1000 resultados para Dialogues français
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Attributed to abbé J. Guillome by Bibliothèque nationale. It is based, however, on an anonymous 18th cent. work with title: Vocabulaire nouveau, ou Colloque français et breton.
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Adapted from "Le livre des mestiers: dialogues français-flamands composés au XIVe siècle par un maitre d'école de la ville de Bruges," of which an edition was published by Michelant in 1875. cf. Pref., p. vi.
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"Enrichi d'un tableau comparatif des monnaies, poids et mesures".
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Collection : French books before 1601 ; 89.5
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La circulation de livres et d'individus d'une culture à une autre est un phénomène extrêmement important qui stimule la production littéraire et permet la création de nouveaux courants et la modification de certains genres. Parmi les échanges artistiques qu'elle favorise, le dialogue intertextuel, sur lequel porte cet article, est une opération par laquelle un écrivain développe une oeuvre en répondant à une autre oeuvre ou en se positionnant par rapport à elle.Les contes écrits européens sont l'objet de très nombreux échanges. Catalogues de bibliothèques et autres documents attestent la circulation de textes dont les écrivains ont connaissance lorsqu'ils rédigent leurs recueils. Prenant l'exemple des frères Grimm, cet article montre que c'est dans un dialogue avec d'autres auteurs (l'accent est mis sur Charles Perrault) qu'ils élaborent leurs Kinder- und Hausmärchen (contes de l'enfance et du foyer). Même si les philologues allemands prétendent recueillir leurs histoires dans le peuple et les transmettre le plus fidèlement possible, la comparaison de contes français et allemands révèle la manière dont ils utilisent les textes de Perrault pour créer leur recueil 'typiquement allemand'.
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Collection : Archives de la linguistique française ; 147
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Commençant par : « Monseigneur, je vous presente en ce recueil un parterre... » et finissant par : « Gaudia coelo, etc. » .
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De nos jours, les séries télévisées américaines représentent une part incontournable de la culture populaire, à tel point que plusieurs traductions audiovisuelles coexistent au sein de la francophonie. Outre le doublage qui permet leur diffusion à la télévision, elles peuvent être sous titrées jusqu’à trois fois soit, en ordre chronologique : par des fans sur Internet; au Québec, pour la vente sur DVD en Amérique du Nord; et en France, pour la vente sur DVD en Europe. Pourtant, bien que ces trois sous titrages répondent aux mêmes contraintes linguistiques (celles de la langue française) et techniques (diffusion au petit écran), ils diffèrent dans leur traitement des dialogues originaux. Nous établissons dans un premier temps les pratiques à l’œuvre auprès des professionnels et des amateurs. Par la suite, l’analyse des traductions ainsi que le recours à un corpus comparable de séries télévisées françaises et québécoises permettent d’établir les normes linguistiques (notamment eu égard à la variété) et culturelles appliquées par les différents traducteurs et, subsidiairement, de définir ce que cache l’appellation « Canadian French ». Cette thèse s’inscrit dans le cadre des études descriptives et sociologiques. Nous y décrivons la réalité professionnelle des traducteurs de l’audiovisuel et l’influence que les fansubbers exercent non seulement sur la pratique professionnelle, mais aussi sur de nouvelles méthodes de formation de la prochaine génération de traducteurs. Par ailleurs, en étudiant plusieurs traductions d’une même œuvre, nous démontrons que les variétés de français ne sauraient justifier, à elles seules, la multiplication de l’offre en sous titrage, vu le faible taux de différences purement linguistiques.
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De nos jours, les séries télévisées américaines représentent une part incontournable de la culture populaire, à tel point que plusieurs traductions audiovisuelles coexistent au sein de la francophonie. Outre le doublage qui permet leur diffusion à la télévision, elles peuvent être sous titrées jusqu’à trois fois soit, en ordre chronologique : par des fans sur Internet; au Québec, pour la vente sur DVD en Amérique du Nord; et en France, pour la vente sur DVD en Europe. Pourtant, bien que ces trois sous titrages répondent aux mêmes contraintes linguistiques (celles de la langue française) et techniques (diffusion au petit écran), ils diffèrent dans leur traitement des dialogues originaux. Nous établissons dans un premier temps les pratiques à l’œuvre auprès des professionnels et des amateurs. Par la suite, l’analyse des traductions ainsi que le recours à un corpus comparable de séries télévisées françaises et québécoises permettent d’établir les normes linguistiques (notamment eu égard à la variété) et culturelles appliquées par les différents traducteurs et, subsidiairement, de définir ce que cache l’appellation « Canadian French ». Cette thèse s’inscrit dans le cadre des études descriptives et sociologiques. Nous y décrivons la réalité professionnelle des traducteurs de l’audiovisuel et l’influence que les fansubbers exercent non seulement sur la pratique professionnelle, mais aussi sur de nouvelles méthodes de formation de la prochaine génération de traducteurs. Par ailleurs, en étudiant plusieurs traductions d’une même œuvre, nous démontrons que les variétés de français ne sauraient justifier, à elles seules, la multiplication de l’offre en sous titrage, vu le faible taux de différences purement linguistiques.