774 resultados para Capital social individual
El capital social campesino en la gestión del desarrollo rural: díadas, equipos, puentes y escaleras
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Incluye Bibliografía
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El presente trabajo profunda la relación establecida entre las Cooperativas de Trabajo de la ciudad de Río Gallegos promovidas por el gobierno provincial y el desarrollo de capital social de sus asociados. Se optó por este eje conductor porque se consideró que la organización cooperativa tiende a favorecer el desarrollo de este activo. Frente a las transformaciones del mercado laboral sufridas en la década del ?90, cuyos efectos persisten hasta la actualidad, las cooperativas de trabajo aparecen como una opción para la progresiva inserción en el mercado laboral formal, hecho que se refleja en el incremento sostenido de la cantidad de cooperativas de trabajo a lo largo de todo el país a partir de mediados de los 90?. En este contexto, describir la relación establecida entre estas cooperativas y el desarrollo de capital social de sus miembros, se vincula con la inclusión de esta estrategia, cuyos contenidos no siempre se explicitan, en las líneas de acción de las políticas sociales. En vista del objetivo antes mencionado y a la luz del análisis bibliográfico sobre dicho concepto, se realizaron entrevistas en profundidad orientadas a identificar los precursores de capital social puestos en juego y a examinar la distribución del stock de capital social (individual, grupal y externo) en los cooperativistas
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El presente trabajo profunda la relación establecida entre las Cooperativas de Trabajo de la ciudad de Río Gallegos promovidas por el gobierno provincial y el desarrollo de capital social de sus asociados. Se optó por este eje conductor porque se consideró que la organización cooperativa tiende a favorecer el desarrollo de este activo. Frente a las transformaciones del mercado laboral sufridas en la década del ?90, cuyos efectos persisten hasta la actualidad, las cooperativas de trabajo aparecen como una opción para la progresiva inserción en el mercado laboral formal, hecho que se refleja en el incremento sostenido de la cantidad de cooperativas de trabajo a lo largo de todo el país a partir de mediados de los 90?. En este contexto, describir la relación establecida entre estas cooperativas y el desarrollo de capital social de sus miembros, se vincula con la inclusión de esta estrategia, cuyos contenidos no siempre se explicitan, en las líneas de acción de las políticas sociales. En vista del objetivo antes mencionado y a la luz del análisis bibliográfico sobre dicho concepto, se realizaron entrevistas en profundidad orientadas a identificar los precursores de capital social puestos en juego y a examinar la distribución del stock de capital social (individual, grupal y externo) en los cooperativistas
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El presente trabajo profunda la relación establecida entre las Cooperativas de Trabajo de la ciudad de Río Gallegos promovidas por el gobierno provincial y el desarrollo de capital social de sus asociados. Se optó por este eje conductor porque se consideró que la organización cooperativa tiende a favorecer el desarrollo de este activo. Frente a las transformaciones del mercado laboral sufridas en la década del ?90, cuyos efectos persisten hasta la actualidad, las cooperativas de trabajo aparecen como una opción para la progresiva inserción en el mercado laboral formal, hecho que se refleja en el incremento sostenido de la cantidad de cooperativas de trabajo a lo largo de todo el país a partir de mediados de los 90?. En este contexto, describir la relación establecida entre estas cooperativas y el desarrollo de capital social de sus miembros, se vincula con la inclusión de esta estrategia, cuyos contenidos no siempre se explicitan, en las líneas de acción de las políticas sociales. En vista del objetivo antes mencionado y a la luz del análisis bibliográfico sobre dicho concepto, se realizaron entrevistas en profundidad orientadas a identificar los precursores de capital social puestos en juego y a examinar la distribución del stock de capital social (individual, grupal y externo) en los cooperativistas
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This paper explores the relationship between social capital and happiness both in Europe as a whole, as well as in its four main geographical macro-regions – North, South, East and West – separately. We test the hypothesis of whether social capital, in its three-fold definition established by Coleman (1988) – trust, social interaction, and norms and sanctions – influences individual happiness across European countries and regions. The concept of social capital is further enriched by incorporating Putnam- (1993) and Olson- (1982) type variables on associational activity. Using ordinal logistic regression analysis on data for 48,583 individuals from 25 European countries, we reach three main findings. First, social capital matters for happiness across the three dimensions considered. Second, the main drivers of the effects of social capital on happiness appear to be informal social interaction and general social, as well as institutional trust. And third, there are significant differences in how social capital interacts with happiness across different areas of Europe, with the connection being at is weakest in the Nordic countries.
