992 resultados para David Hume


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

This work offers a novel interpretation of David Hume’s (1711–1776) conception of the conjectural development of civil society and artificial moral institutions. It focuses on the social elements of Hume’s Treatise of human nature (1739–40) and the necessary connection between science of man and politeness, civilised monarchies, social distance and hierarchical structure of civil society. The study incorporates aspects of intellectual history, history of philosophy and book history. In order to understand David Hume’s thinking, the intellectual development of Bernard Mandeville (1670–1733) needs to be accounted for. When put into a historical perspective, the moral, political and social components of Treatise of human nature can be read in the context of a philosophical tradition, in which Mandeville plays a pivotal role. A distinctive character of Mandeville and Hume’s account of human nature and moral institutions was the introduction of a simple distinction between self-love and self-liking. The symmetric passions of self-interest and pride can only be controlled by the corresponding moral institutions. This is also the way in which we can say that moral institutions are drawn from human nature. In the case of self-love or self-interest, the corresponding moral institution is justice. Respectively, concerning self-liking or pride the moral institution is politeness. There is an explicit analogy between these moral institutions. If we do not understand this analogy, we do not understand the nature of either justice or politeness. The present work is divided into two parts. In the first part, ‘Intellectual development of Bernard Mandeville’, it is argued that the relevance of the paradigmatic change in Mandeville’s thinking has been missed. It draws a picture of Mandeville turning from the Hobbism of The Fable of the Bees to an original theory of civil society put forward in his later works. In order to make this change more apparent, Mandeville’s career and the publishing history of The Fable of the Bees are examined comprehensively. This interpretation, based partly on previously unknown sources, challenges F. B. Kaye’s influential decision to publish the two parts of The Fable of the Bees as a uniform work of two volumes. The main relevance, however, of the ‘Intellectual development of Mandeville’ is to function as the context for the young Hume. The second part of the work, ‘David Hume and Greatness of mind’, explores in philosophical detail the social theory of the Treatise and politics and the science of man in his Essays. This part will also reveal the relevance of Greatness of mind as a general concept for David Hume’s moral and political philosophy.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

