7 resultados para Babels
Resumo:
Desde una perspectiva narrativa, este artículo explora cómo la práctica y la formación en interpretación de conferenciasse han percibido en la disciplina, en la profesión y en diferentescolectivos de traductores e interpretes comprometid@s como ECOSy Babels. Sostiene que estas distintas maneras de percibir la interpretación no son meramente opuestas sino que su potencial confluencia es clave para hacer posible una interpretación de conferencias más comprometida políticamente y más socio-crítica en un mundo de desigualdades cada vez más acentuadas y de mercantilización creciente de todos los aspectos de la vida. El artículo lleva a cabo un estudio de caso sobre la formación ad hoc de intérpretes en el Foro Social, en particular el Foro Social Europeo de Londres, y analiza cómo el trabajo colectivo entre instituciones educativas y sociedad civil tanto local como global ha dado luz a prácticas transformadoras hacia una metodología de formación mássocio-critica y con mayor consciencia ética.
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Fochs
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Otto Gildemeister
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J. Uprimny
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Herta Kanner
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Pour exprimer ou définir une idée nouvelle, Derrida détourne souvent le sens d’un mot en se l’appropriant. La relation de Derrida avec les idées est telle que leur transmission passe par un vocabulaire spécifique, notamment l’analyse de l’étymologie (vraie et fausse). Mais quelle est sa conception du mot ? Quelles en sont les implications et les conséquences ? Pour répondre à ces questions, l’approche la plus féconde consiste à suivre au plus près celle que Derrida utilise en abordant la langue par rapport à la grammaire au sens large (c’est-à-dire tout ce qui fait événement dans la langue). En effet, la relation entre le mot et l’idée prend tout son sens dans l’analyse de certaines scènes bibliques, telles celles de la Genèse ou encore du mythe de Babel. Le fameux énoncé inaugural de l’Évangile de Jean, « Au commencement était la parole... », fait retour dans l’œuvre de Derrida, où il connaît plusieurs variations : il mérite examen, dans la perspective d’une déconstruction du logos et des origines de la langue. Le corpus de notre étude porte principalement sur trois textes de Jacques Derrida : « Des tours de Babel » (L’art des confins, PUF, 1979), Schibboleth – Pour Paul Celan (Galilée, 1986) et Donner la mort (Galilée, 1999), ces textes permettant tous une interrogation de l’« intention » divine dans le langage. Notre visée, en privilégiant dans l’œuvre derridienne ces « exemples » bibliques, est d’étudier la démarche de Derrida dans la « création » d’une langue, aspect qui a toujours été inséparable de l’élaboration de sa philosophie et auquel il a accordé la plus grande attention. À terme, ce travail se veut une contribution à la pensée du philosophe, portant sur un aspect capital de son travail et battant en brèche l’idée que son écriture est « absconse » ou « hermétique », alors qu’il y va pour lui de la mise en œuvre de sa manière même de concevoir la langue.