988 resultados para Anglo-Quebec Literature
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This article argues for the distinctiveness of the presentation of crowds in the Old English version of the Legend of the Seven Sleepers . In traditional Old English poetry, crowds are mostly conspicuous by their absence, since the social groupings portrayed are typically those ofthe lord's retinue and the fellowship of the hall. In writings deriving from Latin traditions (in Anglo-Latin, Old English prose and strands of Old English poetry) such as historiography andhagiography, crowds are presented in highly conventional terms based on literary models. The crowd scenes in the Legend of the Seven Sleepers , on the other hand, have an immediacy and urgency that seem based on real-life experience of Anglo-Saxon England rather than simply imitative of the work's Latin (ultimately Greek) source or of other literary models. Drawing upon crowd theory and historical studies, the article demonstrates that the crowds in this text are presented in “domesticated” Anglo-Saxon terms and may be seen as reflective of growing urbanization in late Anglo-Saxon England. “Real” crowds are glimpsed elsewhere in Anglo-Saxon literature but in the Legend of the Seven Sleepers they are particularly foregrounded; this text also presents the literature's liveliest picture of town life more generally.
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Mode of access: Internet.
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"The geography of Europe; extracted from King Alfred's Anglo-Saxon version of Orosius": p. [57]-90. "Notes on the first chapter of the first book of Ælfred's Anglo-Saxon version of Orosius. By Mr. J. R. Forster": p. [91]-112.
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Translation, somewhat abridged, by Donald MacLeod.
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Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que développées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de développer une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des débats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accordée à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dépasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire démontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dépasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de définir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme.
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Les polémiques ont joué un rôle important dans la réception des romans de Mordecai Richler au Québec francophone. Contrairement à l’idée reçue voulant que cet antagonisme ait empêché la lecture de l’oeuvre richlérienne, c’est plutôt à partir de la publication des essais sur le nationalisme québécois que la critique commencera à s’intéresser à l’écrivain. En effet, que ce soit avant ou après les polémiques, c’est au nom d’un rapport de correspondance au collectif que sera jugée l’oeuvre de Richler. L’abandon d’une conception restreinte de l’identité québécoise ouvre la porte à la relecture contemporaine des romans de Richler, même si cette relecture ne fait pas pour autant l’économie d’un rapport au collectif et cherche plutôt à opposer une identité québécoise exclusivement francophone à une identité prête à inclure un auteur longtemps identifié comme un ennemi public. Les mécanismes de ce rapatriement peuvent être mis en parallèle avec les conflits identitaires qui marquent le personnage richlérien. Dans Son Of A Smaller Hero (1955), Noah Adler tente de se définir en tant qu’être humain et de trouver une morale qui lui est propre en fuyant ses origines. Toutefois, cette fuite ne peut se solder que par un échec et le héros apprend que son idéal d’émancipation passe par une réinterprétation de son héritage plutôt que par l’abandon de celui-ci. Barney’s Version (1997) est en partie le récit de formation d’un écrivain tardif. Si Barney Panofsky s’en prend aux impostures collectives dans le roman, son incapacité à être totalement honnête par rapport à lui-même et à plonger dans une création et une défense sincères de ce en quoi il croit le poussera à s’aliéner ceux à qui il tient véritablement. Cette situation laisse le narrateur avec une oeuvre inachevée qui ne pourra s’accomplir que par l’intervention de ses héritiers. Dans les deux romans, la définition du personnage passe par une réappropriation herméneutique de son héritage qui rappelle, dans son rapport à la trace, au collectif et à l’illégitimité, les relectures francophones de l’oeuvre richlérienne.
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Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.
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This work aims to analyze the Wið Færstice, a charm from the anglo-saxon literature, translated as Charm for a sudden Stich. Inside of the imaginarium in this context, the refered pain is assigned to a dart shooted by an elf, witch or pagan god. This charm is included in the anglo-saxon medicine manuscripts andwas wrtitten in form of poetry, presenting characteristics of the poetic work, presenting aspects of the poetic do that once considered historical, cultural and artistic issues concerning the people and the Anglo-Saxon culture, indicate a close relationship between poetry as a form of thought and knowledge and magic as a way of interpreting the world. At this respect we call here, for methodological purposes, incantatory power of the word. From the analysis of this referred enchantment, as well as of the elements in the text, is intended to demonstrate how articulates this incantatory power of words and how to give, within the Anglo-Saxon conception of the Sacred, the transformation of reality through the pronouncement of words
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This work aims to analyze the Wið Færstice, a charm from the anglo-saxon literature, translated as Charm for a sudden Stich. Inside of the imaginarium in this context, the refered pain is assigned to a dart shooted by an elf, witch or pagan god. This charm is included in the anglo-saxon medicine manuscripts andwas wrtitten in form of poetry, presenting characteristics of the poetic work, presenting aspects of the poetic do that once considered historical, cultural and artistic issues concerning the people and the Anglo-Saxon culture, indicate a close relationship between poetry as a form of thought and knowledge and magic as a way of interpreting the world. At this respect we call here, for methodological purposes, incantatory power of the word. From the analysis of this referred enchantment, as well as of the elements in the text, is intended to demonstrate how articulates this incantatory power of words and how to give, within the Anglo-Saxon conception of the Sacred, the transformation of reality through the pronouncement of words
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O objetivo do trabalho é investigar as teses conceituais contemporâneas sobre o normal e o patológico em medicina. Após a célebre tese de Georges Canguilhem sobre o tema e sobretudo a partir da década de 1970, a filosofia da medicina anglo-saxônica ofereceu importantes contribuições para o debate. Analisamos principalmente as teses de Christopher Boorse e Lennart Nordenfelt, autores que compartilham com Canguilhem a convicção de que a análise filosófica pode contribuir para o esclarecimento dos conceitos médicos. O primeiro é apontado na literatura como naturalista e o segundo como normativista, polarização apresentada na literatura anglo-saxônica contemporânea que reflete o debate sobre a descrição da saúde e da doença como fenômenos naturais ou como estados determinados por valores antropomórficos. Vemos que, para distinguir o normal do patológico, os autores contemporâneos naturalistas fazem uso dos critérios de função biológica e tipo biológico e os autores normativistas falam em função social e tipos ideais. Problematizamos estes conceitos usando o referencial da filosofia da biologia e dos estudos da deficiência, respectivamente, e notamos que as definições propostas pelos filósofos da medicina merecem ser refinadas.
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This dissertation examines the use of animals in Ælfric’s Lives of Saints and Catholic Homilies, outlining the transmission process of various sources of animal knowledge available to and used by Ælfric. The contexts in which Ælfric uses animals, which sources he uses in these passages and how he deviates from his source material (if at all) combine to illustrate how Anglo-Saxon authors could weave classical, biblical, early Christian and local knowledge together and incorporate the different traditions in their own work.