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Le présent mémoire explore les liens entre les différents types de capitaux (social, familial, délinquant et individuel) et certains actes déviants, soit la consommation de substances psychotropes et l’implication criminelle violente chez un groupe de décrocheurs scolaires canadiens. Dans un premier temps, il s’agit d’établir la prévalence et les habitudes de consommation de cette population aliénée du système éducatif. De plus, cette étude concerne l’implication criminelle violente des décrocheurs. Plus précisément, il s’agit de déterminer la fréquence des manifestations agressives et les types de violence perpétrés par ces jeunes, ainsi que d’examiner les liens qui se tissent entre la consommation de substances psychotropes et la commission d’actes violents. Ensuite, il est question d’étudier l’impact des différents capitaux (social, familial, délinquant et individuel) sur la consommation de substances psychoactives et l’implication criminelle violente des décrocheurs. En outre, dans une perspective davantage clinique, le dernier objectif aura pour but d’identifier différentes typologies de décrocheurs scolaires. Les analyses s’appuient sur un échantillon de 339 jeunes décrocheurs scolaires de Montréal et Toronto. Les informations amassées par rapport à l’usage de substances psychotropes et la commission d’actes violents concernent les douze mois qui ont précédé la passation du questionnaire. Succinctement, les taux de prévalence de consommation des décrocheurs apparaissent plus importants que ceux de la population estudiantine, leur usage est plus inquiétant de même que l’auto-évaluation de leur dépendance. Les résultats révèlent également une implication criminelle violente importante, surtout chez les garçons et les consommateurs de substances psychotropes. Qui plus est, le capital délinquant semble avoir un impact majeur sur l’usage d’alcool et de drogues de même que sur les manifestations de violence perpétrées par les décrocheurs. Enfin, trois typologies de décrocheurs scolaires ont été identifiées, soit les invisibles, les détachés et les rebelles.
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Cette étude s’inscrit dans le cadre plus large des travaux menés par le groupe de recherche Drug, Alcool and Violence International (DAVI) qui cherche à préciser la nature des liens qui se tissent entre l’alcool, les drogues et la violence chez trois groupes de jeunes - étudiants, décrocheurs, contrevenants - des villes de Montréal, Toronto, Philadelphie et Amsterdam. Elle explore plus spécialement les dimensions du capital social, familial, individuel et délinquant comme étant des voies d’explication possibles de la relation constatée entre la consommation d’alcool et de drogues et la manifestation de gestes de violence chez les jeunes de la grande région montréalaise fréquentant le milieu scolaire secondaire. Trois objectifs spécifiques de recherche sont poursuivis soit : 1) déterminer, à travers une recension des écrits scientifiques, les modalités formant les dimensions du capital social, familial, individuel et délinquant; 2) cerner empiriquement dans les données, quelles sont les modalités à disposition permettant de rendre compte de la contribution du capital social, du capital familial, du capital individuel et du capital délinquant dans l’explication de la relation alcool/drogues et violence chez les jeunes; et 3) vérifier si les dimensions à l’étude influencent a) la consommation par les jeunes d’alcool et de drogues; b) la manifestation par eux de comportements délinquants, et plus spécialement de comportements violents, et c) la relation entre alcool, drogues et violence chez les jeunes fréquentant le milieu scolaire secondaire montréalais en fonction de ces dimensions. L’échantillon de type aléatoire est composé de 995 répondants (garçons et filles ) qui se répartissent dans huit écoles secondaires francophones et deux écoles secondaires anglophones provenant des secteurs public ou privé et de milieu favorisé ou défavorisé se trouvant sur les territoires des villes de Montréal, Laval et Longueuil constituant « la grande région de Montréal ». Les participants devaient répondre à un questionnaire composé de 138 questions dont la grande majorité sont fermées. Les données sociodémographiques caractérisant le jeune et son environnement, ses rapports avec sa famille, ses amis, l’école, son quartier, sa consommation d’alcool et de drogues, l’existence dans sa vie de comportements violents dont il aurait été auteur ou victime, la manifestation de gestes de délinquance ou de troubles de comportement sont les principales dimensions de la vie du jeune sondées par le questionnaire utilisé. D’entrée de jeu, spécifions que peu importe les substances consommées, très peu d’étudiants en font un usage problématique et que l’on ne note aucune propension à la délinquance chez la majorité des élèves de l’échantillon En somme, les analyses amènent à conclure à l’existence de relations statistiquement significatives entre la consommation d’alcool, de marijuana et de drogues dures et la propension à la délinquance et aux troubles de comportement, ces relations étant de force variable allant de modérée à forte. Toutefois, il faut bien noter que ces relations ne touchent qu’un petit nombre des élèves du secondaire participant à notre étude, comme ce fût le cas dans d’autres études. Plus spécifiquement, le capital familial paraît influencer seulement la consommation de marijuana. Ainsi, plus le degré de supervision parentale