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Le CS fait partie de la famille des SYSADOA (SYmptomatic Slow Acting Drugs for OsteoArthritis) et est utilisé par les patients avec de l’ostéoarthrose de façon chronique pour ses propriétés anti-inflammatoires. Étant donné que ces patients reçoivent d’autres médicaments, il était intéressant de documenter les effets du CS sur le cytochrome P450 et la NADPH-réductase (NADPH). Pour cette étude, deux modèles ont été utilisés: des lapins témoins (LT) et des lapins avec une réaction inflammatoire (LRI) afin de diminuer l’activité et l’expression du CYP. Six groupes contenant chacun cinq lapins ont été utilisés: un groupe sans CS et deux groupes qui ont pris oralement dans l’eau approximativement 20.5 mg/kg/jour de CS pendant 20 et 30 jours; les lapins des trois groupes restants ont pris du CS comme décrit plus haut, mais ont reçu 5 ml sous-cutanées de térébenthine afin de produire une réaction inflammatoire aseptique (RIA) deux jours avant leur sacrifice, c’est-à-dire aux jours -2, 18 et 28. Les hépatocytes ont été isolés pour évaluer l’activité et l’expression du CYP3A6, CYP1A2 et NADPH et aussi le ARNm de ces protéines. In vitro, nous avons étudié l’effet de différentes concentrations de CS-disaccharides sulfatés, 4S, 6S, et 4,6S de CS, sur l’activité et l’expression du CYP1A2 et du CYP3A6. Pour documenter la présence de la réaction inflammatoire, nous avons mesure les mucoprotéines, dans le sérum des lapins avec une réaction inflammatoire. Aussi nous avons mesuré la présence de l’oxide nitrique (NO) chez les hépatocytes de lapins contrôles et chez les hépatocytes des lapins avec une réaction inflammatoire. La translocation nucléaire du NF-κB a été etudiée par fluorescence chez les hépatocytes. Par comparaison aux lapins témoins, l’administration du CS pendant 20 et 30 jours n’affecte pas l’activité du CYP3A6 et du CYP1A2. La RIA a augmenté les mucoprotéines à 95,1±5,7 vs 8,4±1,6 mg/dl dans les lapins témoins (p<0,05). La RIA a diminué l’activité du CYP3A6 de 62% et l’activité du CYP 1A2 de 54%. Le CS n’empêché pas la diminution du CYP1A2 produite par la RIA. Par ailleurs, le CS n’affecte pas l’activité ni l’expression de la NADPH. La translocation nucléaire de NF-κB a été empêche par l’administration chronique de CS aux lapins avec RIA; en plus, la concentration de l’oxide nitrique n’a pas démontré une augmentation en présence de CS; par contre, CS n’empêche pas l’augmentation des séromucoïdes. Au contraire, CS affecte la diminution du CYP3A6 en fonction de temps et secondaire à la RIA. Dans ce group, CS a rétabli le niveau des protéines du CYP3A6 observé dans le group de lapins témoins. Pourtant cette croissance été independante de mRNA qui garde un niveau trés bas. Le plus remarcable a été la manière dont CS a augmenté la protéine du CYP3A6, sans avoir rétabli l’activité de cet isoforme. Finalement, in vitro, CS et ses trois disaccharides sulfatés (4S, 6S et 4,6S) n’affectent ni l’activité ni l’expression de CYP1A2, CYP3A6 et de la NADPH. En conclusion, l’administration chronique de CS n’affecte pas l’activité ni l’expression du CYP1A2, ou la diminution du CYP1A2 produite par la réaction inflammatoire. Le CS n’affecte pas l’activité ni l’expression du NADPH. Cependant, CS empêche la diminution du CYP3A6 en fonction de temps et secondaire à la RIA.
