969 resultados para Demand Control Support model


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The Demand-Control-Support (DCS) model is investigated in the context of police officers working within an organization that has relatively widespread uptake of New Public Management (NPM) practices. A survey of 479 police officers from two geographic regions was undertaken and the results indicate that the DCS offers a simple, yet powerful, framework for identifying the conditions to be managed in an NPM-oriented environment. Job control and work-based support predict all four target variables, strengthening the view that decision-making latitude and support from supervisors and colleagues represent critical resources for promoting the well-being, satisfaction and commitment of public sector employees.

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This study identifies the environmental and personal characteristics that predict employee outcomes within an Australian public sector organization that had, under New Public Management (NPM), implemented a variety of practices traditionally found in the private sector. These are more results-oriented, and their adoption can be accompanied by increased strain for employees. The current investigation was guided by two complementary theories, the Demand Control Support (DCS) model and Conservation of Resources (COR) theory, and sought to examine the benefits of building on the DCS to include both situation-specific stressors and internal coping resources. Survey responses from 1,155 employees were analysed. The hierarchical regression analyses indicated that both external and employee-centred variables made significant contributions to variations in psychological health, job satisfaction, and organizational commitment. The external resources, work based support and, to a lesser extent, job control, predicted relatively large proportions of the variance in the target variables. The situation-specific stressors, particularly those involving harmful management practices (e.g., insufficient time to do job as well as you would like, lack of recognition for good work), made significant contributions to the outcome measures and generally supported the process of augmenting the generic components of the DCS with more situation-specific variables. In terms of internal resources, problem and emotion-based coping improved the capacity of the model to predict psychological health. The results suggest that the impact of NPM can be ameliorated by incorporating the dimensions of the augmented DCS and coping resources into the change programme.

