890 resultados para Case-Control Studies


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Although full-term pregnancies reduce the risk of ovarian cancer, it has not been conclusively established whether incomplete pregnancies also influence risk. We investigated the relationship between a history of incomplete pregnancy and incident epithelial ovarian cancer among over 4,500 women who participated in two large Australian population-based case-control studies in 1990-1993 and 2002-2005. They provided responses to detailed questions about their reproductive histories and other personal factors. Summary odds ratios (OR) and confidence intervals (CI) derived from each study using the same covariates were aggregated. We found no significant associations between the number of incomplete pregnancies and ovarian cancer, for parous (OR = 0.98, 95% CI: 0.89, 1.08) or nulliparous (OR = 1.06, 95% CI: 0.75, 1.48) women, nor for the number of spontaneous or induced abortions and ovarian cancer for parous women (OR = 0.95, 95% CI 0.82, 1.09; OR = 1.08, 95% CI: 0.86, 1.36) or nulliparous women (OR = 1.2, 95% CI: 0.6, 2.4; OR = 0.8, 95% CI: 0.47, 1.38), respectively. A systematic review of 37 previous studies of the topic confirmed our findings that a history of incomplete pregnancy does not influence a woman’s risk of epithelial ovarian cancer.

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Matched case–control research designs can be useful because matching can increase power due to reduced variability between subjects. However, inappropriate statistical analysis of matched data could result in a change in the strength of association between the dependent and independent variables or a change in the significance of the findings. We sought to ascertain whether matched case–control studies published in the nursing literature utilized appropriate statistical analyses. Of 41 articles identified that met the inclusion criteria, 31 (76%) used an inappropriate statistical test for comparing data derived from case subjects and their matched controls. In response to this finding, we developed an algorithm to support decision-making regarding statistical tests for matched case–control studies.

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Objectives: We sought to replicate the association between the kinesin-like protein 6 (KIF6) Trp719Arg polymorphism (rs20455), and clinical coronary artery disease (CAD).
Background: Recent prospective studies suggest that carriers of the 719Arg allele in KIF6 are at increased risk of clinical CAD compared with noncarriers.
Methods: The KIF6 Trp719Arg polymorphism (rs20455) was genotyped in 19 case-control studies of nonfatal CAD either as part of a genome-wide association study or in a formal attempt to replicate the initial positive reports.
Results: A total of 17,000 cases and 39,369 controls of European descent as well as a modest number of South Asians, African Americans, Hispanics, East Asians, and admixed cases and controls were successfully genotyped. None of the 19 studies demonstrated an increased risk of CAD in carriers of the 719Arg allele compared with noncarriers. Regression analyses and fixed-effects meta-analyses ruled out with high degree of confidence an increase of <2% in the risk of CAD among European 719Arg carriers. We also observed no increase in the risk of CAD among 719Arg carriers in the subset of Europeans with early-onset disease (younger than 50 years of age for men and younger than 60 years of age for women) compared with similarly aged controls as well as all non-European subgroups.
Conclusions: The KIF6 Trp719Arg polymorphism was not associated with the risk of clinical CAD in this large replication study.