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La maladie cœliaque ou sprue cœliaque est une intolérance au gluten. Il s’agit d’une maladie inflammatoire de l’intestin liée à l’ingestion de gluten chez des personnes génétiquement susceptibles. Ce désordre présente une forte prévalence puisqu’il touche 1 % de la population mondiale. En l’état actuel des choses, il n’existe aucun outil pharmacologique pour traiter ou pallier à cette maladie. Cependant, grâce aux avancées dans la compréhension de sa pathogenèse, de nouvelles cibles thérapeutiques ont été identifiées. À l’heure actuelle, le seul traitement efficace consiste à suspendre la consommation de l’agent pathogène, à savoir le gluten. Le gluten est un ensemble de protéines de stockage des céréales contenu dans le blé, l’orge et le seigle. Le gluten du blé se subdivise en gluténines et gliadines. Ce sont ces dernières qui semblent les plus impliquées dans la maladie cœliaque. Les gliadines et ses protéines apparentées (i.e. sécalines et hordéines, respectivement dans le seigle et l’orge) sont riches en prolines et en glutamines, les rendant résistantes à la dégradation par les enzymes digestives et celles de la bordure en brosse. Les peptides résultant de cette digestion incomplète peuvent induire des réponses immunitaires acquises et innées. L’objectif principal de cette thèse était de tester un nouveau traitement d’appoint de la maladie cœliaque utile lors de voyages ou d’évènements ponctuels. Dans les années 80, une observation italienne montra l’inhibition de certains effets induits par des gliadines digérées sur des cultures cellulaires grâce à la co-incubation en présence de mannane: un polyoside naturel composé de mannoses. Malheureusement, ce traitement n’était pas applicable in vivo à cause de la dégradation par les enzymes du tractus gastro-intestinales du polymère, de par sa nature osidique. Les polymères de synthèse, grâce à la diversité et au contrôle de leurs propriétés physico-chimiques, se révèlent être une alternative attrayante à ce polymère naturel. L’objectif de cette recherche était d’obtenir un polymère liant la gliadine, capable d’interférer dans la genèse de la maladie au niveau du tube digestif, afin d’abolir les effets délétères induits par la protéine. Tout d’abord, des copolymères de type poly (hydroxyéthylméthacrylate)-co-(styrène sulfonate) (P(HEMA-co-SS)) ont été synthétisés par polymérisation radicalaire contrôlée par transfert d’atome (ATRP). Une petite bibliothèque de polymères a été préparée en faisant varier la masse molaire, ainsi que les proportions de chacun des monomères. Ces polymères ont ensuite été testés quant à leur capacité de complexer la gliadine aux pH stomacal et intestinal et les meilleurs candidats ont été retenus pour des essais cellulaires. Les travaux ont permis de montrer que le copolymère P(HEMA-co-SS) (45:55 mol%, 40 kDa) permettait une séquestration sélective de la gliadine et qu’il abolissait les effets induits par la gliadine sur différents types cellulaires. De plus, ce composé interférait avec la digestion de la gliadine, suggérant une diminution de peptides immunogènes impliqués dans la maladie. Ce candidat a été testé in vivo, sur un modèle murin sensible au gluten, quant à son efficacité vis-à-vis de la gliadine pure et d’un mélange contenant du gluten avec d’autres composants alimentaires. Le P(HEMA-co-SS) a permis de diminuer les effets sur les paramètres de perméabilité et d’inflammation, ainsi que de moduler la réponse immunitaire engendrée par l’administration de gliadine et celle du gluten. Des études de toxicité et de biodistribution en administration aigüe et chronique ont été réalisées afin de démontrer que ce dernier était bien toléré et peu absorbé suite à son administration par la voie orale. Enfin des études sur des échantillons de tissus de patients souffrants de maladie cœliaque ont montré un bénéfice therapeutique du polymère. L’ensemble des travaux présentés dans cette thèse a permis de mettre en évidence le potentiel thérapeutique du P(HEMA-co-SS) pour prévenir les désordres reliés à l’ingestion de gluten, indiquant que ce type de polymère pourrait être exploité dans un avenir proche.