diminue, plus la fréquence de consommation de marijuana augmente. Le capital individuel produit un impact plus important sur la consommation d’alcool, de marijuana et de drogues dures, les troubles de comportement, et la propension à la délinquance. Ainsi, plus le capital individuel est affecté négativement, plus la consommation d’alcool, de marijuana et de drogues dures de même que la propension à la délinquance et aux troubles de comportement seront importants. Le capital social, quant à lui, explique davantage la consommation de marijuana que la consommation d’alcool et de drogues dures ou encore la manifestation de troubles de comportement et la propension à la délinquance. Finalement, le capital délinquant paraît influencer la consommation d’alcool, de marijuana et de drogues dures. Son influence se fait ressentir également, mais dans une moindre mesure, sur la manifestation de troubles de comportement et la propension à la délinquance. À notre grande surprise, la dimension du capital familial qui se révèle être particulièrement influente dans les écrits scientifiques ne ressort pas dans nos analyses comme nous l’avions envisagé. Nous attribuons cet état de fait aux limites imposées par l’utilisation d’une banque de données constituée initialement à d’autres fins que celles visées dans notre étude, et dans laquelle les facteurs reliés au capital familial, identifiés dans les écrits, n’étaient pas tous présents. Nul doute à que la consommation de substances psychoactives et la propension à la délinquance et aux troubles de comportement sont des comportements présents dans la population juvénile. Les modèles généralement utilisés pour expliquer les comportements déviants à l’étude ne produisent pas de résultats probants en ce qui concerne les écoliers, une population de jeunes d’ailleurs rarement étudiée à cet égard. Le modèle d’explication au cœur de nos analyses, mettant à contribution les dimensions du capital social, familial, individuel et délinquant, paraît prometteur surtout en ce qui concerne le capital délinquant, et ce, en dépit des limites imposées par la banque de données utilisée. À la lumière des résultats obtenus, il semble que l’explication de la cooccurrence de la consommation de substances psychoactives et de la propension à la délinquance et aux troubles de comportement soit multifactorielle. Les principaux facteurs contributifs sont ceux du capital délinquant pour la consommation d’alcool, de marijuana et de drogues dures de même que pour la propension à la délinquance alors les troubles de comportement se révèlent davantage expliqués par les facteurs composant le capital individuel. Nous estimons que la combinaison des dimensions du capital familial, individuel, social et individuel constitue une voie d’explication prometteuse de la relation alcool/drogue et violence chez les jeunes. Il nous apparaît dès lors qu’un instrument de collecte de données spécifiquement conçu pour en explorer le potentiel explicatif devrait être à la base de prochaines recherches en ce sens.
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Notre étude porte sur la manière dont les chercheurs universitaires junior et senior en sciences sociales au Québec établissent leurs réseaux de cosignataires et donnent une interprétation discursive à leurs activités de collaboration face à l'impact du changement institutionnel universitaire pendant la période 1990-2009. Plus spécifiquement, notre recherche s'intéresse à montrer que la création des réseaux et la collaboration scientifique par cosignature peuvent être identifiées comme des « ajustements professionnels » et se présenter aussi comme une ressource du capital social qui peut être mobilisé et qui peut produire des avantages aux chercheurs en accord avec leur statut junior ou senior. Il s’agit donc d’une recherche qui relève de la sociologie des sciences. Notre approche a été opérationnalisée à partir de l'étude de 15 membres d'un centre de recherche universitaire au Québec, et leur réseau de 447 cosignataires (y compris les chercheurs de l'étude), et à travers l'application de 7 entretiens auprès de chercheurs junior et senior du même centre. Dans le même plan opérationnel, depuis une perspective qualitative, la thèse permet d'identifier le sens discursif que les chercheurs fournissent à la collaboration et à la participation en réseaux de cosignatures. Ensuite, depuis l'analyse structurelle des réseaux, notre étude montre les connexions individuelles et leurs formes d'interprétation — spécialement la théorie des graphes et ses mesures de centralité (la centralité de degré, la centralité d’intermédiarité et la centralité de vecteur propre) — de même que l'homophilie par statut entre chercheurs. Enfin, depuis l'analyse statistique, elle montre la corrélation des périodes de l'étude et des attributs socioprofessionnels des chercheurs étudiés (sexe, statut universitaire, affiliation institutionnelle, discipline d’appartenance, pays, région du Canada et ville de travail). Notamment, les résultats de notre thèse montrent que chaque catégorie de chercheurs possède ses propres particularités structurelles et discursives en ce qui a trait à ses pratiques de collaboration en réseau, et vont confirmer que les chercheurs senior, plus que les chercheurs junior, grâce à leur capital social mobilisé, ont conservé et obtenu plus d'avantages de leur réseau de cosignataires afin de s'adapter au changement institutionnel et mieux gérer leur travail de collaboration destiné à l’espace international, mais surtout à l'espace local.