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Notre thèse de doctorat a pour but d’évaluer les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes. Plus spécifiquement, il est question d’identifier les facteurs associés aux symptômes dépressifs majeurs, à une tension psychologique au travail ou travail "tendu" ("high-strain" job), à un travail "tendu" avec un faible soutien social au travail ("Iso-strain"), et enfin d’évaluer l’association entre ces contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail. Les données analysées sont issues de l’Étude Montréalaise sur la Prématurité, une étude de cohorte prospective menée entre mai 1999 et avril 2004, auprès de 5 337 femmes enceintes interviewées à 24-26 semaines de grossesse dans quatre hôpitaux de l’île de Montréal (Québec, Canada). L’échelle CES-D (Center for Epidemiological Studies Depression Scale) a été utilisée pour mesurer les symptômes dépressifs majeurs (score CES-D ≥23). L’échelle abrégée de Karasek a été utilisée pour mesurer les contraintes psychosociales au travail. La présente étude a conduit à la rédaction de quatre articles scientifiques qui seront soumis à des revues avec comité de pairs. Le premier article a permis de comparer la prévalence des symptômes dépressifs majeurs dans différents sous-groupes de femmes enceintes : femmes au foyer, femmes au travail, femmes en arrêt de travail, femmes aux études et de rechercher les facteurs de risque associés aux symptômes dépressifs majeurs pendant la grossesse. À 24-26 semaines de grossesse, la prévalence des symptômes dépressifs majeurs était de 11,9% (11,0-12,8%) pour l’ensemble des femmes enceintes à l’étude (N=5 337). Les femmes enceintes au travail avaient une proportion de symptômes dépressifs moins élevée [7,6% (6,6-8,7%); n=2 514] par rapport aux femmes enceintes au foyer qui avaient les prévalences les plus élevées [19,1% (16,5-21,8%); n=893], suivi des femmes enceintes en arrêt de travail [14,4% (12,7-16,1%); n=1 665] et des femmes enceintes aux études [14,3% (10,3-19,1%); n=265]. Les caractéristiques personnelles (non professionnelles) associées aux symptômes dépressifs majeurs étaient, après ajustement pour toutes les variables, le statut d’emploi, un faible niveau d’éducation, un faible soutien social en dehors du travail, le fait d’avoir vécu des événements stressants aigus, d’avoir manqué d’argent pour les besoins essentiels, les difficultés relationnelles avec son partenaire, les problèmes de santé chronique, le pays de naissance et le tabagisme. Le deuxième article avait pour objectif de décrire l’exposition aux contraintes psychosociales au travail et d’identifier les facteurs qui y sont associés chez les femmes enceintes de la région de Montréal, au Québec (N=3 765). Au total, 24,4% des travailleuses enceintes se trouvaient dans la catégorie travail "tendu" ("high-strain" job) et 69,1% d’entre elles avaient eu un faible soutien social au travail ("Iso-strain"). Les facteurs de risque associés à un travail "tendu" étaient : un faible soutien social au travail, certains secteurs d’activité et niveaux de compétences, le fait de travailler plus de 35 heures par semaine, les horaires irréguliers, la posture de travail, le port de charges lourdes, le jeune âge des mères, une immigration ≥ 5 ans, un bas niveau d’éducation, la monoparentalité et un revenu annuel du ménage <50 000$. Le troisième article a évalué l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail (N=3 765). Dans les analyses bivariées et multivariées, les femmes enceintes qui avaient un "high-strain job" ou un "Iso-strain" présentaient davantage de symptômes dépressifs majeurs que les autres sous-groupes. Les contraintes psychosociales au travail étaient associées aux symptômes dépressifs majeurs lorsqu’on prenait en compte les autres facteurs organisationnels et les facteurs personnels auxquels elles étaient confrontées à l’extérieur de leur milieu de travail. Notre étude confirme les évidences accumulées en référence aux modèles théoriques "demande-contrôle" et "demande-contrôle-soutien" de Karasek et Theorell. L’impact de ce dernier et le rôle crucial du soutien social au travail ont été mis en évidence chez les femmes enceintes au travail. Cependant, l’effet "buffer" du modèle "demande-contrôle-soutien" n’a pas été mis en évidence. Le quatrième article a permis d’évaluer l’exposition aux contraintes psychosociales au travail chez les femmes enceintes au travail et en arrêt de travail pour retrait préventif et de mesurer l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs en fonction du moment du retrait préventif (N=3 043). À 24-26 semaines de grossesse, les femmes enceintes en retrait préventif du travail (31,4%) avaient été plus exposées à un "high-strain job" (31,0% vs 21,1%) et à un "Iso-strain" (21,0% vs 14,2%) que celles qui continuaient de travailler (p<0,0001); et elles avaient des proportions plus élevées de symptômes dépressifs majeurs. Après ajustement pour les facteurs de risque personnels et professionnels, "l’Iso-strain" restait significativement associé aux symptômes dépressifs majeurs chez les femmes qui continuaient de travailler tout comme chez celles qui ont cessé de travailler, et cela quel que soit leur durée d’activité avant le retrait préventif du travail (4 à 12 semaines/ 13 à 20 semaines/ ≥ 21 semaines). Les contraintes psychosociales au travail représentent un important facteur de risque pour la santé mentale des travailleuses enceintes. Malgré l’application du programme "pour une maternité sans danger" il s’avère nécessaire de mettre en place dans les milieux de travail, des mesures de prévention, de dépistage et d’intervention afin de réduire la prévalence des symptômes dépressifs prénataux et l’exposition aux contraintes psychosociales au travail pour prévenir les complications maternelles et néonatales. D’autant plus que, la dépression prénatale est le principal facteur de risque de dépression postpartum, de même que les enfants nés de mères souffrant de dépression sont plus à risque de prématurité et de petit poids de naissance.