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L’activité catalytique du cytochrome P450 dépend de la disponibilité d’électrons produits par la NADPH P450 réductase (NPR). Notre étude a pour but de déterminer comment l’expression de la NPR est modulée chez le lapin. Afin de comprendre comment l’expression de la NPR est modulée, des hépatocytes de lapins témoins ont été incubés pendant 2, 4, 24 et 48 heures en présence de plusieurs activateurs de facteurs de transcription connus du cytochrome P450. De plus, des lapins ayant reçu une injection sous-cutanée de térébenthine afin de produire une réaction inflammatoire aseptique sont sacrifiés 48 heures plus tard dans le but d’étudier les effets de l’inflammation sur l’expression de la NPR. La rosiglitazone, le fénofibrate, l’acétate de plomb et le chlorure de cobalt (des inducteurs des PPAR, PPAR, AP-1 et HIF-1), après 48 heures d’incubation, n’ont provoqué aucun changement d’expression ou d’activité de la NPR. Après 48 heures d’incubation, la dexaméthasone (Dexa) a augmenté la quantité d’ARNm (QT-PCR), l’expression et l’activité de la NPR (p<0,05), en plus d’augmenter l’ARNm des récepteurs nucléaires CAR (récepteur constitutif à l’androstane) et PXR (récepteur X prégnane) (p<0.05). Le phénobarbital (PB) a augmenté seulement l’activité de la NPR (p<0.05). Par contre, après 48 heures d’incubation, la combinaison PB et Dexa a augmenté la quantité d’ARNm, ainsi que l’expression et l’activité de la NPR (p<0.05). La combinaison de PB et Dexa a induit une augmentation d’ARNm des récepteurs nucléaires CAR, PXR et RXR (récepteur X du rétinoïde) plus précocement, soit après 2 heures d’incubation (p<0.05). Le PD098059 (PD), un bloqueur de l’activation de MAPK1 (mitogen-activated protein kinase), et l’acide okadaïque (OA), un inhibiteur de la protéine phosphatase 2A (PP2A), ont bloqué l'augmentation d'expression et d'activité de la NPR induite par le PB après 48 heures d’incubation. La réaction inflammatoire aseptique a diminué l’expression et l’activité de la NPR après 48 heures d’incubation (p<0.05). On conclue que la dexaméthasone et le phénobarbital sont des inducteurs potentiels de la NPR et que les voies de signalisation de CAR, PXR et RXR semblent être impliquées dans le contrôle de cette induction. Des études supplémentaires devront être complétées afin de confirmer ces résultats préliminaires.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Plusieurs conditions allergiques, dont certains phénotypes d’asthme et le souffle équin, sont caractérisées par une infiltration neutrophilique. L’interleukine-4 (IL-4), une cytokine clé de la réponse allergique, pourrait contribuer au recrutement de ces cellules inflammatoires lors de ces pathologies. L’objectif de cette étude était d’évaluer si l’administration sous-cutanée d’IL-4 chez des chevaux sains favorise une réponse neutrophilique locale. Trois études ont été réalisées pour 1) évaluer l’effet de concentrations cytokiniques différentes (10 ng, 250 ng et 500 ng) et 2) évaluer l’effet de la durée d'incubation (3 h, 6 h, 12 h, 48 h et 7 jours) sur le recrutement des neutrophiles chez 18 chevaux sains. Le matrigel, une matrice protéique solubilisée, a servi de véhicule pour l’administration des cytokines. Un grade histologique semi-quantitatif a été élaboré pour évaluer la neutrophilie tissulaire pour toutes les études, mais nous avons, en outre, ajouté une analyse par cytométrie de flux dans la troisième étude pour valider les grades histologiques. Nos résultats démontrent que 1) l'IL-4 ne parvient pas à induire une migration neutrophilique significative dans les tissus sous-cutanés de chevaux sains ; 2) la cytométrie de flux s’est révélée être une méthode plus fiable pour estimer la migration des neutrophiles en comparaison avec l'analyse moins sensible des scores histologiques. Nous avons de plus observé que 3) le matrigel entraîne une réaction inflammatoire potentiellement de nature immunogène chez les chevaux. Cette étude est la première incorporant le matrigel et IL-4 dans un protocole in vivo impliquant des chevaux. Ces données suggèrent que l’IL-4 seule ne permet pas le recrutement sous-cutané de neutrophiles chez des chevaux sains.
