aux Rhodiens, Aux Alexandrins, et dans les deux Tarsiques. Elle est abordée ici par le biais des mythes qui jouent un rôle essentiel dans la construction identitaire, grâce à leurs fonctions de mythes fondateurs et de modèles, ainsi qu'à leur statut d'héritage culturel. Le sophiste Dion de Pruse, surnommé Chrysostome, opère une sélection parmi des mythes communs à tous, pour construire une image à la fois singulière et collective de la foule ou du corps civique auquel il s'adresse. Il refuse d'utiliser certains mythes civiques, rompant avec une pratique politique courante dans les cités, qui sera institutionnalisée par le Panhellénion d'Hadrien. Pour le sophiste, l'identité hellénique se définit non seulement par rapport aux racines grecques, mais aussi par rapport à un comportement politique et moral approprié.
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Cet article porte sur la réflexion politique grecque au sujet du principat et sur les relations entre le sophiste Dion de Pruse (40-50 après J.-C. - après 110 ?) et le pouvoir impérial. Il propose une analyse des discours de Dion qui concernent les modèles de royauté : les quatre discours Sur la royauté (Or. I à IV), l'Agamemnon (Or. LVI), le discours Sur la royauté et la tyrannie (Or. LXII). La première partie examine les circonstances de rédaction ou de prononciation des discours, afin de distinguer différentes étapes dans la pensée politique du sophiste et dans son jugement sur la figure de l'empereur. La deuxième partie étudie les deux images du « bon » roi : le roi imparfait, soumis à reddition de compte ; l'Optimus Princeps. Cette seconde image, beaucoup plus développée, est définie à la fois par un ensemble de vertus et par l'imitation du roi des dieux. La troisième partie analyse les objectifs de Dion, compare sa réflexion avec celles des intellectuels romains du Ier et du IIe siècles, dégage sa position complexe à l'égard du principat et de la figure de Trajan. The paper focuses on Greek political thinking on principate as well as on the relations between the sophist Dio of Prusa (40-50 till 100 A.D. ?) and the imperial power. It analyses Dion's speeches on royal models : the four speeches On Kingship (Or. I to IV), the Agamemnon (Or. LVI) as well as the speech On Kingship and Tyranny (Or. LXII). The first part examines under which circumstances these speeches have been drafted and given, in order to highlight the evolution of the sophist's political thinking and his assessment of the figure of emperor. Secondly, the two images of a good king are examined : the imperfect and accountable king on the one hand, the Optimus Princeps on the other. The latter image, more largely developed, is both defined by a collection of virtues and an imitation of the king of gods. The third and last part analyses Dion's objectives, compares his thoughts with the ones of 1st and 2nd centuries Roman intellectuals and sketches his complex standpoint towards the principate and Trajan.
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À l'époque classique, la notion d'identité grecque s'est constituée par rapport à celle de « barbare ». Qu'en est-il dans les deux premiers siècles de l'Empire, où la diffusion de l'hellénisme est notamment le fait de sophistes grecs d'Asie Mineure, au sein d'un Empire caractérisé par la diversité ethnique, culturelle, religieuse et linguistique, et qui prône une politique d'intégration ? Le sophiste Dion de Pruse et l'écrivain Lucien de Samosate sont deux représentants de cet hellénisme impérial qui n'étaient pas des Grecs de Grèce propre, avaient beaucoup voyagé et éprouvé des déceptions dans leurs rapports avec le pouvoir romain. Cette étude compare leur réception et leurs usages des préjugés et des modèles grecs traditionnels, ainsi que leur représentation des notions d'altérité et de barbarie. Dion et Lucien diffusent, sous des aspects différents, un hellénisme qui est construit par rapport à la grécité classique et aux préjugés archétypaux que celle-ci transmettait.