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Cette thèse doctorale poursuit l’objectif de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en tant que déterminant des problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre. Ceci, dans un contexte où les organisations font face à plusieurs défis importants pouvant affecter leur survie et pérennité, mais surtout face aux coûts directs et indirects reliés à ce type de problèmes qui ne cessent d’augmenter. Cette thèse fut également inspirée par les nombreuses limites constatées à la suite d’une revue de la littérature sur la santé mentale au travail, alors que les principaux modèles sur le stress professionnel (e.g. modèle demandes-contrôle de Karasek (1979), modèle demandes-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990), le modèle du Déséquilibre Efforts-Récompenses de Siegrist (1996) et le modèle Demandes-Ressources de Demerouti et al., (2001)) et guidant la recherche sur le sujet, ne tiennent pas compte du contexte organisationnel élargi dans lequel se vit le travail. Un élément bien précis du contexte organisationnel est le cœur de cette thèse soit la culture organisationnelle. En effet, la culture organisationnelle joue-t-elle un rôle dans le développement et/ou l’aggravation de problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre? Si oui ce rôle existe, alors comment et sous quelles conditions la culture organisationnelle est-elle susceptible de protéger ou de fragiliser la santé mentale des individus? Dans le but de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en matière de santé mentale au travail, nous avons eu recours à un modèle théorique intégrateur exposant les relations entre la culture organisationnelle, les conditions de l’organisation du travail et la santé mentale. Cette articulation théorique est présentée sous forme d’article dans le cadre de cette thèse. De ce modèle découle deux grandes hypothèses. La première est à l’effet que les conditions de l’organisation du travail sont associées à la détresse psychologique et à l’épuisement professionnel une fois tenu en compte la culture organisationnelle. La seconde hypothèse induite par le modèle proposé, pose que les conditions de l’organisation du travail médiatisent la relation entre la culture organisationnelle et les problèmes de santé mentale au travail. Ces hypothèses de recherche furent testées à partir de données transversales obtenues dans le cadre du projet de recherche SALVEO de l’Équipe de Recherche sur le Travail et la Santé Mentale (ERTSM) de l’Université de Montréal. Les résultats obtenus sont présentés sous forme de deux articles, soumis pour publication, lesquels constituent les chapitres 5 et 6 de cette thèse. Dans l’ensemble, le modèle théorique proposé obtient un soutient empirique important et tend à démontrer que la culture organisationnelle joue indirectement sur la détresse psychologique de par son influence sur les conditions de l’organisation du travail. Pour l’épuisement professionnel, les résultats démontrent que la culture organisationnelle influence directement et indirectement les problèmes de santé mentale au travail. Les résultats corroborent l’importance de développer de nouveaux modèles théoriques pour mieux inclure des facteurs reliés à l’organisation et au contexte organisationnel plus large afin d’avoir un portrait complet de la problématique de la santé mentale au travail. Cette thèse conclue sur les implications de ces résultats pour la recherche, et pour les retombées pratiques pour la gestion des ressources humaines.

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L’objectif principal de ce mémoire est d’approfondir les connaissances à propos de l’impact des stresseurs organisationnels sur la concentration du cortisol salivaire. Plus précisément, nous étudierons la contribution des modèles demande-contrôle de Karasek (1979) et demande-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990) à la variation du cortisol salivaire chez les individus. Les associations entre les composantes principales de chacun des modèles (demandes psychologiques, latitude décisionnelle et soutien social), mais également les effets d’interaction inclus dans ces modèles, c’est-à-dire de l’effet modérateur de la latitude décisionnelle et du soutien social, seront étudiés. L’axe HPS a été associé aux symptômes de la santé mentale (Abelson et al., 2007; Havermans et al., 2011; Vreeburg et al., 2009b, 2010, 2013; Staufenbiel, 2013) ainsi qu’aux stresseurs en milieu de travail (Chida et Steptoe, 2009). À l’heure actuelle, le cortisol salivaire serait un indicateur de l’axe hypothalamo-pituito-surrénalien (HPS) le plus prometteur pour mesurer la réponse physiologique face à un événement stressant ou à un stress chronique (Maïna et al., 2009). Les données proviennent de l’étude SALVEO, menée par l’Équipe de recherche sur le travail et la santé mentale de l’Université de Montréal. Les résultats des analyses multiniveaux ne soutiennent pas l’implication du modèle demande-contrôle-soutien sur la concentration de cortisol. En effet, elles ne permettent pas de conclure que les effets, autant principaux que d’interaction, du modèle demande-contrôle-soutien expliquent la variation dans les concentrations de cortisol. La consommation de tabac est significativement reliée à la concentration de cortisol salivaire et doit être prise en considération dans les études futures. Par conséquent, ces résultats suggèrent que d’autres recherches sont nécessaires pour comprendre comment les stresseurs du travail s’incorporent à l’individu au niveau physiologique. Des connaissances approfondies de ces associations permettraient de mieux comprendre les associations entre le stress à long terme et les effets sur la santé, c’est-à-dire, comment les tensions au travail affectent la santé mentale à long terme (Karhula et al., 2015).