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Introducción: La enfermedad pulmonar obstructiva crónica (EPOC), está caracterizada por la limitación del flujo aéreo, de forma progresiva y casi irreversible, asociada a la reacción inflamatoria atribuida a diferentes factores, principalmente a la exposición al humo de tabaco. Es considerada un problema de salud pública en Colombia y en el mundo, con un aumento acelerado de la condición crónica en la actualidad. Objetivo: Identificar las diferencias sociodemográficas, clínicas y de tratamiento, entre los pacientes con diagnóstico clínico y espirométricos de EPOC vs los pacientes con diagnóstico clínico y descartados por espirometría en el Hospital de Suba. Material y Métodos: Estudio observacional, descriptivo, retrospectivo como un componente exploratorio para comparar los grupos con diagnóstico de EPOC clínico y confirmado o descartado por espirometría, entre Enero y Agosto del 2011. Se utilizó estadística descriptiva para calcular las medidas de tendencia central, los datos cuantitativos se expresaron como la media de la variable ± desviación estándar, y los cualitativos como porcentaje, la t de Student para analizar diferencia de las variables cuantitativas de medias entre grupos y la prueba de Pearson para analizar la relación entre los datos cualitativos para aquellos con valores esperados menores a 5 se aplicó test exacto de Fisher, tuvimos en cuenta un α de 0.05 para el análisis bivariado y medidas de asociación. Todos los análisis se realizaron con el paquete estadístico SPSS 19,0 Versión corporativa. Resultados: De los 398 pacientes, solo 287 cumplían con criterios de inclusión. El promedio de edad del total de los pacientes fue de 70,29 + 11,18 años, y 59,5% de la población fue de sexo femenino. Del total de pacientes evaluados, 171 pacientes (59.6%) se descartó el diagnóstico de EPOC (VEF1/ VEC > 0,70). Al comparar los grupos de pacientes a los que se les confirmo el diagnóstico de EPOC contras los descartados por espirometría se encontró que no hay diferencias estadísticamente significativas entre la edad; en los pacientes con EPOC predomino el sexo femenino (p 0.02); en los factores de riesgo existe clara asociación entre EPOC y la exposición a humo de leña (p <0.001), y en cuanto al tabaquismo solo se encontró asociación con ex fumador (p 0,011). Para analizar las diferencias en el tratamiento se estratifico por las posible combinaciones de inhaladores con o sin teofilina, encontrando una diferencia estadísticamente significativa para los tratamientos de tres inhaladores (p 0,015), dos inhaladores + teofilina (p 0,05), tres inhaladores + teofilina (p <0.001), y en los pacientes no tratados (p <0,001).
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Introducción: La evaluación de injertos vasculares de submucosa de intestino delgado para la regeneración de vasos sanguíneos ha producido una permeabilidad variable (0-100%) que ha sido concurrente con la variabilidad en las técnicas de fabricación. Metodología: Investigamos los efectos de fabricación en permeabilidad y regeneración en un diseño experimental de 22factorial que combino: 1) preservación (P) o remoción (R) de la capa estratum compactum del intestino, y 2) deshidratada (D) o hidratada (H), dentro de cuatro grupos de estudio (PD, RD, PH, RH). Los injertos fueron implantados en las Arterias Carótidas de porcinos (ID 4.5mm, N=4, 7d). Permeabilidad, trombogenicidad, reacción inflamatoria, vascularización, infiltración de fibroblastos, perfil de polarización de macrófagos y fuerza tensil biaxial fueron evaluadas. Resultados: Todos los injertos PD permanecieron permeables (4/4), pero tuvieron escasa vascularización e infiltración de fibroblastos. El grupo RD permaneció permeable (4/4), presentó una extensa vascularización e infiltración de fibroblastos, y el mayor número del fenotipo de macrófagos (M2) asociado a regeneración. El grupo RH presentó menor permeabilidad (3/4), una extensa vascularización e infiltración de fibroblastos, y un perfil dominante de M2. El grupo PH presentó el menor grado de permeabilidad, y a pesar de mayor infiltración celular que PD, exhibió un fenotipo de macrófagos dominante adverso. La elasticidad de los injertos R evolucionó de una manera similar a las Carótidas nativas (particularmente RD, mientras que los injertos P mantuvieron su rigidez inicial. Discusión: Concluimos que los parámetros de fabricación afectan drásticamente los resultados, siendo los injertos RD los que arrojaron mejores resultados.