[ES]En este trabajo tratamos de esclarecer en qué sentido Hume es relativista con relación a la ética y a la estética. El sentimentalismo inherente a su ética y estética hace que, desde el punto de vista de algunos intérpretes, Hume sea un relativista radical con respecto a dichos ámbitos. Sin embargo, tanto el innegable sentimentalismo de Hume como su supuesto relativismo requieren un profundo estudio. Nos valdremos del concepto de regla general para analizar las relaciones entre sentimentalismo y relativismo, y finalmente argumentaremos que si bien tiene sentido calificar a Hume como relativista, su relativismo es moderado y sensato.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Esta dissertação objetiva descrever e analisar criticamente o conceito de justiça no contexto da filosofia moral de David Hume. Com o propósito de fornecer uma explicação completa e consistente de sua teoria da justiça, pretende-se, em primeiro lugar, apresentar a teoria moral sentimentalista de Hume e explicar de que forma sua concepção de justiça se associa com os princípios fundamentais da moralidade. O primeiro capítulo da dissertação consiste, primeiramente, em uma breve exposição do problema do livre-arbítrio e do determinismo e, em segundo lugar, na apresentação da alternativa compatibilista de Hume. Conforme se pretende demonstrar ao longo deste capítulo, a estratégia da solução compatibilista de Hume deve necessariamente envolver a noção de sentimento moral, cujo conceito é central em seu sistema moral. Em seguida, no segundo capítulo, será examinada a teoria moral de Hume, a qual se estrutura em duas hipóteses principais: a tese negativa que contesta a ideia de que o fundamento da moralidade se baseie exclusivamente nas operações da razão (relações de ideias e questões de fato); e a tese positiva que afirma que a fonte da moralidade reside em nossas paixões, sentimentos e afetos de prazer e dor ao contemplarmos caracteres virtuosos e viciosos. O terceiro capítulo visa apresentar a teoria da justiça de Hume, objeto principal desta dissertação. A hipótese central que Hume sugere é que a virtude da justiça não é instintiva ou natural nos seres humanos. Ela é possível unicamente por intermédio de acordos, convenções e artifícios humanos motivados pelo auto-interesse. A tese de Hume é exatamente que a origem da justiça, enquanto uma convenção social, só pode ser explicada com base em dois fatores: a atuação dos sentimentos de nossa disposição interna e a circunstância externa caracterizada pela escassez relativa de bens materiais. Finalmente, o último capítulo desta dissertação visa discutir a teoria política de Hume com o propósito de complementar sua teoria da justiça. Hume defende que a justificação da instituição da autoridade soberana e dos deveres civis se funda nos mesmos princípios da convenção de justiça: eles também são artifícios criados exclusivamente para servir ao nosso próprio interesse.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Cette présentation examinera le degré de certitude qui peut être atteint dans le domaine scientifique. Le paradigme scientifique est composé de deux extrêmes; causalité et déterminisme d'un côté et probabilité et indéterminisme de l'autre. En faisant appel aux notions de Hume de la ressemblance et la contiguïté, on peut rejeter la causalité ou le hasard objectif comme étant sans fondement et non empirique. Le problème de l'induction et le sophisme du parieur proviennent d’une même source cognitif / heuristique. Hume décrit ces tendances mentales dans ses essais « Of Probability » et « Of the Idea of Necessary Connexion ». Une discussion sur la conception de la probabilité de Hume ainsi que d'autres interprétations de probabilité sera nécessaire. Même si la science glorifie et idéalise la causalité, la probabilité peut être comprise comme étant tout aussi cohérente. Une attitude probabiliste, même si elle est également non empirique, pourrait être plus avantageuse que le vieux paradigme de la causalité.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La sympathie comme principe par lequel une idée se convertit en impression n’est pas la seule espèce de sympathie employée par David Hume dans ses ouvrages. Le terme «sympathie» possédait des sens variés dans le langage courant au XVIIIème siècle, et il arrive que le philosophe écossais se serve du terme «sympathie» dans l’un ou l’autre de ces sens. C’est ainsi que, outre son concept philosophique, Hume se sert du terme «sympathie» suivant cinq autres sens. L’identification des différentes sortes de sympathie présentes dans les ouvrages de Hume a permis de mieux comprendre ce qu’il en était de la nature de son concept philosophique de sympathie. Ainsi, on a pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec un autre principe de production d’affections mentionné à l’occasion par Hume : la contagion. Ainsi, on a également pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec d’autres éléments de la philosophie humienne, tels que les esprits animaux, leurs mouvements et les émotions. Les analyses ont démontré, par ailleurs, que les esprits animaux et leurs mouvements jouaient un rôle de premier plan dans la théorie humienne des passions et que le principe de la sympathie, au final, désignait l’augmentation de l’agitation des esprits animaux. C’est ainsi que la sympathie entendue comme principe par lequel une idée était convertie en impression désignait un mécanisme physiologique chez Hume. Les analyses ont également démontré que les impressions que Hume nommait «émotions» désignaient plus particulièrement le mouvement des esprits animaux. Qu’ainsi, l’on devait considérer qu’il y avait dans la taxonomie du philosophe écossais non seulement des perceptions de l’entendement humain (idées, passions, sentiments, etc.) mais également des perceptions du corps humain (émotions) et que celles-ci étaient en correspondance étroite avec celles-là. On peut ainsi faire l’hypothèse qu’il y a dans la philosophie humienne des éléments susceptibles de fonder une théorie de l’union entre l’âme et le corps. La considération de la sympathie comme un principe physiologique d’agitation des esprits animaux permet que l’on jette un regard nouveau sur la façon dont David Hume concevait la nature humaine.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

David Hume, dans son Traité sur la nature humaine, utilise deux concepts qui semblent se rapporter à l’identité personnelle d’un individu : le moi (self) et le caractère personnel. Cependant, dans le Traité, il ne traite pas à la fois de l’un et de l’autre : dans le premier livre, « De l’entendement », il s’intéresse au moi, alors que dans les second et troisième livres, « Des passions » et « De la morale » il traite plutôt du caractère. On constate alors qu’il y a une nette différence chez Hume entre ce qui constitue le moi d’un individu et son caractère personnel. Ils ne se définissent absolument pas de la même manière et au final, ils ne se rapportent pas, tous deux, à l’identité personnelle. Le caractère qui permet d’aborder la question de la responsabilité morale d’un individu, ce que le moi ne peut pas faire, constitue la véritable identité d’un individu.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Si bien es mucho lo que se ha dicho y lo que aún se puede decir sobre la producción filosófica moderna, este texto se centra solamente en un aspecto de las teorías de Locke y Hume: la construcción de la identidad personal. Las teorías empiristas expuestas a continuación representan un antecedente elemental para las teorías contemporáneas de la identidad personal en las que se considera relevante el papel que cumple la intersubjetividad en la construcción de la subjetividad. Mi texto consistirá en una interpretación acerca de las teorías de la identidad personal de Locke y Hume. Mi problema central es analizar el papel que cumplen tanto la memoria como la imaginación en la construcción de la identidad personal al interior de los sistemas de pensamiento de ambos autores. En esa medida, este texto no es un texto sobre la memoria y la imaginación como facultades cognoscitivas en dichos sistemas de pensamiento. Más bien, es un texto acerca de la importancia de estas dos facultades en el problema de la identidad personal. Como veremos, el aporte más importante que hacen Locke y Hume con sus teorías de la identidad personal es que el reconocimiento de nuestro propio yo está dado solo en la medida en la que podemos imaginar y recordar.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