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Resumen tomado de la publicación
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O estudo descrito neste relato de pesquisa concentra-se na busca por compreender os mecanismos pelos quais o capital intelectual de empresas participantes em redes estratégicas empresariais é afetado pelo capital social desenvolvido no âmbito dessas redes. O autor procura demonstrar, com base em um estudo de caso com múltiplas unidades de análise, realizado na mineradora multinacional Yamana Gold Inc., que, como as redes representam comunidades pautadas por regras de conduta pré-acordadas, mútuo comprometimento entre os seus participantes e compartilhamentos de recursos físicos e conhecimento, não raro, as empresas participantes desenvolvem processos sinérgicos e processos de colaboração interempresarial, trazendo, para o ambiente de interação, elementos que constroem novas competências para os participantes. Esses processos colaborativos favorecem os processos cognitivos, com impacto direto sobre a formação de capital intelectual individual das empresas, em especial as empresas focais, aquelas que lideram os padrões ou concentram a dominância econômica sobre os processos da rede. O estudo resultou na elaboração de um modelo teórico capaz de demonstrar os elementos do capital social das redes que afetam positivamente o capital intelectual da empresas e, por meio de entrevistas e observações de campo, o modelo pode ser testado e operacionalizado para comprovar a tese defendida pelo autor. O estudo traz importantes esclarecimentos sobre como esses elementos propiciam o surgimento de capital intelectual, com implicações práticas e teóricas.
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The study of social practices aims to overcome the theoretical dichotomies that insist on separating the individual from the social structures and vice versa. In this sense, the debate between objectivism and subjectivism in the construction of social reality still has occupied much time and reflection of various scholars of the humanities. Pierre Bourdieu has extensive work that seeks to advance in relation to the theoretical framework of traditional sociological explanations. Bourdieu`s approach regarding social practices is considered by some researchers as a synthesis of classical theories and by others as an attempt of complexify contemporary studies on the significance of social life. This thesis sharesthis effort to understand the social practices of agents, aiming to analyze the strategies of social and political leaders of family farming in the territories of Seridó and Apodi in Rio Grande do Norte, and it has as reference the theoretical and methodological concepts of habitus, field and capital, in Bourdieu. Therefore, we studied the trajectories of social leaders, here called agents as family farming in the two locations in Rio Grande do Norte. As techniques and procedures of the study, we resortedto semi-structured interviews, observations, participation in events and other researches. In conclusion, this thesis gives an account of the construction of two different relational fields for the activities of agents of family farming in the territories of Seridó and Apodi. Although the relational fields in the territories have been structured under the same prevailing institutions, which are: church, union and political party, the social practice of agents shows itself from social position and political variety. Even with the similarities and differences identified and analyzed in different fields of construction, the social relations of the agents in the territories result in the construction of gated communities, the social capital that is the substrate which the agents called empowered .
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Desde una perspectiva teórica centrada en el relacionismo, el presente artículo tiene como objetivo abordar las relaciones entre capital social y estrategias de vida. Específicamente, nos preguntamos por la construcción de redes sociales en el trabajo y en la educación y las formas de intervención en las estrategias de vida de jóvenes que se encuentran estudiando en el Plan FinEs2. Retomamos una perspectiva metodológica cualitativa y realizamos entrevistas en profundidad a jóvenes estudiantes y trabajadores de un barrio del Gran La Plata durante el periodo 2012-2013. Finalmente, sostenemos que la experiencia del Plan FinEs2 posibilita la construcción de nuevas redes sociales -colectivas e individuales desplegadas en las estrategias de vida que los jóvenes estudiantes desarrollan.
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Muchas gracias por el interés. Como expresó el Dr. Resico en la presentación me he dedicado por muchos años a los temas relacionados con el capital social. Para exponer de forma ordenada daré primero una definición del capital social, así entendemos de qué estamos hablando. Cuando nos referimos al “capital social”, nos estamos refiriendo a normas y redes sociales que permiten que confiemos o nos fiemos de los demás y que colaboremos con ellos. Esa es la idea general de capital social. No es una idea muy pulida o acabada y podemos quedar con la impresión que, si la tratamos de definir con precisión absoluta, se nos escape. En el curso de doctorado utilicé mucho tiempo para ver cómo los economistas y otros, como los sociólogos y los politólogos, tratan de hilar más fino y definir más precisamente qué es el capital social, pero entrar en esto ahora nos llevaría demasiado tiempo, así que les propongo quedarnos con esa definición bastante general, para entender por lo menos al área a la que nos estamos refiriendo. Entonces, estamos pensando en normas y redes sociales que permiten el desarrollo de la confianza y de la colaboración.