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Quando um microrganismo patogénico invade a glândula mamária, através do canal do teto, pode ocorrer infecção intramamária, desencadeando uma resposta inflamatória – a mastite. Esta possui diversas etiologias, sendo normalmente de origem bacteriana. Na resposta inflamatória, actuam as células somáticas presentes no leite. O presente estudo teve como principal objectivo avaliar a relação entre as contagens de células somáticas e os agentes causadores de mastite em amostras de leite. Foram utilizados dados referentes aos resultados de análises de leite para diagnóstico de mastite realizadas em amostras de explorações de Entre Douro e Vouga. Os resultados consistem em identificação dos agentes e respectivo antibiograma, CCS, sendo ainda registado o objectivo da análise (Secagem ou Tratamento). Determinaram-se as prevalências dos agentes, avaliando de seguida a relação entre as seguintes variáveis: agentes e CCS; CCS e objectivo da análise; e entre agentes e objectivo da análise. Concluiu-se que os Staphylococcus coagulase-negativa são os mais prevalentes, 14,5%, seguindo, Streptococcus uberis, 7,6%; Escherichia coli, 6,3%; Lactococcus garviae, 5,8% e Staphylococcus aureus, 4,1%. Concluiu-se ainda, a existência de diferenças estatisticamente significativas nas análises realizadas, confirmando a relação entre as demais variáveis.
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Epidemics of tick-borne encephalitis involving thousands of humans occur annually in the forested regions of Europe and Asia. Despite the importance of this disease, the underlying basis for the development of encephalitis remains undefined. Here, we prove the key role of CD8(+) T-cells in the immunopathology of tick-borne encephalitis, as demonstrated by prolonged survival of SCID or CD8(-/-) mice, following infection, when compared with immunocompetent mice or mice with adoptively transferred CD8(+) T-cells. The results imply that tick-borne encephalitis is an immunopathological disease and that the inflammatory reaction significantly contributes to the fatal outcome of the infection. (C) 2008 Elsevier Inc. All rights reserved.
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In humans and other mammals, Tityus discrepans (Td) scorpion envenomation produces a variety of systemic effects including respiratory distress, a generalized inflammatory reaction, modulation of blood pressure, fibrin formation, and platelet activation. For many of these effects, the venom components and underlying mechanisms are not known. In the present study, we demonstrate that Td venom (TdV) stimulates integrin αIIbβ3-dependent aggregation of washed human and mouse platelets downstream of Src kinase activation. The pattern of increase in tyrosine phosphorylation induced by TdV in human platelets is similar to that induced by the collagen receptor GPVI, and includes FcR γ-chain, Syk, and PLC γ 2. Confirmation of GPVI activation by TdV was achieved by expression of human GPVI in chicken DT40 B cells and use of a reporter assay. To our surprise, TdV was able to activate mouse platelets deficient in the GPVI-FcR γ-chain complex through a pathway that was also dependent on Src kinases. TdV therefore activates platelets through GPVI and a second, as yet unidentified Src kinase-dependent pathway.