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Cancer du poumon associé à l’exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium dans le milieu de travail utilisant deux études populationnelles cas-témoins à Montréal. Au début des années 1990, le nickel, le chrome VI et le cadmium ont été classés en tant qu’agents cancérigènes de classe 1 par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer). Cependant, les résultats des études ayant permis la classification de ces métaux n’ont pas toujours été reproduits, et d’importantes questions demeurent quant aux effets de ces métaux à de faibles niveaux d’exposition. Un plus grand nombre de recherches empiriques est donc nécessaire afin de réaffirmer la cancérogénicité de ces agents, et d’identifier les circonstances dans lesquelles ils peuvent être néfastes. L'objectif de cette étude était d'explorer la relation entre l’exposition à un des métaux (soit le nickel, le chrome VI, ou le cadmium) et les risques subséquents de développer un cancer du poumon chez des travailleurs provenant de différents milieux de travail qui sont exposés à ces métaux à de différents degrés. Deux études cas-témoins de base populationnelle menées à Montréal ont fourni les données nécessaires pour examiner la cancérogénicité de ces métaux. La première étude était menée entre 1979 et 1986 chez des hommes âgés de 35 à 70 ans ayant un cancer dans l’un de 19 sites anatomiques de cancer sélectionnés. La seconde étude était menée entre 1996 et 2001 chez des hommes et des femmes âgés de 35 à 75 ans, avec un diagnostic de tumeur maligne au poumon. Dans ces deux études, les cas ont été recensés dans tous les hôpitaux de l'île de Montréal, tandis que les contrôles populationnels appariés par âge et stratifiés par sexe, ont été sélectionnés des listes électorales. Une entrevue avec chaque sujet a permis d'obtenir un historique d'emploi détaillé ainsi que des informations précises sur les facteurs de risques socio-économiques et personnels. Les descriptions de poste ont été évaluées par une équipe d'experts chimistes et hygiénistes afin de déterminer si le sujet a été exposé à chaque agent, et pour mesurer à la fois la concentration et la durée de chaque exposition, ainsi que l’exposition cumulative tout au long de la vie de chaque participant. Pour déterminer si une exposition à l’un des trois métaux en cause était associée à une augmentation de l'incidence du cancer du poumon, des données ont été analysées par régression logistique : des ajustements ont été effectués pour des facteurs de confusion pertinents incluant un historique détaillé du tabagisme. Des mesures catégoriques d'exposition cumulée ont été également analysées, ainsi que la modification des effets par le tabagisme. Les deux études ont été analysées séparément, puis par la suite combinées afin d'augmenter la puissance statistique. Les niveaux d'exposition mesurés dans cette population ne semblaient pas poser un excès de risque de cancer du poumon pour les travailleurs exposés au chrome VI. Cependant, ceux qui ont été exposés au nickel ont subi une augmentation significative du risque, et ce, quel que soit leur niveau d'exposition. Le risque de développer un cancer du poumon suite à une exposition au cadmium était élevé, mais pas de manière significative. Pour chacun des trois métaux, le risque de cancer du poumon était très élevé parmi les non-fumeurs, mais pas parmi les fumeurs. L’effet combiné du tabagisme et de l’exposition aux métaux était compatible avec un excès de risque additif. Cependant, les intervalles de confiance dans cette étude tendaient à être larges, et une faiblesse de puissance statistique peut limiter l’interprétation de certains résultats. Cette étude est unique dans la mesure où elle a fourni des preuves empiriques sur les risques de développer le cancer du poumon liés aux faibles niveaux d’exposition au nickel, au chrome VI, ou au cadmium provenant de divers contextes de travail. Dans la plupart des autres études, la majorité des expositions pertinentes n’ont pas été bien contrôlées. À l'inverse, cette étude a bénéficié de la collecte et de la disponibilité d'information détaillée concernant le tabagisme et d’autres facteurs de risque. Les résultats de cette étude ont d'importantes conséquences pour la santé publique, tant au niveau de la détermination des risques pour les travailleurs actuellement exposés à ces métaux, qu'au niveau de l’évaluation des risques pour la population en général, elle-même exposée à ces métaux par le biais de la pollution et de la fumée de cigarette. Cette analyse contribuera fort probablement à une réévaluation par le CIRC de la cancérogénicité de ces métaux. L'exploration de la relation entre les risques de cancer du poumon et l'exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium est donc opportune et pertinente.