O problema da natureza da ação livre tem relação com as origens e condições de comportamento responsável. Em geral livre é contraposto a determinado, mas o senso comum acaba por aceitar um paradoxo: tudo é causado, mas algumas ações são livres. O compatibilismo apresenta-se como uma saída para o paradoxo, tentando fazer conviver a presença de alguma determinação com a responsabilidade e a liberdade prática, enquanto oposta ao constrangimento. Contudo, tal posição também acarreta inúmeras dificuldades de natureza metafísica e moral. Este artigo pretende mostrar que a formulação humana do compatibilismo permite iluminar e dissolver boa parte delas.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

A ciência da natureza humana é o projeto de Hume que concerne à toda sua filosofia –estética, ética, política, teoria do conhecimento, história, economia, filosofia da religião, etc. – coisa de que jamais poderíamos dar conta, dado a natureza do trabalho de mestrado. Por isso, contentamo-nos em falar apenas da fundamentação da ciência da natureza humana, referente à investigação acerca da origem das ideias e operações do entendimento, ou da investigação sobre as causas e os poderes ocultos do entendimento humano, com base no método experimental. A questão a que o nosso trabalho visa a lançar luz é precisamente esta: o que é uma ciência da natureza humana baseada no método experimental? Essa será, pois, a nossa tarefa adiante. Julgamos que, a partir de uma abordagem holística e científica da mente humana, Hume tenta explicar a natureza dos poderes ou faculdades intelectuais, sobretudo suas limitações e sua fragilidade. Sendo, pois, a base da ciência do homem o método experimental, o qual, por sua vez, tem o seu fundamento sólido na experiência e na observação, então é preciso perguntar: como e em que medida o uso de tal método tornou-se imprescindível à filosofia moral – isto é, às questões filosóficas de modo geral – e que tangem à ciência da natureza humana? Compreender isso é compreender a etapa inicial do projeto filosófico humiano, ou seja, o estudo do entendimento humano que, por sua vez, subdivide-se em dois momentos, a saber: (1) A ciência da mente, pela qual Hume mostra as limitações de nossas faculdades e poderes intelectuais e (2) o ceticismo que é, pois, as consequências desse estudo, a constatação da fragilidade e das limitações do entendimento humano. Nesse sentido, sentimo-nos livres para falar de algumas reflexões tanto do Tratado quanto da primeira Investigação, muitas vezes de maneira indistinta, tentando ressaltar que tais obras, quando comparadas, podem revelar o amadurecimento de um mesmo projeto filosófico que é a ciência da natureza humana. E este é exatamente o fio condutor de nossa pesquisa: como uma ciência da natureza humana é projetada por Hume e em que medida é possível falar do amadurecimento de seus propósitos? Com este exame inicial, poderemos responder alguns problemas acerca da visão pela qual Hume foi falsamente apontado como um cético radical. Apresentaremos por que a crítica sobre a sua “teoria das ideias” elaborada pelos filósofos do senso comum não considera importantes pontos de sua ciência da mente, gerando muitos mal-entendidos na posteridade. Em suma, no Capítulo 1 deste trabalho, examinaremos o que seria o projeto filosófico de Hume e, por meio desse exame, tentaremos apresentar, no Capítulo 2, as bases em que essa ciência da mente construída por Hume está sustentada. No capítulo 3, mostraremos que a interpretação cético-destrutiva da posteridade está equivocada, na medida em que desconsidera os meios que Hume encontrou à sua fundamentação da ciência da natureza humana.