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Background: Previous studies have pointed out that the mere elevation of the maxillary sinus membrane promotes bone formation without the use of augmentation materials. Purpose: This experimental study aimed at evaluating if the two-stage procedure for sinus floor augmentation could benefit from the use of a space-making device in order to increase the bone volume to enable later implant installation with good primary stability. Materials and Methods: Six male tufted capuchin primates (Cebus apella) were subjected to extraction of the three premolars and the first molar on both sides of the maxilla to create an edentulous area. The sinuses were opened using the lateral bone-wall window technique, and the membrane was elevated. One resorbable space-making device was inserted in each maxillary sinus, and the bone window was returned in place. The animals were euthanatized after 6 months, and biopsy blocks containing the whole maxillary sinus and surrounding soft tissues were prepared for ground sections. Results: The histological examination of the specimens showed bone formation in contact with both the schneiderian membrane and the device in most cases even when the device was displaced. The process of bone formation indicates that this technique is potentially useful for two-stage sinus floor augmentation. The lack of stabilization of the device within the sinus demands further improvement of space-makers for predictable bone augmentation. Conclusions: It is concluded that (1) the device used in this study did not trigger any important inflammatory reaction; (2) when the sinus membrane was elevated, bone formation was a constant finding; and (3) an ideal space-making device should be stable and elevate the membrane to ensure a maintained connection between the membrane and the secluded space.
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Objectives: To evaluate risk factors for recurrence of carcinoma of the uterine cervix among women who had undergone radical hysterectomy without pelvic lymph node metastasis, while taking into consideration not only the classical histopathological factors but also sociodemographic, clinical and treatment-related factors. Study design: This was an exploratory analysis on 233 women with carcinoma of the uterine cervix (stages IB and IIA) who were treated by means of radical hysterectomy and pelvic lymphadenectomy, with free surgical margins and without lymph node metastases on conventional histopathological examination. Women with histologically normal lymph nodes but with micrometastases in the immunohistochemical analysis (AE1/AE3) were excluded. Disease-free survival for sociodemographic, clinical and histopathological variables was calculated using the Kaplan-Meier method. The Cox proportional hazards model was used to identify the independent risk factors for recurrence. Results: Twenty-seven recurrences were recorded (11.6%), of which 18 were pelvic, four were distant, four were pelvic + distant and one was of unknown location. The five-year disease-free survival rate among the study population was 88.4%. The independent risk factors for recurrence in the multivariate analysis were: postmenopausal status (HR 14.1; 95% CI: 3.7-53.6; P < 0.001), absence of or slight inflammatory reaction (HR 7.9; 95% CI: 1.7-36.5; P = 0.008) and invasion of the deepest third of the cervix (FIR 6.1; 95% CI: 1.3-29.1; P = 0.021). Postoperative radiotherapy was identified as a protective factor against recurrence (HR 0.02; 95% CI: 0.001-0.25; P = 0.003). Conclusion: Postmenopausal status is a possible independent risk factor for recurrence even when adjusted for classical prognostic factors (such as tumour size, depth of turnout invasion, capillary embolisation) and treatment-related factors (period of treatment and postoperative radiotherapy status). (C) 2009 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
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Objectives: (1) To compare the anatomopathological variables and recurrence rates in patients with early-stage adenocarcinoma (AC) and squamous cell carcinoma (SCC) of the uterine cervix; (2) to identify the independent risk factors for recurrence. Study design: This historical cohort study assessed 238 patients with carcinoma of the uterine cervix (113 and IIA), who underwent radical hysterectomy with pelvic lymph node dissection between 1980 and 1999. Comparison of category variables between the two histological types was carried out using the Pearson`s X-2 test or Fisher exact test. Disease-free survival rates for AC and SCC were calculated using the Kaplan-Meier method and the curves were compared using the log-rank test. The Cox proportional hazards model was used to identify the independent risk factors for recurrence. Results: There were 35 cases of AC (14.7%) and 203 of SCC (85.3%). AC presented lower histological grade than did SCC (grade 1: 68.6% versus 9.4%; p < 0.001), lower rate of lymphovascular space involvement (25.7% versus 53.7%; p = 0.002), lower rate of invasion