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Contexte. Les études cas-témoins sont très fréquemment utilisées par les épidémiologistes pour évaluer l’impact de certaines expositions sur une maladie particulière. Ces expositions peuvent être représentées par plusieurs variables dépendant du temps, et de nouvelles méthodes sont nécessaires pour estimer de manière précise leurs effets. En effet, la régression logistique qui est la méthode conventionnelle pour analyser les données cas-témoins ne tient pas directement compte des changements de valeurs des covariables au cours du temps. Par opposition, les méthodes d’analyse des données de survie telles que le modèle de Cox à risques instantanés proportionnels peuvent directement incorporer des covariables dépendant du temps représentant les histoires individuelles d’exposition. Cependant, cela nécessite de manipuler les ensembles de sujets à risque avec précaution à cause du sur-échantillonnage des cas, en comparaison avec les témoins, dans les études cas-témoins. Comme montré dans une étude de simulation précédente, la définition optimale des ensembles de sujets à risque pour l’analyse des données cas-témoins reste encore à être élucidée, et à être étudiée dans le cas des variables dépendant du temps. Objectif: L’objectif général est de proposer et d’étudier de nouvelles versions du modèle de Cox pour estimer l’impact d’expositions variant dans le temps dans les études cas-témoins, et de les appliquer à des données réelles cas-témoins sur le cancer du poumon et le tabac. Méthodes. J’ai identifié de nouvelles définitions d’ensemble de sujets à risque, potentiellement optimales (le Weighted Cox model and le Simple weighted Cox model), dans lesquelles différentes pondérations ont été affectées aux cas et aux témoins, afin de refléter les proportions de cas et de non cas dans la population source. Les propriétés des estimateurs des effets d’exposition ont été étudiées par simulation. Différents aspects d’exposition ont été générés (intensité, durée, valeur cumulée d’exposition). Les données cas-témoins générées ont été ensuite analysées avec différentes versions du modèle de Cox, incluant les définitions anciennes et nouvelles des ensembles de sujets à risque, ainsi qu’avec la régression logistique conventionnelle, à des fins de comparaison. Les différents modèles de régression ont ensuite été appliqués sur des données réelles cas-témoins sur le cancer du poumon. Les estimations des effets de différentes variables de tabac, obtenues avec les différentes méthodes, ont été comparées entre elles, et comparées aux résultats des simulations. Résultats. Les résultats des simulations montrent que les estimations des nouveaux modèles de Cox pondérés proposés, surtout celles du Weighted Cox model, sont bien moins biaisées que les estimations des modèles de Cox existants qui incluent ou excluent simplement les futurs cas de chaque ensemble de sujets à risque. De plus, les estimations du Weighted Cox model étaient légèrement, mais systématiquement, moins biaisées que celles de la régression logistique. L’application aux données réelles montre de plus grandes différences entre les estimations de la régression logistique et des modèles de Cox pondérés, pour quelques variables de tabac dépendant du temps. Conclusions. Les résultats suggèrent que le nouveau modèle de Cox pondéré propose pourrait être une alternative intéressante au modèle de régression logistique, pour estimer les effets d’expositions dépendant du temps dans les études cas-témoins

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Objective: To determine the risk of lung cancer associated with exposure at home to the radioactive disintegration products of naturally Occurring radon gas. Design: Collaborative analysis of individual data from 13 case-control studies of residential radon and lung cancer. Setting Nine European countries. Subjects 7148 cases Of lung cancer and 14 208 controls. Main outcome measures: Relative risks of lung cancer and radon gas concentrations in homes inhabited during the previous 5-34 years measured in becquerels (radon disintegrations per second) per cubic incite (Bq/m(3)) Of household air. Results: The mean measured radon concentration in homes of people in tire control group was 97 Bq/m(3), with 11% measuring > 200 and 4% measuring > 400 Bq/m(3). For cases of lung cancer the mean concentration was 104 Bq/m(3). The risk of lung cancer increased by 8.4% (95% confidence interval 3.0% to 15.8%) per 100 Bq/m(3) increase in measured radon (P = 0.0007). This corresponds to an increase of 16% (5% to 31%) per 100 Bq/m(3) increase in usual radon-that is, after correction for the dilution caused by random uncertainties in measuring radon concentrations. The dose-response relation seemed to be linear with no threshold and remained significant (P=0.04) in analyses limited to individuals from homes with measured radon < 200 Bq/m(3). The proportionate excess risk did not differ significantly with study, age, sex, or smoking. In the absence of other causes of death, the absolute risks of lung cancer by age 75 years at usual radon concentrations of 0, 100, and 400 Bq/m(3) would be about 0.4%, 0.5%, and 0.7%, respectively, for lifelong non-smokers, and about 25 times greater (10%, 12%, and 16%) for cigarette smokers. Conclusions: Collectively, though not separately, these studies show appreciable hazards from residential radon, particularly for smokers and recent ex-smokers, and indicate that it is responsible for about 2% of all deaths from cancer in Europe.