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The Australian community health sector has undergone extensive organisational reform in recent times, and, in the push to enhance efficiencies and contain costs, there are indications that these changes may have undermined the wellbeing of community health personnel and their ability to provide high quality illness-prevention services. The aim of this study was to examine the working environments experienced by community health service employees and identify conditions that are predictive of employee stress. The study was guided by a tailored version of the demand-control-support model, whereby the generic components of the model had been augmented by more situation-specific stressors. The results of multiple regression analyses indicated that job control, and, to a lesser extent, social support, were closely associated with the outcome variables (psychological health, job satisfaction and organisational commitment). The more situation-specific stressors also accounted for significant proportions of explained variance. Overall, the results suggest that working conditions, particularly job control, social support and specific job stressors, offer valuable opportunities for protecting and enhancingthe wellbeing of community health service personnel.

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This study addresses a gap in much of the research involving stress among high-risk occupations by investigating the effects of linear, non-linear and interaction models in a law enforcement organization that has undertaken a series of efficiency-driven organizational reforms. The results of a survey involving 2085 police officers indicated that the demand-control-support model provided good utility in predicting an officer's satisfaction, commitment and well-being. In particular, social support and job control were closely associated with all three outcome variables. Although the demand × control/support interactions were not identified in the data, there was some support for the curvilinear effects of job demands. The results have implications for the organizational conditions that need to be addressed in contemporary policing environments where new public management strategies have had widespread affects on the social and organizational context in which policing takes place.

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This paper explores the relationships between characteristics of the job (workload, control and support) and organizational justice (distributive, procedural, interpersonal and informational) at Time 1, onto three indicators of psychological health at Time 2 (psychological wellbeing, distress and depression). The sample consisted of sworn members of a state-based police force (n=143). Hierarchical regression analyses indicated that workload was associated with psychological wellbeing, distress and depression at the one-year follow-up. Specifically, high workload at Time 1 was associated with psychological distress and depression at Time 2, and low workload was associated with psychological wellbeing at Time 2. Further, there was a significant relationship between perceived informational justice at Time 1 and psychological wellbeing at Time 2. No significant interaction effects were demonstrated for the job characteristics or organizational justice onto psychological health status. That is, longitudinally, workload directly influences both positive and negative mental health, and informational justice is related to psychological wellbeing. The implications for the demand-control-support model are discussed. The injustice-as-stressor argument was generally not supported.

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BACKGROUND: Allied health professionals are integral to the effective delivery of hospital-based health care, yet little is known about the working conditions associated with the attitudinal and health outcomes of these employees.

PURPOSE: The purpose of this study was to investigate the extent to which the demand-control-support model, in combination with organizational justice variables, predicts the employee-level outcomes of allied health professionals.

METHODOLOGY/APPROACH: Allied health professionals from an Australian health care organization were surveyed, with 113 (52.6%) participating. The survey included measures of job demands, job control, social support, organizational justice, satisfaction, commitment and psychological distress.