into the middle or deep thirds of the uterine cervix (40.0% versus 80.8%; p < 0.001) and lower rate of lymph node metastasis (2.9% versus 16.3%; p = 0.036). Although the recurrence rate was lower for AC than for SCC (11.4% versus 15.8%), this difference was not statistically significant (p = 0.509). Multivariate analysis identified three independent risk factors for recurrence: presence of metastases in the pelvic lymph nodes, invasion of the deep third of the uterine cervix and absence of or slight inflammatory reaction in the cervix. When these variables were adjusted for the histological type and radiotherapy status, they remained in the model as independent risk factors. Conclusion: The AC group showed less aggressive histological behavior than did the SCC group, but no difference in the disease-free survival rates was noted. (C) 2006 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
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An acute enteritis is commonly followed by intestinal neuromuscular dysfunction, including prolonged hyperexcitability of enteric neurons. Such motility disorders are associated with maintained increases in immune cells adjacent to enteric ganglia and in the mucosa. However, whether the commonly used animal model, trinitrobenzene sulphonate (TNBS)-induced enteritis, causes histological and immune cell changes similar to human enteric neuropathies is not clear. We have made a detailed study of the mucosal damage and repair and immune cell invasion following intralumenal administration of TNBS. Intestines from untreated, sham-operated and TNBS-treated animals were examined at 3 h to 56 days. At 3 h, the mucosal surface was completely ablated, by 6 h an epithelial covering was substantially restored and by 1 day there was full re-epithelialisation. The lumenal epithelium developed from a squamous cell covering to a fully differentiated columnar epithelium with mature villi at about 7 days. Prominent phagocytic activity of enterocytes occurred at 1-7 days. A surge of eosinophils and T lymphocytes associated with the enteric nerve ganglia occurred at 3 h to 3 days. However, elevated immune cell numbers occurred in the lamina propria of the mucosa until 56 days, when eosinophils were still three times normal. We conclude that the disruption of the mucosal surface that causes TNBS-induced ileitis is brief, a little more than 6 h, and causes a transient immune cell surge adjacent to enteric ganglia. This is much briefer than the enteric neuropathy that ensues. Ongoing mucosal inflammatory reaction may contribute to the persistence of enteric neuropathy.
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Periodontal disease (PD) is characterized by the inflammatory bone resorption in response to the bacterial challenge, in a host response that involves a series of chemokines supposed to control cell influx into periodontal tissues and determine disease outcome. In this study, we investigated the role of chemokines and its receptors in the immunoregulation of experimental PD in mice. Aggregatibacter actinomycetemcomitans-infected C57BI/6 (WT) mice developed an intense inflammatory reaction and severe alveolar bone resorption, associated with a high expression of CCL3 and the migration of CCR5+, CCR1+ and RANKL+ cells to periodontal tissues. However, CCL3KO-infected mice developed a similar disease phenotype than WT strain, characterized by the similar expression of cytokines (TNF-alpha, IFN-gamma and IL-10), osteoclastogenic factors (RANKL and OPG) and MMPs (MMP-1, MMP-2, MMP-3, TIMP-1 and TIMP-3), and similar patterns of CCR1+, CCR5+ and RANKL+ cell migration. The apparent lack of function for CCL3 is possible due the relative redundancy of chemokine system, since chemokines such as CCL4 and CCL5, which share the receptors CCR1 and CCR5 with CCL3, present a similar kinetics of expression than CCL3. Accordingly, CCL4 and CCL5 kinetics of expression after experimental periodontal infection remain unaltered regardless the presence/absence of CCL3. Conversely, the individual absence of CCR1 and CCR5 resulted in a decrease of leukocyte infiltration and alveolar bone loss. When CCR1 and CCR5 were simultaneously inhibited by met-RANTES treatment a significantly more effective attenuation of periodontitis progression was verified, associated with lower values of bone loss and decreased counts of leukocytes in periodontal tissues. Our results suggest that the absence of CCL3 does not affect the development of experimental PD in mice, probably due to the presence of homologous chemokines CCL4 and CCL5 that overcome the absence of this chemokine. In addition, our data demonstrate that the absence of chemokine receptors CCR1+ and CCR5+ attenuate of inflammatory bone resorption. Finally, our data shows data the simultaneous blockade of CCR1 and CCR5 with MetRANTEs presents a more pronounced effect in the arrest of disease progression, demonstrating the cooperative role of such receptors in the inflammatory bone resorption process throughout experimental PD. (C) 2009 Elsevier Inc. All rights reserved.