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Whether the use of mobile phones is a risk factor for brain tumors in adolescents is currently being studied. Case--control studies investigating this possible relationship are prone to recall error and selection bias. We assessed the potential impact of random and systematic recall error and selection bias on odds ratios (ORs) by performing simulations based on real data from an ongoing case--control study of mobile phones and brain tumor risk in children and adolescents (CEFALO study). Simulations were conducted for two mobile phone exposure categories: regular and heavy use. Our choice of levels of recall error was guided by a validation study that compared objective network operator data with the self-reported amount of mobile phone use in CEFALO. In our validation study, cases overestimated their number of calls by 9% on average and controls by 34%. Cases also overestimated their duration of calls by 52% on average and controls by 163%. The participation rates in CEFALO were 83% for cases and 71% for controls. In a variety of scenarios, the combined impact of recall error and selection bias on the estimated ORs was complex. These simulations are useful for the interpretation of previous case-control studies on brain tumor and mobile phone use in adults as well as for the interpretation of future studies on adolescents.

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To evaluate strategies used to select cases and controls and how reported odds ratios are interpreted, the authors examined 150 case-control studies published in leading general medicine, epidemiology, and clinical specialist journals from 2001 to 2007. Most of the studies (125/150; 83%) were based on incident cases; among these, the source population was mostly dynamic (102/125; 82%). A minority (23/125; 18%) sampled from a fixed cohort. Among studies with incident cases, 105 (84%) could interpret the odds ratio as a rate ratio. Fifty-seven (46% of 125) required the source population to be stable for such interpretation, while the remaining 48 (38% of 125) did not need any assumptions because of matching on time or concurrent sampling. Another 17 (14% of 125) studies with incident cases could interpret the odds ratio as a risk ratio, with 16 of them requiring the rare disease assumption for this interpretation. The rare disease assumption was discussed in 4 studies but was not relevant to any of them. No investigators mentioned the need for a stable population. The authors conclude that in current case-control research, a stable exposure distribution is much more frequently needed to interpret odds ratios than the rare disease assumption. At present, investigators conducting case-control studies rarely discuss what their odds ratios estimate.

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Objective: To determine if exposure to benzodiazepines during the first trimester of pregnancy increases risk of major malformations or cleft lip or palate.

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Previously developed models for predicting absolute risk of invasive epithelial ovarian cancer have included a limited number of risk factors and have had low discriminatory power (area under the receiver operating characteristic curve (AUC) < 0.60). Because of this, we developed and internally validated a relative risk prediction model that incorporates 17 established epidemiologic risk factors and 17 genome-wide significant single nucleotide polymorphisms (SNPs) using data from 11 case-control studies in the United States (5,793 cases; 9,512 controls) from the Ovarian Cancer Association Consortium (data accrued from 1992 to 2010). We developed a hierarchical logistic regression model for predicting case-control status that included imputation of missing data. We randomly divided the data into an 80% training sample and used the remaining 20% for model evaluation. The AUC for the full model was 0.664. A reduced model without SNPs performed similarly (AUC = 0.649). Both models performed better than a baseline model that included age and study site only (AUC = 0.563). The best predictive power was obtained in the full model among women younger than 50 years of age (AUC = 0.714); however, the addition of SNPs increased the AUC the most for women older than 50 years of age (AUC = 0.638 vs. 0.616). Adapting this improved model to estimate absolute risk and evaluating it in prospective data sets is warranted.