FINDINGS: Multiple regression analyses reveal that the additive demand-control-support model predicts the outcome variables of job satisfaction, organizational commitment and psychological distress, whereas the organizational justice variables predicted organizational commitment and psychological distress. Further, both work and nonwork sources of support, in addition to specific justice dimensions, were closely associated with employee-level outcomes.

PRACTICAL IMPLICATIONS:
When coupled with previous research involving social support and organizational justice, the findings from this study suggest that initiatives aimed at strengthening supervisor and nonwork support, while enhancing perceptions of organizational fairness, may offer useful avenues for increasing the levels of satisfaction, commitment and well-being experienced by allied health professionals.

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Purpose – The purpose of this paper is to examine the efficacy of the demand-control-support model, augmented with employee perceptions of organisational justice and degree of met expectations.

Design/methodology/approach – Data were collected from 128 public sector employees working in a large state police force operating under many of the elements of new public management. Hierarchical multiple regression analyses were conducted using four indicators of occupational strain: employee wellbeing, job satisfaction, organisational commitment and intent to quit.

Findings –
The results of this study suggest that the demand-control-support model has great utility in identifying those aspects of the work environment associated with employee strain. Job control and social support at work in particular were the most consistent predictors. In contrast, the expectation and justice variables failed to make significant contributions to the model in all but one analysis providing no support for the “injustice as stressor” perspective.

Research limitations/implications –
Although a cross-sectional design was utilized, these results highlight the value of applying the parsimonious demand-control-support model to a wider set of outcomes, especially in a public sector environment.

Practical implications –
The results emphasize the importance of the relatively neglected “softer” work characteristics support and control. In order to combat the ill-effects of organisational reforms and prompt a shift towards the public value approach, managers operating under elements of new public management should ensure that adequate social support at work is available and that employee control is commensurate with their demands.

Originality/value –
This study examined an augmented demand-control-support model and identified that whilst perceptions of justice can influence employee attitudes and wellbeing, the demand, control, and support variables remain the most influential factors with regard to public sector employee attitudes and wellbeing.

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Die vorliegende Studie untersuchte die im Job-Demand-Control-Support-Modell und Effort-Reward-Imbalance-Modell beschriebenen Tätigkeitsmerkmale in Bezug auf Depressivität in einer Stichprobe von 265 Erwerbstätigen. Anhand konfirmatorischer Faktorenanalysen wurden Gemeinsamkeiten und Unterschiede beider Modelle geprüft. Anschließend wurde die Bedeutung der nachweisbaren Tätigkeitsmerkmale für die Vorhersage von Depressivität getestet und untersucht, inwieweit die Effekte durch Überforderungserleben mediiert werden. Die Analysen zeigten, dass die Modelle sowohl gemeinsame (Arbeitsintensität bzw. berufliche Anforderungen) als auch distinkte Arbeitsmerkmale (Tätigkeitsspielraum, Arbeitsplatzsicherheit, beruflicher Status, soziale Anerkennung) erfassen. Hohe Arbeitsintensität, geringe Arbeitsplatzsicherheit und fehlende soziale Anerkennung standen in signifikantem Zusammenhang mit Depressivität. Anders als erwartet war der berufliche Status positiv mit Depressivität assoziiert, während für den Tätigkeitsspielraum keine signifikanten Effekte nachweisbar waren. Das Pfadmodell bestätigte sowohl direkte als auch durch Überforderungserleben vermittelte Zusammenhänge zwischen den Tätigkeitsmerkmalen und Depressivität (39 % Varianzaufklärung). Die Ergebnisse bieten eine Grundlage für die Identifizierung potenzieller Risikofaktoren für das Auftreten depressiver Symptome am Arbeitsplatz. This study examined the job characteristics in the Job-Demand-Control-Support Model and in the Effort-Reward Imbalance Model with regard to depression in a sample of 265 employees. First, we tested by means of confirmatory factor analysis similarities and differences of the two models. Secondly, job characteristics were introduced as predictors in a path model to test their relation with depression. Furthermore, we examined whether the associations were mediated by the experience of excessive demands. Our analyses showed the demand/effort component to be one common factor, while decision latitude and reward (subdivided into the three facets of job security, social recognition, and status-related reward) remained distinctive components. Employees with high job demands/effort, low job security, low social recognition, but high status-related rewards reported higher depression scores. Unexpectedly, status-related rewards were positively associated with depression, while we found no significant effects for decision latitude. The path models confirmed direct as well as mediation effects (through experienced excessive demands) between job characteristics and depression (39 % explained variance in depression). Our results could be useful to identify possible job-related risk factors for depression.

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I studien undersöks hur arbetstagarnas arbetstillfredsställelse förändrats vis en arbetstidsförkortning. Arbetstidsförkortningens art är i form av en övergång ifrån åtta timmars arbetsdag till sex timmars arbetsdag med bibehållen heltidslön. Studien har genomförts vid ett mindre privat tjänsteföretag. Studiens syfte är att undersöka hur denna typ av arbetstidsförkortning förhåller sig till arbetstagarnas arbetstillfredsställelse och därmed öka förståelsen för de båda fenomenen. Det framkommer att arbetstagarnas arbetstillfredsställelse har förändrats sedan arbetstidsförkortningen. Gällande enskilda faktorer i arbetet har somliga faktorer minskat medan somliga faktorer ökat. I diskussionen framkommer att det föreligger en risk för ohälsa för arbetstagarna då det råder brist på stöd, minskad kontroll och ökade krav sedan arbetstidsförkortningen införts. Den föreliggande risken för ohälsa kan dock ses som acceptabel med tanke på den varierande arbetsbelastningen vilket innebär att arbetstagarna under perioder får tid för återhämtning. Trots omständigheterna råder en hög global arbetstillfredsställelse vilket i sin tur borde innebära att teorierna som brukats innehåller vissa brister då hänsyn till svängningar i arbetsbelastningen inte tagits. I resultatanalysen framkom tre teman vilka sågs relevanta för arbetstagarna och dess arbetstillfredsställelse. Dessa teman bestod av förändringar i relationer, förändringar i arbetet och förändringar i belöningar. Den teoretiska referensramen för studien innehåller förväntningsteorin, tvåfaktor teorin, kravkontroll- stödmodellen samt ansträngning- belöning- obalansmodellen. Datainsamling har skett med hjälp av fyra semistrukturerade intervjuer då respondenterna bestått av arbetstagare på det valda fallet som studerats. Studien är uppbyggt efter kvalitativ metod och har en fenomenologisk ansats. Studien har utformats i form av en fallstudie.

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With the widespread and continuing adoption of managerialism in the public sector, ignoring the impact of change on employees could prevent managerialism from achieving its goals. Subsequently, this study investigates the efficacy of an augmented demand-control-support (D-C-S) model in predicting three of the key employee outcomes in the context of organizational change—psychological health, job satisfaction, and organizational commitment. Analyses of a survey of 207 employees in the Australian public sector, a sector that has undergone, and continues to undergo, substantial change toward managerialism, found that the augmented D-C-S model explained a significant proportion of the employee outcomes in the public sector context. The most important variables were work-based social support and job control. Coping style and perceptions of work conditions, such as pay, were also significant. The augmented D-C-S model provides a useful, proven tool for managers operating within the contemporary public sector.

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The growing demand of air-conditioning is one of the largest contributors to Australia’s overall electricity consumption. This has started to create peak load supply problems for some electricity utilities particularly in Queensland. This research aimed to develop consumer demand side response model to assist electricity consumers to mitigate peak demand on the electrical network. The model developed demand side response model to allow consumers to manage and control air conditioning for every period, it is called intelligent control. This research investigates optimal response of end-user toward electricity price for several cases in the near future, such as: no spike, spike and probability spike price cases. The results indicate the potential of the scheme to achieve energy savings, reducing electricity bills (costs) to the consumer and targeting best economic performance for electrical generation distribution and transmission.